Un coup de main !

Si vous n’avez pas 18 ans ou l’age légal dans le pays d’ou vous vivez veillez quitter maintenant. Ces histoires sont au sujet de garçon ou de garçons gay, si cela n’est pas de votre goût quitter maintenant. Toute ressemblance avec des personnes ou organisations existantes est purement accidentelle car ceci est une œuvre de pure fiction.Commentaire Jarvis_de_Var2001@yahoo.ca

Jarvis de Var

Un coup de main?

Chapitre II

Je met mon uniforme de combat et marche vers le dépanneur du quartier. J’y achète 2 gros cigares et des allumettes, je souri au commis, il doit se demander s’il peut me vendre ces cigares. Je n’ai pas de difficulté à trouver l’endroit mais la banlieue n’est pas une bonne place pour moi. Au cœur de la ville je suis invisible ici plusieurs personnes me remarquent. Je balaye mon environnement des yeux et y trouve un petit parc, je me rend à un banc pour y commencer mon observation.

Je reste sur le banc pour une ½ heure puis me rend à la porte de chez Tom et sonne, après 5 sonnerie sans réponse je retourne m’asseoir sur le banc. J’espère vraiment que cette aventure vas se dérouler sans heurt. Je suis à ½ endormi sur mon banc, c’est le meilleur moyen de garder l’esprit calme et la folle du logis sous contrôle. Après trois longue heures, je vois un garçon d’environ 1,82m pour 80kg plutôt joli garçon ressemblant à Tom. Oui il marche dans la bonne direction. Je met mes gant et le suis. Il se rend à la porte de Tom et l’ouvre. Je me glisse discrètement derrière lui et dit bonjour, il se tourne pour être intercepté par un coup de poing à la pointe de la mâchoire. Je le frappe très fort mais il est solide et ne fait que tombé sur un genoux. Je lui donne un deuxième coup sur la mâchoire et finalement les lumières s’éteignent. Beau travail, personne ne semble avoir remarqué. Je le traîne à l’intérieur. Je le bâillonne à l’aide de la balle et du duct tape, je barre la porte. L’entré donne sur un escalier permettant l’accès à l’étage et au sous-sol. Je le traîne dans le sous-sol, trouve une bonne chaise, utilisant des tie rap à ses chevilles, genoux, poignets et coudes je l’immobilise. Je trouve une couverture la met pardessus lui, je tape celle-ci autour de ses épaules, plusieurs tour. Je regarde autour de la pièce et ferme les jalousies. Ok la première partie a bien été, jeton un coup d’œil au alentour. Mon rythme cardiaque se calme un peu. Dans le sous-sol il y a une salle de lavage propre et bien entretenue. La salle de séjour est ou j’ai attaché le gars, il y a aussi, une chambre de jeune homme propre et si vous me le demander trop propre. Tout le matériel ordinaire system audio, ordinateur, télévision maintenant fouillons la chambre, premièrement je retourne le matelas, le lit lui même est une boite, j’enlève les planches qui retiennent le matelas. J’y trouve une boite de métal fermé à clef. Je continue à fouiller je ne trouve rien d’incriminant. Mais étrangement je trouve les clefs de quatre paire de menottes, pas les menottes de piètre qualité que l’on retrouve dans les surplus de matériel militaire mais des menottes de qualités. En dessous d’une pile de vêtement de la corde, des pinces alligator douze, et un fer à souder. Je cherche la clef pour la boite de métal et ne la trouve pas. Je fouille sa poche droite du garçon, elle n’a pas de fond et donne accès directe à sa queue. Je me souvient des marques de brûlures sur le corps de son frère. Je lui empoigne le paquet et le serre brutalement. Il sursaute et gémi sourdement. Je fouille l’autre poche y trouve de l’argent et un trousseau de clef.

-Red « Je sais ce qui TE fait jouir!!! Soit prêt à y goûter. »

J’ouvre la boite de métal et y trouve trois CD, un USB drive de 256mo et un calepin ½ plein. Il faudra que je le lise plus tard. Je monte à l’étage cuisine, salle à dîner, salle de bain soudainement je fige au milieux d’un pas. J’entend du bruit venant de derrière une porte. Je pose mon oreille sur celle-ci, j’entend respiration et plainte à peine audible venant de l’intérieur. Un peu secoué je pose la main sur la poigner, prend une grande respiration et ouvre la porte. A ma grande surprise je trouve un petit gars menotté sur le lit, complètement détrempé du milieu du thorax au genoux, bâillonné, les yeux écarquillé avec une expression de panique sur le visage. J’approche de lui rapidement et pose un oreiller sur son visage. Je prend la taie de son autre oreiller et lui dit.

-Red « Hey! Petit je ne veut pas te faire de mal ok, mais tu ne peut me voir, je vais te bander les yeux ne panique pas. »

Je met la taie sous l’oreiller lui couvrant son visage et enveloppe sa tête avec. J’agis avec douceur pour ne pas l’effrayer.

-Red « Je vais fixer ton bandeau et enlever ton bâillon, ok »

Le petit pleure bruyamment lorsque je lui enlève le bâillon. Il tremble comme une feuille bafouillant qu’il ne pouvait plus se retenir de ne pas le battre etc, etc… Sans répondre je cherche dans ma poche pour y repêcher les clefs de menottes pour le libéré. Il est totalement paniqué, je doit enlacer avec force son corps humide, lui parlant doucement pour le calmer. Je lui demande pourquoi il était menotté sur le lit? Il me dit qu’il devait apprendre à ne pas pisser à tout bout de champ.

-Seth « Ne le dit pas à Ernest s’il te plait, s’il l’apprend il vas me donner un traitement et je déteste ça s’il te plait!!! » Il étouffe littéralement en me disant cela.
-Red « Laisse le bandeau sur tes yeux, je vais t’aider à te laver et à changer ton lit mais laisse ton bandeau. Je ne vaux pas que tu sache qui je suis, ok petit. »

J’aide le petit à se laver et à se changer, ce n’est pas facile aveugle. Nous parlons en le mettant plus à l’aise. J’apprend que ses parents sont partis à la recherche de son frère Thomas et qu’Ernest son autre frère sera de retour bientôt. Qu’il faut que je parte avant qu’il revienne. Je lui dit ok.

-Red « Seth reste dans ta chambre même si tu entend beaucoup de bruit ok, je vais revenir pour te dire quand tu pourra sortir de ta chambre ok. Travaille avec moi je suis ici pour aider fait toi en pas petit. »

Avant de quitter la chambrer je met un CD dans son boom box. Quittant le petit je suis vraiment excéder. J’arrête dans les escaliers pour prendre quelques grande respirations, que faire avec ce trou du cul. J’arrive dans le sous-sol, je vois mon prisonnier qui a la bouge sur sa chaise, voyant cela je fait du bruit dans l’escalier. Je m’assoit près de lui, j’allume un cigare et souffle la fumé dans sa direction après quelques bouffé il fige complètement. Je met quelques longueur de tape autour de ses yeux, ce qui me permet d’enlever celui autour de ses épaules pour relever la couverture pour enlever la balle qui le bâillonne. Il sue abondamment même au point de baver, il reste silencieux même quand je lui souffle la fumée directement à la figure. Je fait tout ceci sans dire un seul mot. Prenant ma voix la plus rauque.

-Red « A-tu un mot de passe pour les CD qui étaient sous ton lit? »

Il ne répond pas à ma question, sans dire un mot je relève sa chemise et approche le cigare à 1cm de son mamelon droit, je le laisse là.

-Red « Pour la dernière fois avant que tu perde ce mamelon a-tu mis un mot de passe sur ces 3 CD? »
-Ernest « NON, ne le brûle pas nooon!!! »

Il crie cela suant abondamment. Ce trou de cul n’a pas une once de courage. J’ai un profond dédain pour ce sac à merde. Rageant je lui donne un coup de pied en bas du genou. Je sais que je ne le brûlerai pas, je ne peut pas le faire. Je lui demande ce qui en est du calepin et du USB drive. Il me répond que le calepin contient des notes au sujet des élèves de sa classe e-mail mot de passe ou leur relation intime s’il en ont. Le USB drive donne complet accès a son ordinateur. Je vais dans sa chambre installe le drive et boot l’ordi, une très large quantité de porno de tout genre mais une large sélection de S&M, bounding et peircing. Je n’aime pas vraiment cela sa m’écœure. Je met un des CD, je bondi littéralement hors de ma chaise, il y a de nombreuses photo de ce qu’il a fait à ses deux frères. Me faisant violence je reste silencieux dans le calepin je trouve le e-mail de son père et son mot de passe, je lui poste les 5 pires photos du lot, quatre sont de Tom, donc deux avec des plaies qui saignent. Je récupère les CD et le USB drive. Passant près du trou du cul je lui donne un coup de pied sur le côté de la tête. Je monte à la chambre de Seth. Il est tranquillement assit sur son lit attendant, quand j’ouvre la porte il sursaute un peu et tourne dans ma direction.

-Red « Ok petit c’est moi. » Il étend les bras dans ma direction, je m’assois sur le lit le serrant dans mes bras.
-Red « Je vais partir bientôt ton frère Ernest est attaché dans le sous-sol. » Il me regarde avec un air incrédule. « Écoute ce que j’ai à te dire. » Il fait oui avec sa tête. « Laisse le ou il est, attend tes parents, quand ils rentreront vas vers eux demande à ton père de vérifié son e-mail d’ouvrir le message TOUTE LA VÉRITÉ et d’ouvrir la pièce attaché. Peut-tu faire cela? »
-Seth « Oui mais. »
-Red « Pas de mais, si to fait ce que je te demande tu n’aura plus jamais de traitement et Thomas vas revenir, je te le promet. »
-Seth « Je le ferai. »
-Red « Si tu donne trop de détail ,à mon sujet, à tes parents ou au policiers je vais être arrêté et envoyer en prison. Dit seulement que tu n’a pas eu le temps de me voir ou que tu ne te souvient pas puis pleure, est-tu ok avec cela. »
-Seth « Je ne te ferai jamais arrêté, si Ernest arrête de nous faire mal. »
-Red « Reste tranquillement dans ta chambre je m’en vais maintenant. » Je l’embrasse sur le front, lui caresse les cheveux puis quitte sa chambre.

Je descends dans le sous-sol ramasse tout mon matériel. J’arrête devant le trou du cul et lui dit.

-Red « Sac à merde. » Je donne un coup de pied à sa jambe droite. « Je m’en vais mais je garde un oeil sur toi, touche à un seul de tes frères et tu vas être désolé crissement désolé. Si désolé que vas souhaité être mort. En fait je suggère que tu décalisse d’ici le plus rapidement possible. Sais tu pourquoi…Parce que je te surveille trou de cul. » Je donne un coup de pied sur sa jambe gauche.

Je quitte la maison rapidement et tranquillement. Regardant autour de moi j’enlève mes gants, il y a quelques personnes sur la rue mais je passe inaperçu. Bien je commence à relaxer. Je prend le métro et rentre à la maison souriant. Cela a été un long samedi mais je me sens bien. Je ne sais pas si je vais sortir ce soir je vas voir comment Tom vas se sentir. A la porte j’entend ma mère m’appelé.

-Mère « Ou était-tu. »
-Red « L’entraînement et avec des amis qui avaient besoin de mon aide. » Regardant au alentour. « Ou est Thomas. »
-Mère « Nous sommes mieux de n’avoir pas de nouvelle de tes activités Réginald sinon tu devient pensionnaire. »
-Red « Mom je t’ai déjà dit que les peircings et les cheveux teins non pas l’air de plaire à ces institutions et que personne ne saurait changer cela. » Lui souriant de façon sardonique. La regardant sérieusement. « J’ai été chez Thomas avant de crier regarde ces CDs. »
-Mère « Je n’aimerai pas ça. »
-Red « Thomas ne peut pas voir ça, vas dans le bureau de pap. »
-Mère « C’est aussi terrible que cela. »
-Red « Pire que ce que tu peux imaginer. »

Elle quitte la cuisine emportant les trois CD avec elle. Après quelques minutes Thomas entre avec père.

-Red « Bonjour pap, bonjour Tom comment cela vas. »
-Père « Tu t’entraîne le samedi? »
-Red « Oui demande à mom. »
-Tom « Tu t’entraîne pour aussi longtemps que cela il est 19H. »
-Red « Oui, veux-tu regarder la tv dans ma chambre? »
-Tom, hésitant « Oui si tu veux. »

Nous entrons dans ma chambre, il s’assoit sur mon lit et je m’assoit sur le hamac. Je lui dit de ne pas paniquer, j’ai été chez toi cet après midi. Il a un air de quasi désespérance sur son visage. J’ai vue Seth il était bien et content de me parlé.

-Tom « A-tu vue Ernest? »
-Red « Oui nous avons eu une bonne conversation, quand je l’ai vu la première chose que je lui ai dit c’est bonjour. Quand je suis parti il ma assuré qu’il avait intention de déménagé le plus tôt possible. »
-Tom « Il a dit ça!!! »
-Red « Quand il ma l’a dit il semblait extrêmement sérieux à ce sujet. »

Il pleure un peu essayant de croire ce que je lui ai dit, je pense. Je lui dit prend vidéo ou DVD, n’importe quoi. Ma mère m’appelle du premier plancher.

-Mère « Il faut appeler la police c’est horrible.»
-Red « Si t’appelle les cochons. »
-Mère « La police. »
-Red « Si tu veux les appeler, nous ne pouvons donner aucune explication sur comment nous avons obtenu ces CDs, au mieux il ne pourrons pas les utiliser en cours au pire je vais être arrêté. »
-Mère « Qu’est que tu a fait à ce….garçon? »
-Red « Rien, j’avais peur que si je commençais à le frapper sérieusement, je ne serais pas capable de m’arrêter.
-Mère « C’est bien. » Elle pris ma tête sur sa poitrine et la berça doucement. « Amène tes frères avec toi pour regarder la tv dans ta chambre ils ont demander après toi. Ils d’ennuient du gaffeur. Nous allons voir comment régler la situation demain. »
-Red « Oui mon commandant. »
-Mère « Ferme ta trappe punk. » Dit-elle me souriant.

J’appelle Mike et Andrews, Mike a 13 ans et Andrews 11 ans. Je les amènent dans la chambre avec nous, nous décidons de regarder Le seigneur des Anneaux le premier et deuxième film. Andrews sur le lit avec Tom et Mike avec moi. Nous parlons de tout et de rien relaxant vraiment. Après les films les petits partent se coucher nous laissant seul.

-Red « Tom écoute tranquillement je vais tout te dire, tu est d’accort? »
-Tom « Pas de trouble. »
-Red « Comme je t’ai dit j’ai été chez toi cet après midi, savais-tu qu’Ernest abusait ton petit frère aussi? »
-Tom « Non le bâtard il n’a pas. »
-Red « Oui il l’a fait pas aussi brutalement que pour toi mais il l’a fait. J’ai pris les CDs avec les photos qu’il a pris de toi et de ton frère. Je les ai utilisées contre lui, tu n’a pas de problèmes avec cela? »
-Tom « Non, mais qu’à il fait a mon frère? »
-Red « Demande le lui, ce qui est important c’est quand tu retournera a la maison tu devras parler aux cochons, ton histoire devras tenir la route, est-tu d’accord avec moi? »

Une histoire simple et sans complication, tu a passé ton temps près de Ste. Catherine et St. Laurent. Tu t’est lavé dans les piscines publique, manger au refuge pour jeune de Pop. Nous avons pratiquer les détails de l’histoire environ deux heure, il devint incollable avec cette histoire. Assis côte a côte sur mon lit ma main effleura à quelques reprise sa cuisse. Prenant sur moi même je m’assis un peu plus loin de lui gardant mes mains pour moi. Il est vraiment joli. A 2 :35H je l’envoie dans la salle de bain pendant que je fait une razzia dans la cuisine. De retour dans la chambre je mange ma collation en l’attendant. Nous échangions nos place, avant d’entrer dans la salle de bain je lui pointe le plateau de service avec sa collation. Je me douche et me masturbe en pensant à lui. J’ajuste mon réveil pour 8 :00H peu de sommeil cette fin de semaine. Je tombe comme une roche dans mon hamac. Quel est cet horrible son, yerk! C’est déjà l’heure. Lève toi ferme l’alarme, descend le spectacle doit continué.

-Red « Bonjour pap, mom, voulez vous me parler avant que les autres se lèvent. »
-Mère « Ce que ton père et moi avons vu hier soir est criminel nous devons le rapporter à la police. »
-Red « J’ai envoyé des photos par e-mail au père de Tom, de la maison et du compte local. Aucun danger d’être repéré. » Je regarde mon père. « J’ai pris note du temps exacte et de la date, ils ont a signaler l’offense criminel, pap tu devrais demander à ton copain de te donner une copie du log et du e-mail. »
-Père « Je vais le faire mais à propos de Thomas? »
-Red « Je vais téléphoné chez Tom d’une boite téléphonique cet après midi a partir de cela nous aviserons. »

Plus tard mes frères et Tom descendent en parlant et souriant, cela m’apporte du réconfort. Je prend un café pendant que le reste de la famille bavarde comme une bonne unité familiale. Après le déjeuner je suis Mike pour coller du plastic. Le petit aime cela et il aime le faire avec moi. Tom tourne autour de nous et finalement s’assois et nous aide. Nous passons du bon temps ensemble. A midi après avoir fini de manger je prend Tom à part.

-Red « Vient avec moi nous allons téléphoné chez toi d’une boite téléphonique. »
-Tom « Est-tu certain. » Me regardant nerveusement.
-Red « Si Ernest répond, raccroche tu n’a pas à lui parler, ok. »
-Tom « Si on doit le faire, allons y. » Dit-il tristement.

Quelques minutes de marche jusqu’à la cabine téléphonique. Je met une pièce et Tom signale le numéro. Il attend suant un peu, je le voit retenir son souffle, quand il commence a parler je suis convaincu qu’il parle à Seth, il me tourne le dos. Il pleure c’est certain, il parle à d’autre personne, au moins 3 personnes. Regardant ma montre je coupe la communication après 3 minutes. Il me regarde choqué.

-Tom « Pourquoi? »
-Red « Je ne veux pas être arrêté, comprend tu cela. »
-Tom « Ils veulent que je retourne à la maison, ils savent qu’il y a eu une intervention, mais il ne connaissent pas Red le punk. » Dit-il me souriant.
-Red « Premièrement décollons d’ici, on se rend chez moi et on prend tes affaires. On se rend au métro et je te laisse là mon ami. » Je lui dit en soupirant.

Nous, nous rendons a la maison mes parents et mes frères embrassent Tom et lui souhaite bonne chance. Nous prenons l’autobus et le métro pendant le voyage je le regarde pour imprimer dans ma mémoire sa beauté. On arrive a sa station, je l’accompagne à l’arrêt d’autobus lui souhaite bonne chance et le quitte. Je marche hors de vue et hèle un taxi donnant l’adresse de Tom. Je vais m’asseoir dans le parc près de sa maison. J’attend une heure avant de le voir marcher vers sa maison. Je vois son père ouvrir la porte la réaction de Tom le confirme, Seth et une femme les rejoignent. Un travail bien fait et pas de cochons. Opps! Je m’apprête à me lever quand un homme sort de la maison se dirige vers une voiture ou il y a 2 autres hommes et leur parle. Il est temps que je quitte. Je me lève, l’homme près de la voiture se met à me suivre.

-Police « Hey! Toi attend! »
-Red « Qu’est que tu veux? »
-Police « A-tu vu? »
-Red « Pourquoi je devrais te répondre je ne te connais pas. Tu pourrais un criss de pervers. »
-Police « Je suis le sergent détective Dubuc. » Il ouvre un porte carte et me montre son insigne. « A-tu vu un homme de 1,87m à 1,92m punk comme toi. »
-Red « Non. »
-Dubuc « Fume-tu? »
-Red « Non. »
-Dubuc « A-tu tes papier? »
-Red « Non. »
-Dubuc « Nom et adresse? »
-Red « Pierre Valmont 1342 Des Érables, je peux partir maintenant? »
-Dubuc « Oui, si tu te souvient de quelque chose prend ma carte. »

Je part rapidement car s’il vérifie il n’y a rien de vrais dans ce que je lui ai dit. Finalement j’arrive à la maison sans problème. Arrivé a la maison ma mère me sermonne sur les problèmes que j’aurais pu nous causer. Les parents sont étranges quelques fois, ils ne peuvent envisager le fait que je soit parfaitement au courant que je puisse être arrêté et traduit en cours de justice et que j’ai agit de toute façon. Il est étrange que des personnes intelligente tombent dans de telle structures mental. Pour le reste de la journée je joue avec mes petits et écoute des vieux Bauhaus. Mes parents détestent mais j’aime.

Lundi matin l’alarme de mon réveil m’appelle et je suis seul et c’est de ma faute. Allons a l’école. Je laisse mes frères a leur école et continue vers la mienne. Comme d’habitude je grogne et j’aboie pour ouvrir le chemin devant moi. La plupart des professeurs m’aime bien, j’ai de bon résultat les classes ne sont pas un problème pour moi. La journée fut tranquille. De retour à la maison ma mère m’attend avec ma collation. Je lui souri et entre dans ma chambre pour faire mes travaux. A 17 :35H mère m’appelle.

-Mère « Reginald téléphone. »
-Red « Red a l’appareil. »
-Tom « Bonjour je t’appelle pour te donner des nouvelles c’est tout bon. Je t ‘appelle d’un restaurent. Ernest a été sorti de la maison, il est dans un institution pour délinquant juvénile. Il cherche pour un homme vraiment grand que Ernest leur a décrit. Tu est en sécurité.
-Red « Merci Tom heureux d’apprendre que tout vas bien pour vous tous. » Je lui dit souriant à moi même.
-Tom « Non merci a toi Red si tu ne t’en était pas mêlé j’aurais fini par me tuer. J’étais vraiment dépressif. Merci, merci infiniment, tu a sauvé nos vie a Seth et moi. Bientôt ce sera sécuritaire de venir nous vois si tu est d’accord. »
-Red « Ok, appelle moi et nous pourrons figurés quelque chose. » Je combattais un nœud dans ma gorge et les larmes qui perlent à mes yeux.
-Tom « Je t’appellerai le plus tôt possible, bye Red. »

Cela me pris plusieurs minutes de respiration profonde pour harnacher mes émotions. Je me rend à la cuisine souriant heureux pour Tom. Dans la cuisine je renifle un peu partout pour savoir ce qui cuit. Ce n’est pas prêt donc ma mère m’indique la porte. Je retrouve Mike et Andrews pour les aider avec leur travail scolaire. Après le souper je regarde la tv avec eux, les tenant près de moi. Arrivé dans mon lit je me sens très seul, je doit me concentrer sur les principes de base, le désir est douleur ou il n’y a pas de désir il n’y a pas de douleur, la plupart des désir sont égoïste, il faut se concentrer sur le soi sans artifice. Ne pas laisser les désirs transitoires avoir prise sur l’âme. Ok les émotions doucement s’aplanissent. Je dors comme une bûche. La semaine se passe très bien. A la fin de la semaine Sophie m’appelle pour me demander si je peux aller au Fouf vendredi. Je lui demande à quelle heure. Elle me dit environ 20H c’est bon, il vas y avoir des skinheads de Toronto qui vont descendre à Montréal pour cogner des punks. Je sais quelle vas sortir sa compagne et quelle veux que les protèges des têtes de gland. Je lui dit pas de problème et je sais quelle vas payer mes drinks. Pour ces soirées je porte mon jock strap, les protecteurs d’avant bras et les protecteur de tibia. Porter un jock strap avec la coquille est inconfortable chaud et irritant. Vaux mieux être inconfortable que se rouler par terre hors de combat. J’entre au Fouf et vois Sergio.

-Red « Bonjour Sergio comment ça vas. »
-Sergio « Bonjour Red, bien à date. »
-Red « Sais-tu que les têtes de gland de Toronto viennent en ville pour cogner du punk et tout ce qui n’est pas blanc? »
-Sergio « Tu vient de faire ma fin de semaine. » Il souri de façon féroce en frottant ces poings.
-Red « Si jamais il y a des problèmes, je me ferai plaisir de t’aidé. »