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Chants funèbres

By: SuccubusShadow
folder French › Games
Rating: Adult ++
Chapters: 3
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Disclaimer: I do not own the games(s) that this fanfiction is written for, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.
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Aspirations

***

Elle se réveilla au beau milieu de l’après-midi. Le soleil traversait le rideau de la fenêtre. Respirant calmement l’air frais de la chambre, elle n’avait pas maintenu le feu avant de se mettre au lit C’était un endroit très agréable et elle comptait conserver la chambre et tenter de passer le plus de temps possible ici. En s’étirant elle savait que plusieurs activités et visites s’offraient à elle dans le village. Ce n’était pas vraiment la saison touristique de l’endroit. Elle méritait amplement cette détente et ne voulait pas rater l’occasion d’en profiter autant qu’elle se le prescrirait. Actuellement satisfaite de la tournure de l’incident, elle pouvait aspirer à connaître de l’agrément au courrant des jours qui allaient suivre.

Elle frotta ses yeux en inspirant profondément. Une douche ferait vraisemblablement du plus grand bien. Se remémorant lentement les évènements d’hier elle se sentait déjà beaucoup mieux. Aussitôt sortie du lit elle réalisa que c’était certainement très froid dans la pièce, elle entra dans la salle de bain pour tomber face à face avec son reflet au miroir. Après un instant d’observation, elle se fit à elle-même un léger sourire matinal, fier de s’être bien rescapé de ce qu’elle avait vécu. Elle ouvra l’eau des robinets, ensuite retira sa culotte pour s’infiltrer sous le jet d’eau chaude. Elle commença par mouiller son visage et ses cheveux qu’elle prit soin de défaire. Est-ce que Vincent était déjà au bar ou il n’y serait que seulement en soirée? De toute manière avant de commettre quoi que se soit elle s’ordonna de prendre soin d’elle-même tel que conseillé. Elle voulait tout d’abord prendre un copieux déjeuner. Elle ne tenait pas nécessairement à sortir au froid, alors elle opta pour commander et manger dans sa chambre. Après s’être savonné, elle prit plusieurs secondes pour apprécier à quel point elle se trouvait bien sous l’eau chaude. Elle prit de grande respiration en gardant la tête vers arrière pour sentir le jet d’eau dans son visage.

Bien asséchée, elle se hâta d’allumer le feu. Ensuite, elle fit tel que pensée et commanda à la réception son repas. L’après-midi s’écoula rapidement. Quoi qu’elle fut peu occupée, mais pris le temps de se reposer abondamment et de ne rien faire, qui abouti à être très agréable.

Elle songea à son entourage habituels, tel qu’elle en avait discuté la veille, à quel point qu’elle les appréciait, mais elle ne s’ennuyait pas encore. Elle se disait que Barret avait toujours bien su se débrouillé avec le bar et encore mieux avec les enfants qu’il avait délaissé depuis plusieurs mois. Ces derniers avaient été très heureux à l’annonce que ce serait lui qui viendrait les garder. Il prenait le temps de sortir avec eux durant le jour pour les amener jouer au parc et à l’extérieur de Edge. Tandis qu’elle, qui commençait à être épuisée de son train de vie et moins dynamique, ne prenait plus vraiment le temps d’organiser des balades qui motivait les enfants.

Les escapades et les retours de Cloud l’inquiétaient au plus au point. Elle savait très bien qu’elle ne devait pas s’en faire le moins du monde de ses habitudes. Il était grand, savait comment se défendre, mais elle se demandait constamment s’il conservait de noires idées après tout ce qu’il avait ressentit au cours de sa vie. Autant qu’elle aurait voulu l’aider, elle avait fait tous ce qui était en son pouvoir, épuisé toutes ses ressources et ses énergies. Elle ne désirait pas devenir désagréable face aux siens et avant que cela n’arrive elle voulait prendre quelques temps seule. Elle savait également qu’elle commençait à perdre sa forme et que ça affectait son moral. Elle décida qu’il valait mieux qu’elle parte en exile pour un temps indéterminé.

Les heures s’écoulaient, chacune d’entre elles étaient importantes et Tifa voulait les savourer au maximum. Barret lui avait fait promettre de le contacter aussi souvent que possible. Mais elle n’arrivait pas à le faire sans trop comprendre pourquoi. Elle ne voulait l’avertir que lorsqu’elle saurait le moment venu. Elle savait qu’il s’inquièterait. Mais quand est-ce que ce moment propice aurait-il lieux. Se retrouvait t-elle dans la même situation que Cloud. Est-ce que c’était ce qu’il ressentait. Est-ce que elle et les enfants lui remémoraient trop son passé. Avait-il quelque chose à caché. S’isolait-il seul dans un endroit. Avait-il une maîtresse qu’il ne voulait pas dévoilé à Tifa. Avait-il peur de la blesser si c’était le cas. Elle aurait préféré le savoir qu’il était heureux. Elle aurait pu cesser de s’en faire éventuellement et inutilement. Ça aurait pu être une délivrance qui l’aurait aider à surmonter toutes ses réflexions le concernant. Ça aurait été mieux ainsi. Mais elle ne le croyait pas. S’il avait eu une femme dans son lit, à l’extérieur, il en aurait bien démontré des signes. Quoi qu’il semble se porter beaucoup mieux que dans d’autres périodes qu’il avait traversés, il était vraisemblablement constamment dans un état mélancolique et ténébreux. Ou du moins c’est ce qu’il laissait paraître.

Et elle, ne voulait pas leur faire savoir, à Barret et au autres, son but au départ et maintenant qu’elle l’avait accomplie elle ne comptais pas leur apprendre. Peut-être voulait-elle décrocher complètement. Se sentir libre d’accomplir ce qu’elle désirerait et les oublier complètement sans savoir s’ils s’en sortent bien.

La nuit tombée, elle se dit a elle-même que c’était l’heure qu’ils s’étaient donné rendez-vous en bas. Elle se sentait bien également à l’idée de ne pas être complètement seule. La présence de Vincent était sans doute la plus agréable qu’elle aurait souhaité avoir. Il était attentifs et ne la démoralisait pas, mais l’aidais à résonner sur son cas avec ses précieux conseils. Et quelques fois, simplement parler de ses tracas à haute voix, pouvait faire souvent beaucoup de bien. Quoi qu’ils n’avaient pas encore parlé de son état d’âme et évoqué de plus intimes raisons de son départ, elle ne désirait pas non plus l’embêté avec ses problèmes et le désintéressé à sa présence. Elle voulait qu’il l’apprécie, elle voulait rire avec lui. Elle voulait qu’il profite également de sa relâche et de la raison pour laquelle il s’était éloigné. Il ne demeurait pas vraiment nulle part et n’avait aucunes raisons de rester ici. Il pouvait repartir quand il le souhaitait et elle ne soupirait pas être la raison de son départ. Elle voulait le garder pour elle seule et ne pensait pas nécessairement que les autres feraient d’apprenne qu’il était avec elle. Elle ne désirait pas le faire quitter et se demandait la meilleure manière de persister ses raisons de rester le plus longtemps qu’elle pouvait ambitionner.

De quoi devrait elle discuté, comment conserver son attention sans l'agacé et sans l’ennuyé. Aimait-il rire, désirait-il sortir d’ici le jour ou rester au bar la nuit. Devait-elle lui laisser le plus de temps possible avec lui-même et être avec lui seulement quelques heures dans la journée. Elle ne voulait pas prendre trop de place et le harceler, ni l’effrayer tel une bête sauvage. Si elle souhaitait que tout se passe aussi bien qu’hier et même mieux, ce sera un équilibre qu’elle ne devra pas bouleverser ou bousculer. Ces questionnements la rendait nerveuse et de trop s’en faire n’arrangerait rien et elle opta pour laisser les choses se passé tel qu’elles se dérouleraient. D’une manière ou d’une autre, s’il partait, elle aurait beaucoup plus de temps et pourrait recommencer à voyager, rester enfermé ici n’est peut-être pas la meilleure solution non plus si elle réfléchissait trop. Une ou l’autre des possibilités, elle pourrait se sentir admirablement bien et se rétablir d’autant plus.

Sous ces réflexions qu’elle trouva tout de même vaines. Elle se leva pour replacer les couvertures de son lit. La pièce était à présent très confortable et elle ajouta du bois au feu pour qu’à son retour la chaleur continu de persister. Elle fi le tour de sa chambre pour apprécier encore une fois comment elle était adéquate et impeccable. Elle se pencha pour regarder sous les rideaux pour contempler la lune qui était déjà bien haute dans le ciel. Le vent faisait encore rage et les arbres pliaient sous ses secousses. Manger ici serait possiblement une excellente solution pour ce soir. En se redressant, elle se dirigea vers la salle de bain et rattacha ses cheveux proprement devant le miroir. Elle espérait maintenant le revoir. Enjoué par cette idée, elle ferma les lumière et sortie de sa chambre.

Le couloir était sombrement éclairé et elle pouvait retrouver un autre type de tapisserie beige à motif fleurie du même genre qu’elle avait pu fixé toute la journée dans sa chambre. Ça semblait être peut-être le thème de la maison qui voulait rappeler le court été qu’ici la neige perpétue à recouvrir le sol. Elle emprunta l’escalier qui menait à la réception. De nouveau, elle retrouva l’homme endormi dans son livre. C’était sans doute son passe temps favori. Elle entendait les bruits d’ustensiles du restaurant de l’étage et contourna le comptoir pour prendre les l’escalier su sous-sol.

Après avoir descendu quelques marches, elle sentit brusquement quelqu’un saisir son poignet qui effleurait la rampe. Le touché était froid et dure. Étonné, elle se retourna pour apercevoir la main métallique qui soulevait désormais son bras. Souriant elle se retourna pour voir la personne qu’elle connaissait indubitablement qui l’avait surpris. En rencontrant ses yeux rouges qui étaient accentué par les lueurs dans la pénombre, il lui dit :

« Je te propose d’aller manger avant de descendre. » Il avait un ton invitant et elle acquiesça à sa demande.

« Tu as essayer de me faire peur et tu as bien réussit… Je croyais d’avoir à faire débouler les marches à quelqu’un… » Dit-elle en riant. Toujours en retenant son bras, il pivota sur place qui eu comme effet de la rediriger vers l’étage.

« Tu as l’air mieux… » Elle acquiesça encore à son affirmation.

« Est-ce que tu as eu une belle journée? » Lui demanda t-elle.

En la guidant devant elle et relachant sa main une fois qu’elle y était, ils joignirent le pas vers l’entré du restaurant.

« J’ai été voir les montagnes… »

« Et comment étaient-elle? »

« …Au même endroit que tu les as vu la dernière fois, se dressant avec autant de prestance que nous les avions connu à l’époque… » Ils arrivèrent au portes.

« Ça avait été vraiment difficile à ce moment… probablement qu’aujourd’hui je les apercevrais d’un autre œil. » fit-elle en se retournant vers lui qui observait l’endroit pour désigner l’emplacement idéal près de la fenêtre. Peu de clients étaient présent, pour la plupart sans doute des visiteurs assis à la même table. Ils discutaient fortement et semblait avoir beaucoup de plaisir. La serveuse leur fi signe de prendre place. Il tira sa chaise, tel que la veille, puis elle pris gracieusement place. De nouveau, elle retrouvait le même décor qu’au second étage. Vincent dévisageait la tablé de gens comme s’ils le dérangeait.

Il croisa ses bras devant lui. Elle remarqua son visage changé, puis un léger sourir apparu sur ses lèvres. « Et comment fut ta journée » dit-il entre son sourire qui s’éteint aussitôt.

« J’ai profiter de mon temps… j’ai réfléchit et j’ai compris bien des choses… » Il la regarda silencieusement pendant un lapse de temps, son visage redevenant froid.

« Est-ce qu’il est arrivé quelque chose de grave au Seventh Heaven? » La questionna t-elle.

Elle rétorqua aussitôt : « Non, absolument pas » Elle pris un air surprit attendant l’explication à sa question.

Il s’avança vers elle sur la table comme pour lui chuchoter. « Tu as toujours su avoir un moral exceptionnel… Je me demandais s’il était arrivé quelque chose pour que tu ailles une envie si subite de quitter… » Il sonnait préoccupé.

À cet instant, la serveuse se présenta devant eux avec les menus à la main. Vincent se redressa sur son dossier et Tifa lui sourie grandement alors qu’elle déposa ces derniers devant eux sur la table.

« Aimeriez-vous boire quelque chose? »

Elle allait parler alors que Vincent, sans jamais lever les yeux vers leur hôtesse, commanda deux apéritifs. La serveuse hocha la tête et repartie aussitôt. Tifa rabaissa la sienne vers lui, étonné de son initiative. Il avait toujours été un fin buveur et connaissait ses goûts en matière d’alcool.

« Merci, très bon choix… » Et pour retourner à sa question, « Tel que je l’ai dit hier, tout le monde va très bien… c’est simplement moi je crois… Je voulais partir justement, avant de perdre ce moral… »

« Est-ce possible… » Répondit-il. En le regardant, elle cru comprendre que cette réponse se devait d’être sarcastique…

Le sourire persista sur ses lèvres et elle repris un air sérieux pour continuer. « Je voulais penser à moi, tout d’abord... avant de m’écrouler et perdre patience... » Elle fixa le sol « Je voulais ce bar et je l’ai eu. Ça ne me faisait plaisir de m’occuper des enfants et je réussis bien. Mais je suis incapable… d’endurer Cloud… » Elle pris une pose. « Je m’en fait trop pour si peu. Je sais bien que je ne devrait pu me torturer avec quoi que ce soit qui ait rapport avec lui, mais je ne peux m’en empêcher. » Sur ce, elle respira calmement, ce qui donna assez de temps à la serveuse pour revenir et déposer leur breuvage.

« Este vous prêt à commander? »

Tous deux commandèrent leur repas et elle retourna aux cuisines. Avant qu’elle ne recommence à s’expliquer, il demanda.

« Est-ce que tu l’aimes encore? » Ces mots avaient été prononcés silencieusement, comme s’il voulait l’épargner de la blesser. Elle le regarda, elle fit signe que non, pris un instant pour recommencer;

« … enfin, je ne devrais pas… Au travers le temps, je me suis bien résolu à ne plus l’aimer, et non pas par choix. Ça s’est fait tout seul, j’ai cesser de rêver à lui. Il n’était pas ce que j’aimais et ne pourrait pas le devenir… Je me demande même si auparavant, ça n’avait pas été que de la compassion que j’éprouvais pour lui… » Elle pris une gorgé de son verre puis apposa sa tête entre ses mains pour ensuite retrouver son regard. Il tenait son verre devant son visage et la scrutait. Elle poursuivit, « Le temps à bien fait les choses je crois. Malgré tout, je ne cesse de m’inquiéter pour lui… Changer d’air m’aiderait peut-être à oublier. »

« Changer d’air de résoudra rien, tout reprendra place après une certaine période suivant ton retour dans cet environnement. Tu ne pourras pas oublier... Tu dois complètement le sortir de ton esprit »

« Mais comment y arriver? »

« Une blessure ne se guérit pas aussi facilement, elle peut revenir aussi rapidement une fois que tu crois qu’elle est rétablie… Il faut occuper ton esprit à autre chose, le remplacer. »

Elle soupira, elle trouvait ces mots bien abstrait et plus facile à prononcer qu’à faire. Il reprit :

« Je crois que je peux comprendre ton état… et aussi le sien… C’est certain qu’il ne souhaite en aucun cas te faire de mal. Il se cherche lui-même, je l’ai fait aussi et tu le fais présentement. Après ce que nous avons tous vécu et ce qui nous réuni maintenant, c’est simplement normal de douter de ses convictions. La réalité est quelques fois trompeuse. Des choses se produisent qu’on ne s’attend pas nécessairement et d’autres choses n’arrivent jamais qu’on patiente éternellement pour détenir. Tu sais déjà que tu dois cesser de patienter, mais malheureusement tu persistes à le faire… mais en te préoccupant différemment. » Il regarda à l’extérieur, attirant son regard vers la même direction. Le vent soulevait une délicate poudreuse de neige et la faisait danser devant eux. En portant attention, elle pouvait entendre son sifflement contre l’auberge. La lune reflétait sur le décor extérieur et la nuit semblait très claire. Le paysage était exceptionnel. Personne en vu, les gens étaient tous dans leur abris respectifs et les cheminés boucanaient. La pièce aussi était froide, elle avait les doigts gelés. Elle les cacha entre ses cuisses pour les réchauffer. Elle vit son propre reflet contre la vitre. Elle se trouva le dos recourbé et un air plutôt déprimée. Voyant le silence, elle songea à ce qu’elle avait réfléchie plus tôt. Elle se redressa, sourie et repris la parole.

« Merci Vincent »

Aussitôt, il ajouta rapidement, en voyant la serveuse arriver avec leur plats. « Tu trouveras toi-même la réponse à tes propres questions… éventuellement. »

Elle déposa les assiettes à leurs endroits respectifs. Ils mangèrent tout deux avec appétit, n’échangeant que peu de phrases au travers le repas.

Quelques secondes après qu’elle ait terminée, Vincent qui semblait toujours agacé par les autres clients bruyants, se dressa et dit :

« Allons tout de suite en bas. »

Ne lui laissant pas le temps de répondre, ni de se levé il se dirigea vers la caisse pour payer la note. Elle le rejoignit à la sortie.

Avant de reprendre le pas, il déposa sa main droite sur son épaule tel que la veille.

« Je suis heureux que le hasard nous a permit de se retrouver ici Tifa. » Elle sourie.

« Moi aussi, je suis contente de ne pas me retrouver finalement seule et de t’avoir retrouver. » Il inclina quelque peu la tête en descendant les yeux, son visage ne changea pas et il la conduisit jusqu’à l’escalier avant de retirer sa main. Descendu en bas, ils reprirent la même table qu’hier, qui se situait au fond et beaucoup plus retirée que les autres. Il s’y trouvait plus de gens que la veille, mais l’ambiance était toujours aussi calme. L’homme en charge les salua et leur apporta leurs consommations.

Il lui demanda : « Comment se porte Shelke? »

« Très bien, elle s’est adaptée très rapidement… Je la vois même fréquemment, je lui rends visite et elle vient nous voir en fin de journée. Reeve lui a trouvé un emploie dans ce qu’elle excelle le plus. Elle semble beaucoup appréciée. Elle est heureuse d’avoir une occupation… »

« Très bien… » Il regarda au loin puis demanda : « Te parle t’elle de moi parfois. »

« De temps à autres… nous avons discuté à quelques reprises de ses expériences, de Shalua… De toi… et de Lucretia… » Sachant que ce sujet pouvait être une corde sensible, elle évita de développé.

Sur ces mots, il se retourna vers elle et répondit : « Qu’à t-elle dit? »

Voyant qu’il demandait, elle continua; « Elle dit qu’elle te respect beaucoup et qu’elle est redevable de tout l’aide que tu lui a apporté et la considération que tu lui as offert. Et quelques fois… elle mentionne des souvenirs de Lucretia par rapport à toi… Mais je n’en sais que très peu… » Elle pris le temps de boire. « Je pense que tu devrais revenir la voir pour prendre toi-même de ses nouvelles… » Il la regarda en se redressant contre sa chaise.

« … un jour.. » marmonna t-il…

Sur cette réponse, elle le dévisagea, tentant de comprendre la signification de cette étrange phrase qu’elle considérait comme mauvaise suite à ce qu’elle venait de dire sur son sujet. Il bu d’un trait le restant de son verre. Elle fi pareil et chercha le serveur des yeux.

Ils reprirent peu à peu leur discussion, parlant de tout et de rien. Vincent lui parla de ce qu’il avait vu au travers ses voyages et comment tout le monde dans les villages se rétablissait. Tifa lui parla de ce qu’elle avait appris de nouveau sur leurs autres compagnons lors de leurs visites au bar et des faits cocasses qui leur était arrivé. Plusieurs heures passèrent et l’heure de fermeture approchait. Elle réussit même à faire rigoler Vincent en parlant de querelles entre Yuffie et Cid ou Cid et Barret. Elle conversa de ses clients, de ses éventuels projets…

Puis elle mentionna la City of Ancients qu’elle avait traversé jusque avant de se rendre ici.

« J’ai trouvé l’endroit inconfortable et je me suis senti beaucoup mieux une fois que j’en était ressorti. » avoua t-elle. « J’ai peine à croire que tu apprécies cette place…˙ »

« Je m’y rend pour me ressourcer, l’histoire qui s’y rattache est très grande et sans parler du paysage et de tout ce qu’on peut y découvrir… »

« Je crois que pour moi… ça restera toujours le tombeau d’Aeris… Je préfère me souvenir d’elle dans d’autres situations. »

Un silence s’installa. Alors qu’elle regardait ailleurs elle rencontra ses yeux rouges.

« Pourquoi voulais tu me retrouver particulièrement? » dit-il intéressé.

Elle se senti nerveuse, comme si elle avait avoir à faire une confession. La façon qu’il lui demandait semblait vouloir lui demander des aveux « … Je voulais te revoir… Je voulais savoir ce que tu devenais… » Gêné, elle fixa le sol. « Quand tu repars, à chaque fois je me dis que tu n’as que peu d’intérêt envers nous et que c’est probablement la dernière fois que je te revois. » Elle leva les yeux sans bouger sa tête en souriant à moitié. « Je ne veux pas te faire sentir comme si tu étais obliger de venir et je ne veux surtout pas t’harceler. Tu as ton rythme de vie et je comprends… Mais j’apprécie beaucoup que tu sois dans mon entourage… ça me fait du bien. Tu as un peu le rôle d’un médiateur entre mes pensées et moi-même… Enfin, je ne sais trop comment l’exprimer. »

Avec son gant de métal, il saisit sa main sur la table qui eu comme effet de réclamer toute son attention. « Alors, je reviendrai te voir Tifa Lockhart. » Ils se regardèrent pendant un instant. Elle se senti frissonné par son touché et était hypnotisé par son regard. Elle se sentais flattée par sa réponse et même si elle était embarrassé d’avoir parlé de ce sujet, il la consolait de son simple touché. Doucement, comme s’ils jouaient à soutenir un regard sérieux, il rompit le silence en rigolant et se redressant à son dossier.

« Il ne faudrait pas que tu commences à t’inquiéter pour moi aussi, tu n’auras bien vite plus d’espace pour toi-même dans ta tête… » Il repris son air et se pencha de nouveau sur la table en baissant le timbre de sa voix. « Tu ne dois à présent t’inquiéter que pour toi-même… Je suis prêt de toi aujourd’hui et tu seras prêt des tiens bientôt. Laisse toi faire, laisse les choses te porter tel qu’elles arrivent. Tu as si bien su t’en sortir jusque hier et tu sauras le faire à l’avenir. Cesse de vouloir être trop méthodique par rapport au gens qui t’entourent, on ne peut contrôler personne. » Il perpétuait toujours le même regard sur elle. Elle respirait plus fort, ne sachant que répondre, mordillant sa lèvre inférieure. Elle sentait les larmes montées à ces yeux, elle se sentait désespérée, mais touchée par toute son attention. Il reprit sur la même intonation :

« Je reviendrai te voir… Tu demeures ma principale raison pour revenir au Seventh Heaven. Chaque fois que je repars, je me dis que je reviendrai un jour. »

Elle ferma les yeux doucement en souriant, maintenant gênée de nouveau, mais par ses déclarations. Elle les ouvra pour retrouver les siens qui la fixaient toujours.

« Fais-moi confiance et nous allons nous retrouver ici demain. Nous devrions aller dormir maintenant. »

Ils remontèrent les marches en silence jusqu’à les portes de leurs chambres.

« Encore une fois, merci pour hier... J’ai réellement eu de la chance que le hasard ait bien faite les choses et que ce soit toi qui m’est retrouvé…»

« Tifa, quand j’ai remarqué une silhouette au sol, et puis que j’ai aperçu que c’était toi, j’ai eu peur… J’ai vu que tu ne te réveillais pas et que tu étais fiévreuse. Je t’ai mené jusqu’ici en espérant que tu te rétablisses. Je suis resté à ton chevet pendant quelque temps, évaluant que tu te remettrais rapidement… » Il fixa la porte de sa chambre. »
« ... je suis désolé, j’ai pris l’initiative de retirer tes vêtements pour t’aider à améliorer ta situation… »

« Ça ne me dérange pas Vincent, j’étais mal à l’aise à la penser qu’un inconnu l’avait fait, mais je suis rassurée que ça ai été toi et que tu ai pris la peine de prendre soin de moi. … Merci … »

« … À votre service » Sur ce, il s’inclina quelque peu et releva la tête et elle pu apercevoir un sourire qui lui donna de légers frissons. Elle sourie à son tour et rigola à ses manières.

Elle avait envie de le serrer contre elle et comme la veille, le pris dans ses bras puis, déposa la tête sur son épaule. Elle aperçut tel qu’hier, son hésitation, mais il baissa le menton contre sa tête et déposa ses mains dans son dos. Il la serra légèrement contre lui. Elle trouva son geste fort réconfortant. Il sentait bon et ils continuèrent l’étreinte plus longtemps. C’était paisible de se sentir touché par un homme, par lui. Elle se sentait petite entre ses bras et pensait combien chanceuse elle était. Toutes les discussions de la soirée, lui donnaient l’impression d’être plus proche encore. Elle pouvait ressentir son étreinte qui lui était retourné et la pression qu’il exerçait contre elle. Peut-être ça lui faisait du bien également et elle songeait à ses derniers aveux qu’elle était fière d’avoir entendu. Il la considérait pareillement, tel que Shelke avait mentionné pour sa part. Derrière cette cape, qui dissimule son visage, pareille à une enveloppe qu’il referme autour de lui pour ne pas être blessé, elle réalisait qu’il avait plus de sentiments qu’on ne pourrait l’imaginer.

Elle releva les yeux vers lui, les siens étaient clos, puis lentement il leva la tête en les ouvrant avec son air impassible comme à l’habitude qui était revenu, il la fixait. Elle se leva sur la pointe des pieds pour déposer un léger baiser sur sa joue et découvrir de plus près son visage. Automatiquement elle recula, pensant hypothétiquement avoir commis une bêtise, mais en gardant son sourire, elle se dirigea rapidement vers la porte de sa chambre en lui souhaitant la bonne nuit. Encore, il demeura ou il était en redescendant les bras, il lui souhaita la même chose avant de disparaître derrière sa porte.

Dans sa chambre, elle se sentait encore trop éveillée pour dormir et se mit à réfléchir. Elle avait encore envie de parler avec lui. Il peut encore avoir le goût de parler aussi, il croyait sans doute qu’elle était encore épuisée de son incident. Au contraire, elle se sentait en pleine forme, elle s’était suffisamment rétablie. Jamais ils n’avaient tant discuté auparavant et plus il est à l’aise, plus il s’ouvre à elle et plus elle veut en connaître. Sur sa vie, son passé, ce qu’il traverse, ce qu’il a vu, ce qu’il veut faire, ce qu’il pense, comment il la perçoit.

Un petit tour devant le miroir de la salle de bain pour voir si tout était parfait. Elle rajusta ses cheveux et recula les mèches, dissimilant son visage, derrière ses oreilles. Elle sourie devant son reflet et s‘observant soigneusement elle fut satisfaire. Sortant de la petite pièce, excitée, elle s’arrêta avant d’ouvrir la porte de sa chambre.

Pourquoi…, voulait-elle le charmer... Réalisant son récent agissement, autant la manière qu’elle l’avait serré contre lui et ce que ça avait éveillé, que la manière qu’elle venait de se regarder contre la glace. L’idée était un peu rapide. Elle ne voulait possiblement pas s’avouer qu’il lui plaisait… Il a été si réconfortant et c’est le seul qui a fait quelque chose pour elle depuis une longue période, aussi simple que ça avait pu paraître. Est-ce que c’était son mystérieux comportement qui l’attirait. Il l’avait écouté et aidé. Il l’avait sauvé du froid voilà à peine une journée pour la réchauffer. Elle s’était sentie délaissé et il lui avait remonté le moral. Déjà en quelques heures, il lui avait offert beaucoup plus qu’elle ne s’attendait de sa part. Rien ne s’était passé comme prévu et tout s’est déroulé pour le mieux. Dans tout les cas… jusqu’à maintenant.

Elle se sentait allumée comme une jeune fille, elle percevait sa culotte trempée et chaude. Est-ce qu’elle le désirait. Elle n’avait jamais osé y songer. Étais-ce par pitié ou par compassion tel qu’elle l’avait mentionné de la part de Cloud… Voulait-elle l’aider? Un être qui a été torturé et infiniment déçu, jusqu’à se tourmenter lui-même perpétuellement. Est-ce que c’était sur un coup de tête, sous les émotions de la soirée. L’avait-elle toujours perçu de cette manière sans le réaliser. Ce qu’elle avait ressenti lors de leur accolade, est-ce que c’était de l’envie?

Elle ne savait pas, trop de questions sont venus et la rendit nerveuse. Elle redouta de l’idée d’aller le rejoindre dans sa chambre. C’était probablement trop personnel, que penserait-il… Elle ne voulait pas lui créer d’idées ou ouvrir d’autres portes sous l’excitation du moment, qui vaudrait mieux de rester fermé. Elle ne voulait rien gâcher, surtout pas cette nouvelle relation qu’elle chérissait présentement.

Son hésitation la fit reculer jusqu’à son lit. Il ne vaudrait mieux pas. Elle décida qui fallait mieux tâcher de dormir et de ne pas trop se perturber de cette situation. Elle pourrait prendre la nuit pour remettre son esprit en place. Elle le reverrait demain soir et ça serait résolu. Elle voulait tout voir clair. Sans doute que depuis la veille, vu son état physique, ses pensées s’étaient embrouillées. Elle n’aurait besoin que de quelques temps pour que tout redevienne dans l’ordre. Tout comme il lui avait dit. Il ne fallait pas qu’elle se torture ainsi.

Étendu sur son lit, elle ne trouvait toujours pas le sommeil. Elle se releva pour s’étirer et bouger ses muscles engourdis. Elle repartie le feu qui s’était éteint durant la soirée. Penchée devant l’âtre, elle pensa qu’elle pourrait lire pour passer le temps. Probablement qu’à la réception, elle pourrait emprunter un livre ou une revue. Elle méditait encore à son sujet et voulait se changer les idées. Décidée, elle se dirigea vers la porte qu’elle ouvrit rapidement.

Il était derrière la porte, torse nu, ne revêtant que ses pantalons, silencieux. Elle sursauta intérieurement et des tonnes d’idées lui vinrent en esprit. Il ne semblait sûrement pas venir simplement discuter. Il avait bien évidemment d’autre aspiration à se présenter ainsi. Elle releva la tête vers son visage, caché dans la pénombre sous ses cheveux noirs. Ses yeux rouges reflétaient encore à la lueur de la lampe. Il était vraiment beau. Elle ne discernait aucune logique de le renvoyer. Elle se répéta qu’il était prêt d’elle aujourd’hui, tel il en avait tenu propos. Il déposa ses mains de chaque côté de son cou en rapprochant lentement son visage d’elle. Sursautant, parce qu’il venait de la saisir, elle le regardait ne sachant trop comment réagir et quel acte il allait bientôt commettre. Prise d’un frisson et d’effroi, elle releva ses mains pour attraper ses poignets. Son visage près du sien, elle pouvait y admiré les détails à la clarté, dont elle n’avait jamais eu l’opportunité et la chance de voir de si près. La manière que sa mâchoire était découpée, si parfaitement, la peau de ses joues et de son menton semblait si douce, sans aucuns défauts et ses lèvres qui se tenaient si près des siennes. Elle sentait sa respiration chaude sur son visage. Il la regardait, observait ses propres détails et semblait attendre un réflexe de sa part, mais il la fascinait de crainte

En se rabaissant, il déposa un léger baiser sur ses lèvres, observant quelques secondes la réaction de Tifa qui ne bougeait pas. C’était bien ce qu’elle appréhendais, il se trouvait réellement devant elle, c’était tangible, elle l’avait bien senti, il lui avait donné délicatement un baiser. Elle ferma ses yeux dans l’attente de la suite et cessa de se poser des questions, s’abandonnant complètement à ce qui se produisait. Il recommença de nouveau un autre baiser puis, demeura sur ses lèvres qui se mirent à bouger lentement. Elle s’avança, pivotant quelque peu sa tête, elle entrouvrit la bouche pour l’embrasser aussi. Il savourait ses lèvres, aspirant doucement celle-ci entre les siennes, elle entreprit la même chose. Elle ouvrit un peu plus ces dernières, elle se sentait saliver à l’idée de le déguster tranquillement. Son initiative éveilla apparemment le même désir en lui tandis qu’il la tira quelque peu dans sa direction.

Elle entendait le feu crépiter derrière eux. Il l’embrassait, elle avait peine à y croire, et elle l’embrassait à son tour. Ses lèvres étaient bonne, sa salive chaude. Elle se sentait lié à ces dernières, elle aurait voulu qu’ils demeurent de la sorte sans fin. En même temps que l’étreinte se refermait lentement, il lui fit goûter à sa langue et elle fi pareil. Elle lui appartenait complètement, il l’avait touché encore plus profondément. Ils continuèrent de s’embrasser tandis qu’il descendit ses mains de sa tête, jusque dans le bas de son dos. Elle se sentait libérée de ses tourment, quoi que nerveuse à l’idée de ce que Vincent avait eu l’audace d’entreprendre. Les mains de Tifa se déposèrent sur son ventre chaud jusqu’à son torse. Il était fort et solide, elle pouvait sentir à quel point ses muscles étaient durs. Ses mains glissèrent ensuite derrière lui et l’espace entre leur corps fut éliminé et leur baiser devint plus intense. Elle le connaissait depuis si longtemps et il avait franchi la barrière qu’elle n’aurait jamais osé dépasser. Il respirait plus fort et il l’a fit reculer de quelques pas pour être capable de refermer la porte derrière lui d’un coup de pied. Le sentiment était étrange quoi qu’elle se sente littéralement emportée par son affection. Elle lui retournait avec joie et ça éveillait encore plus en elle. Plus qu’elle n’aurait pu le croire. Ils reculèrent ensemble jusqu’à ce qu’elle soit accotée au pied du lit. En y repassant, elle l’avait sans doute toujours désiré ce qu’il lui arrive. Ce n’était pas par manque d’affection qu’elle réagissait ainsi. Il ne remplaçait personne, c’était lui qu’elle exigeait.

Les mains de Vincent entrèrent sous sa camisole et elle sentit ses paumes chaudes explorer son dos. Il la touchait délicatement de sa main de métal froide qui la fit frémir quelque peu. Elle voulait le sentir encore plus. Elle ne voulait pas que ça cesse, juste un peu plus longtemps songeait-elle. Au travers leur baiser passionnant, ils se séparèrent un instant. Le front de Vincent reposait sur le sien, elle remarqua qu’il demeurait les yeux fermés, la bouche légèrement ouverte, le souffle chaud encore sur son visage. En l’observant, elle senti les larmes montées. Elle ne comprenait pas la raison pour laquelle elle pourrait être chagrinée, mais c’était en fait des larmes de contentement et de jouissances. Il descendit ses mains sur ses fesses doucement mais fermement. Dans toute sa courtoisie, elle savait qu’il l’attendrait. Il semblait patienté pour son approbation. Elle était dans un élan de passion et ne voulait que ça ne cesse juste là.

Il la poussa solidement contre son bassin et elle sentit pertinemment son membre en érection dans son pantalon. Il la surpassait, elle adorait ses initiatives. Pour lui faire comprendre qu’il pouvait l’entraîner dans la n’importe qu’elle folie qu’il exigerait, elle lui répondis d’un ardent gémissement en souriant. Elle releva une jambe entre les siennes pour mieux le sentir contre elle. Ses mains vinrent s’accrocher derrière son cou pour se supporter. Elle avait attrapé du même coup entre ses doigts ses cheveux qui eu comme effet de lui démasquer davantage le visage. Il ouvrit les yeux, soupirant bruyamment de satisfaction, il se mit à la tâche de lui retirer sa camisole. Elle leva les bras pour lui permettre de la faire glisser au dessus de sa tête. Leurs yeux vinrent en contact pour un instant qui fit fondrent Tifa de désir qui gémit de nouveau en attrapant Vincent entre ses bras. Il pris doucement son menton entre ses doigts métallique pour relever son visage vers le sien. Une fois qu’il avait son attention il lui dit :

« Est-ce que c’est ce que tu désires? »

« Oh oui… » Elle s’empressa de chuchoter en dirigeant ses lèvres vers les siennes et refermant les yeux. Ils s’embrassèrent de nouveau et il abaissa ses baisers jusque dans son cou et ses mains vinrent détacher sa brassière, dont elle aussi aida à se défaire de son emprise. Elle était bien consciente de ses attributs, et se redressa pour les faire paraître à leur avantage. Ses mains descendirent lentement de chaque côté de son corps et empoignèrent ses seins pour les masser fermement. Le contact de son gant l’excitait autant.

Tifa releva la tête d’extase en gémissant de nouveau, quand elle sentit ses lèvres se rabattre contre son abondante poitrine. Il embrassait ses seins gonflés et les savourait en léchant leur superficie. Elle pris dès lors l’initiative de lui retirer ses pantalons, qu’elle fit tomber au sol. En baissa les yeux vers lui, elle aperçu son érection qui était très apparente. Elle mouillait de plus en plus juste y songeant. Elle n’aurait jamais du hésiter d’aller le retrouver plus tôt et elle était déçu de ne rien avoir réaliser avant. Tandis qu’il suçait un sensible mamelon, il l’imita et lui retira sa jupe pour la laisser seulement en petite culotte. Après avoir savourer et caresser abondamment ses seins, il se redressa.

Après un regard, il la laissa tomber avec lui sur le lit. Au-dessus d’elle ils retrouvèrent leurs lèvres et s’embrassèrent de plus belle. Il rapprocha son corps de nouveau pour lui faire sentir son impatiente érection contre son ventre. Elle comprenait désormais pourquoi il l’attirait tant. De ses mains, elle parcouru son dos jusqu’à ses fesse. Il se releva et lui donna une chance d’atteindre son membre brûlant qu’elle attrapa de ses deux mains sous ses boxer. Elle pouvait observer son visage dont un coté était découvert de cheveux et éclairé par la lampe de chevet. Il détacha s’est lèvres un instant :

« Je te veux » dit-il.

« Alors prends-moi… » le temps d’un soupir, « …maintenant », Elle voulait profiter de cet instant et se laisser porter par les évènements tel qu’ils arrivaient, comme il lui avait ordonné de commettre. Elle se demanda si sous ses abstraits discours, c’est ce qu’il avait subtilement voulu lui faire interpréter.

Les mains de Vincent descendirent de nouveau à ses seins, jusqu’à son ventre et il enfila sa main droite dans sa petite culotte. Elle sentait ses griffes l’égratignée sur leur parcours. Il la touchait plus férocement, sans doute guidé par son appétit. Il touchait son vagin, passant ses doigts autour, dessus et enfin sur son entrée. Son index s’effleurant ses lèvres et s’aventura humidifié entre celles-ci. Il la caressa en se retournant vers elle, pour dévoilé un malin sourire. Il prenait plaisir à la faire patienter. Elle espérait qu’il y enfonce un doigt et qu’il lui donne délicieuse satisfaction.

Maintenant relevé à côté d’elle, il observait son visage pour la voir gémir de plaisir et d’envie. Il retira le dernier obstacle qui l’empêchait de la contempler entièrement. Elle était apparemment toute mouillée. Enfin, il retourna ses doigts ou ils étaient et introduisit lentement un ce ceux-ci. Toujours en l’agaçant, il le laissa ou il était, fixant ce dernier. Il en entra un second. En continuant de la caresser de l’autre main, il empoigna un sein qu’il serra plus fortement. Elle appréciait son toucher et contrairement à ce qu’elle aurait pu croire, son gant la stimulait abondamment.

Elle gémissait maintenant d’impatience. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, il retirait ses boxers et relevait ses jambes en se plaçant entre celles-ci. Retombant sur son corps, il l’embrassa sur les lèvres et elle retourna son baiser avec passion et hâte. Elle sentait son pénis chaud et gonflé sur son ventre. Plus rien ne les séparait maintenant. Elle n’en pouvait plus, elle voulait le sentir à l’intérieur d’elle. Il goûtait si bon, il sentait si bon et ne pouvait attendre plus longtemps pour qu’enfin il la possède. Il se redressa au dessus d’elle pour venir frotter de son gland l’entrée de Tifa, il l’agaçait encore. Elle le percevait trop bien. Ça faisait si longtemps que ça ne lui était pas arrivé. Non pas parce qu’elle n’avait pas eu la chance, mais par choix. À cet instant elle ne voulait plus l’enduré, c’est lui qu’elle désirait. C’était elle qu’il avait désignée.

Il poussa légèrement et l’abondance de liquide le fit glisser parfaitement dans sa fente. Lentement, il entreprit de s’introduire complètement en elle. Elle n’avait pas réalisé à qu’elle point il était bien membré. Il retenait ses cuisses bien écartées. Il s’infiltra de tout son long dans son entré qui s’élargissait sous la pression. Elle gémissait d’extase. Il ressorti presque en entier pour revenir la percuter plus fermement. En ouvrant les yeux, après avoir subi son premier coup de bassin, elle releva la tête pour le contempler. Il la fixait du bout du lit, d’un air sérieux. Immobile, il semblait prendre un grand plaisir à l'examiner se tordre d’envie pour lui. En effet, il la torturait.

En glissant ses mains sous ses genoux pour relever ses jambes, il recommença lentement un mouvement de va et viens. C’était étonnant à qu’elle point elle voulait le ressentir davantage. Il ressortie complètement d’elle pour y retourner rapidement. Il leva la tête et gémit à son tour pour continuer de plus bel sa lancée. Au bout d’un instant, elle se redressa quelque peu pour venir toucher son ventre ardent et suivre les déplacements de ce dernier. Tout en poursuivant, il s’avança au dessus d’elle en déposant les mains sur le lit, de chaque côté de son corps pour ensuite l’embrasser. Elle ne pouvait se passer de ses lèvres, il était vraiment doué. Elle déposa une main derrière elle pour se retenir et caressa ses muscles fermes de l’autre. Alors que le baiser s'amplifia, il accéléra quelque peu la cadence. Elle se resserra contre lui pour le sentir au maximum. Il redescendit la tête pour se concentrer à sa tâche. Elle gardait la bouche légèrement ouverte, laissant s’échappé de torrides respirations. Elle le vit serrer les dents alors qu’il la cognait plus intensément. Elle laissa s’échapper une expression de plaisir à haute voix. Puis, il la saisit par son dos avec son bras gauche pour la rapprocher de lui. Il commençait à respirer plus activement et de plus en plus, gémir sourdement. Il ne semblait pas se déplaire de la situation. Il la serra contre lui, ses seins frôlant son corps sous les rebondissements qu’il lui offrait. Elle profitait du fait qu’ils étaient si prêts pour le toucher et découvrir son corps. Elle palpait ses bras, jusqu’à son cou pour lui décacher le visage des cheveux qui retombait vers l’avant. Il la regarda, haletant silencieusement. Au travers ses yeux, elle pouvait lire davantage qu’elle n’en n’avait jamais eu l’occasion dans le passé. Ceux-ci semblaient à l’ordinaire insensibles et elle pouvait à son grand plaisir, y voir maintenant du désir envers elle. Elle avaient saisit ce qu’ils voulaient bien laisser transparaître. Il les referma pour rabaisser la tête. Il la laissa retomber contre le lit, pour reculer son bassin et ainsi sortir son membre. Il s’avança au dessus d’elle tel un lion au dessus de sa proie. Elle aurait bien souhaité qu’il la dévore cruellement. Il baissa son visage contre ses seins qu’il lécha langoureusement, palpant celui qui était délaissé de ses mains. Elle l’attrapa par les épaules pour l’entraîner vers ses lèvres et elle lui retourna les coups de langue qu’il lui assenait voilà quelques secondes. Elle tâtait son ventre pour retrouver son pénis dont elle saisi le gland du bout de ses doigts pour le caresser. Il sépara ses lèvres du baiser et déposa sa tête dans son cou pour chuchoter de manière presque inaudible son nom. Il retourna entre ses jambes qu’il sépara en conséquence et les souleva devant lui.

Lentement, il se réintroduisit à l’intérieur d’elle sans avoir à diriger son membre toujours plus ferme que jamais. Il glissa ses mains de ses cuisses jusqu’à son ventre. Il souriait de nouveau à la voir ainsi. Il accéléra le mouvement de son bassin qui devint de plus en plus coriace. Elle voyait ses seins rebondir sous les chocs et à chaque fois que son corps la percutait sauvagement. Elle le regarda avec des yeux qui demandaient pitié, tout comme si elle appelait à laide. Mais le réel message sollicitait de la dominer toujours aussi fortement. Ses mains glissèrent jusqu’à ses seins, qu’il serra fermement entre ses doigts et ses griffes. Il lui donna quelques coups qui frôlaient quasiment la douleur, pour ralentir le rythme brusquement. Une fois que le débit avait presque complètement cessé, il se releva sur ses genoux. Il observait la pénétration avec attention. En attrapant ses jambes, il sortie totalement, pour soudainement s’introduire en elle sous une nouvelle collision. En ne détachant pas la vision, il répéta cette action à quelques reprises pour recommencer à la posséder pareillement. Elle était enflammée et ne pensais plus a rien mis à part son membre qu’elle voulait sentir contenir plus que n’importe quoi. Elle gémissait continuellement à haute voix. Son corps était chaud, elle adorait sa présence. Il repris une mesure plus constante, mais cette fois-ci plus doucement en entrant à pleine à pleine capacité en elle. Il la faisait jouir, il se concentrait sur son plaisir. Elle se caressa doucement les seins sous le même entrain qu’il la prenait. En se penchant de nouveau quelque peu au-dessus d’elle, son allé évolua plus rapidement en gardant toujours comme principale tâche de lui donner ravissement. À son tour elle prononça son nom et elle conquit de la sorte son attention vers elle.

« En veux tu davantage? » dit-il.

Elle fit signe que oui. Il sortie entièrement de nouveau, mais cette fois-ci, saisit ses hanches pour la pivoter sur elle-même, elle fit tel que réclamé, elle lui faisait intégralement confiance. Une fois à quatre patte, il se rapprocha d’elle et caressa son vagin. Du liquide jaillissait de sa fente. Elle mouillait toujours et il y introduisit deux doigts qui glissèrent parfaitement. Il lui caressait les fesses avec sa main métallique. Elle renouvela ses lamentations sous le mouvement de va et viens qu’il répétait en elle. Sans qu’elle ne voie ce qu’il allait faire, il la pénétra brusquement avec son membre toujours aussi dure. En retenant ses fesses, il persista à la prendre farouchement. Elle aurait aimé qu’il puisse continuer de cette manière à perpétuité. Ses mains s’emparèrent de ses hanches pour la cogner contre lui. Elle espérait qu’il prenne tout le plaisir qu’il pouvait souhaiter. Elle lui permettrait tout ce qu’il tenterait de lui faire, ambitionner tant qu’il pourrait et récolter tout ce qu’il pourrait convoiter. Elle se retourna pour le voir de toute sa grandeur. Elle serrait les dents, en échappant des cris, qui devait sans doutes garder les voisins conscient de ce qu’elle subissait. C’était impeccable et presque divin, jamais elle n’avait ressentie tel plaisir et personne n’avait su jouer d’elle de la sorte. Les fictions et fantaisies de son imagination ne lui avaient pas permis antérieurement d’avoir et de réaliser un fantasme de ce genre. Ce n’était ni une illusion, ni une chimère, il était plus audacieux qu’elle aurait pu l’estimer et il renfermait davantage qu’elle n’aurait risquer le présager. Toujours en la possédant rapidement, tel une bête il se coucha sur elle. Il reposait sur ses bras contre le lit de chaque côté de son corps. Son ventre contre son dos, elle sentait sa chair bouillante et humide contre elle. Il continuait sans cesse de la percuter. Il soufflait sourdement en embrassant et léchant adroitement ses omoplates. Il attrapa un sein qui ballottait contre ses mouvements pour le tirer et le caresser solidement. Elle percevait ses cheveux frotter doucement contre son dos en même temps qu’elle encaissait ses percussions. Il gémit profondément et son timbre ressemblait pour ainsi dire à un grondement. Il se redressa, puis cessa de bouger. Il la saisit par les hanches pour lui octroyer quelques coups profondément en elle, qui la fit hurler de bonheur. Elle en voulait davantage, que ça ne cesse jamais. Il savait qu’il avait tout le contrôle et qu’il la dominait absolument. Il la baisait comme aucun homme ne l’avait fait avant lui. Il avait beaucoup d’endurance. Il la prenait sans arrêt par derrière. Il regardait sa tâche et semblait se réjouir de pouvoir la posséder ainsi. Pour raidir son corps, elle accrocha ses mains sur la tête du lit qui rebondissait sous leurs ébats. Il l’attrapa pour la serrer contre lui, maintenant assise sur son membre.

Il pris une pose, puis se retira. Il la saisi de nouveau par les hanches pour la guider autrement. Dans son mouvement hâté, elle perdit l’équilibre et tomba maladroitement vers le sol. Il lui volait toute son énergie et ses jambes étaient molles. Il la saisi rapidement dans son échappé, alors qu’il la déposa contre le tapis en la rejoignant également. Il la regardait, essoufflé, il regagna ses lèvres pour l’embrasser. Collée contre son corps chaud, il rejoint son membre pour le rediriger à son entré, qu’il poussa bientôt entièrement en elle. Doucement, il recommençait à bouger sous le rythme de leur baiser. Elle l’enveloppa dans ses bras et sur ce geste, il lui présenta quelques chocs un peu plus solides. Ils prolongèrent leur union en même temps que le feu se consommait paisiblement.

Il lui donnait tout ce qu’elle n’avait jamais reçu dans son lit. Il était finalement en train d’avoir un orgasme. Il retira son pénis le pris dans ses mains pour répandre le restant de son sperme sur son bas ventre. Une fois terminé, il s‘adossa contre le lit et ferma les yeux reprenant son souffle. Elle voulait le goûter, se redressant sur ses fesses, elle rejoignit son membre chaud et dégoulinant, qu’elle introduisit entre ses lèvres. A ce contact il ouvrit les yeux sans baisser la tête, il la regardait de haut alors qu’elle releva le regard vers lui en avalant les fluides mélangés qu’elle retrouvait. Une fois qu’elle eu terminer de tout nettoyer avec sa langue, elle se redressa en glissant ses mains sur son ventre pour venir reposer la tête sur son épaule. Il la pris sous son bras droit et referma l’étreinte autour delle.

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