Get Hermione Laid... encore! : Mission 2
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French › Harry Potter
Rating:
Adult ++
Chapters:
3
Views:
10,046
Reviews:
13
Recommended:
0
Currently Reading:
0
Category:
French › Harry Potter
Rating:
Adult ++
Chapters:
3
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Disclaimer:
I do not own the Harry Potter book and movie series, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.
Chapitre 3 : Essai concluant.
Get Hermione Laid...Again ! (Chapitre 3/9)
Titre : Get Hermione Laid : Mission 2
Chapitre 3 : Essai concluant.
Type : fanfic.
Défi : hors défi
Pairing : SS/LM/HG
Rating : NC-17.
Disclaimer : Harry Potter appartient à JK Rowling et l'histoire à fervesco.
Nombre de mots : 2726
Notes : Traduction de la fic de fervesco. Merci pour son autorisation....et surtout d'avoir écrit cette histoire !!!!
Merci à septentrion1970 pour le super beta. Même s’il ne faut pas trop la pousser pour le faire ^^ Lingam_elegans vous souhaite bien du plaisir ^^
Chapitre 3 : Essai concluant.
Un autre jour, une autre chance de résoudre mon… problème. D’accord, Sirius m’a procuré un léger soulagement la nuit dernière, mais je suis loin d’être satisfaite.
Merde. C’est samedi. Aucune chance de séduire Snape pendant le cours de potions. Bien, je vais devoir trouver d’autres options… n’incluant pas Lupin. Je vais lui accorder une semaine ou plus. En attendant, c’est une perte totale de temps et d’énergie que d’essayer.
Comme j’aimerais transplaner dans les cachots pour une matinale partie de jambes en l’air. D’une façon ou d’une autre, je doute que Snape soit du matin (remarquez, pour ça, peut-être est-il du genre « n’importe quand dans la journée » ?). D’ailleurs, je prendrais bien un petit-déjeuner pour reprendre des forces.
Surprise, surprise, aucun signe de Harry ni de Ron. Comme s’ils allaient être debout de bonne heure un samedi matin. Cependant, il y en a une, de surprise, à la table des professeurs. Snape est là… et à ses côtés, parlant sans arrêt, il y a Malfoy Senior. Oh, les choses ont l’air de s’améliorer ! Je me fous des avertissements arrogants de Sirius la nuit dernière. Cet homme est tout simplement jaloux.
Ah, regardez ça. Lucius est en train d’observer furieusement la table des Gryffondors – Seamus, Parvati, Colin, une place vide, un autre siège vide…
Je donne à Lucius mon meilleur sourire et passe ma langue sur mes lèvres. Son regard furibond s’adoucit un peu et se remplit de surprise, tandis qu’il soulève un sourcil interrogateur. Je mordille ma lèvre inférieure et sourit gentiment.
Ensuite il se penche vers Snape et lui dit quelque chose très tranquillement. Snape darde ses yeux dans ma direction,,, et je lui lance un sourire suffisant. Ooh, les gars, il est en rogne ! Parfait !
Oh merde… il vient par là ! Non, ce n’était pas supposé arriver…
Toute la table des gryffondors devient silencieuse, ainsi que presque toute la salle. Merde, merde, MERDE !
-Miss Granger, me siffle-t-il, à quoi pouvez-vous diable bien penser en faisant cela, stupide fille ?
-Et bien, puisque que vous ne pouvez pas m’aider, je pensais que Monsieur Malfoy aurait pu me rendre service, réponds-je à mi-voix.
-Il y a une différence entre ne pas pouvoir et ne pas vouloir, grogne Snape en retour.
Ah, est-ce que je l’ai frappé là où ça fait mal ?
-Pas de mon point de vue, je rétorque.
-Vous faites tout pour obtenir une retenue, Miss Granger ! s’exclame soudainement Snape en faisant sursauter la majeure partie des élèves. Ils écoutaient tous attentivement pour pouvoir attraper un bout de ce que Snape et moi étions en train de discuter, et étant donné que personne n’a couru en dehors de la salle en criant, je peux supposer qu’ils sont totalement ignorants de ce qui s’est dit.
Je me lève et marche jusqu’à Snape, suffisamment près de lui pour le mettre mal à l’aise.
-Bien, Professeur. Je peux espérer vous voir dans votre bureau d’ici dix minutes ? Et prenez soin d’inviter Monsieur Malfoy… Vous ne voudriez pas que votre invité se sente négligé, non ?
Je commence à m’éloigner de lui et à me diriger vers la porte. A son tour de me courir après.
-Hermione ! crie-il tout à coup d’une manière vraiment pas snapienne.
Maintenant, il a assurément toute l’attention de la salle. Oh ! En entendant sa voix prononcer mon nom, je serais en train de me liquéfier sur le sol, si ce n’est le fait que j’étais figée par la peur. Bordel ! Il reste encore une semaine jusqu’à la remise des diplômes… une longue semaine où toutes sortes de mauvaises choses pourraient se produire si les évènements du week-end dernier étaient découverts… Snape me regarde fixement, et je vois la panique dans ses yeux durant un instant, même si ce n’est qu’un très bref instant.
-Vous, Miss Granger, passerez votre diplôme d’ici une semaine, et je suggère que vous commenciez à vous entraîner à être une adulte dès maintenant et à réaliser les conséquences de vos actes !
-Vous pouvez me faire confiance, réponds-je à mi-voix avec un sourire. J’en connais parfaitement les conséquences, Monsieur, et elles sont plus que favorables.
Je jette un rapide coup d’œil à la table des professeurs. Dumbledore nous regarde amusé et McGonagall nous jette un regard mauvais à moi. Quant à Lucius Malfoy… je ne peux pas lire son expression. Bordel, j’ai peut-être perdu toutes ma chance, je vais devoir attendre et voir… Il est l’heure de partir… ah… regardez ça. Je suis presque à la porte…
-Très bien, Miss Granger. Oh bordel. Ce n’était pas un ton à prendre à la légère.
J’étais en train d’errer dans le hall depuis une heure maintenant dans l’espoir de rencontrer Lucius… en vain. Je suis pathétique. Bien, il est temps que je retourne dans ma chambre… j’ai juste l’air en manque maintenant. Je passais par le hall d’entrée quand j’entendis mon nom dit d’une voix traînante.
-Miss Granger, je crois.
Je me retourne et me retrouves à quelques centimètres de Monsieur Malfoy. Parfait.
-Une des jeunes amies de Potter, non
-Je suppose que vous pouvez me qualifier de cela, réponds-je, pas sûre que ce soit une bonne chose de l’admettre devant lui. Tant pis.
-Severus m’informe que vous êtes devenue une véritable petite friponne.
Qu’est-ce que je dois répondre à ça ? Rien apparemment, il semble parfaitement satisfait de m’étudier pour le moment.
-Si douce et innocente en apparence…
Un de ses doigts glisse le long de ma joue, faisant monter un frisson le long de mon dos. Ça semble bon.
-Vous suffirez. Par ici.
Sans faire demi-tour, Malfoy prend le couloir descendant aux cachots. Je me sens un peu comme une idiote de le suivre tel un fidèle toutou, mais il est trop mauvais garçon ! Malfoy ôtes les protections d’une porte proche des appartements de Snape et me fait entrer rapidement à l’intérieur. La pièce est assez vide, juste un lit et un bureau. Il y fait sombre et sale.
-Une seule chance, Miss Granger, dit Lucius d’une voix traînante, en revenant vers moi pendant qu’il retire son manteau et le pose soigneusement sur le pied du lit. Partez.
Qu’est ce qu’ils ont tous ? Cela ressemble beaucoup trop aux mots de Sirius, Lupin et Snape. Je suis parfaitement capable de m’y prendre avec trois hommes, non ? Sûrement qu’un ne pourrait pas être un problème…
-Non, réponds-je fermement… Enfin, je pense que c’est ferme, bien qu’une partie de moi soit déçue par le petit cri que qui vient de s’échapper de mes lèvres.
-Très bien donc, dit Lucius en relevant ses manches…
Cela me dérange quelque peu…
Il se retourne complètement et marche à travers la pièce pour se placer droit devant moi. Tout à fait à l’improviste, il saisit un mèche de mes cheveux et tire d’un coup sec ma tête en arrière.
-Que faire avec vous, maintenant… réfléchit-il à voix haute.
-Mmmh… je commence, voulant avoir mon mot à dire.
-Cela ne nécessitait pas une réponse de votre part !
Aïe ! Il venait de tirer encore plus ma tête en arrière. Merde, ça fait mal ! Il jette un regard pensif sur le bureau, puis m’y traîne presque. Empoignant encore mes cheveux, il tire ma tête en bas jusqu’à que je sois coincée sur le bureau, mon visage en premier, ma joue appuyée sur la surface dure. Avec sa main libre, Lucius glisse ma jupe en haut de mes cuisses, et stoppe… apparemment, il a découvert mon manque de sous-vêtements. Dessinant un doigt à travers mes plis, son ongle me griffe et me fait frissonner. J’hésite entre être fiévreusement excitée et extrêmement effrayée.
La peur extrême gagne… putain… Snape avait raison… ce n’était pas une bonne idée ! Maudit soit-il… S’il ne se comportait pas comme un con la plupart du temps, j’aurais écouté.
-Je dois partir, je couine, me tortillant pour me libérer.
-Vous aviez cette opportunité, me dit Malfoy, et vous l’avez refusée. Trop tard, Miss Granger.
Putain, PUTAIN, PUTAIN ! Où est ma baguette ? Bordel, je ne peux pas l’atteindre… merde !
Je sens la main remuer sur mon derrière nu, ses doigts pousser plus loin… Qu’est-ce qui se passe ?
Je jette un coup d’œil derrière moi aussi loin que je le peux, étant donnée ma position, et je suis saluée par les ricanements de Snape.
-Je suppose que vous avez appris votre leçon, Miss Granger ? me dit-il d’une voix langoureuse. La prochaine fois, je vous suggère de tenir compte de mes avertissements. Monsieur Malfoy serait loin d’être aussi affable.
Salaud ! Putain de salaud !
-Je le garderai à l’esprit, réponds-je plutôt calmement.
Snape se penche sur moi, et grogne à mon oreille :
-N’essayer pas de me rouler avec ces absurdités. Je me rends parfaitement compte à quel point vous étiez effrayée.
Ah, mais se rend-t-il parfaitement compte à quel point je suis excitée maintenant ? Maudit soit-il, j’étais si près d’avoir un peu d’action. Bordel, si j’avais su que c’était lui… quoique, je suis encore penchée sur le bureau, à moitié nue avec Snape au-dessus de moi…
-Vous savez, dis-je pensivement, nous sommes seuls maintenant. Peut-être pourrions-nous … euh… terminer ce que nous avons commencé la nuit dernière ?
-Miss Granger, vous n’êtes pas en position de faire des demandes.
-Dommage… bah… J’espère que Sirius est à la maison…
Attendez… oh ouah… de longs doigts sont en train de glisser le long de ma peau, dessinant des petits cercles sur mon derrière nu, descendant pour caresser entre mes plis… ahhh, beaucoup mieux.
-Vous devez rester en place, m’informe Snape alors qu’il relâche mes cheveux.
Aucune protestation.
-Oui, Monsieur.
-Vous apprenez vite, Miss Granger. Je crois qu’une récompense est méritée.
Un récompense ? Oh, bordel… sa langue est en train de danser à travers mes plis, donnant des petits coups sur mon clitoris… putain.
Tellement doux et chaud… et ce merveilleux nez taquinant mon entrée pendant qu’il glisse le long de mon corps, son souffle rencontrant ma moiteur, la rafraîchissant dans un délicieux effet.
-Professeur ! Je gémis alors qu’il introduit deux doigts en moi. Je suis tellement sensible.
-C’est à votre goût donc, je présume, réponds Snape nonchalamment.
Maudissez-le, comment peut-il être si calme ? Attendez, parce que je suis la seule à être sur le point de succomber, et pas lui. C’est moi qui ai recherché à être assouvie pendant une semaine. Je suis sûre qu’il connaît plein de… euh… d’endroits où se soulager. D’un autre côté, aucun d’eux ne semble lui faire du bien : il a été d’une humeur exécrable toute la semaine.
Je ne peux pas lui répondre ; j’ai perdu ma capacité à parler une fois de plus. Je parie qu’il y a quelques personnes qui aimeraient découvrir ce qui me laisse sans voix.
-Non ? Et bien, c’est assez alors.
Et il s’en va. Il glisse ses doigts hors de moi et se mets debout. PUTAIN !
-C’est parfaitement acceptable, Monsieur ! je supplie.
-Trop tard, Miss Granger. J’ai mes propres besoins à satisfaire.
Maudit soit-il. J’aurais dû la savoir, c’est un bâtard égoïste après tout. Je fais pour me lever, mais je suis rapidement stoppée par une main ferme derrière ma tête.
-Je vous ai dit de ne pas bouger ! me siffle Snape. Jouez avec mes règles, Miss Granger, ou ne jouez pas du tout.
Mince.
-Oui, Monsieur.
-Beaucoup mieux.
J’entends des bruits d’étoffe et vois sa baguette posée sur le bureau à côté de moi. Je ne suis pas certaine de vouloir savoir pourquoi il la mets juste là. Ensuite, je sens la chaleur de Snape derrière moi en dépit du fait qu’il n’est même pas en train de me toucher. Une main est posée sur mon dos, me tenant toujours en place. Une peau chaude et dure se presse contre moi, envoyant des frissons à travers mon corps et des ondulations d’extase. Oh putain ! Je gémis vraiment. Snape y voit l’occasion de plonger en moi en un mouvement rapide. C’est ça. Je ne peux pas me retenir. Alors que mon orgasme me transporte, une chaleur se diffuse à travers moi, mon corps convulsant de plaisir et mon esprit se brouillant.
Alors que je redescends, j’entends Snape exhaler un long souffle. Peut-être avais-je tort. Peut-être que je ne suis pas la seule à en avoir besoin désespérément.
Aïe ! Merde ! Sa main est descendue durement sur mon derrière, piquant comme l’enfer. Qu’est ce qui se passe ?
-Vous ne devez pas faire ça de nouveau jusqu’à que je le permette ! me dit-il sèchement. Est-ce que je me suis fait comprendre ?!
-Oui, Monsieur ! J’implore.
-Très bien.
Snape commence lentement ses douces caresses. Non, non, non ! Ce n’est pas ce que je veux ! Bon sang, j’aimerais partir et sauter sur Lupin dans son sommeil si cela ne tenait qu’à moi !
-Monsieur ? je demande.
-Quoi ? dit-il avec irritation.
-Plus fort.
-Combien de fois vais-je devoir vous le dire. Vous devez obéir à mes règles !
Je ne devrais pas dire ça. Je sais que je ne devrais pas.
-Bien, Monsieur, j’étais seulement en train d’essayer de vous épargner le déplaisir de vous comparer au Professeur Lupin. Comme vous voulez.
Ho ! Merde. Une autre claque. Mon Dieu, je vais avoir du mal à m’assoir au dîner ce soir.
-Vous en voulez une plus forte ? Bien. Cependant, les règles ne changent pas, vous ne devez pas jouir tant que je ne vous en donne pas la permission. Compris ?
-Parfaitement, réponds-je d’un ton satisfait.
-Oh, par Merlin !
Il me pilonne comme si sa vie en dépendait maintenant, ses doigts creusant fermement dans mes hanches. Les articulations de mes doigts deviennent blanches à force d'empoigner le bord du bureau mais ça en vaut la peine. Bordel …
-Miss Granger, il grogne. Contrôlez-vous !
Je ferme les yeux et je prends une profonde inspiration. Je me reprends. Honnêtement. Je contrôle. Je ne vais pas perdre ça… Continue à te faire des illusions, Herm, ça le fera.
Chaque coup est une épreuve qui m’enflamme. Je peux sentir chaque centimètre de sa verge, chaque pulsation dans ses veines, chaque échancrure. Non, Herm, reste ici !
Il donne me des coups plus lents, juste le temps de prendre sa baguette sur la table. Il marmonne quelque chose que je n’entends pas. Oh mon… mon… merde… mon clitoris est maintenant… merde, je ne sais pas comment le décrire. C’est comme si sa langue était de retour dessus, comme s’il y en avait dix, pourtant je sais qu’il n’y a rien là-bas. Merde. Je ne peux pas supporter ça, je ne le peux vraiment pas. Cet homme joue avec moi. Salopard. Cependant, les conséquences dues au non respect des règles sont plutôt positive pour le moment.
-N’osez pas ! siffle Snape alors qu’il accélère ses mouvements.
Oser ? Comme si j’avais le choix ? Salopard, je vais perdre le contrôle. C’est sûr.
-Je ne peux pas… Je ne peux pas…
Je gémis, des étoiles se forment dans mes yeux pendant que je tente de me retenir. C’est désespéré.
-Miss Granger, crie-t-il.
Trop tard, je jouis. Je convulse autour de lui, je fonds sur le bureau. Ses mouvements ne s’arrêtent pas, le sort qu’il a jeté sur mon clitoris continue, et moi aussi. Mon dieu. Je peux sentir du liquide brûlant couler le long de mes cuisses, et juste au moment où je crois que ce paradis va se terminer, tout recommence.
-Merde !
Les mouvements de Snape ont perdu leur rythme. Il grommelle, et je le sens qui gonfle à l’intérieur de moi avant que je ne sois remplie de chaleur.
Il tombe en avant. Ses mains atterrissent sur le bureau, de chaque côté de mon corps, ce qui l’aide à se rétablir. Cependant le sort continue et je n’en peux plus.
-S’il vous plait ! je supplie, attendant désespérément que cela s’arrête. C’est trop…
-Un problème, Miss Granger ?
Qu’il aille se faire foutre ! Attendez, c’est déjà fait…
-Arrêtez-ça, s’il vous plait ! demandais-je en pleurnichant.
-Je ne devrais pas… répond-il, mais je suppose que vous pourriez perturber ma classe lundi.
Ah, merci Merlin. Il a arrêté.
Je permets à mes yeux de se fermer et je soupire, complètement satisfaite.
MISSION : Accomplie une fois de plus.
Titre : Get Hermione Laid : Mission 2
Chapitre 3 : Essai concluant.
Type : fanfic.
Défi : hors défi
Pairing : SS/LM/HG
Rating : NC-17.
Disclaimer : Harry Potter appartient à JK Rowling et l'histoire à fervesco.
Nombre de mots : 2726
Notes : Traduction de la fic de fervesco. Merci pour son autorisation....et surtout d'avoir écrit cette histoire !!!!
Merci à septentrion1970 pour le super beta. Même s’il ne faut pas trop la pousser pour le faire ^^ Lingam_elegans vous souhaite bien du plaisir ^^
Chapitre 3 : Essai concluant.
Un autre jour, une autre chance de résoudre mon… problème. D’accord, Sirius m’a procuré un léger soulagement la nuit dernière, mais je suis loin d’être satisfaite.
Merde. C’est samedi. Aucune chance de séduire Snape pendant le cours de potions. Bien, je vais devoir trouver d’autres options… n’incluant pas Lupin. Je vais lui accorder une semaine ou plus. En attendant, c’est une perte totale de temps et d’énergie que d’essayer.
Comme j’aimerais transplaner dans les cachots pour une matinale partie de jambes en l’air. D’une façon ou d’une autre, je doute que Snape soit du matin (remarquez, pour ça, peut-être est-il du genre « n’importe quand dans la journée » ?). D’ailleurs, je prendrais bien un petit-déjeuner pour reprendre des forces.
Surprise, surprise, aucun signe de Harry ni de Ron. Comme s’ils allaient être debout de bonne heure un samedi matin. Cependant, il y en a une, de surprise, à la table des professeurs. Snape est là… et à ses côtés, parlant sans arrêt, il y a Malfoy Senior. Oh, les choses ont l’air de s’améliorer ! Je me fous des avertissements arrogants de Sirius la nuit dernière. Cet homme est tout simplement jaloux.
Ah, regardez ça. Lucius est en train d’observer furieusement la table des Gryffondors – Seamus, Parvati, Colin, une place vide, un autre siège vide…
Je donne à Lucius mon meilleur sourire et passe ma langue sur mes lèvres. Son regard furibond s’adoucit un peu et se remplit de surprise, tandis qu’il soulève un sourcil interrogateur. Je mordille ma lèvre inférieure et sourit gentiment.
Ensuite il se penche vers Snape et lui dit quelque chose très tranquillement. Snape darde ses yeux dans ma direction,,, et je lui lance un sourire suffisant. Ooh, les gars, il est en rogne ! Parfait !
Oh merde… il vient par là ! Non, ce n’était pas supposé arriver…
Toute la table des gryffondors devient silencieuse, ainsi que presque toute la salle. Merde, merde, MERDE !
-Miss Granger, me siffle-t-il, à quoi pouvez-vous diable bien penser en faisant cela, stupide fille ?
-Et bien, puisque que vous ne pouvez pas m’aider, je pensais que Monsieur Malfoy aurait pu me rendre service, réponds-je à mi-voix.
-Il y a une différence entre ne pas pouvoir et ne pas vouloir, grogne Snape en retour.
Ah, est-ce que je l’ai frappé là où ça fait mal ?
-Pas de mon point de vue, je rétorque.
-Vous faites tout pour obtenir une retenue, Miss Granger ! s’exclame soudainement Snape en faisant sursauter la majeure partie des élèves. Ils écoutaient tous attentivement pour pouvoir attraper un bout de ce que Snape et moi étions en train de discuter, et étant donné que personne n’a couru en dehors de la salle en criant, je peux supposer qu’ils sont totalement ignorants de ce qui s’est dit.
Je me lève et marche jusqu’à Snape, suffisamment près de lui pour le mettre mal à l’aise.
-Bien, Professeur. Je peux espérer vous voir dans votre bureau d’ici dix minutes ? Et prenez soin d’inviter Monsieur Malfoy… Vous ne voudriez pas que votre invité se sente négligé, non ?
Je commence à m’éloigner de lui et à me diriger vers la porte. A son tour de me courir après.
-Hermione ! crie-il tout à coup d’une manière vraiment pas snapienne.
Maintenant, il a assurément toute l’attention de la salle. Oh ! En entendant sa voix prononcer mon nom, je serais en train de me liquéfier sur le sol, si ce n’est le fait que j’étais figée par la peur. Bordel ! Il reste encore une semaine jusqu’à la remise des diplômes… une longue semaine où toutes sortes de mauvaises choses pourraient se produire si les évènements du week-end dernier étaient découverts… Snape me regarde fixement, et je vois la panique dans ses yeux durant un instant, même si ce n’est qu’un très bref instant.
-Vous, Miss Granger, passerez votre diplôme d’ici une semaine, et je suggère que vous commenciez à vous entraîner à être une adulte dès maintenant et à réaliser les conséquences de vos actes !
-Vous pouvez me faire confiance, réponds-je à mi-voix avec un sourire. J’en connais parfaitement les conséquences, Monsieur, et elles sont plus que favorables.
Je jette un rapide coup d’œil à la table des professeurs. Dumbledore nous regarde amusé et McGonagall nous jette un regard mauvais à moi. Quant à Lucius Malfoy… je ne peux pas lire son expression. Bordel, j’ai peut-être perdu toutes ma chance, je vais devoir attendre et voir… Il est l’heure de partir… ah… regardez ça. Je suis presque à la porte…
-Très bien, Miss Granger. Oh bordel. Ce n’était pas un ton à prendre à la légère.
J’étais en train d’errer dans le hall depuis une heure maintenant dans l’espoir de rencontrer Lucius… en vain. Je suis pathétique. Bien, il est temps que je retourne dans ma chambre… j’ai juste l’air en manque maintenant. Je passais par le hall d’entrée quand j’entendis mon nom dit d’une voix traînante.
-Miss Granger, je crois.
Je me retourne et me retrouves à quelques centimètres de Monsieur Malfoy. Parfait.
-Une des jeunes amies de Potter, non
-Je suppose que vous pouvez me qualifier de cela, réponds-je, pas sûre que ce soit une bonne chose de l’admettre devant lui. Tant pis.
-Severus m’informe que vous êtes devenue une véritable petite friponne.
Qu’est-ce que je dois répondre à ça ? Rien apparemment, il semble parfaitement satisfait de m’étudier pour le moment.
-Si douce et innocente en apparence…
Un de ses doigts glisse le long de ma joue, faisant monter un frisson le long de mon dos. Ça semble bon.
-Vous suffirez. Par ici.
Sans faire demi-tour, Malfoy prend le couloir descendant aux cachots. Je me sens un peu comme une idiote de le suivre tel un fidèle toutou, mais il est trop mauvais garçon ! Malfoy ôtes les protections d’une porte proche des appartements de Snape et me fait entrer rapidement à l’intérieur. La pièce est assez vide, juste un lit et un bureau. Il y fait sombre et sale.
-Une seule chance, Miss Granger, dit Lucius d’une voix traînante, en revenant vers moi pendant qu’il retire son manteau et le pose soigneusement sur le pied du lit. Partez.
Qu’est ce qu’ils ont tous ? Cela ressemble beaucoup trop aux mots de Sirius, Lupin et Snape. Je suis parfaitement capable de m’y prendre avec trois hommes, non ? Sûrement qu’un ne pourrait pas être un problème…
-Non, réponds-je fermement… Enfin, je pense que c’est ferme, bien qu’une partie de moi soit déçue par le petit cri que qui vient de s’échapper de mes lèvres.
-Très bien donc, dit Lucius en relevant ses manches…
Cela me dérange quelque peu…
Il se retourne complètement et marche à travers la pièce pour se placer droit devant moi. Tout à fait à l’improviste, il saisit un mèche de mes cheveux et tire d’un coup sec ma tête en arrière.
-Que faire avec vous, maintenant… réfléchit-il à voix haute.
-Mmmh… je commence, voulant avoir mon mot à dire.
-Cela ne nécessitait pas une réponse de votre part !
Aïe ! Il venait de tirer encore plus ma tête en arrière. Merde, ça fait mal ! Il jette un regard pensif sur le bureau, puis m’y traîne presque. Empoignant encore mes cheveux, il tire ma tête en bas jusqu’à que je sois coincée sur le bureau, mon visage en premier, ma joue appuyée sur la surface dure. Avec sa main libre, Lucius glisse ma jupe en haut de mes cuisses, et stoppe… apparemment, il a découvert mon manque de sous-vêtements. Dessinant un doigt à travers mes plis, son ongle me griffe et me fait frissonner. J’hésite entre être fiévreusement excitée et extrêmement effrayée.
La peur extrême gagne… putain… Snape avait raison… ce n’était pas une bonne idée ! Maudit soit-il… S’il ne se comportait pas comme un con la plupart du temps, j’aurais écouté.
-Je dois partir, je couine, me tortillant pour me libérer.
-Vous aviez cette opportunité, me dit Malfoy, et vous l’avez refusée. Trop tard, Miss Granger.
Putain, PUTAIN, PUTAIN ! Où est ma baguette ? Bordel, je ne peux pas l’atteindre… merde !
Je sens la main remuer sur mon derrière nu, ses doigts pousser plus loin… Qu’est-ce qui se passe ?
Je jette un coup d’œil derrière moi aussi loin que je le peux, étant donnée ma position, et je suis saluée par les ricanements de Snape.
-Je suppose que vous avez appris votre leçon, Miss Granger ? me dit-il d’une voix langoureuse. La prochaine fois, je vous suggère de tenir compte de mes avertissements. Monsieur Malfoy serait loin d’être aussi affable.
Salaud ! Putain de salaud !
-Je le garderai à l’esprit, réponds-je plutôt calmement.
Snape se penche sur moi, et grogne à mon oreille :
-N’essayer pas de me rouler avec ces absurdités. Je me rends parfaitement compte à quel point vous étiez effrayée.
Ah, mais se rend-t-il parfaitement compte à quel point je suis excitée maintenant ? Maudit soit-il, j’étais si près d’avoir un peu d’action. Bordel, si j’avais su que c’était lui… quoique, je suis encore penchée sur le bureau, à moitié nue avec Snape au-dessus de moi…
-Vous savez, dis-je pensivement, nous sommes seuls maintenant. Peut-être pourrions-nous … euh… terminer ce que nous avons commencé la nuit dernière ?
-Miss Granger, vous n’êtes pas en position de faire des demandes.
-Dommage… bah… J’espère que Sirius est à la maison…
Attendez… oh ouah… de longs doigts sont en train de glisser le long de ma peau, dessinant des petits cercles sur mon derrière nu, descendant pour caresser entre mes plis… ahhh, beaucoup mieux.
-Vous devez rester en place, m’informe Snape alors qu’il relâche mes cheveux.
Aucune protestation.
-Oui, Monsieur.
-Vous apprenez vite, Miss Granger. Je crois qu’une récompense est méritée.
Un récompense ? Oh, bordel… sa langue est en train de danser à travers mes plis, donnant des petits coups sur mon clitoris… putain.
Tellement doux et chaud… et ce merveilleux nez taquinant mon entrée pendant qu’il glisse le long de mon corps, son souffle rencontrant ma moiteur, la rafraîchissant dans un délicieux effet.
-Professeur ! Je gémis alors qu’il introduit deux doigts en moi. Je suis tellement sensible.
-C’est à votre goût donc, je présume, réponds Snape nonchalamment.
Maudissez-le, comment peut-il être si calme ? Attendez, parce que je suis la seule à être sur le point de succomber, et pas lui. C’est moi qui ai recherché à être assouvie pendant une semaine. Je suis sûre qu’il connaît plein de… euh… d’endroits où se soulager. D’un autre côté, aucun d’eux ne semble lui faire du bien : il a été d’une humeur exécrable toute la semaine.
Je ne peux pas lui répondre ; j’ai perdu ma capacité à parler une fois de plus. Je parie qu’il y a quelques personnes qui aimeraient découvrir ce qui me laisse sans voix.
-Non ? Et bien, c’est assez alors.
Et il s’en va. Il glisse ses doigts hors de moi et se mets debout. PUTAIN !
-C’est parfaitement acceptable, Monsieur ! je supplie.
-Trop tard, Miss Granger. J’ai mes propres besoins à satisfaire.
Maudit soit-il. J’aurais dû la savoir, c’est un bâtard égoïste après tout. Je fais pour me lever, mais je suis rapidement stoppée par une main ferme derrière ma tête.
-Je vous ai dit de ne pas bouger ! me siffle Snape. Jouez avec mes règles, Miss Granger, ou ne jouez pas du tout.
Mince.
-Oui, Monsieur.
-Beaucoup mieux.
J’entends des bruits d’étoffe et vois sa baguette posée sur le bureau à côté de moi. Je ne suis pas certaine de vouloir savoir pourquoi il la mets juste là. Ensuite, je sens la chaleur de Snape derrière moi en dépit du fait qu’il n’est même pas en train de me toucher. Une main est posée sur mon dos, me tenant toujours en place. Une peau chaude et dure se presse contre moi, envoyant des frissons à travers mon corps et des ondulations d’extase. Oh putain ! Je gémis vraiment. Snape y voit l’occasion de plonger en moi en un mouvement rapide. C’est ça. Je ne peux pas me retenir. Alors que mon orgasme me transporte, une chaleur se diffuse à travers moi, mon corps convulsant de plaisir et mon esprit se brouillant.
Alors que je redescends, j’entends Snape exhaler un long souffle. Peut-être avais-je tort. Peut-être que je ne suis pas la seule à en avoir besoin désespérément.
Aïe ! Merde ! Sa main est descendue durement sur mon derrière, piquant comme l’enfer. Qu’est ce qui se passe ?
-Vous ne devez pas faire ça de nouveau jusqu’à que je le permette ! me dit-il sèchement. Est-ce que je me suis fait comprendre ?!
-Oui, Monsieur ! J’implore.
-Très bien.
Snape commence lentement ses douces caresses. Non, non, non ! Ce n’est pas ce que je veux ! Bon sang, j’aimerais partir et sauter sur Lupin dans son sommeil si cela ne tenait qu’à moi !
-Monsieur ? je demande.
-Quoi ? dit-il avec irritation.
-Plus fort.
-Combien de fois vais-je devoir vous le dire. Vous devez obéir à mes règles !
Je ne devrais pas dire ça. Je sais que je ne devrais pas.
-Bien, Monsieur, j’étais seulement en train d’essayer de vous épargner le déplaisir de vous comparer au Professeur Lupin. Comme vous voulez.
Ho ! Merde. Une autre claque. Mon Dieu, je vais avoir du mal à m’assoir au dîner ce soir.
-Vous en voulez une plus forte ? Bien. Cependant, les règles ne changent pas, vous ne devez pas jouir tant que je ne vous en donne pas la permission. Compris ?
-Parfaitement, réponds-je d’un ton satisfait.
-Oh, par Merlin !
Il me pilonne comme si sa vie en dépendait maintenant, ses doigts creusant fermement dans mes hanches. Les articulations de mes doigts deviennent blanches à force d'empoigner le bord du bureau mais ça en vaut la peine. Bordel …
-Miss Granger, il grogne. Contrôlez-vous !
Je ferme les yeux et je prends une profonde inspiration. Je me reprends. Honnêtement. Je contrôle. Je ne vais pas perdre ça… Continue à te faire des illusions, Herm, ça le fera.
Chaque coup est une épreuve qui m’enflamme. Je peux sentir chaque centimètre de sa verge, chaque pulsation dans ses veines, chaque échancrure. Non, Herm, reste ici !
Il donne me des coups plus lents, juste le temps de prendre sa baguette sur la table. Il marmonne quelque chose que je n’entends pas. Oh mon… mon… merde… mon clitoris est maintenant… merde, je ne sais pas comment le décrire. C’est comme si sa langue était de retour dessus, comme s’il y en avait dix, pourtant je sais qu’il n’y a rien là-bas. Merde. Je ne peux pas supporter ça, je ne le peux vraiment pas. Cet homme joue avec moi. Salopard. Cependant, les conséquences dues au non respect des règles sont plutôt positive pour le moment.
-N’osez pas ! siffle Snape alors qu’il accélère ses mouvements.
Oser ? Comme si j’avais le choix ? Salopard, je vais perdre le contrôle. C’est sûr.
-Je ne peux pas… Je ne peux pas…
Je gémis, des étoiles se forment dans mes yeux pendant que je tente de me retenir. C’est désespéré.
-Miss Granger, crie-t-il.
Trop tard, je jouis. Je convulse autour de lui, je fonds sur le bureau. Ses mouvements ne s’arrêtent pas, le sort qu’il a jeté sur mon clitoris continue, et moi aussi. Mon dieu. Je peux sentir du liquide brûlant couler le long de mes cuisses, et juste au moment où je crois que ce paradis va se terminer, tout recommence.
-Merde !
Les mouvements de Snape ont perdu leur rythme. Il grommelle, et je le sens qui gonfle à l’intérieur de moi avant que je ne sois remplie de chaleur.
Il tombe en avant. Ses mains atterrissent sur le bureau, de chaque côté de mon corps, ce qui l’aide à se rétablir. Cependant le sort continue et je n’en peux plus.
-S’il vous plait ! je supplie, attendant désespérément que cela s’arrête. C’est trop…
-Un problème, Miss Granger ?
Qu’il aille se faire foutre ! Attendez, c’est déjà fait…
-Arrêtez-ça, s’il vous plait ! demandais-je en pleurnichant.
-Je ne devrais pas… répond-il, mais je suppose que vous pourriez perturber ma classe lundi.
Ah, merci Merlin. Il a arrêté.
Je permets à mes yeux de se fermer et je soupire, complètement satisfaite.
MISSION : Accomplie une fois de plus.