L'éveil des sens

Et go pour le chapitre 3. Merci si vous me laissez des reviews ^^

Chapitre 3 : Première épreuve de soumission ou l'éveil de la douleur

Ce soir, elle semblait affamée. Mais Aizen avait une autre idée en tête. Il voulait savoir jusqu'où Hinamori était soumise à ses exigences sexuelles. Et cette nuit lui fournirait alors la preuve qu'elle était ou non telle qu'il la désirait, son esclave de plaisir.

Hinamori avait terminée de trier une pile de documents quand elle vit son Capitaine entrer dans la salle des Archives. Il tenait un petit paquet enveloppé dans un fin tissu pourpre.
"Taisho...
-Hinamori, ce soir, j'ai envie de m'amuser un peu." Lui sussura t'il à l'oreille.
Il la déshabilla rapidement avant d'ouvrir le petit paquet. Il contenait un loup de velour noir et des lanières de cuir.
"Taisho...
-Ne t'inquiète pas, je veux juste savoir si tu es vraiment obéissante."
Hinamori resta figée ; son Capitaine doutait ainsi d'elle? Mais avant qu'elle puisse protester, il lui mit le loup avant de lui nouer les mains dans le dos. Puis, elle se sentit porter et poser sur une table en bois. Il lui força à écrater les jambes, de sorte qu'elle sentit la rugosité du bois sur son sexe humide.Elle gémit.
"Taishoooo...
-Chuuut. Tu vas me montrer l'ultime preuve de ta soumission envers moi."
Puis, un grand silence se fit. La jeune fille se demandait se qui allait se passer. Elle se sentit vulnérable et la tentation d'appeler son Capitaine adoré l'effleura, mais elle se retint. Elle voulait tant lui plaire. Elle sentit alors un sexe forcer sa bouche. Elle ne résista pas. Pourtant, elle sut que ce phallus n'était pas celui d'Aizen. Plus fin, plus nerveux. Mais, docilement, elle suça cette queue inconnue. D'étranges sensations s'emparèrent de son corps. Elle souffrait. Elle voulait hurler tant son vagin se refermait douloureusement sur sa vacuité. Tant elle avait envie qu'on la prenne, qu'on la possède. Elle tenta de calmer les battements désordonnés de son coeur et continua d'aspirer ce membre qui remuait dans sa gorge. Soudain, sans crier gare, il l'aspergea de sperme. Hinamori ne put tout avaler et elle sentit le liquide chaud couler sur son menton. Brutalement, l'inconnu se retira de sa bouche. Durant un instant, elle se demanda ce qui allait se passer. C'est alors qu'elle sentit qu'on lui écartait son vagin, presque sèchement, la faisant mouiller. Puis, elle se mit à crier alors que ce sexe s'insinuait en elle.
"Je vous en prie, j'en peux plus..." Haleta t-elle, au bord de l'orgasme.
Une main se posa sur sa bouche. Elle se sentit plus misérable que jamais, malgré l'excitation qui allait croissant et menaçait de l'engloutir. C'est alors que quelque chose commença à titiller son anus. Elle voulut se débattre, protester, mais ses mains étaient si fermement liées et l'un des deux hommes la maintenait pendant qu'il l'empalait presque sauvagement, qu'elle se sentit impuissante. Pourtant, quelque chose d'encore plus inédit s'ouvrait à elle, la sensation de ne plus s'appartenir, d'être ainsi qu'un objet de plaisir à le merci des désirs de Aizen. Puis, presque délicatement, elle se sentit sodomisée.
"Ouiii!!! Je vous en prie!!" Gémit-elle.
Elle avait l'impression que son son vagin et son anus allaient exploser sous la poussée inexorable des sexes. Puis, les deux hommes accélérèrent la cadence. Elle se mit presque à crier mais, la main sur sa bouche l'en empêchait. D'elle-même, elle remua les hanches tant ce plaisr semblait nouveau et inédit. Tandis que l'un massait ses seins avec brutalité, l'autre la tétait, tout en continuant de brusques allées et venues. Elle n'atteint pas l'orgasme mais uen série de plages intenses de plaisir et de douleurs entremêlés de l'humiliation secrète de ne pas savoir qui lui faisaient ainsi l'amour. Mais cette pensée confuse se dissout dans un orgasme de cris feutrés où on lui permit de jouir. Puis, simultanément, les deux homems l'inondèrent de leurs spermes. Complètement épuisée, la jeune fille s'écroula sur la table, ignorant la douleur que lui infligeaient les liens de cuir qui serraient ses poignets. Ce fut à peine si elle entendit le second homme sortir de la pièce et qu'on lui enlevait le loup qui masquait ses yeux.

"Alors, ma petite douceur, murmura Aizen alors qu'il la portait, ce n'était pas si terrible?
-Non, taisho... Je veux juste vous faire plaisir.
-E bien, tu as été merveilleuse.
-Qui...
-Chuuut!! Ne me demande rien. Tu le sauras le moment venu."
Sans chercher à comprendre, elle se laissa allonger docilement, Aizen si mit sur elle avant de recommencer à lui faire l'amour. Il était insatiable. Mais cela ne lui déplaisait pas. Tout au contraire. S'abandonner à lui était la plus douce des voluptés.