AFF Fiction Portal

V cherche F désespérément

By: zazaone
folder French › Harry Potter
Rating: Adult ++
Chapters: 19
Views: 3,601
Reviews: 34
Recommended: 0
Currently Reading: 0
Disclaimer: I do not own the Harry Potter book and movie series, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.
arrow_back Previous Next arrow_forward

13- Survivor is back !

V cherche F. désespérément

Spoiler : De 1 à 5… Je ne sais pas compter au delà.

Disclaimer : Frontière franco-suisse :
- Vous n’avez rien à déclarer ?
- Si. Je n’ai inventé aucun des personnages ni les lieux. Ils appartiennent tous à la Rowling Corporation.
- Pas de devises ?
- Bin non ! C’est elle qui gagne tout le pognon.

ce chapitre comme le reste de la fic est déconseillé à ceux désirant trouver l’âme sœur de Sev’, et sont adeptes des p’tites fleurs bleues !

Un grand merci à ma bêta-readeuse, Lord Tigrou Snapinette dite Ayla pour les intimes. Certains paragraphes de l’histoire n’existeraient pas sans elle. Nous lui devons, vous comme moi, la première candidate de cette fic, ainsi que le premier OC né d’une de nos nombreuses discussions intellectuelles (hum ! hum !), Madrie d’Esquas. Alors, tâche de ne pas traîner dans tes corrections vu les idées souvent géniales que tu as.

Mais tout de suite ma tite citation !
« Tout le bonheur des hommes est dans l’imagination. » toujours du même auteur, marquis de son état, et je suis bien d’accord avec lui. Pas vous ?


§o.o§o.o§o.o§o.o§o.o§o.o§o.o§o.o§

..
..
..
13- Survivor is back !
..
..
Un petit déjeuner de plus. Un lundi de plus à Poudlard. Rien ne semblait le différencier des autres. Les quatre tables d’élèves, la table des enseignants, le bourdonnement des conversations ponctuées de quelques bâillements. Bref, tout semblait paisible et calme.

Ce n’était certes pas Harry Potter qui aurait prétendu le contraire. Depuis la réunion à La Tête-De-Sanglier, depuis que Cho l’avait défendu et admiré, Harry n’était redescendu de son petit nuage azuréen, qu’en de rares occasions. Ni l’intervention du professeur Rogue le samedi après la malencontreuse foirade d’Hermione, ni le sermon de Dumbledore le lendemain n’avaient pu altérer sa bonne humeur. Un sourire niais s’accrochait de façon quasi permanente sur son visage, sans apporter une différence remarquable avec son expression habituelle. Les haussements d’épaules résignés de Ron et les regards furieux d’Hermione n’y pouvaient rien changer.

– Coucou ! Harry ! Ici la Terre ! Ton thé est en train de couler sur tes œufs au bacon.

– Quoi ? Comment ? Qu’est-ce qu’il y a ? Tu me parles Ron ?

- Juste tes œufs qui tentent d’apprendre le dos crawlé dans le thé, rien de grave. Continue à rêver si tu veux.

– Excuse-moi, je pensais à autre chose…

- On ne s’en serait pas aperçu tout seul si tu ne l’avais pas précisé ! C’est très aimable à toi, Harry, fulminait Hermione. Mais QUAND vas-tu redescendre sur Terre ! Dans moins d’une heure, nous avons cours d’histoire avec Binns où tu pourras continuer à rêver autant que tu le désires. Par contre, après, cours de potions. Si tu ne te ressaisis pas très vite, Neville aura une sérieuse concurrence pour le record du monde d’explosion de chaudrons en plein cours. Je ne veux même pas envisager ce que Rogue pourrait te dire ou te faire… Et à moi avec ! Il va me croire encore responsable ! Surtout depuis que je sais… que nous savons… Et qu’il sait que nous savons.

Les yeux embrumés d’Harry semblèrent reprendre pieds dans la réalité. Il regarda autour de lui. Souvenirs et soucis lui revinrent en mémoire… Cho et son sourire bien sûr, mais également l’irruption de Rogue samedi, découvrant les manigances d’Hermione, le sermon angoissant du directeur juste après, la nuit de tourments… surtout pour Ron et son amie parce que, lui, il pensait à Cho, ses lèvres, ses…enfin bref, il s’était endormi en rêvant d’elle.

Puis le lendemain, les explications de Dumbledore, incomplètes, amenant plus d’interrogations encore. Il n’en dévoilait jamais plus qu’il ne désirait. Frustrant certes, mais compréhensible. Leur professeur agissait au nom de l’Ordre ; le secret devait être protégé et Rogue avec. Seuls quelques Gryffondors pouvaient partager les confidences : ceux qui connaissaient déjà l’existence de l’Ordre du Phénix.
Hermione avait à nouveau respiré librement en apprenant qu’il n’était pas question de la renvoyer. Elle n’était même pas punie en dehors des points déjà retirés. Après tout, la curiosité était une de ses plus grandes qualités d’élève. C’était elle qui la poussait inlassablement à dévorer tous les livres passant à sa portée. Et aucun professeur, hormis Rogue, ne s’en était plaint jusqu'à présent. Bien au contraire.

– Que veux-tu qu’il te fasse ? lui demandèrent les jumeaux intrigués. Ils n’étaient au courant de rien, le trio les ayant évités le plus possible depuis samedi après-midi. Ils ne s’étaient jamais retrouvés seuls ensemble pour discuter du résultat de l’investigation d’Hermione.

– Vous savez bien qu’il s’en prend toujours à nous, tenta d’éluder Ron, mal à l’aise. Mentir à ses frères, surtout à ces deux-là, difficile … Ils étaient experts en la matière.

– Comme d’habitude mon p’tit Ron, mais que cherches-tu à nous faire croire ?

- Rien… Rien du tout, je vous assure, répondit un peu trop précipitamment Ron. Pourquoi je vous cacherais quelque chose ? Le syndrome du Pinocchio des oreilles repartait de plus belle.

– Nous n’avons jamais suggéré que tu nous cachais quelque chose… Donc, tu ne nous dis pas tout ! En fait, tu nous caches la vérité, avoue ! La logique Weasley n’était compréhensible que par quelques rares élus rouquins.

– Ron, Harry, Hermione, je vous conseille de ne pas jouer au jeu des cachotteries avec nous, insista Ginny. Vous savez très bien que vous pouvez nous faire confiance. Aucun de nous n’a cafté ni sur la réunion de samedi, ni sur ton projet Hermione. D’ailleurs, que s’est–il passé finalement ? Tu n’as rien raconté. Tu n’y es pas allée ?

Trois visages constellés de taches de rousseur se tournèrent avidement vers la jeune préfète qui rosissait.

– C’est à dire que… En fait…. Ça ne s’est pas… Enfin….Peut-être…

– Tu t’es planté, c’est ça ? raccourcirent les jumeaux.

– Non pas du tout, s’offusqua Hermione maintenant aussi rouge que les oreilles de Ron. Tout mon plan a parfaitement fonctionné. Elle remontait crânement son menton tout en les fusillant du regard. Harry leva les yeux au plafond en dodelinant de la tête. Ron se cacha le visage dans les mains. Ils étaient chacun à leur façon, pathétiques. Ginny et ses frères écarquillèrent les mirettes en les regardant alternativement. Ils comprenaient que des événements importants avaient dû se dérouler… mais lesquels ? Finalement, le trio gryffondorien se consulta du regard afin de convenir d’une évidence : ils devaient faire une croix sur la stricte discrétion conseillée par le directeur.

– Tout s’est à peu près passé comme convenue, reprit Harry en insistant sur l’ « à peu près », au grand dam d’Hermione qui tentait de battre le record de rougeur de Ron, sauf que quelqu’un a oublié de vérifier si elle n’était pas suivie au retour ! finit-il en louchant en direction de son amie.

- Qui aurait cherché à la filer ? Elle était sans doute la dernière élève à traîner dans Pré-au-Lard, étant donnée l’heure tardive.

– D’accord avec toi Fred, la dernière élève, précisa-t-il. Pas la dernière personne…

- Je reconnais qu’Hermione a une certaine allure, surtout depuis le bal de l’an dernier, et que son air de cocker ahuri peut plaire, poursuivit George en sursaut ; il venait de recevoir le poing du pseudo-cocker sur la pointe de l’épaule. Mais de là à être suivie par un admirateur ! Il y a une ombrage différence.

– Une quoi ? s’exclama la jeune fille.

– Une ombrage différence… une énorme différence si tu préfères, à moins que tu connaisses un animal encore plus gros…

- que le spécimen qui est sensé nous faire cours de défense contre les forces du mal, acheva Fred.

George avait eu des difficultés à finir son explication. Il était trop occupé à s’essuyer le visage et la robe en grommelant contre son plus jeune frère. Ce dernier, en entendant la nouvelle boutade, n’avait pu contenir l’immense explosion de rire qui montait en lui. Jusque là, Ron qui s’esclaffe, rien d’étonnant me direz vous. Certes, sauf qu’à son habitude, Ron était en train d’engouffrer pêle-mêle dans sa bouche toasts, céréales et œufs, le tout arrosé de thé au moment de l’explication. Fred retrouvait d’ailleurs toute la composition de ce petit déjeuner entre son œil gauche et sa bouche, avec une mention spéciale pour le nez.

Il est aisé de deviner que cette projection n’était pas passée inaperçue aux yeux de leurs condisciples. Les éclats de rire des Gryffondors alertèrent les autres tables qui, à la vue de la scène, enchaînèrent. Jusqu’aux Serpentards qui s’écroulaient de rire. L’événement était inhabituel, non par son contenu, mais par sa victime. Que l’un des deux jumeaux Weasley se retrouvent dans cette situation, voilà qui était étonnant, surtout lorsque le responsable n’était autre que Ron.

Cependant, le regard d’Harry s’était tourné instinctivement vers Dumbledore. Ce dernier avait l’air fatigué, épuisé même. Il est vrai que le week-end n’avait pas été de tout repos pour lui et qu’il n’avait certainement pas eu les mêmes sujets de satisfaction qu’Harry. Il mit quelques secondes à sortir de ses réflexions et de ses rêveries sarcastiques ; il semblait contempler le professeur Mac Gonagall avec un grand amusement. L’imperceptible tressautement de ses épaules laissait deviner un fou rire difficilement maîtrisé. Suivant celui du directeur, le regard d’Harry se posa sur son professeur de métamorphoses. Cette dernière le surprit. D'ordinaire, elle se tenait toujours très droite, raide pourrait-on dire, et son visage sévère était posé sur un cou étiré, comme pour pouvoir pivoter dans toutes les directions pour apercevoir les bêtises des élèves : la girouette anti-ânerie était réputée.

Là, point du tout. Nulle raideur, tout était courbe. Sa colonne et son cou paraissaient former un S s’inclinant vers son voisin de table, à la façon d’une chatte qui ronronne et se frotte contre la jambe de son maître. Sa physionomie était souriante, lèvres incurvées légèrement entrouvertes et de nombreuses œillades étaient lancées, toujours en direction de ce voisin, aussi surprenant que cela puisse paraître aux yeux d’Harry, le professeur Rogue. Le sourcil en dessous de la cicatrice se haussa significativement. Pourquoi sa directrice de maison avait-elle se regard énamouré en regardant l’ennemi héréditaire ? D’autant plus qu’il ne paraissait pas la remarquer.

Après celui de Dumbledore, il suivit maintenant le regard du professeur Mac Gonagall… pour s’arrêter sur celui, ô combien ténébreux, du maître des potions le fixant droit dans les yeux, sans ciller. Le temps fut suspendu dans l’esprit du Gryffondor, à ce moment précis. La tension était extrême. Il n’entendait plus aucun des rires ou cris assourdissants qui s’élevaient pourtant autour de lui. Même les mouvements semblaient ralentis ou vacillants. Il lisait dans les éclairs de ce regard qu’il savait qu’il savait. Il avait même l’air de lui répondre : « Je sais que tu sais que je sais… » qu’ils savaient donc, et aucun des deux ne croyait que l’autre ignorait quoique ce fut… Enfin vous voyez…

Pendant ce temps, George avait repris visage humain. Et tandis qu’Harry épiait la table des enseignants, Hermione et Ron avaient poursuivi les explications. Tous les Weasley étaient consternés par le tour que prenaient les évènements. Ce qui s’était annoncé comme une plaisanterie aux dépens d’un professeur haï, se transformait en mission dangereuse contre Celui-Qui-N’arrêterait-Jamais-Ses-Manigances.

C’est le moment que choisirent chouettes et hiboux pour distribuer courrier et journaux comme tous les matins. Mais contrairement aux autres jours, les chouettes se bousculèrent à la table des professeurs. La Gazette des Sorciers avait enregistré en quarante-huit heures, une importante augmentation de ses abonnements sur Poudlard. Les responsables des livraisons envisageaient même d’affréter un escadron de grands-ducs pour livrer de façon groupée tous les quotidiens destinés à ce lieu d’éducation.

Trente secondes après le passage des oiseaux, plus aucun adulte n’était visible, bien que tous présents dans la salle. Un mur de journaux ouverts se dressait entre eux et les élèves. Les Gryffondors ne s’en aperçurent pas tant ils étaient accaparés par leur propre lecture. Qu’est-ce que Dumbledore avait donc bien inventé ? Evidemment, presque tous les rires s’étaient éteints.

V. cherche F
Ténébreux sorc. Cherche JF pour
relations romant, passionn et + si affinités
Répnd. à la G des S par
F cherche V



Le professeur Rogue fut le premier à plier le journal et relever la tête. Il avait l’avantage de connaître déjà le texte par cœur. Il fut suivi de près par le directeur affichant un sourire de contentement ; le vieil homme s’empressa de lui adresser un clin d’œil fort peu discret, comme pour lui confirmer que tout se passait comme prévu. Minerva elle-même surprenait : un doux sourire s’épanouissait sur son visage tourné vers Severus. Mais ses yeux gardaient un regard flou et langoureux Seul un grincement de dents assourdi répondit à leurs intentions.
La quatrième personne à ce petit jeu fut la toute charmante Dolores. Son teint écarlate montrait le grand intérêt qu’elle avait pris à cette lecture. Elle se tourna elle aussi vers Rogue et le fusilla littéralement de ses petits yeux porcins tout en affichant un sourire ressemblant énormément à une envie de vomir. Son journal ne résista pas longtemps au traitement qu’elle exerça sur lui. Heureusement, ce n’était qu’un journal…

Bien qu’ayant éviter au maximum ses coups d’œil incendiaires, Rogue ne put s’empêcher de penser à l’inspection qui devait avoir lieu dans un peu plus de deux heures, son inspection… ou plutôt le règlement de compte de la Grande Inquisitrice. Elle allait s’en donner à cœur joie, la limace baveuse cornue ! Et si le maître des potions était persuadé qu’il n’avait plus rien à prouver sur ses capacités pédagogiques incontestables, il n’avait en aucun cas, envie de tendre la perche à cette caricature d’être femelle pour se faire battre. Surtout devant des élèves, surtout devant des dégénérés de Gryfffondors, surtout devant l’horripilante punaise de Miss Je-Sais-Tout-Foutre-En-l’Air ! Tout en regardant droit devant lui, il se redressa encore davantage, le teint blafard parmi ses habits noirs, s’apprêtant à affronter la tempête assise non loin de lui…
..
..
§o.o§o.o§o.o§o.o§o.o§o.o§o.o§o.o§

..
..
J’ai résisté, je m’en suis sorti ! On va pouvoir m’appeler moi aussi Celui-Qui-A-Survécu mais à une inspection de Bouse-De-Dragon… ! Survivor is back !

Ce qui n’est guère plus facile que d’affronter le Mage Noir, crois-moi mon p’tit Sev’, je sais de quoi je parle.

Tout avait bien commencé. Les élèves, comme d’habitude étaient calmes et attentifs… normal, ils n’ont pas le choix. Le silence régnait pendant qu’ils réalisaient la fin de leur solution de Force commencée au cours précédent. Même ce taré de Londubat n’avait encore rien fait fondre ni exploser : miraculeux, je te dis ! Le seul bruit désagréable venant troubler le bloblottement des bulles bouillonnant dans les chaudrons, ce fut son ridicule Hum ! Hum ! qu’elle faisait en se raclant la gorge. J’ai bien cru qu’elle allait cracher dans la préparation de Parkinson et la lui faire tourner, la Face-De-Gargouille.

Et ces questions insinuantes et détestables ! « Et depuis que vous êtes entré dans cette école, vous avez régulièrement renouvelé votre candidature à ce poste, je crois ? » Bien sûr que je le veux son foutu poste qu’elle n’est même pas capable d’assumer correctement ! Nullissime comme prof ! Jamais vu ça ! Poser son gros derrière dans son fauteuil, ou plutôt coincer son énorme arrière-train dans le pauvre fauteuil qui doit la supporter. Un chausse-pied ou un tire-bouchon doit être nécessaire pour la relever de son siège, à moins que ce dernier ne soit à usage unique… Laisser lire les élèves avant de leur poser quelques vagues questions… PFFUUU ! De la fumisterie tout cela ! Même cette vieille chouette déplumée de Trelawney en fait plus qu’elle. Alors que dire des VRAIS professeurs !

Tu la vois en train d’essayer de donner un de tes cours, un jour où Londubat et son chaudron ont décidé de s’entretuer !

Quoique, y aurait des chances qu’on soit débarrassé d’eux plus rapidement. C’est certainement le résultat recherché par Fudge en la débarquant à Poudlard. Il ne devait plus pouvoir la supporter. Non seulement il la met dans les pattes de Dumbledore, car elle est teigneuse la sale bête, mais du même coup il soulage son Ministère d’un poids important. Un quintal de soucis en moins, c’est appréciable !

Non mais ! Poser de telles questions, tenter de telles insinuations devant les élèves, juste devant le trio fléau de ma tranquillité… « Avez-vous idée de la raison pour laquelle Dumbledore vous a systématiquement refusé cette matière ? » Elle l’a prémédité ! Ce n’est pas possible !

Heureusement que Potter a détourné l’attention et m’a obligé à le punir sévèrement en loupant une fois de plus sa préparation…

C’est ça le double effet Potter : tout de suite, ça te soulage, tu te décontractes en lui parlant sarcastiquement. Et puis, après, tu te détends et tu en souris d’aise en repensant à sa tête d’ahuri . Y a pas à dire, c’est encore mieux que l’effet Londubat…Il dure plus longtemps.

Mais quand je pense que je n’ai rien pu dire ou faire contre l’autre boursouflée du cerveau, Granger-La-Terreur-Du-Trivial-Pursuit, j’en pleurerais ! Et elle n’a même pas été renvoyée ou punie après ce qu’elle m’a honteusement fait ! Quelle sale petite fouineuse ! Au lieu de se poser tant de questions sur qui serait la F de la petite annonce, elle aurait mieux fait d’utiliser davantage ses prétendus brillants neurones pour enquêter sur le V. et ce qu’il pourrait lui faire subir. Si seulement ce rêve pouvait se réaliser, j’en pleurerais !

PPPFFUUUU ! Comme si tu savais encore comment on fait ! Non, positive mon p’tit Sev’. Regarde, avec sa généreuse idée de Décret n°24, Face-De-Crapaud-Vérolée a dissout les équipes de Quidditch ; bien sûr, elle a tout de suite accepté le retour de celle des Serpentards. Mais les Gryffondors attendent encore son bon vouloir, niark, niark, niark ! Sois zen, vois les choses du bon côté.

Du bon côté ? Et lequel s’il te plaît ? Le côté où Celui-Qui-Veut-Diriger-Le-Monde-Selon-Ses-Lubies me transforme en nourrice de futur monstre avec tablier rose, mules et petit chapeau blancs perché sur ma sombre chevelure , tapotant sur le popotin du rejeton en attendant qu’il me vomisse son biberon sur l’épaule ? Ou encore le côté où le vieux qui sucre les fraises, les chocogrenouilles et tout ce qu’il trouve pour se suicider au diabète m’envoie au casse-pipe rencontrer sa dernière trouvaille ? Pourvu que ce ne soit pas une Moldue tout droit sortie de sa dernière lubie, la boîte à images magiques ! A moins que Minerva est réussie à le convaincre de la laisser enfin passer à l’action. Je m’imagine cela d’ici… Amener Mac Go chez les Malfoy pour la présenter au Maître. Autant me lancer l’Avada dans un miroir, ça ira plus vite !

Mais non, voyons, vois les choses du bon côté !. ! Si jamais c’est Minerva, tu la connais depuis tellement longtemps que tu pourrais mettre en avant tous les points positifs ! Et puis, tu l’as déjà testée…hihihi ! Pas de problèmes sur ce plan-là, elle conviendrait au Maître…

Mais ça va pas la tête ! Tu la vois enceinte, toi ! A l’âge qu’elle a ! Bien conservée, certes. Gaillarde, tout à fait. Mais reproductrice, c’est fini ! Ce n’est pas un photocopieur dont il suffit de changer le moteur !
Et puis, tout simplement, elle est beaucoup trop connue. Jamais Celui-Qui-A-Oublié-D’être-Complètement-Débile ne croirait en son changement de camp. Elle ne serait pas la seule à être grillée après… et au sens propre, je le crains…

Non, mon pôv Sev’, il va falloir encore faire une fois confiance à ce vieux fou maniaco-capillaire. ..Il t’attend après les cours dans la salle des professeurs. Engagez-vous, engagez-vous qu’il me disait. Vous verrez, l’enseignement mène à tout… Il m’a eu, le bougre.

Et si tu passais d’abord dans tes appartements prendre des munitions ?. ?. ?

Très bonne idée que tu as là, mon p’tit Sev’…
..
..

§o.o§o.o§o.o§o.o§o.o§o.o§o.o§o.o§



Je vous mets avant la fin de la semaine le chapitre suivant ! Alors pas d’inquiètude… surtout que vous retrouverez tous vos profs préférés de Poudlard en très grande forme pour cette réunion hilarante. Rien que pour celles qui vivent la rentrée scolaire d'un côté ou de l'autre du bureau.

Mauvais esprit et idées tordues au rendez-vous ! ça mérite bien une petite review tout ça …. Non ?
En tout cas, j’espère que vous avez eu plaisir à me lire et n’oubliez pas, je vous aimeeeuuuuhhh !
Gros gros zoubis

Et toujours et encore un très gros zoubis à Sioban-Qui-Ne-Doit-Pas-Culpabiliser-Parce-Qu'elle-Ne-Se-Loggin-Pas… (pffffuuu long à écrire !) Tu as lu un nouveau paquet d'a^ppellations pas très contrôlées de VSQ ! Le Rtl m'avais beaucoup plus aussi… Et le prochain chapitre, je le mets sans doute jeudi soir pour que ta réunion de pré rentrée soit perturbée par la lecture du chap suivant…. Héhéhéhé ! Et le prochain traquenard testage de Sev va durer kek chapitres… Courage ! et mici et gros zoubis

Très zonorée et zeureuse d'avoir une review de toué Miss Lulu !
Faut pas me haïr ! Crois-moi, je vais faire pire…. Niark niark niark ! Il y en a qui torture leurs persos, d'autres qui les tuent…. Moi je les ridiculise !
Tes rires sont mon plaisir de zautrice … Mici à toué et gros zoubis
arrow_back Previous Next arrow_forward