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L'odyssée de Butters Stotch

By: Mika
folder French › Cartoons
Rating: Adult ++
Chapters: 9
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Disclaimer: I do not own the cartoons(s) that this fanfiction is written for, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.
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L'odyssée de Butters Stotch

Salut, je m’appelle Butters…

Si vous me demandiez comment je vais en ce moment même, je dirais : Mal. Vraiment mal. Ca fait chier. Ca craint grave. J’ai 16 ans, et après deux ans d’études au Canada, je reviens à South Park pour la première fois. Ca fait vraiment chier. Je voudrais mourir
J’ai un peu changé. Je m’habille toujours en bleu, une jolie chemise bleue en flanelle que je me suis acheté dans une boutique à Montréal. Un pantalon blanc aussi. C’est ma tenue habituelle. J’ai aussi les cheveux blonds comme les blés, comme avant. Je les garde bien courts, ça fait plus mignon.
Vous l’aurez peut-être compris : Je suis homosexuel.
Ca a commencé quand mon père, Steven Stotch, cette ordure, a abusé de moi à l’âge de 12 ans. Et depuis il n’a pas vraiment cessé. Des abus assez lourds qui m’ont handicapé lors de mes premiers flirts. C’est dur d’être okay avec une fille quand votre père vous a arraché votre innocence. Je savais à peine ce que c’était une sodomie…
Et puis au Canada, ou j’ai eu la chance d’aller faire mes études au grand Collège de Montréal, je me suis fait un ami qui était aussi mon compagnon de chambre : Lloyd. J’ai eu mon premier rapport sexuel consentant avec lui. Je me sentais bien, propre, serein avec lui. Rien à avoir avec la pression paternelle dégoutante. Et surtout rien à voir avec un père qui n’est pas censé faire ça à son propre fils. Lloyd et moi avions vécu une histoire très passionnelle d’amitié mêlée d’amour, de respect mutuel et de confiance sereine.
Le taxi à lui tout seul m’épuise. South Park ça a l’air tellement petit comparé à Montréal… Je me demande si les autres sont là… En fait je m’en fous.
Me voilà arrivé. Je paye le chauffeur et je descends avec mes valises.
Le premier visage que je vois, c’est le sien.
-Butters ! Mon chéri !
Maman arrive et me serre dans ses bras rassurants. Par-dessus son épaule, je le vois toujours.
Mon père me regarde en souriant. Comme un père.
Je commence à reprendre confiance en moi. Après tout c’est juste mon père. Maman me raconte dix milles choses avant que je ne l’atteigne lui. Je lui tends la main, et il me serre affectueusement dans ses bras. J’en viendrais presque à pleurer.
Je rentre dans ma bonne vieille maison. Elle est toujours aussi accueillante. Elle n’a pas changé. Maman me demande comment était le voyage. Sympa, ouais. J’ai fini le livre que Lloyd m’avait offert, j’ai discuté avec une petite vieille. C’était sympa.
Comme il se fait tard, la famille se réunit autour de la table. Nous mangeons tranquillement. La cuisine de maman est toujours aussi bonne. Je me demande si le regard intéressé de papa est dirigé vers le poulet ou vers moi.

Ce soir là, sans étonnement réel, je suis réveillé par la porte qui s’entrouvre.
Je ne me retourne pas.
-Butters… Chéri… Chuchote la voix connue dans le noir
Mes yeux se ferment douloureusement. Pas une seule nuit de repos.
Je n’aurais même pas eu le répit. Il en veut, son appétit est sans fin.
Il avance à pas de loup.
-Butters, bébé, c’est papa…
Il se glisse sous mes draps. Son autorité sur moi est toujours aussi forte. L’emprise de ses bras sur moi me paralyse.
Déjà à 12 ans, j’étais supplanté par sa force. Là, il était toujours aussi oppressant. A travers son caleçon je sens son gros sexe contre ma cuisse. Il se presse contre moi, fort. J’ai très chaud, d’embarras et de honte.
-B… Bonsoir, papa….
-Tu es devenu un très beau jeune homme, Butters… Un vrai petit homme…
-Papa non… Va-t’en….
Il ne m’écoute pas, me saisit la bouche pour me faire taire. Mon cri est étouffé. Le cauchemar commence.
-Alors… Chuchote t-il à l’oreille avec son souffle chaud qui me paralyse. Tu as eu des petits amis au Canada ? Tu as appris des choses ? Montre à papa…
Il s’assied dans mon lit et me porte pour que je m’asseye. En dehors du fait qu’il soit mon père, il est quand même relativement bien foutu, musclé et assez svelte. Si c’était un autre adulte j’aurais peut-être apprécié de faire ça. En l’occurrence ce n’était vraiment pas le cas. Ce n’était pas un autre.
Il me déshabilla, enleva mon débardeur blanc. Ses caresses sur mon torse étaient très douces. L’ennui avec ce connard c’est qu’il n’usait pas de violence avant un certain moment. Ce qui fait que je pouvais bien me retrouver excité pendant un tel rapport. Mais ça s’arrêtait là. Parfois pendant l’acte il me racontait ce qui le poussait à faire ça… Maman ne le satisfaisait plus. Il avait fréquenté d’autres hommes. Il les voulait de plus en plus jeunes. Et finalement moi… Je ne m’attendais pas à ce qu’il s’y remette le premier soir de mon retour. Je lui ai visiblement beaucoup manqué. Ca me faisait de la peine de ne pas passer une nuit tranquille à la maison. Qui pour le coup n’était plus un lieu tranquille.
Il m’embrassait tendrement le corps en m’étreignant trop fort, je gémissais contre lui. Refusant d’utiliser mes bras pour marquer un quelconque accord, il semble que mon érection lui suffisait. J’avais honte à chaque fois que mon pénis réponde à ses attentes. Il enleva ses vêtements et s’allongea sur moi. Mes plaintes ne l’arrêtaient jamais. Jamais… Il enleva mes vêtements.
-Papa non…
-Je t’en prie mon petit Butters….
-Non attends, je vais le faire
Je faisais ça pour qu’il se relève : Il puait la sueur et était lourd. Il me regarda me déshabiller avec un appétit carnassier. Lorsque je fus nu, il prit ma tête et la dirigea vers son sexe. Je soupirais tant il était… Prévisible ?
Je pensais que s’il en aurait pour son argent, il me laisserait tranquille. Je décidais donc de lui faire la totale. Mon ami canadien, Lloyd, m’avait appris à faire des fellations, ce qui avait donné lieu à un moment très coquin. Mais surtout il m’avait appris la gorge profonde, mouvement assez périlleux. Je décidais d’en user sur mon père. Cela n’eut pas l’effet escompté : Il massa mon anus de deux de ses doigts.
-Butters tu fais ça comme un chef… Ma petite pute….
Ah je déteste qu’il m’appelle comme ça. J’essaie de retirer son sexe de ma bouche mais il appuie sur ma tête.
-Hmmmg…
-Suce bien ton papa… sinon il te prendra à sec, et tu le sentiras passer…
Il m’avait déjà pris à sec une fois, étant jeune. J’avais été obligé de simuler une fièvre pour que maman ne voie pas que je tanguais comme un dératé en me levant. De plus je ne l’avais remarqué qu’ensuite mais j’avais saigné ce qui m’avait profondément troublé.
Mon père continua à profiter de ma position et immisça deux doigts lubrifiés dans mon trou. J’étais encore en train d’engloutir sa grosse hampe, et lui me distordait le muscle anal. Lorsqu’il me laissa respirer (Et tousser car la nausée m’était venue), je constatais qu’il n’avait pas joui. J’allais y avoir droit…
Il me retourna et se plaça face à mon trou.
-Butters, tu as toujours les fesses aussi fermes et douces…
-Papa je t’en prie non…
-Butters tu sais bien que Papa ne veut que ton bien…
-Non c’est pas vrai !
-Reste calme et tout ira bien…
-Papa je t’en supplie…
Je pleurais maintenant. Seize ans et incapable de résister à son père… Quelle tarlouze je fais…
Il me pénétra. Je me mordis le dos de la main pour éviter de crier. Je ne voulais pas que maman nous entende, mon dieu la pauvre si elle m’entendait, si elle nous voyait, si elle savait…
-Ooooh… Oh ça m’avait manqué, ton petit trou humide et chaud… Butters c’est… Boooon….. Huuuuh…
-Hnnn….
-Tu es si étroit…
-Ca fait mal…
-Ca va te passer Butters… Oh… Hooo….
Il commença à bouger avec entrain ses hanches, faisant coulisser son sexe dans mon anus. J’étais affreusement embarrassé. L’organe qui vous a conçu ne devrait jamais entrer en vous. Au bout d’un moment, la salope en moi se réveilla, et je commençais à ressentir cette douce chaleur infâme qui s’empare de vous pendant une sodomie. La chaleur de l’orgasme proche, en cours. Comme pendant une bonne branlette, cet instant ou vous ne pouvez cesser de frotter votre pénis, c’est inéluctable et grandissant…
-P… P…
Il croyait que j’allais me plaindre. Je croyais que j’allais me plaindre.
Que nenni.
-Plus vite…
-Pardon, Butters ?
-Plus vite… Plus fort… B… Baise moi !!!
Je ne me croyais pas moi-même. Et pourtant j’AIMAIS ça. C’était étrangement différent de ce que j’avais ressenti à douze ans. C’était… Mieux.
Il m’encula avec célérité quinze minutes durant, faisant place à une laitance chaude dans mon rectum, un mal pour un mal. Une fois sa besogne accomplie, il retira son sexe de son carcan, et pour éviter de laisser des traces de son méfait, il se livra à un ignoble… breuvage, dont le calice était ni plus ni moins que mon saint trou du cul. Il aspira le sperme, m’intimant de l’expulser. Il était vraiment immonde. Léchant ses babines, il sortit enfin du lit, murmurant un sinistre :
-A demain, Butters….
Ce soir là, comme quand j’étais petit, je retournais prendre une douche après ma quotidienne. Comme souvent, pour me décrasser, je mettais la chaleur à son maximum, m’ébouillantant à chaque fois comme pour pleurer plus et me punir d’y avoir pris comme goût.

Le lendemain j’étais d’une humeur maussade. Le garçon joyeux de la veille s’était vite effacé.
-Butters mon chéri, tu rentres à l’université de Denver lundi !
-Cool.
-En attendant ce serait bien que tu te trouves un travail histoire d’arrondir les honoraires.
-Ah… Bah, je n’ai qu’à descendre en ville tout à l’heure pour chercher un truc.
-Bien.

J’enfourchais donc mon vélo et j’allais au centre-ville de South Park. Ce faisant je passais devant les maisons de Stan, Kyle et des autres. Je n’avais pas trop envie de les voir pour le moment.
Au centre-ville, il n’y a pas de demande de travail. Sauf pour une échoppe. Je feins de ne pas la voir au premier abord. Deuxième passage je sifflote sans regarder. Troisième passage, désespéré, je m’arrête devant le sex-shop.

-Bonjour c’est pour… Oh.
L’homme au comptoir est grand, avec un débardeur noir et des tatouages. Je le regarde, il me regarde.
-Hey petit, que puis-je pour toi ?
-J’ai… J’ai vu dehors que vous cherchiez de l’aide…
-Oui c’est exact. Tu as quel âge ?
-S… Seize ans.
L’homme prit une pose mystérieuse.
-Seize ans… Et tu veux vendre des godemichets et des menottes ? Tu t’en es déjà servi au moins ?
-Des godemichets oui. Des menottes non.
-Tu as de la répartie. Bonne chose. J’ai le droit de te faire travailler ici, mais tu sais à quoi tu t’exposes niveau réputation…
-Je m’en fous. Complètement.
-Autre bonne chose… Tu as de l’expérience ?
-Pour la vente ?
-Bien évidemment… T’es un petit rigolo toi.
-J’aime bien jouer avec le feu.

C’était vrai. J’aimais bien ces choses qui touchaient au sexe, parce que j’aimais ça au fond. Les séances avec mon père ne m’ont pas désolidarisé des amours roses, rouges ou brulantes. Ce grâce à Lloyd, mon ami et amant canadien. Mais j’y reviendrais plus tard.
L’important c’est que je fus engagé, non sans dire à mes parents que j’étais caissier au supermarché de South Park, sachant pertinemment qu’ils n’allaient plus qu’au Wal-Mart.

Je commençais dès le lendemain de mon embauche car Jerry avait besoin de bras dès le lendemain. Tant mieux, me disais-je. Sauf que je fis une rencontre assez embarrassante.
Craig, le Craig, le brun à bonnet jaune et bleu entra dans l’établissement. Je le regardais fixement, parce que je me demandais pourquoi il était là. Il était aussi super mignon, mais il ne me semblait pas me rappeler qu’il était gay. En même temps s’il est entré ce n’est certainement pas parce qu’il a vu ma tête à travers les rideaux bleus du magasin.
Son regard marron se posa dans mes yeux azurs. Il y avait de la surprise dans ses yeux. « Putain, t’es revenu ! », de l’étonnement « Qu’est-ce que tu fiches ici, derrière ce comptoir ! » et des mains invisibles qui me déshabillaient.
-Butters… Quelle surprise.
-Bonjour, Craig. Je peux t’aider ?
Il se tut et me regarda.
-Ca fait longtemps que tu es rentré ?
-Depuis jeudi.
-T’as changé… En mieux.
-C’est un compliment ?
-Ouais. Si on veut. Vous avez des vibros ? Faut que je change le mien.
Je souris. Il était célibataire. Pas pour autant que j’allais me donner à lui facilement.
-Suis-moi.
Je l’amène au rayon. Il me mate, je le vois bien. Lui n’est pas mal non plus, avec sa chemise bleu marine et son débardeur noir. Il est bien foutu mais j’ai du travail…
-Voilà, c’est là. On a des modèles avec plusieurs niveaux de vibration, d’autres longs mais qui vibrent pas trop. Après on a les classiques avec les rainures…
-Je te prendrais…
Il hésite, je souris.
-Celui là. Avec les bosses.
-Ca fera quarante dollars, Craig.
Il paie, puis nous parlons un peu.
-Comment vont les autres ?
-Oh c’est la rentrée lundi alors on va tous rejoindre nos logements d’ici demain soir.
-Vos logements ?! Vous êtes à…
-L’université de Denver… Pas toi ?
-Eh bah… En fait… Si.
Craig sourit.
-On se reverra alors ! Bonne fin de journée, beau blond.
Mon visage devint rouge pivoine. Il me trouvait mignon… Cool !

En même temps je me traitais intérieurement de con de n’avoir pas fait une demande de logement pour Denver, ça m’aurait évité de me faire sauter par mon père chaque soir en rentrant. Je suis con moi putain…
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