AFF Fiction Portal

L'odyssée de Butters Stotch

By: Mika
folder French › Cartoons
Rating: Adult ++
Chapters: 9
Views: 1,547
Reviews: 0
Recommended: 0
Currently Reading: 0
Disclaimer: I do not own the cartoons(s) that this fanfiction is written for, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.
arrow_back Previous Next arrow_forward

Avec Craig...

-Butters ?
Je levais ma tête vers Bébé.
-Salut, Barbara ! Ca va ?
-Oui, mais toi ça n’a pas l’air…
-Je sais pas ce qui m’a pris, je suis désolé…
Elle s’assied à côté de moi. Elle avait un haut rouge et une jupe blanche, ainsi que de longs cheveux blonds bouclés. Des tâches de rousseur honoraient son visage clair. Magnifique, comme avant. Si j’avais été hétérosexuel, c’aurait pu être ma petite amie.
-Tu sais, Butters, si tu as un problème…
Elle me prit la main. J’étais affreusement gêné.
-Tu peux me le dire.
-Ca va, c’était juste la nostalgie du Canada !
-C’était bien là bas ?
Je lui en parlais, évitant les détails gays comme d’hab. Une discussion très normale, relativement plaisante.
-Butters, j’ai été contente de te revoir ! J’aurais aimé te voir hier !
-Désolé, les gars m’ont un peu entrainé dans leur virée !
-Je me doute bien, ça… En tout cas, n’hésite pas….
-Bébé !
Elle se tourne vers quelqu’un et sourit. Le type approche et embrasse Bébé à pleine bouche.
C’est Clyde. Je hoche la tête, comprenant beaucoup de choses. Clyde me rappelait un peu un Hugh Heffner survolté. Il prenait sa belle avec ferveur et fierté.
-Ca va ma poupée ?
-Oui et toi mon loup ?
Je ricanais. Clyde manqua de me frapper mais pas devant sa petite amie.
-Butters, je vais t’éviter de tenir la chandelle : Craig te cherche partout, il est à la bibliothèque.
-D’accord.
Clyde chuchota quelque chose à Bébé qui hocha la tête.
-Va rejoindre ton Roméo, Butters !
Je rougis et regardais Clyde
-Elle le savait avant, j’arrive pas à croire que tu aies cru qu’elle…
-Clyde, je te tuerais plus tard… Mmmm….
Bébé éclata de rire alors que je me dirigeais vers le bâtiment, un sourire nostalgique de South Park sur mon visage. « Qu’est-ce qui m’a pris de quitter cette ville moi… »

Je me dirige vers la bibliothèque. En chemin je heurte quelqu’un qui renverse ses livres.
-Désolé, vraiment !
-Oh c’est rien…
Je le regardais.
-KENNY !
-B… Butters !
Il sembla embarrassé et chercha à m’esquiver mais je le retins par le bras.
-Bonjour, mon ami Kenny ! Et… Je suis content de te revoir !
Il me regarda, moi et mon sourire béat, hocha la tête et repartit. J’étais un peu déçu.
Lui pleurait comme un enfant.
« Merci, Léopold… Merci beaucoup… »

-Craig !! Chuchotais-je.
Il me fit une discrète bise.
-Tu vas bien ?
-Oui, c’était juste un souvenir difficile du Canada.
Craig me fit du pied. Nous avions beau être isolés, j’étais gêné. Néanmoins c’était agréable qu’il saisisse ce genre d’occasions pour entretenir cette douce flamme que je commençais à éprouver pour lui.
Cependant j’avais envie de discuter.
-Dis-moi, Craig, c’était… C’était comment avec Clyde ?
Craig soupira.
-Disons qu’on a été des premiers amants respectifs… Que c’était bestial comme relation, lui était très fougueux, il voulait tout essayer, c’est un épicurien quoi… Et moi je rêvais d’une relation solide.
-Euh, Craig… Je suis désolé mais tu ne trouveras pas ça avec moi… Je suis comme qui dirait avec Lloyd, lié par le cœur.
Craig sourit.
-Tu es toujours le Butters d’avant avec ta bonne morale et ton visage d’ange…
Craig approcha son étreinte.
-J’ai juste envie… de toi. Et d’un peu de bon temps.
Je souris.
-Moi aussi mais… La situation est quelque peu difficile pour moi, là…
-On va essayer de s’arranger ça ce Week-end.
Je m’étonnais.
-Ah ?!
-Oui oui, t’inquiète. J’ai déjà un petit plan.
-Craig, ne fais rien de stupide ou qui te mettrait en porte-à-faux avec tes parents…
Il m’embrassa sur la bouche. Douces lèvres qui me portent loin dans les airs… Je prie le seigneur que personne ne nous voie. Ou que quelqu’un nous voie, la situation serait alors si excitante…
-Fais-moi confiance, Butt’.
-Butt ?!
-Ca veut dire derrière, en anglais, nan ?
Il se lève.
-C’est pas tout ça mais on a cours dans dix minutes.
-Ouais…
Je me lève avec lui. Nos regards sont si suaves que je voudrais qu’on fasse l’amour là, ici, maintenant. Il a l’air de vouloir me dire quelque chose mais il se retient.

Cette semaine, j’attendis donc le week-end avec impatience. Les allers et venues de Papa étaient moins insupportables vu ce qui allait m’attendre Samedi ou Dimanche.
Le Samedi venu, Craig m’envoya un SMS lorsque je revenais du travail : « Ce soir 21h-21h30 devant chez toi, prépare-toi »
Un sourire m’anima soudain. Mon père lisait le journal sur le canapé et s’étonna.
-Eh bien, Butters… Que t’arrive t-il ?
-Oh, rien papa, je sors ce soir.
Mon père sembla étonné. J’annonçais la nouvelle à maman, plus expressive.
-Oh Poussin c’est merveilleux ! J’espère que tu t’amuseras bien avec tes amis !
Je ne vis pas à ce moment là les mains de mon père se crisper froidement sur le journal. Pas de sauterie pour toi ce soir, fumier. Tu te consoleras avec ta main droite.

21h30. Craig sonna. C’est maman qui me prit de vitesse.
-Bonjour Craig !
-…Madame Stotch…
L’adolescent gardait les mains dans son dos, gêné. Il se gardait bien de rester sur le seuil.
-Entre voyons !
-Non, madame Stotch je… Suis mieux dehors.
-Craig ! Criais-je, chevalier servant au secours de mon pote
-Butters… On y va maintenant, on est déjà en retard !
-Eh bien, amuse-toi bien mon chéri !
-Oui maman ! A plus tard !
Nous sortons promptement. Craig me tend le bouquet qu’il tentait désespérément de cacher à ma mère.
-Craig !! C’est beaucoup trop ! Tu es fou…
Il m’embrassa. Un baiser tendre et amoureux que j’entrepris de faire durer même sur le pas de ma porte.
-Allez, viens, on y va !
-Ou tu m’emmènes ?
-Tu vas voir.

Pendant ce temps là, un visage restait figé d’effroi devant la fenêtre de la casa des Stotch.
-Steven…
-Hmmm ?
-B… Butters…. Butters vient d’embrasser un garçon !!
Papa s’étonna.
-Quoi ? Butters ? Enfin chérie, c’est insensé, notre petit Butters…
-Et Craig lui a offert des fleurs ! Steven notre fils est… Homosexuel !
-Linda chérie, je suis sur qu’il y a une explication…
-Ca lui est surement arrivé au Canada… Oh mon dieu qu’est-il arrivé à mon bébé là bas !!!
-Voyons Linda, tu lui demanderas des explications en rentrant…
Maman s’étonna du manque de réactivité de son mari.
-Steven je sais que tu es bisexuel mais… Permets-moi juste d’être choquée que notre fils aie fait le choix de ne rien nous dire !
-Il est timide, tu le connais…
Maman regarda Papa de façon étrange.
-Tu le SAVAIS ???
-N… Non bien sur que non ne sois pas ridicule, Linda ! J’avais un doute évidemment vu quelle… chochotte il est parfois, mais…
-Steven !!
-Pardon. Je suis surpris aussi. Seulement notre fils… Devait surement penser à ne pas nous décevoir.
Maman soupira.
-Tu penses qu’il a remarqué qu’on ne dormait plus dans le même lit ?
Papa soupira à son tour.
-Chérie, ne… ne parlons pas de ça… Nos propres problèmes n’ont pas à interférer avec Butters.
Maman hocha la tête. Papa enlaça sa femme et l’embrassa.

-La nuit est belle, hein ?
Je souris.
-Ouais. On va où ?
-Haha, tu es impatient, hein ?
Je lui pris la main.
-Ca fait une semaine que je suis impatient.
Il s’arrêta, me prit les deux mains et me regarda, plongeant ses prunelles amandes dans mes perles céruléennes.
-Pourquoi… Pourquoi tu as pleuré, lundi en cours ?
Je fus abasourdi
-Craig ça fait cinq jours ! Pourquoi tu ne m’en as pas parlé ?!
-J’ai… Hésité.
-Je repensais à Lloyd. A la façon dont nous nous étions quittés.
-Je vois.
-Ca ne veut pas dire que…
-Si, si, Butters, je me doute qu’il aura toujours une place.
-Je suis désolé de ne pas être la relation sérieuse que tu cherches.
-Parfois, quand je regarde Stan et Kyle… Viens, on marche.
Nous reprenons notre avancée.
-Quand je les regarde tous les deux, je suis envieux…
-Ils sont vraiment proches, remarquais-je
-Ca tient du lien fraternel… Je me demande comment leurs parents n’ont pas cramé qu’ils étaient ensemble.
-J’espère que les miens ne verront jamais rien…
-Et moi donc… Tu te rappelles le jour ou mon père est venu à l’école ?
-La vache… J’ai cru que c’était un géant !
Nous rions.
-Butters, tu as des souvenirs de l’école primaire ?
-Oui… Je me rappelle qu’on ne se parlait pas beaucoup toi et moi… Par contre si les doigts d’honneurs voulaient dire bonjour…
-Oh mes parents n’arrêtaient pas d’en faire !
-Héhéhé ! Qu’est-ce que j’aurais du faire moi alors ! Crier et punir tout le monde !
-Finalement on n’est que le reflet de ses parents…
-Ouais… Si on veut.
-Ca doit te faire drôle d’être gay et d’avoir un père bisexuel…
Je fus troublé par la remarque.
-J’vois pas en quoi…
-Non rien c’était juste une remarque.
-Ne la fais plus.
Craig me regarda et m’enlaça par les épaules.
-Je… Je t’emmène sur la colline à côté de la ville.
Je le regarde.
-Il y a une belle vue, je voulais te la montrer. Et on pourra discuter tranquilles.
Sourires échangés. Regards lourds de sens et connivence.

Ce soir là, j’eus le temps de rêver et de sourire. Ce soir là, pas de douleur pour le petit Butters. Nous avons regardé la ville s’endormir peu à peu, tandis que nous évoquions des souvenirs d’enfance.
-On était bêtes quand on était petits, hein ?
-Ouais… On a perdu beaucoup de temps, je trouve… Souris-je.
Craig me regarde, je plonge dans ses yeux, et nous nous embrassons sous la lune pleine. Notre baiser prit en profondeur. Nous nous allongeons et il est au dessus de moi, caressant mon corps, mes hanches…
-Hmmm Craig…
-Butters, j’ai envie de toi…
Il se mit à devenir brûlant, volcanique, et là, nous qui nous cachions depuis une semaine, étions là exhibés sous l’œil d’une ville entière. Il s’installa dans mon cou et m’embrassa profondément, mordillant mes clavicules.
-Haaan Craig…
Il m’excitait terriblement, et déjà mon pantalon devenait terriblement serré. Il continuait de se frotter à moi, et sa chaude promiscuité me tuait de désir. Le froid de la nuit couvrait mon ciel de buée à mesure que ma respiration rauque s’accélérait. Peu à peu je m’enfonçais dans le stupre le plus complet. J’avais envie qu’il me prenne, là, dans l’herbe.
Il ouvrit ma braguette.
-C… Craig !!
Inséra une main dans mon caleçon
-Craig je t’en p…
Il s’empara de mon sexe au bord de l’implosion et commença à le masturber. Sa bouche rejoignit la mienne. Je voulais qu’il se démène en moi, là, dehors, aux yeux de tous…
-Craig fais-moi…
Il me regarda avec un sourire vicieux mais qui me plaisait. Un sourire pervers.
-Fais-moi l’amour !!
-T’es prêt à faire ça dehors ? T’es en manque…
Et là il me frotte encore plus explicitement mon sexe. Je halète, me cambre pour qu’il le prenne plus fermement en main.
-Si on allait chez moi ?
Sérieux ? Jamais je ne m’étais senti aussi chaud pour qui que ce soit…
Il se relève. Je fais de même, rangeant mon matériel. Il m’arrêta, s’empara de mon sexe et pencha la tête pour me sucer là, en plein air.
-C… CRAIHAIIIII….
Je me couvre la bouche d’une main, lui saisit la tête de l’autre. Comme il s’y prend bien…
-Oh oui… Craig, pitié plus vite haaaan…
Il me lance des regards des plus coquins. Putain, si seulement on pouvait baiser là, sur la colline, si seulement je pouvais m’empaler sur son sexe et regarder South Park, nu, en sueur, jouissant d’avoir sa bite au fond de moi…
Il s’arrêta et me releva pour m’embrasser.
-Allons chez moi. Et là on pourra s’amuser.
Je souris et le suis.

Il ferma sa porte et m’intima de monter dans sa chambre. Je pris sa suite, et nous entrons dans son antre. Posters de groupes de rock, de joueurs de Base-ball… La parfaite chambre du parfait petit hétéro.
-T’as pas trop froid ?
-Non ça va.
-Mets-toi à l’aise. Ce lit est le tien.
-Euh… Tes parents ne sont pas là, au moins ?
-Nan pas du tout…
-Ouf !
J’avais pas super envie que son père l’homophobe de service nous découvre en plein 69…
-Tu vas pouvoir te lâcher un peu…
Il m’embrassa.
-Euh, Craig…
-Quoi ?
-Je veux dire… T’as des capotes ? Au moins ?
Il fit des yeux ronds
-Bah bien sur !! Attends ! Pas fou toi ! J’veux pas tomber enceinte !
Nous éclatons de rire. Il m’enlace et nous retombons sur le lit. Dans un baiser fougueux et mouvementé, nous nous déshabillons mutuellement. Nous cessons de nous étreindre pour enlever nos habits et les jeter dans la pièce. Il est terriblement beau. Ses muscles ne sont pas très marqués mais son corps est magnifique, masculin et puissant. Il a des airs de félin quand il étend les bras vers moi. Lorsqu’il enlève son pantalon, j’aperçois un sexe de bonne taille, dans une érection désespérée. Ses jambes sont exquises, et ses cuisses laissent à entrevoir une grande partie de jambe en l’air.
Il me regarde aussi. Il voit les résultats des cours de sport matinaux du collège de Montréal. Je suis certes maigre mais j’ai une certaine musculature. J’ai la peau blanchâtre mais mon torse est parfaitement proportionné, ponctué de deux tétons roses. J’enlève mon caleçon. Mon pénis n’est pas de la taille du sien mais il est tout à fait adorable, avec ses poils blonds qui le complètent. Il remarque avec délice que mes testicules sont épilés, tout comme les siennes.
-Tu es magnifique… Murmurais-je
-Toi aussi… C’est fou comme tu es beau…
Il me grimpe dessus et m’embrasse. Notre étreinte, de par notre nudité, est de plus en plus charnelle. Son sexe cogne contre le mien. J’ai envie de le sucer. Il me porte sur lui et bascule en arrière. Je me retrouve sur lui, ce qui me gêne un peu, n’ayant pas l’habitude d’avoir l’initiative. Il m’embrasse et m’aide à me sentir à l’aise. Ses doigts tripotent mon trou du cul qui s’écarte un peu. Il constate de suite mes aises avec cette partie de mon corps. Je me retourne, obsédé par son organe. Il ricane.
-Vicieux…
-T’as encore rien vu.
-Suce-moi… Suce-moi, Butters…
J’attrape son sexe gorgé de sang et je commence à le lécher, notamment le gland qui me paraît particulièrement juteux. Lui s’empare de mes testicules qu’il lèche et suce avec délice. Je le regarde en me mordillant les lèvres, et je décide d’accentuer ma fellation, avec une bonne vieille gorge profonde.
-Butters !!! Oh pu…tain !!!
J’agite mes lèvres sur son engin. Je le prends jusqu’aux couilles, et lui m’attrape le cul et me lèche l’anus avec ferveur. Je l’entends gémir avec bonheur. Il se retire alors que je sentais du pré-sperme s’écouler de son méat.
Nous nous embrassons de nouveau. Je reste à quatre pattes, ricanant en prévision de ce qu’il va faire.
Il commence à me doigter, à trifouiller mon rectum avec ses doigts. Je m’habitue peu à peu à ses caresses.
-Qu’est-ce que tu attends ? Prends-moi…
-Quelle impatience, Butters Stotch !
-Allez…
-Attends… J’applique les cours à l’école !
Il se saisit d’un préservatif ce qui me fait rire par rapport à ce qu’il a dit, puis il rompt l’emballage avec ses dents. Je constate qu’il est issu du sex-shop ou je travaille. J’ai un sourire amusé.
J’écarte les jambes. Il se lèche les babines, m’attrape le derrière et s’introduit. Je gémis de plaisir tant c’est bon de sentir une queue dans son arrière-train, de sentir cet autre garçon aimant vous aimer de tout son cœur et de tout son corps…
Il s’enfonce… Je crie car son pénis est gros, presque aussi gros que celui d’un connard qui se permet de me sauter chaque soir. Son intrusion achevée et acceptée, je le prie de remuer.
Là, ce n’est que cris et joie. Il me fait vibrer, et je sens ses coups jusque dans ma colonne vertébrale. Pendant sa pénétration, sa main se saisit de mon pénis, et alors que le sien s’enfonce dans mes chairs, le mien est caressé. Je presse mon dos contre son torse. Il embrasse mon cou et me cajole, me chuchote des mots tendres.
Nous faisons l’amour ainsi quelques moments, avant qu’il ne me prenne par devant : Je suis sur le dos, les jambes ramenées sur le torse, et lui s’insère en moi tout en m’embrassant. Sa douceur et sa violence me charment profondément. Il se retire après un orgasme rauque. Il a besoin de changer de préservatif.
-Butters, je t’ai…
Je pose ma main sur ses lèvres et je secoue la tête. Il retire ma main.
-…Je t’adore.
-Je suis désolé…
Il m’embrasse.
-C’est moi. J’allais oublier.
Je lui caresse la joue, l’air attristé pour lui. Mais il m’embrasse et commence à me lécher la joue, l’oreille, le cou, le torse, les tétons…
-Craig…
Il se relève, je fais de même. Il approche son sexe que je prends pour mieux le lui lécher. Je le regarde inspirer profondément.
-Craig, je ne peux pas avoir de relation sérieuse avec toi… Hmmm
Il me regarde, surpris.
-Mais si je peux te donner du plaisir… Mmmm… Je le ferais.
-Butters… Je te préfère maintenant que avant…
-T’as encore rien vu…
J’enfonce son pénis dans ma bouche, et je lève mes bras pour lui pincer les tétons. Il soupire de plaisir. J’adore cette nuit. Je peux enfin être moi-même. Enfin être ce garçon qui aime le sexe, qui aime faire aux autres ce que les autres jamais n’oseraient lui faire. Laissant ses adorables pectoraux tranquilles, je lui doigte tendrement l’anus, ce qu’il semble apprécier pendant ma fellation.
-Hmmm… Butters, tu veux me rendre la pareille ?
Etonné, je sors son pénis de ma bouche.
-Nan !
Craig me regarde.
-Bah alors pourquoi tu…
-Je suis passif, vieux ! Je pensais même pas que ça te ferait plaisir que je…
-Ah pardon je croyais que…
Nous ricanons, et nous nous allongeons ensemble dans le lit. A côté de moi, il se serre et m’embrasse.

-Dis Craig…
-Ouais…
-Ca veut dire… Qu’on sort ensemble ?
Craig se relève, s’appuyant sur son coude.
-Que fais-tu de Lloyd ?
-Il m’a… Comme qui dirait permis de faire un peu ce que je voulais… Je tiens juste à lui réserver mes Je t’aime.
-Ok. J’accepte qu’on « Sorte ensemble ».
-Cool.
-Butters, tu es un amant fantastique. Franchement si j’avais su, on aurait commencé dès la maternelle.
-PfffffffHahahahahaaaaaa !!!!! Tu te rends compte de c’que tu dis ?!!
-Ouais Héhéhéhé !
-Rhalala !
Il me regarda et passa du rire au sérieux.
-Tu as l’air tellement heureux de rire…
Je retrouvais mon sérieux. Il me caressait les cheveux, le regard triste. Je pressais mon corps nu contre le sien. Il m’enlace. Dans cet élan de compréhension, je me laisse fondre dans le bonheur de dormir à mes côtés.

Alors que Morphée et Craig me prennent dans leurs bras…
Mon père dormait, aigri par la frustration, et ma mère restait éveillée, imaginant mille scénarios pour mon retour à la maison...
arrow_back Previous Next arrow_forward