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Fables à la sauce Poudlart

By: zazaone
folder French › Harry Potter
Rating: Adult ++
Chapters: 13
Views: 2,159
Reviews: 12
Recommended: 0
Currently Reading: 0
Disclaimer: I do not own the Harry Potter book and movie series, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.
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13- Epilogue

13- Fables sauce Poudlard


Bouh ! bouh ! bouh ! c’est la dernière !. !. !. !. !…
Il paraît que les meilleurs choses ont une fin… mais ces fables n’ont pas la prétention d’être la meilleure chose ! Donc, si vous les avez placées en alert story, laissez-y ! Ou passez de temps en temps y jeter un œil… Il n’est pas dit que dans deux ou trois mois l’envie ne me reprenne pas…
Mais je ne vous promets rien…Bon, l’officiel…

Disclaimer : cf les autres fables, y’a pas de changement

Rating : toujours M ; au fait, vous ne m’avez pas signaler l’intrus ni les oublis dans le rating de la dernière fable….tant pis !

Cette fois, directement l’original, très court, dont je n’ai changé que quelques mots. Je l’avais trouvé dès les premières fables et ai toujours su que ce poème clôturerait ma série de fables…
Je n’en ai pas changé le titre non plus. Les quelques transformations sont écrites en italique.

Je tenais à faire profiter tous mes lecteurs, même les anonymes, des superbes revues que j’ai reçues… Ces quelques fables auront tout au moins eu le mérite de révéler chez certains d’entre vous des dons pour la poésie ou les belles lettres, que ce soit en prose ou en vers… Reviewers et revieweuses, ce chapitre vous est dédié. Sans vous, seule la première fable aurait existée.
Vous serez également les auteurs principaux de ce chapitre….

Si vous êtes un nouveau lecteur, n’hésitez pas à me laisser une review avec votre adresse mail. Je me ferai un plaisir de vous répondre.

Et maintenant, place une dernière fois (peut-être…) aux vers de Jean de La Fontaine….

Epilogue

Bornons ici cette carrière.
Les longs ouvrages me font peur,
Loin d’épuiser une matière,
On n’en doit prendre que la fleur.
Il s’en va temps que je reprenne
Un peu de forces et d’haleine,
Pour fournir à d’autres projets.
Amour, ce tyran de ma vie,
Veut que je change de sujets ;
Il faut contenter son envie.
Retournons à Snape ; Lecteurs, vous m’exhortez
A peindre ses malheurs et ses félicités.
J’y consens ; peut-être ma veine
En sa faveur s’échauffera.
Heureuse si ce travail est la dernière peine
Que ce Sevy me causera !

Sniff… c’est fini….
A vous de jouer !


Elle alla trouver Zazaone pour lui narrer son talent...
"Ô, très chère beta. Vous êtes une valeur sure.
Pas moi, c'est évident."
Dou Daah (Je m’insurge en faux ! Zaza)


La sauce Poudlard est fort bien relevée
Sur les conseils de Guézanne la traîtresse
Je viens de m'y risquer
Et y trouve esprit et finesse
Ou plus vertement libellé
Vits, cons et paires de fesses Astorius

J’entretiens souvent cet espoir fou et exaltant
D’une fanfictionneuse que je lis et qui me lit
Et qui n’est à chaque clic
Ni tout à fait la même ni tout a fait une autre
Et qui me lit et me comprend
Car elle comprend ma fic, et mon Sirius fascinant
Pour elle seule, hélas ! cesse d’être un problème
Et les noirceurs de mon texte blême
Elle seule sait les apaiser, en reviewant
Astorius bis


Bravo dame Zazaone, si votre écrivage n'a d'égale votre bavardage...
J'ignorais Dame Zazaone que vous maniassiez l'écrivage avec telle passion et dextérité... Je te laisse la finesse de l'écriture, car point n'y suis rodée
Séveria Dousbrune


Seule la grivoise conclusion de ta fable licencieuse vient rompre la rigueur de la comparaison - le prof es potions a plus de chance que le barbon de La Fontaine "l'atonie" dont il souffre est bien moins définitive que la calvitie...
Guézanne


Et pour te remercier, voici une petite parodie, précédée de l'original :

Si l'on n'est plus que mille, eh bien ! j'en suis ! Si même
Ils ne sont plus que cent, je brave encore Scylla ;
S'il en demeure dix, je serai le dixième ;
Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là !"
(Victor Hugo)

S’il est besoin de baise, eh bien ! j’en suis ! Si même
Il ne faut que douceur, je vous ouvre les bras,
Un légitime amour, je crierai : je vous aime !
Et s’il vous faut un trou, je serai celui-là !
Lunécume


Exellent, je me pâme, comme dirait mon cher cher cher ami le Marquis...
En attendant, je ne cautionne ces dérivés rocambolesque qu'a la condition de voir ta fic sur Severus continuée. Or, j'attend toujours. C'est un tollé rable.
Sinwen Periedhel


Mazette, quelle maîtrise du verbe !
je vous tire mon chapeau, ma chère...
Myschka


Cette dernière est une cerise sur le gateau, qui nous donne l'eau à la bouche tout en nous laissant entrevoir les merveilles gustatives que nous pourrions ressentir si nous pouvions ne serait ce que gouter une part du gateau. Personnellement, je suis un fin palais et en demande plus. Encore!
Lulu75


Mademoiselle Zaza,
Que de cochonneries vous écrivez donc là !
Ma pruderie se révolte. Quoique vos R.A.R
M'ait déjà avertie de vos penchants pervers,
Ma foi, je suis choquée, absolument choquée
Et je ne savais pas qu'on pût si loin aller.
Je suis sûre que Jean qui dort sous le gazon
Doit en vous entendant se mettre à faire des bonds.
Cependant, mademoiselle, et malgré vos défauts,
Vous avez du talent pour jouer avec les mots.
J'admire vos références et toute votre culture
Même si, dans vos écrits, elles côtoient la luxure
Et je considère comme un très grand honneur
De vous voir figurer parmi mes revieweurs.

Ann O’Nyme


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