Get Hermione Laid... encore! : Mission 2

Après ce qui semble être une éternité, j’arrive enfin au bureau de Lupin. Je suis sur le point de frapper à cette maudite porte quand tout à coup, je réalise brutalement ce que je suis en train de faire. Je m’apprête à exiger du sexe de la part de mon Professeur le moins disposé. Peut-être que Snape avait raison – je devrais me contenter de retourner à ma chambre et régler ce problème moi-même !

Je suis sur le point de repartir quand la voix bégayante de Lupin résonne dans ma tête.

-Euh, Hermione, comment… ravi de vous voir. Comment… comment allez-vous ?

Je lève mon regard, et mon visage se retrouve face au torse de l’homme se tenant à la porte dorénavant ouverte. Oh oui, ce torse. Bien que recouvert d’une chemise, le souvenir est encore là, me permettant de voir à travers le tissu pour admirer les formes que je sais être en dessous.

-Je me sens vraiment frustrée en ce moment, Monsieur, je réponds.

Lupin pâlit quand je fais référence à sa situation. Oups ! Ok, voici mon professeur qui aurait préféré ne pas être si… ne pas être celui qui prend son pied rien qu’en y pensant.

-Bien. Y-a-t-il quelque chose que je peux faire pour t’aider ?

Je regarde l’homme plutôt voracement… à la manière de Crocdur après qu’il ait été privé de nourriture pendant deux semaines.

-Je pense que l’on ferait mieux de poursuivre cette conversation dans votre bureau, je l’avertis.

Je n’ai absolument aucun désir de baiser avec lui sur le seuil de la porte – il fait beaucoup trop froid dehors, même si c’est déjà l’été !

-Euh… bien.

Avec nervosité, Lupin m’autorise à rentrer dans son bureau, fermant lentement la porte derrière moi. Il regarde fixement la poignée de celle-ci pendant quelques instants avant de se tourner pour me faire face.

Il se passe une main dans les cheveux et me demande à nouveau :

-Alors, comment puis-je t’aider ?

C’est alors que je réalise que Lupin n’est même pas en train de me regarder et qu’il danse d’un pied sur l'autre, les yeux fixés un peu sur ma gauche.

Bordel, bordel ! Ça ne va pas bien se passer, je peux déjà le deviner. Je ferais mieux de couper court à cette chasse – plutôt que de passer la soirée à parler avec lui au lieu d’en profiter.

-Je suis allée voir le Professeur Snape, mais il était occupé à autre chose. J’ai seulement pensé que peut-être vous seriez d’accord pour refaire comme le week-end dernier… Sirius et le Professeur Snape en moins.

Lupin soupire.

-Hermione…

-S’il vous plait ? Je suis sûre qu’un peu de politesse ne fera pas de mal !

-Le week-end dernier était une terrible erreur, Hermione. Je m’excuse sincèrement pour ma participation à cela, et pour notre mauvaise conduite.

Punaise !

-Je ne suis pas venue chercher des excuses, Remus.

Tout à coup il me regarde droit dans les yeux, et je peux voir l’anéantissement sur son visage.

-Hermione, pendant que je suis sous ce toit en tant que ton Professeur, je pense qu’il est mieux pour toi de ne pas refaire une telle proposition.

Allez tous crever à Azkaban ! Attendez…

-Je passe mon diplôme dans une semaine…

Lupin incline la tête, un petit sourire apparaissant sur ses lèvres.

-Donc, je suis amené à croire…

Quelque chose comme ça, je suppose. Cependant, cela ne résout toujours pas ma situation actuelle.

Je suis restée pour causer avec Lupin quelques minutes de plus – je ne voulais pas que cet homme pense que j’étais uniquement une petite putain obsédée par le cul – mais maintenant je retourne dans ma chambre… seule.

Je suis en train de regarder le plafond. Qui aurait cru qu’il y avait autant d’araignées là-haut… beurk !

-Herm ? Tu es là ?

Putain, mais qu’est-ce que… Je saute hors de mon lit, me demandant comment diable quelqu’un a bien pu entrer dans ma chambre… Je suis sûre d’avoir fermé la porte et placé les protections !

Et puis, j’ai ma réponse – la tête de Sirius flottant dans les flammes de ma cheminée.

-Oh, Sirius ! Bonsoir ! Je traverse la chambre et m’assoie devant le feu.

-Comment vas-tu, Herm ?

-Ne m’en parle pas !

-J’ai parlé à Remus. Il m’a dit que tu lui avais fait une petite visite…

Je soupire.

-Oui. Il est plus que jamais moralisateur.

-Et que dis-tu du Professeur Snape ? Je suis sûr qu’il aurait été plus enclin à te dépanner…

-Il l’était, je réponds, boudeuse, jusqu’à que Lucius Malfoy rapplique. Snape n’a pas aimé mon idée de laisser Malfoy se joindre à nous. Je pense qu’il est juste un bâtard égoïste.

-Il l’est, Herm, mais approche maintenant ! Malfoy est loin d’être un tendre, j’ai le sentiment que Severus a eu ici un rare moment de rectitude morale.

-Dommage, dis-je dans un soupir.

-Mmmh, il est dommage que je ne puisse pas être là, ajoute Sirius pensivement. Je ne me sens pas particulièrement éthique à ce moment.

-Vraiment ? dis-je en me redressant un peu.

Au moins je sais que l’un des trois est disposé…

-Est-ce que tu peux passer ?

Sirius rit tout bas.

-Je ne pense pas, Herm. Dumbledore donnerait mes couilles comme petits jouets à Crocdur.

Je ris – cela ne soulage pourtant pas ma frustration.

-Bien. Qu’est-ce que tu ferais si tu étais ici ?

Ok, je sais que cette question est tout à fait suicidaire, mais j’ai besoin de quelque chose pour en rêver cette nuit.

Un sourire insolent danse sur l’image du visage de Sirius.

-Et bien, je commencerais en te donnant un profond baiser. Cette moue est tout simplement irrésistible, Herm.

-Tu ne m’entendrais pas protester ! je réponds, pleine de désir.

-Je mordillerais ta lèvre inférieure, faisant courir ma langue sur sa surface douce. Ensuite je glisserais ma langue dans ta bouche sucrée. Je t’attirerais plus près, sentirais ton corps délectable serré étroitement contre le mien. Bon Dieu, Herm, juste quand je suis seul à la maison… ces pensées mettent ma bite sens dessus dessous.

Oh mon dieu ! Il me dit cela alors que j’étais inconsciemment en train de faire courir ma langue sur mes lèvres, imaginant que c’était Sirius. Maintenant, la seule pensée qu’il m’attend, entièrement dispo, conduit mon esprit vers la surcharge.

-Oh, dis-je tremblante. Continue.

Je peux presque le sentir, la chaleur de son corps appuyé contre moi, ses lèvres sur les miennes.

Alors que j’observe son image, ses yeux se ferment.

-Bien, maintenant que je t’ai mise en condition, je ne voudrais pas gâcher ce moment. Que portes-tu ?

-Mon uniforme.

-Enlève ta cape et ton tricot.

Je fais ce qu’il me dit, jetant ces vêtements offensants sur le sol.

-C’est fait.

-Bien, tu n’aura pas besoin d’eux.

Sirius fait une pause.

-Encore mieux. Maintenant, je déboutonnerais ta chemise… en la faisant glisser lentement le long de ta peau fragile… Merlin, Herm, tu es exquise.

Je pousse un léger soupir pendant que je fais ce qu’il me dit, ouvrant les boutons de ma chemise et faisant courir mes mains sur ma peau, frissonnant de plaisir à ce que Sirius devrait faire.

-Tu sembles un peu fiévreuse, dit Sirius en ricanant.

Je lui souris en retour.

-Je glisserais ensuite mes mains sous ton soutien-gorge, prenant un moment pour caresser tes seins avant de taquiner tes tétons. Merde, est-ce que tu es en train de faire ça, Herm ?

-Mmmh.

Ma réponse n’est pas plus fort qu’un couinement. Alors que je pince fort mes tétons, je peux sentir une chaleur émanant du tréfonds de moi-même, et je soupire à la pensée de ce qui est à venir. Merde, pourquoi n’ai-je pas pensé à ça avant ?

-Ok. Je me mettrais à genoux devant toi, mes lèvres ne quittant jamais les tiennes. Je laisserais une main où elle est, l’autre parcourant ton ventre, continuant à descendre sur ta jupe et stoppant juste en dessous de l’ourlet.

Je fais courir mes doigts vers le bas pendant qu’il donne ses instructions, faisant une halte à l’intérieur de ma cuisse droite où le tissu gris de ma jupe s’arrête.

-Maintenant, je glisse mon doigt vers le haut, traçant des cercles sur ta peau.

Continue Sirius. Je fais ce qu’il me dit, soupirant.

-Oh oui, Sirius, je gémis.

-C’est bien ma fille. Mes doigts atteignent ta culotte. Es-ce que tu mouilles, Herm ?

Je passe mes doigts sur le tissu humide.

-Mmmh.

Sirius laisse échapper un grognement.

-Fini de jouer, Herm, gronde-t-il. Je ne peux pas tenir plus longtemps.

-Peut-être que je pourrais t’aider ? je suggère, désespérée de le voir continuer.

-Comment ?

Je me lèche les lèvres et les yeux de Sirius se ferment lentement.

-Herm ! Quelqu’un pourrait débarquer n’importe quand.

Cette idée a un profond effet sur moi. L’idée d’être attrapée intensifie mon désir de continuer.

-Défais ton pantalon, j’exige.

Sirius ricane.

-Tu deviens autoritaire, Herm. Tu es sûre que tu n’as pas joué avec Severus ?

J’aimerais tant ! Cependant, j’entends le faible bruit d’une fermeture éclair que l’on ouvre, et mon esprit retourne à Sirius.

-Maintenant, je fais courir mes mains le long de ton boxer. Je te caresse, et je m’assure que tu es prêt, dis-je avec un sourire.

-Fais-moi confiance, grogne-t-il. Je suis plus que prêt, Herm.

-Bien. Je glisse mes mains à l’intérieur de ton boxer et fais sortir ton sexe. Caresse-toi, Sirius.

-Merde…, marmonne-t-il, son visage se crispant de plaisir.

-Je t’enveloppe de mes lèvres, te caressant avec la langue.

-Stop ! STOP ! souffle-t-il, ses yeux étroitement fermés. Je ne peux pas tenir !

J’ai un petit rire.

-Baise-moi, Sirius !

Ses yeux s’ouvrent rapidement et il me fait un large sourire fripon.

-Avec plaisir.

Je frémis d’avance.

-Etend tes jambes, Herm. Je te saisis derrière les genoux et pose tes jambes sur mes épaules. Je plonge en toi. Dieu, c’est si chaud ici, si étroit. Putain, Herm !

Je mime ses mouvements avec mes doigts, gémissant sous l’intrusion soudaine. Bon sang, c’est presque comme s’il était ici.

-Plus fort, Sirius. Plus fort ! je mendie.

-Marché conclu, Herm. Je ne peux pas retourner en arrière de toute façon. Putain ! Je trouve ton clito et frotte rudement mon pouce dessus. Aimes-tu cette sensation ? Est-ce que tu viens ? Je veux voir ton visage quand tu jouiras pour moi.

Je fais comme il dit, et je suis maintenant secouée par un orgasme imminent. Putain, putain !

-Je suis si proche. Je… Sirius ! Je me sens si pleine… si délicieusement pleine. Mes orteils picotent… juste un peu plus long! Juste un peu plus fort ! Pitié !

-C’est ça ! Je te retourne sur le ventre, m’enfonçant à l’intérieur de toi… Putain, Mione, je suis en train de heurter le fond de ton vagin. Je suis…

Mais ses mots s’éloignent pendant que mon orgasme me frappe avec force, mon corps convulsant autour de mes doigts. Je peux seulement le sentir me martelant. Il perd à son tour le contrôle …

-Putain, HERM !

Je l’entend japper dans le fond. Mes yeux s’ouvrent brutalement et vont se poser sur son visage crispé par l’orgasme. La vue est incroyable. Mes doigts retournent rapidement à mon clito, frottant plusieurs fois de plus pour m’emmener vers le septième ciel de nouveau.

-Mione ?

Lentement, j’ouvre mes yeux pour faire face à Sirius.

-C’était fantastique.

J’exhale lentement en lui faisant un large sourire.

-Bon dieu…, soupire-t-il. Je ne regarderai plus jamais un feu de la même façon.


A suivre…