Le Royaume de l’Amour et du Plaisir
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French › Books
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Adult ++
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Disclaimer:
I do not own the book(s) that this fanfiction is written for, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.
Nouvelle 3
Nouvelle 3 :
Comment Dame Juliana, d’esclave nue, devint Maîtresse et Dame de la Cour.
Récit de Dame Juliana
La Reine Belle et la Roi Laurent venaient de retourner dans leur Royaume te je sentis une pointe de regret : je me rappelai le temps où j’avais été l’esclave de Sire Nicolas. Ce dernier est devenue depuis le temps un ami très fidèle et un confident avisé. Il m’arrive parfois de retourner dans sa couche, mais plus en tant qu’esclave mais comme sa maîtresse. Nous avons des relations sexuelles ordinaires, et c’est l’un des meilleurs amants que je connaisse.
C’était il y a si loin…
A cette époque, mon père était un vassal de la Reine Eléonore. Il m’envoya à titre de tribut. A mon arrivée, j’étais nue, avançant à quatre pattes comme le Capitaine de la Garde nous l’avait enseigné. Nous étions une vingtaine de tributs de royaumes différents. J’avançais difficilement devant les imposantes tours du château d’où flottaient les étendards de la Reine. Nous entrâmes dans la Grande Salle où la Reine et la Cour festoyaient. Oui, la Cour est et reste une monstrueuse machine de plaisirs et de fantasmes avec une Reine, froide au premier abord, qui mène la danse et le sexe avec une délectation juvénile. Mes première leçons, ce fut Sire Greg, le fils de Sire Grégoire qui s’occupa de moi. C’était un jeune homme séduisant et dangereux. Non pas dans son caractère mais dans l’adoration que je lui portais. Son sexe était imposant et j’aimais à sucer sa queue et la sentir œuvrer dans ma chatte. Chaque matin, il aimait à me donner du battoir et chaque fois, il disait :
« Vous êtes si délicieuse Princesse Juliana. Si je pouvais, je vous garderai nuit et jour, enchaînée à mon lit, me délecter de vos larmes et vous violerai ainsi que vous le méritez. Mais cela revient à la Reine de le décider et je sais que je ne m’occuperai que de votre apprentissage car Sire Nicolas souhaiterai vous avoir. »
A ces mots, je me sentais à la fois excitée et angoissée. J’aimais ce Maître qui était si fier et fort.
Pourtant, cela dura peu ; au bout de trois mois, Sire Nicolas obtient que je sois sa Servante, ou plutôt que je le devinsse. C’était un homme fort malgré son apparente sveltesse silhouette, fier et paisible, au regard coquin et délicieusement troublant. Il adorait aiguillonner mon désir et me laisser pantelante et insatisfaite, puis il me prenait violemment, au moment tout mes nerfs se relâchaient. Le matin je devais nettoyer sa chambre, l’habiller et apporter son petit déjeuner. L’après-midi, nous allions au Jardin et faisait appeler des jeunes Princes et je devais leur échapper, sans conviction bien sûr, et le Prince victorieux me prenait sous ses coups de fouets. Naturellement, je n’étais pas épargnée et me faisait fouetter. Puis, le soir, il me faisait courir pour le Sentier de la Bride abattue. J’aimais à voir les fesses rougies des autres petites Princesses, ce qui me donna mes instincts de future dominatrice. Mais le temps passait et je trouvais cela un peu monotone. Lors de ces après-midi, je rencontrais le Prince Roger qui lui aussi s’ennuyait de ces mêmes rituels. Nous décidâmes de nous enfuir dans l’espoir fou de nous faire envoyer au Village, le lieu que tous les esclaves dont seul le nom les fait frémir mais pour nous était propice à de nouveaux supplices qui dépasseraient notre âme. Nous partîmes un soir. Jamais je n’avais autant senti mon état d’esclave et cela me grisa. Je sentis aussi le pouvoir que je détenais sur eux et je compris alors à quel point j’aurai aimé renversé Sire Nicolas, le violer avec un phallus de cuir en le fouettant. Oui, j’avais hâte de détenir à mon tour le fouet dans mes mains fermes et implacables. Tous ces derrières rougis, je voulais ce fussent les miens.
Durant les jours de notre « fuite », j’eus l’occasion de faire l’amour avec le Prince Roger. A ce moment, je me jurais que je deviendrai Dame de la Cour et Maîtresse et qu’à ce moment là je ne dénouerai plus mes cheveux, signe de l’esclavage de plaisir.
Puis nous fûmes capturés par des soldats et le Capitaine de la Garde nous violait à tour de rôle, enfin c’est ce que le Prince Roger ressentait. Moi, je ne ressentais qu’un délire inédit, un bonheur suprême de le sentir souffrir et le retrouver les bruits monotones des coups secs du battoir.
Nous fûmes vendu à l’encan quelques jours après de ce traitement. Ce fut un vieux fermier qui avait épargné pour s’offrir une Princesse rebelle qu’il dresserait et se jurait de rendre docile. Je savais par le Capitaine de la Garde que ma peine serait assez courte car la Reine avait remarqué quelle esclave j’étais. Enfin ! J’étais reconnue ! Je devais être le plus docile possible si je voulais retourner au château. Une saison passa. Puis, un beau matin, des messagers de la Reine se présentèrent chez mon Maître. Je devais retourner au château et deviendrais la favorite de la Reine si je n’agissais plus comme une esclave fière, gâtée et désobéissante. Je ne supportais plus la monotonie du travail du Village et je ne souhaitais qu’une chose, me distinguer de ces esclaves qui ne savait pas contrôler leur débordement de passion pour la servitude.
Je retournais donc au château et y subit mon jugement. Je deviens le jouet attitré de la reine, la grande favorite et je réussis à évincer mes rivales féminines.
La vie d’esclaves semblait me dévorer de façon imminente mais je gardais à l’esprit le but de ma vie : devenir un jour Dame de la Cour. L’occasion de montrer quelle talentueuse Maîtresse je pouvais être. Sa Majesté me manifestait son affection et, un jour elle m’autorisa à parler.
« Ma chère, dîtes-moi. Quelle est le versant du drame érotique de ce château vous sentez-vous le plus taillée ?
-Celui de Maîtresse, Majesté.
-Et pourquoi ?
-J’aime à voir les fesses rougies des esclaves, Majesté. Seulement, comme j’aimerai que ce fusse moi qui tinsse le battoir. Ces derrières marqués par le battoirs, Majesté, oh ! Comme j’aimerai que ce fusse les miens ! Oui, les miens.
-Je l’ai toujours senti, sourit la Reine. Vous êtes née Maîtresse, et non pour être esclave. Je vais vous chercher quelques esclaves et vous allez nous divertir en les faisant jouer comme jadis vous jouiez pour moi.
-Avec plaisir, Votre Majesté. »
La Reine fit venir quelques jolies petites Princesses. Pour l’occasion, j’étais habillée d’un corsage de velours bleu et d’une jupe de même couleur plus clair. Cela me faisait bizarre après être passée trois ans dans la plus complète nudité la chatte et les seins à l’air. On fit venir aussi un Prince et je souris : je sentais déjà sa langue laper mon clitoris et mon vagin pendant que je ferai aller et venir une chandelle ou un phallus de cuir dans son derrière.
« Bien. Fis-je, la voix sans l’ombre d’incertitude ou d’hésitation. Vous allez faire plaisir à Sa Majesté et à moi-même. Vous, Prince, allez me violer ces jolies Princesses après leur avoir couru après. Quant à elles, si elles me rapportent les petits boutons de roses avant que le Prince les ait attrapé, elles éviteront la Salle des Châtiments. »
Le petit jeu dura une demi-heure, puis, n’y tenant plus, je soulevais ma jupe et reprit, la voix toute aussi autoritaire :
« Prince ! Venez ici. Vous allez me faire plaisir ; léchez-moi. Faute de quoi, je vous fouette chaque centimètre de votre corps. »
Il s’exécuta. Puis, après un rapide regard vers la Reine, je lui commandais de me prendre. Je sentais sa queue œuvrer à l’intérieur de mon ventre. C’est terriblement délicieux.
« Plus fort, Prince, plus fort, c’est un ordre. Rappelez-vous que je risque de fouetter plus sévèrement si vous ne m’obéissez pas. »
Je regardais avec consternation la Reine.
« Oui, Princesse Juliana. Votre peine est commuée. Vous pouvez rentrer chez vous maintenant. Murmura t-elle, les yeux liquides de larmes.
-C’est une plaisanterie, j’espère ! Hurlai-je. Je ne veux pas repartir chez moi.
-Mais je ne peux vous garder comme esclave ici. Les traités sont clairs.
-Ecoutez, Majesté ! M’écriai-je soudain. Je suis libre de ma vie et de mes choix. Mon choix est clair. Je veux devenir Dame et Maîtresse de la Cour. Nous serions toujours ensemble et nous serions toujours amantes. Dîtes-moi que c’est possible, Majesté. »
Elle me regarda, les yeux dans un semi-brouillard et sourit.
« C’est entendu. »
Je ne sentais pas de joie. Mon rêve se concrétisait. Enfin, j’allais prendre une éclatante revanche sur mon passé et à mon tour devenir possesseur des fesses rougies, des bites fièrement dressée et des chattes frémissante. Ma plus belle promesse devenait réalité.
Comment Dame Juliana, d’esclave nue, devint Maîtresse et Dame de la Cour.
Récit de Dame Juliana
La Reine Belle et la Roi Laurent venaient de retourner dans leur Royaume te je sentis une pointe de regret : je me rappelai le temps où j’avais été l’esclave de Sire Nicolas. Ce dernier est devenue depuis le temps un ami très fidèle et un confident avisé. Il m’arrive parfois de retourner dans sa couche, mais plus en tant qu’esclave mais comme sa maîtresse. Nous avons des relations sexuelles ordinaires, et c’est l’un des meilleurs amants que je connaisse.
C’était il y a si loin…
A cette époque, mon père était un vassal de la Reine Eléonore. Il m’envoya à titre de tribut. A mon arrivée, j’étais nue, avançant à quatre pattes comme le Capitaine de la Garde nous l’avait enseigné. Nous étions une vingtaine de tributs de royaumes différents. J’avançais difficilement devant les imposantes tours du château d’où flottaient les étendards de la Reine. Nous entrâmes dans la Grande Salle où la Reine et la Cour festoyaient. Oui, la Cour est et reste une monstrueuse machine de plaisirs et de fantasmes avec une Reine, froide au premier abord, qui mène la danse et le sexe avec une délectation juvénile. Mes première leçons, ce fut Sire Greg, le fils de Sire Grégoire qui s’occupa de moi. C’était un jeune homme séduisant et dangereux. Non pas dans son caractère mais dans l’adoration que je lui portais. Son sexe était imposant et j’aimais à sucer sa queue et la sentir œuvrer dans ma chatte. Chaque matin, il aimait à me donner du battoir et chaque fois, il disait :
« Vous êtes si délicieuse Princesse Juliana. Si je pouvais, je vous garderai nuit et jour, enchaînée à mon lit, me délecter de vos larmes et vous violerai ainsi que vous le méritez. Mais cela revient à la Reine de le décider et je sais que je ne m’occuperai que de votre apprentissage car Sire Nicolas souhaiterai vous avoir. »
A ces mots, je me sentais à la fois excitée et angoissée. J’aimais ce Maître qui était si fier et fort.
Pourtant, cela dura peu ; au bout de trois mois, Sire Nicolas obtient que je sois sa Servante, ou plutôt que je le devinsse. C’était un homme fort malgré son apparente sveltesse silhouette, fier et paisible, au regard coquin et délicieusement troublant. Il adorait aiguillonner mon désir et me laisser pantelante et insatisfaite, puis il me prenait violemment, au moment tout mes nerfs se relâchaient. Le matin je devais nettoyer sa chambre, l’habiller et apporter son petit déjeuner. L’après-midi, nous allions au Jardin et faisait appeler des jeunes Princes et je devais leur échapper, sans conviction bien sûr, et le Prince victorieux me prenait sous ses coups de fouets. Naturellement, je n’étais pas épargnée et me faisait fouetter. Puis, le soir, il me faisait courir pour le Sentier de la Bride abattue. J’aimais à voir les fesses rougies des autres petites Princesses, ce qui me donna mes instincts de future dominatrice. Mais le temps passait et je trouvais cela un peu monotone. Lors de ces après-midi, je rencontrais le Prince Roger qui lui aussi s’ennuyait de ces mêmes rituels. Nous décidâmes de nous enfuir dans l’espoir fou de nous faire envoyer au Village, le lieu que tous les esclaves dont seul le nom les fait frémir mais pour nous était propice à de nouveaux supplices qui dépasseraient notre âme. Nous partîmes un soir. Jamais je n’avais autant senti mon état d’esclave et cela me grisa. Je sentis aussi le pouvoir que je détenais sur eux et je compris alors à quel point j’aurai aimé renversé Sire Nicolas, le violer avec un phallus de cuir en le fouettant. Oui, j’avais hâte de détenir à mon tour le fouet dans mes mains fermes et implacables. Tous ces derrières rougis, je voulais ce fussent les miens.
Durant les jours de notre « fuite », j’eus l’occasion de faire l’amour avec le Prince Roger. A ce moment, je me jurais que je deviendrai Dame de la Cour et Maîtresse et qu’à ce moment là je ne dénouerai plus mes cheveux, signe de l’esclavage de plaisir.
Puis nous fûmes capturés par des soldats et le Capitaine de la Garde nous violait à tour de rôle, enfin c’est ce que le Prince Roger ressentait. Moi, je ne ressentais qu’un délire inédit, un bonheur suprême de le sentir souffrir et le retrouver les bruits monotones des coups secs du battoir.
Nous fûmes vendu à l’encan quelques jours après de ce traitement. Ce fut un vieux fermier qui avait épargné pour s’offrir une Princesse rebelle qu’il dresserait et se jurait de rendre docile. Je savais par le Capitaine de la Garde que ma peine serait assez courte car la Reine avait remarqué quelle esclave j’étais. Enfin ! J’étais reconnue ! Je devais être le plus docile possible si je voulais retourner au château. Une saison passa. Puis, un beau matin, des messagers de la Reine se présentèrent chez mon Maître. Je devais retourner au château et deviendrais la favorite de la Reine si je n’agissais plus comme une esclave fière, gâtée et désobéissante. Je ne supportais plus la monotonie du travail du Village et je ne souhaitais qu’une chose, me distinguer de ces esclaves qui ne savait pas contrôler leur débordement de passion pour la servitude.
Je retournais donc au château et y subit mon jugement. Je deviens le jouet attitré de la reine, la grande favorite et je réussis à évincer mes rivales féminines.
La vie d’esclaves semblait me dévorer de façon imminente mais je gardais à l’esprit le but de ma vie : devenir un jour Dame de la Cour. L’occasion de montrer quelle talentueuse Maîtresse je pouvais être. Sa Majesté me manifestait son affection et, un jour elle m’autorisa à parler.
« Ma chère, dîtes-moi. Quelle est le versant du drame érotique de ce château vous sentez-vous le plus taillée ?
-Celui de Maîtresse, Majesté.
-Et pourquoi ?
-J’aime à voir les fesses rougies des esclaves, Majesté. Seulement, comme j’aimerai que ce fusse moi qui tinsse le battoir. Ces derrières marqués par le battoirs, Majesté, oh ! Comme j’aimerai que ce fusse les miens ! Oui, les miens.
-Je l’ai toujours senti, sourit la Reine. Vous êtes née Maîtresse, et non pour être esclave. Je vais vous chercher quelques esclaves et vous allez nous divertir en les faisant jouer comme jadis vous jouiez pour moi.
-Avec plaisir, Votre Majesté. »
La Reine fit venir quelques jolies petites Princesses. Pour l’occasion, j’étais habillée d’un corsage de velours bleu et d’une jupe de même couleur plus clair. Cela me faisait bizarre après être passée trois ans dans la plus complète nudité la chatte et les seins à l’air. On fit venir aussi un Prince et je souris : je sentais déjà sa langue laper mon clitoris et mon vagin pendant que je ferai aller et venir une chandelle ou un phallus de cuir dans son derrière.
« Bien. Fis-je, la voix sans l’ombre d’incertitude ou d’hésitation. Vous allez faire plaisir à Sa Majesté et à moi-même. Vous, Prince, allez me violer ces jolies Princesses après leur avoir couru après. Quant à elles, si elles me rapportent les petits boutons de roses avant que le Prince les ait attrapé, elles éviteront la Salle des Châtiments. »
Le petit jeu dura une demi-heure, puis, n’y tenant plus, je soulevais ma jupe et reprit, la voix toute aussi autoritaire :
« Prince ! Venez ici. Vous allez me faire plaisir ; léchez-moi. Faute de quoi, je vous fouette chaque centimètre de votre corps. »
Il s’exécuta. Puis, après un rapide regard vers la Reine, je lui commandais de me prendre. Je sentais sa queue œuvrer à l’intérieur de mon ventre. C’est terriblement délicieux.
« Plus fort, Prince, plus fort, c’est un ordre. Rappelez-vous que je risque de fouetter plus sévèrement si vous ne m’obéissez pas. »
Je regardais avec consternation la Reine.
« Oui, Princesse Juliana. Votre peine est commuée. Vous pouvez rentrer chez vous maintenant. Murmura t-elle, les yeux liquides de larmes.
-C’est une plaisanterie, j’espère ! Hurlai-je. Je ne veux pas repartir chez moi.
-Mais je ne peux vous garder comme esclave ici. Les traités sont clairs.
-Ecoutez, Majesté ! M’écriai-je soudain. Je suis libre de ma vie et de mes choix. Mon choix est clair. Je veux devenir Dame et Maîtresse de la Cour. Nous serions toujours ensemble et nous serions toujours amantes. Dîtes-moi que c’est possible, Majesté. »
Elle me regarda, les yeux dans un semi-brouillard et sourit.
« C’est entendu. »
Je ne sentais pas de joie. Mon rêve se concrétisait. Enfin, j’allais prendre une éclatante revanche sur mon passé et à mon tour devenir possesseur des fesses rougies, des bites fièrement dressée et des chattes frémissante. Ma plus belle promesse devenait réalité.