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Get Hermione Laid... encore! : Mission 2

By: lingamelegans
folder French › Harry Potter
Rating: Adult ++
Chapters: 3
Views: 10,047
Reviews: 13
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Disclaimer: I do not own the Harry Potter book and movie series, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.
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Mission II : Get Hermione Laid ... encore!


CHAPITRE 1 : Get Hermione Laid... encore!

Pour reprendre deux mots du vocabulaire limité de Ron : Merde alors ! Ce cours de potions est un cauchemar, et ça a été comme ça toute la semaine. Et pas pour les raisons que j’aurais cru. Non, il n’y a eu aucune remarque cinglante venant du Professeur Snape (enfin, pas plus que d’habitude), aucun regard fuyant (le professeur Lupin m’en a assez jetés, non seulement pour lui-même, mais pour Snape et Sirius également), aucune confrontation embarrassante (contrairement à mercredi, lors du dîner qu’Harry a eu avec son parrain et à l’occasion duquel il a insisté pour que Ron et moi soyons présents), et pas un seul geste déplacé. Bordel ! Snape semble avoir oublié toute cette histoire. J’ai bien eu un instant de panique quand je me suis mise à penser au Polynectar et à la possibilité que Snape n’était peut-être pas Snape cette nuit là, mais rapidement je me suis souvenue des protections de Grimmauld Place. J’étais tout simplement en train de devenir complètement parano – en aucune façon Rusard n’avait pu utiliser le Polynectar et passer à travers les protections, et encore moins sans être inquiété par Maugrey. En plus, ce qu’il a fait cette nuit là portait la signature incontestable du maître des potions.

Donc, après une semaine passée à être totalement ignorée, je me suis motivée et j’ai décidé, en dépit des prédispositions de Lupin à obéir aux ordres de Dumbledore, de le convaincre de contourner, à défaut d’ignorer, les règles pour une nuit. Merde, une demi-heure suffirait ! Cependant, à peine ai-je cette pensée, alors que je suis entrain de remplir une fiole de ma potion en songeant, sans illusions, que je passerai le week-end à étudier, voilà que le Professeur Snape s’arrête soudainement devant mon bureau. Je lève mon regard vers lui, en me demandant ce qu’il pouvait bien être en train de foutre. Ou, avec un peu plus d’espoir, qui il voudrait bien foutre...

-Retenue, Miss Granger, dit-il de sa voix traînante, en me regardant du haut de son long nez.

Je tente vraiment de cacher mon sourire, mais je ne suis pas sûre de réussir.

-Et pourquoi diable ? dit Harry d’un ton brusque en venant à ma défense. Maudit soit-il !

-Ce n’est pas votre affaire, Potter, mais le comportement de Miss Granger lors de ce week-end était consternant, répond Snape en levant un sourcil dans ma direction. C’est une question ou plutôt une invitation – je peux toujours le penser.

-Oui, Monsieur, dis-je en fixant mon bureau, espérant que tout le monde pense que c’est parce que j’ai honte, alors qu’en fait j’essaie de dissimuler le large sourire qui a pris le contrôle de mon visage et qui refuse de le quitter.

-Huit heures, dans mon bureau, grogne-t-il. Et il me lance un dernier regard triomphant avant de retourner silencieusement jusqu’à sa place.

YES !


Qu’on se comprenne bien, je n’ai strictement rien contre Sirius ou Lupin – tous les deux (d’après mon expérience relativement limitée) sont des candidats parfaitement appropriés pour le second round. Cependant, Lupin (bénie soit son âme pure) est beaucoup trop bien élevé pour faire quoique ce soit qui le détournerait de faire le bon choix (ou le mauvais, en l’occurrence) sans Sirius pour le pousser et en étant sous l’œil, pas si vigilant que ça, de Dumbledore. Sirius, naturellement, serait à même de le faire. Cependant, il est retourné à Londres, et par conséquent, n’est pas aussi accessible. Snape, par contre, est ici, disposé et parfaitement capable de résoudre mon petit…problème. Ce problème étant que j’ai tellement envie de baiser depuis le week-end passé que si je n’ai pas bientôt du sexe, je jure que soit je deviens folle, soit je baisse les bras et je me tape Ron – ni l’un ni l’autre n’étant particulièrement folichon.

Rien de tout ce la n’est plus un problème maintenant ! Je parcoure en ce moment les derniers mètres menant au bureau de Snape, en vérifiant pour la seconde fois si mes cheveux ne frisottent pas trop. Non, ça ne semble pas bouger. Je lisse le tissu de ma robe avant de frapper sur la porte en bois, puis j’attends impatiemment une réponse. Bon sang, j’ai attendu ce qui me semblait être une éternité. Je suis sur le point de frapper de nouveau quand la porte s’ouvre en grand.

-Qu’est-ce que… Ah, Miss Granger, dit-il d’une voix traînante en me toisant du regard.

Puis il reprend sur un ton brusque :

-Qu’est-ce que vous avez fait de votre uniforme ?!!

-Euh…

Je bégaye

-Nous… Nous sommes vendredi soir, Monsieur. Je ne pensais pas que mon uniforme était nécessaire.

Snape me jette un regard mauvais.

-Il est plus que nécessaire, Miss Granger ; il est obligatoire.

Il me regarde avec dégoût un instant avant d’ajouter :

-Il y a certaines choses dont je dois m’occuper dans mes quartiers. Vous devriez retourner dans votre chambre et passer votre uniforme. Ensuite, vous vous rendrez immédiatement dans mes appartements. Est-ce clair ?

Je suis partagée entre la colère et l’excitation. Amusant comme le Professeur Snape, avec les mêmes mots, peut faire émerger en moi des sentiments opposés. Quoique…

Après tout, cet homme reste un bâtard fini et pourtant, je continue de lui courir après comme une des ces stupides écolières… attends… ne pas commencer à penser à ça.

-Bien.

Alors que je retourne aux cachots, je réalise ce qu'il est en train de faire. Je veux dire, pourquoi il me préfère en uniforme est évident et, croyez-moi, je n'ai rien contre un petit jeu de rôle (quoique, est-ce vraiment ça, puisque je suis réellement une élève? Bon, ce n'est pas le moment de virer philosophe, Herm!) D'ailleurs, cet homme veut juste montrer qu'il est le chef ici, et si c'est ce qu'il veut, je n'ai rien contre. Pff, si je voulais jouer gentiment, je serais dehors en train de saouler Lupin! Non, ce n'est pas ce que j'attends de Snape, donc il me faut accepter ses règles...

Snape ouvre plus rapidement la porte cette fois, me laissant entrer dans ses appartements et jetant un regard inquiet dans le couloir. Cependant, une fois la porte fermée, cette attitude de bâtard sûr de lui pour laquelle je suis venue refait surface.

-Cela est beaucoup plus conforme. Il me semblait avoir donné une retenue à Miss Granger, et non pas à Hermione.

Je lui lance un regard affligé, alors que je m’en moque complètement. Je prends quelques instants pour observer l’endroit où il vit. Bien qu’obscure, comme prévu, cette pièce n’est pas froide. La lumière ici est plutôt faible. Seules quelques bougies dans des supports en forme de serpents accrochés aux murs de pierre brûlent. Murs qui sont pour la plupart couverts de bibliothèques. J’aimerais vraiment regarder certains de ses livres, mais j’ai plus urgent à faire.

-Bien, à dire vrai Miss Granger, vous avez été une vilaine fille, dit Snape lentement, et une fois de plus je sens son regard sévère posé sur moi, en baisant non pas avec un, mais avec deux de vos professeurs le week-end passé, autant que je sois amené à croire. Sans parler de ce chien pathétique.

Etonnamment, son langage grossier m’excite. J’incline solennellement ma tête, lui permettant de continuer son jeu.

-Et, êtes vous désolée pour vos actes ? demande-t-il, une main sous mon menton, le levant pour que je le regarde dans les yeux.

Qu’est-ce que je peux bien répondre à ça ?

-Légèrement, je réponds – Après tout, je suis navrée que le jeu ait pris fin !

-Vous êtes une petite provocatrice, n’est-ce pas, Miss Granger ? réplique Snape, pensif. Que faire avec une si insolente jeune fille…

Un sourire mauvais déforme son visage, et je souhaite à cet instant n’être jamais venue ici. Mon dieu, j’aurais dû au moins dire à Harry où j’allais, ou n’importe quoi !

-Je veux six pieds de parchemin sur les inadéquations de la jeunesse d’aujourd’hui, Miss Granger. Vous avez une heure.

Quoi ?! QUOI ?! Il ne peut pas être sérieux ! Je reste bouche bée pendant que je le vois lancer quelques sorts, faisant ainsi apparaître un rouleau de parchemin, une plume et de l’encre sur le bureau à côté de la cheminée.

-Et bien, qu’attendez-vous ? dit-il en me jetant un regard mauvais.

Putain, mais c’est qu’il est vraiment sérieux ! Et dire que j’aurais pu passer de nouveau la nuit à abreuver Lupin de, Whisky pur feu jusqu’à qu’il soit assez saoul pour me sauter dessus sans s’en rendre compte !

-Je pense que je devrais partir, Monsieur, fais-je froidement en retournant vers la porte.

-Vous n’irez nulle part, Miss Granger, dit Snape qui paraissait tellement amusé par toute cette histoire.

Maudit soit-il !

-Vous êtes en retenue !

Je soupire et rejoins ma chaise en boudant. Je jette un dernier coup d’œil à Snape, espérant que tout ceci ne soit qu’une navrante plaisanterie. Il incline la tête vers le bureau, et je réalise qu’il est vraiment sérieux. Après m’être assise, je perds un peu de temps à jouer avec la plume, et déroule ensuite le parchemin. Il n’a toujours pas fait un mouvement, restant debout juste derrière moi, me lançant un regard furieux par dessus mon épaule. Putain, PUTAIN, PUTAIN !

Je plonge alors la plume dans la bouteille d’encre et commence à remplir le haut du parchemin.

Inadéquat…

Avant que j’aie le temps de finir le premier mot, les doigts de Snape sont dans mes cheveux, posant ces derniers sur une seule de mes épaules. Je ferme les yeux, savourant la sensation des ses doigts caressant mon cou. Comme ça, c’est mieux !

-Miss Granger, vous ne travaillez pas ! fait-il sèchement, en retirant ses doigts.

Ah, cela fait partie du jeu… dommage je ne connaisse pas les règles. Ca ne fait rien ; après tout, j’apprends vite. Je plonge à nouveau la plume dans l’encre et prends mon temps pour compléter le titre. Je suis récompensée par Snape dessinant avec ses doigts sur ma clavicule, envoyant ainsi de délicieux frissons le long de ma colonne vertébrale. Mon écriture devient plutôt tremblante vers la fin. Snape tire sur le nœud de ma cravate, en l’ouvrant juste assez pour glisser ses doigts en dessous du col de ma chemise et descendre taquiner cette peau si sensible entre mes seins. Ah, maintenant, c’est encore meilleur comme ça !

Je prends mon temps pour souligner le titre, me délectant encore de cette sensation provoquée par la peau de Snape sur la mienne. Ses lèvres trouvent mon cou, et de doux baisers, ponctués de mordillements bien placés, jouent avec ma peau. Je peux sentir mes sous-vêtements devenir humides. Oh, je plaisante ou quoi ? Ils sont imbibés !

-Je crois que trois traits sont suffisants, Miss Granger, grogne-t-il dans mon oreille.

Putain. D’accord.

Quelle meilleure façon dans ce cas de commencer un devoir en répétant le sujet ? Cela devrait me donner deux autres minutes supplémentaires. Alors que je continue d’écrire sur le parchemin, Snape déboutonne lentement ma chemise, ses doigts dansant sur ma peau découverte pendant que sa bouche poursuit son assaut sur mon cou. Au moment où ma chemise s’ouvre complètement, ses mains glissent vers ma poitrine, frôlant mes seins pour les prendre à pleine main à travers le tissu de mon soutien-gorge. Mmmh, divin…

-Miss Granger, dit-il avec hargne dans mon oreille, retirant complètement ses mains. Vous négligez votre travail !

Je regarde le parchemin – il y a maintenant une énorme tâche d’encre, venant de ma plume trop remplie. Oups ! Bon, je peux le faire, je peux continuer à écrire alors qu’il… ohhhh ! Snape est passé entre le bureau et moi. Il est maintenant à genoux devant moi et en train d’embrasser le chemin menant à mon ventre dénudé tout en se dirigeant vers une délicieuse destination plus au sud. Il atteint ma taille, et s’arrête ensuite un moment.

-Je ne vous entends pas écrire, Miss Granger !

Snape attend quelques moments de plus pendant que je commence à gribouiller, Merlin seul sait quoi, sur la feuille devant moi. Manifestement satisfait que je me sois remise au travail, ses mains glissent sous ma jupe, écartant doucement mes genoux. Je pousse un léger soupir de contentement pendant que ses longs doigts glissent vers l’intérieur de mes cuisses pour tirer le fond de ma culotte sur le côté. Alors qu’il le fait, je sens une caresse chaude entre mes plis.

-Professeur ! je souffle.

Il recule.

-Un problème, Miss Granger ? s’enquiert-il méchamment. Vous êtes certainement capable de venir à bout d’une simple tâche comme écrire un devoir, non ?

-Va te faire foutre, je siffle, en reprenant ma plume, que j’avais laissée échapper une fois de plus.

-Certainement, me lance Snape avec un sourire triomphant avant de retourner à sa place.

A mon grand soulagement, il va droit au but cette fois, cachant son visage entre mes jambes, écartant mes plis avec son grand nez. Bordel le devoir ! Je me remets à dessiner des gribouillis sur le papier, en fermant les yeux. Sa langue sort et s’enroule autour de mon clitoris. Putain, putain, putain YES !

Cela ne va pas prendre bien longtemps, j’y suis presque maintenant. Qui aurait pu penser qu’une semaine d’abstinence avait semblé durer une vie ? Qui s’en soucie ? En ce moment mon esprit est complètement immergé dans ces sensations veloutées émanant de mon clito – oui, cet homme semble définitivement savoir s’y prendre. Je ne peux pas m’en empêcher, mais je me tortille sur mon siège alors que je suis de plus en plus proche du but…Mon dieu, Snape semble lire dans mes pensées, glissant un premier, puis un second doigt fin en moi, pour de languissantes caresses.

-J’y suis presque ! j’halète, en glissant pratiquement de la chaise.

On frappe un coup sec sur la porte. PUTAIN !

-Ignorez ça, m’ordonne Snape.

J’essaie vraiment de le faire, mais les coups sont de plus en plus insistants et la simple pensée que cela pourrait être Dumbledore ne m’aide vraiment pas à me concentrer !

-Severus ?

Attendez, ce n’est pas Dumbledore. Je reconnais cette voix – presque aussi sarcastique que celle de Snape mais pas aussi soyeuse. En vérité, presque grinçante…

Un juron sort de la bouche de Snape pendant qu’il se recule rapidement, retirant ses doigts comme s’il s’était brûlé.

-Rhabillez-vous, stupide fille ! me siffle-t-il, en se remettant debout.

Je reboutonne rapidement ma chemise, en essayant de me souvenir à qui appartenait cette voix. Pas à quelqu’un de Poudlard…

Ah, merde. Mon esprit semble s’être absenté pendant que le nez de Snape rencontrait mes plis. Bordel !

-Severus ? Je dois discuter de choses importantes avec toi !

Bon sang ! Qui c’est ?

Je redresse ma cravate à la hâte.

-Faites l’idiote, me grogne Snape, en marchant à grand pas vers la porte.

Il se tourne de nouveau vers moi après coup et ajoute :

-Non pas que vous trouverez cela difficile…

Comment ose-t-il ! Je voulais lui rétorquer quelque chose d’aussi insultant mais il avait ouvert la porte.

-Lucius, salue Snape, crispé.

-Severus. Oh, je vois que tu as de la… compagnie ?

Beurk ! Malfoy Senior me regarde avec dégoût. Ouais, les sentiments sont partagés, très cher…

-Miss Granger allait partir.

Ceci est dit avec un air délibérément menaçant dans ma direction.

Ha ! Je ne partirai pas aussi facilement ! En outre, Lucius Malfoy est peut-être un imbécile, mais je suis toujours frustrée, et je suis sûre que cet homme peut avoir une certaine utilité.

-Je ne crois pas avoir fini mon devoir, Professeur, réponds-je avec un sourire. Je suis sûre que Mr Malfoy ne verrait pas d’inconvénient… à nous donner un coup de main ?

Bin, si les regards pouvaient tuer, je serais maintenant six pieds sous terre.

-Je n’ai aucune idée de ce à quoi vous êtes en train de jouer, Miss Granger. Vous avez perdu la tête, me dit Snape d’une voix traînante, parfaitement calme.

Mais je peux voir ce regard. Celui qui me dit que je vais le payer chèrement plus tard. Celui qui me dit que ce ne sont pas les règles de son jeu.

-Vous êtes congédiée.

Bien que je me sente quelque peu terrifiée par le regard scrutateur de Malfoy et celui foudroyant de Snape, j’arrive encore à hausser nonchalamment les épaules et à me lever.

Snape se dirige vers le bureau et prend le parchemin.

-Ce n’est pas votre meilleur travail, Miss Granger. Apparemment vous étiez quelque peu…distraite ?

Salaud !

-Je propose que vous finissiez dans votre chambre. Je crois que vous pouvez réussir sans mon aide, hmm ?

Salaud, salaud, SALAUD ! Non, je ne peux pas ! Et fais-moi confiance, j’ai passé la semaine passée à essayer ! SALAUD !

Une pensée me vient à l’esprit. Rapidement je saisis le parchemin et me dirige précipitamment vers la porte. Alors que j’allais partir, je jette par-dessus mon épaule :

-Bien. Apparemment vous ne m’êtes pas utile, je suppose que je vais devoir le finir moi-même. Ou peut-être que le Professeur Lupin pourrait m’aider ?

Je n’ai pas vraiment regardé à ce moment son visage avant de claquer la porte. Le cours de potions lundi va être un enfer !

Ah, tant pis ! En ce moment, il y a des choses plus importantes dont je dois m’occuper – comme le fait que je suis aussi excitée que Crocdur à la saison des chaleurs et aussi dangereuse. Je plains le crétin qui serait sur mon chemin entre ici et le bureau de Lupin !

On dirait bien que j’ai reçu un nouvel ordre de mon quartier général hormonal.


A suivre…
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