Le Périple du Chat Cendré
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French › Anime
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Disclaimer:
I do not own the anime/manga that this fanfiction is written for, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.
Entrevue avec le Corbeau
Warning: Ce chapitre comprend des scènes et des termes qui peuvent être choquants pour les non avertis. J'aurai prévenu... ;) (SM, viol., etc)
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Zaraki s'ennuyait dans son bureau, aussi excité qu'enragé de ne pas avoir assouvi ses désirs les plus bas. On disait souvent que la barbarie dans les combats cachait une luxure sans précédent, l'attrait pour les belles choses, surtout fragiles ...
- Je la veux ... merde...
Il renifla la senteur de la rousse, son désir grimpa d'un coup tout comme cette érection démesurée entre ses jambes.
De son côté Matsumoto ravala son appréhension et parcourut le couloir menant au bureau du capitaine borgne. Il fallait qu'elle parvienne à le convaincre de laisser Ukitake tranquille... Et elle ne voyait qu'un seul et unique moyen... Jouer de manière aussi basse que lui. La Vénusienne ne prit même pas la peine de cogner avant d'entrer, car de toute façon la 11ème ne connaissait ni politesse ni discipline. Quoi qu'il puisse advenir, elle ne montrerai ni peur, ni faiblesse... Pour Jyuushirô.
Pourléchant ses babines insatiables de chair tendre, le capitaine était de plus en plus excité par l'odeur et les bruits de pas de la belle rousse qui viendrait s'étaler sous son corps massif. Ce Sadique imaginait déjà les tortures que la beauté aurait à subir, quand celle-ci entra encore plus stupéfiante qu'à l'accoutumée.
- ... Onna .. tu t'es dépêchée finalement ...
Il se leva et sans attendre se mit juste en face d'elle, soulevant ses bras par ses poignets fins.
- Peut-être que tu veux que je te saute vite ? Un coup vite fait bien fait ou la totale chérie ? Tu décides .. enfin presque.
Il sourit carnassier et lui lécha l'oreille en profitant de sa stature avoisinant les deux mètres, surplombant la jeune femme bien plus petite que lui, pressé de la posséder. Le creux au ventre, Matsu ne répondit bien sur pas à cette vicieuse question. Elle pouvait lire l'étendue du vice dans cet œil unique, qui exprimait clairement tous les sévices auxquels elle se risquait en venant ici. Elle garda une expression neutre malgré l'impression étrange à son oreille avant de répliquer:
- Avant que vous fassiez quoi que ce soit, j'ai une proposition à vous faire.
Peu apte à écouter les propositions, le malsain Kenpachi laissa la femme au regard neutre décider cette fois-ci de la proposition. Il aurait après tout ce qu'il désirait et ce qu'elle pouvait demander l'intéressait peu ... Attrapant un des seins opulents de la voluptueuse, la langue de ce dernier voyagea du bas de son cou jusqu'à son menton.
- Demande vite ! Je ne serai pas aussi patient dans quelques minutes alors dépêche-toi.
Comme un loup en cage, l'homme cherchait à satisfaire une érection énorme qui se frottait honteusement contre la cuisse de l'autre demoiselle. Serrant les poings pour éviter d'ébaucher une quelconque réaction, Matsu-chan pesa ses mots, consciente de leur importance. Elle devrait se faire violence et dire des choses impensables...
- Laissez Ukitake-taishô tranquille, il ne doit plus vous être utile comme jouet, vous en avez fait tout ce qui est possible et imaginable, et c'est une loque qui ne vous oppose aucune résistance. Moi je suis une femme, qui vous plaît par ailleurs...
Elle laissa aller sa main vers l'imposante virilité du capitaine pour la caresser à travers le tissu.
- Vous aurez ce que vous voulez de moi et je serai à vous... Si seulement vous l'oubliez. Autrement vous ne retirerez aucun plaisir d'un corps immobile et d'une bouche qui ne crie pas d'horreur.
L'excitation de cet homme en fut encore décuplée, son cœur battant à la vitesse de la lumière. Pendant ses caresses non désirées, il écouta les mots de Matsu alors que celle-ci toucha trop tôt le membre épais de ce vicelard sous couvert d'amateur de sang. Tout soumettre, hommes, femmes, rien ne devait s'opposer à sa libido démesurée...
- Si tu veux .. mais comme tu vas m'obéir... agenouille-toi !
Devenu comme fou après cette caresse, il ordonna que la belle se mettre face à ses cuisses légèrement écartées. Matsumoto se doutait qu'elle aurait à faire à ce genre de poses humiliantes et s'y était préparée mentalement. Cependant elle ne croyait pas un mot de ce que venait de prononcer le taishô de manière si légère. Elle n'obtempéra pas tout de suite mais à la place voulut s'assurer qu'il tiendrait parole en le faisant jurer sur la seule chose qui avait une valeur pour lui... Elle s'approcha et se frotta de manière lascive contre son corps entaché de cicatrices et dur comme la roche, frottant sa poitrine contre lui et son ventre contre son sexe.
- Jurez le sur la vie de Yachiru et votre honneur de combattant. Dans le cas contraire, notre marché n'est pas valable, vous pourrez tenter de me contraindre par la force, ma détermination est plus forte que la douleur.
Son regard étincelait de rage contenue et de résolutions inattendues...
Alors qu'elle ne se baisserait pas tout de suite à ses exigences, la rousse lascive se frottait encore et encore contre ce sexe aussi dur que de la roche, l'obscène voulant creuser au fond de la gorge de la voluptueuse demoiselle ... Au nom de Yachiru, celui-ci leva un sourcil, et sourit ...
Bonne... et intelligente.
- Sur la tête de la gamine ... je ne violerais pas mon accord.
Il montra ses dents de requin, ce prédateur sexuel ayant d'autres idées bien vicieuses ... fortement et de façon tonitruante, il hurla à la dame rousse, en écartant les pans de son kimono violemment...
Rassurée sur ce point, elle laissa un sourire ironique divaguer sur ses lèvres. Quoi qu'il puisse arriver à présent, son seul et unique but était rempli. Peu lui importaient les humiliations ou les peines qu'elle endurerait, Ukitake était désormais à l'abri. Elle essaya de repenser à son visage si tendre,... Et ne put que constater le contraste avec cette expression sournoise et diabolique qu'arborait Kenpachi. Elle n'ébaucha toujours aucune crainte devant lui, sachant que cela ne contribuerait qu'à empirer les choses...
Mais ce n'était pas au goût de ce dernier qui perdant de plus en plus patience, voulut arracher son bandeau... mais risquait de faire des dégâts autour d'eux... prenant les fragiles tétons de la dryade, il les tirait donc violemment, en léchant le cou de la rouquine, mettant sa bave animale sur la peau si vivante et magnifique.
- Puisque tu veux pas me tailler une pipe maintenant, laisse-moi ...
Il saisit cette fois-ci la paire de seins, qu'il pétrit sans détours comme pour lui faire mal.
- Je vais me servir alors!
Il se mit à lécher les tétons, les tirer violemment pour les mordre avec ses dents. Matsumoto se mordit la lèvre inférieure, car sa poitrine était traitée comme un jouet,... il lui faisait mal, il le savait et cela l'excitait. Elle savait également que ce n'était que le début d'un long supplice... Elle pencha alors la tête pour le laisser faire et plongea la main dans la chevelure étrange ornée de clochettes, en faisant bouger quelques unes pour glisser sa main dans la nuque bestiale et la griffer. Libre à lui de prendre ça pour du plaisir...
Sadique éhonté mais masochiste complètement déjanté, pendant qu'il torturait la poitrine volumineuse de la vice-capitaine, la griffure sur sa nuque le rendit dingue de plaisir, sa région érogène la plus forte ayant été excitée.
- Putain de merde .. oh putain tu es bonne là !
Il croqua le sein droit à pleines dents, plongeant ses crocs dans cette région aussi doucereuse et sensible tandis que son autre main lâcha un sein pour défaire le hakama de la pauvre fukutaishou qui ne connaîtrait que le début de sa souffrance ... un papillon de l'Enfer les regardait, battant de ses ailes noires à ce moment même...
L'érubescente laissa s'échapper un petit cri plus de surprise que de douleur, et continua de le griffer encore plus violemment de ses ongles, presque jusqu'au sang.
- Aaaaah...
L'autre main se glissa à travers la veste largement entrouverte, attrapant à son tour un téton pour jouer avec, parcourant également le torse plein de cicatrices. Elle espérait qu'en lui procurant son plaisir malsain il serait moins concentré en ces choses horribles qui l'attendaient.
- Ahhhhhh ...
Il bavait son plaisir sur les seins de Matsumoto, rougis ou légèrement violets à certains endroits à cause de la brutalité de Kenpachi, qui fit couler un peu de sang sur le sein droit douloureux. Du sang coulait de sa nuque, tachant les ongles de la Pure Matsumoto qui joua aussi avec ses tétons ... Le bas de Rangiku étant enlevé, le shinigami tira le sous-vêtement de la belle, levant automatiquement une de ses jambes, mettant deux doigts dans son intimité
- Je parie que tu mouilles .. peut-être est-ce la vue d'Uki qui t'a fait perdre tes moyens sale chienne ?... Tu aimerais que je le baise devant toi ? Répète-le !
Matsumoto pensa effectivement à Ukitake mais se disant surtout qu'après une nuit au paradis, aujourd'hui elle allait connaître l'Enfer... Elle décida d'obtempérer sans discuter à ce qu'il lui dirait... De toute façon elle n'avait pas le choix si elle voulait qu'il tienne sa part du marché. Que valait son orgueil en comparaison du bien être du taishô d'argent? Elle frémit lorsqu'il toucha son intimité de manière violente, mais n'ébaucha pas un geste.
- Aaaaaah... Oh oui... tout ce que vous voulez... Maître.
Elle se haït elle même de parvenir à dire ces horreurs, mais espéra que ça lui plairait, tout en le maudissant intérieurement. Elle passa ses mains sur ses côtes et les pinça violemment. Le souvenir étiolé d'Ukitake donnait un peu de courage à Matsumoto et diminuait peut-être la douleur face aux assauts de Kenchan.
- Merde .. même quand tu gémis tu es bonne...
Embrassant à pleine bouche les lippes boursouflées, l'homme fouilla la bouche de cette dernière avec véhémence, mordant ses seins ou tirant les tétons avec le bout de ses dents tranchantes.
- Bien bonne ... Cependant j'aurais aimé que tu me demandes plus comme ta chère pute de taishou qui avalait tant et en demandait toujours plus ...
Ses mains fouillaient son sexe, écartant simultanément son anus avec les autres doigts de guerrier .. Tout fait sans délicatesse aucune. Matsu fut choquée par ces paroles vulgaires, mais surtout car il dénigrait ce pourquoi même elle se battait. Elle ne réagit pas, trop concentrée à essayer de ne pas crier de douleur en raison des gestes brusques et violents du colosse. Elle préféra au contraire lui prouver qu'il avait beau dominer par la force, elle ne se laisserait pas amoindrir et garderait sa volonté, même si elle lui obéissait.
- N'était ce pas un défi que vous cherchiez? Alors pourquoi demandez vous que je me soumette?
En disant cela elle empoigna son sexe à pleine main, le caressant vigoureusement pour enfin le serrer fermement. Non la belle ne se soumettrait jamais mentalement et sa jactance rendit l'homme presque pourpre ! Alors que celle-ci enchaîna une caresse vigoureuse sur son sexe, il lui vomit à la figure:
- Tu te fais philosophe maintenant sale chienne ? Je vais t'apprendre ...
Il se mit donc debout, levant la pauvre fukutaishou par les cheveux, son sexe enfin libérés qui cherchaient cavité.
- Suce et dépêche toi !...
La vénusienne serra les dents et grimaça de douleur lorsqu'il la tira par ses longs cheveux. Les insultes ne l'atteignaient pas, la douleur elle s'en moquait alors pourquoi devrait elle s'en faire? Parce qu'un salaud jouait de façon ignoble pour lui faire faire ce qu'il veut? Qu'il en soit ainsi...
- Attention que la sale chienne ne soit pas enragée...
Elle s'exécuta alors, prenant le sexe proéminent dans sa bouche et en promenant ses lèvres sur son extrémité, lui procurant assez de plaisir pour que celui ci ne réplique pas violemment, du moins pas tout de suite. Elle tira sur ses testicules et mordit doucement sa masculinité, sans toutefois être violente car les représailles le lui feraient certainement regretter.
- Bien enragée...
Elle au moins ne s'abandonnait pas à une débauche insolente, n'éprouvant guère de plaisir à faire ce qu'elle faisait.
- Fais-moi mal ! Oui tu tires bien n'est-ce pas... car tu aimes.
Il se mit à bouger brutalement entre les lippes comme un cheval pressé, son gland touchant même le bout d'un des os de la gorge dans son ascension afin de l'étouffer. Extase quand son sexe proéminent fut aspiré, ses mains dans les cheveux roux continuant de les tirer avec une force toute caractéristique ...
Elle n'en revenait pas que des actes aussi violents puissent procurer une once de plaisir, mais tant qu'il s'agissait de faire mal, elle s'en préoccupait peu. Elle manqua de tousser lorsqu'elle sentit la verge au fond de sa gorge, manquant visiblement d'air. Elle tira donc encore plus de sa main, se demandant comment il n'était pas tiraillé de douleur, et lui mordit le gland de manière violente, jusqu'à avoir le goût du sang dans la bouche. Elle planta également ses ongles à la base de son sexe, le serrant comme pour se venger. Elle décida alors jouer les actrices, afin de lui plaire... si au moins ça le calmait...
- Huummmm...
- Oh oui ... merde... vas y encore...
Le sexe de Kenpachi saignait, amateur de cette mutilation des plus ignobles que l'on puisse faire sur un corps humain ... le shinigami à la verge ravagée et au plaisir éclatant se retira des dents vengeresses de Matsumoto, écartant encore plus les jambes de cette dernière pour la pénétrer violemment, le manche de son zanpakutô quant à lui titillant l'anus fleuri de la demoiselle.
- Aaaaaah !
La shinigami avait eu le temps de se préparer à ce moment bien qu'elle ne puisse avoir imaginé au préalable cette horrible sensation. Elle ferma les yeux en murmurant et gémissant, alors que ses ongles lacéraient la peau du dos du capitaine, ainsi que ses fesses. D'autre part elle plongea la tête dans le torse et cou de Kenpachi, léchant et surtout mordant violemment son corps, comme une vampiresse avide de sang.
Mordu, léché, complètement déchiqueté, le fou allié n'en finissait pas de mutiler le sexe de l'exquise, à coups de butoir tel un dard aiguisé qui percerait sans contexte la chair de la belle demoiselle.
- Ukitake aussi adorait cela ... mais plutôt ici ... Hurlant comme un affamé de plaisir .. un véritable affamé !
Son pénis se plantait toujours autant, du sang coulant de ses fesses et de son dos déchiré alors que le manche glissait dans l'antre de Matsumoto. La jeune femme n'en revenait pas... Elle n'arrivait même pas à réfléchir tant elle était assaillie par cet amas d'émotions... La rage, la douleur, la surprise, le dégoût... elle continua son manège, criant maintenant sans retenue des gémissements de douleur et plaisir mêlés, du moins c'est ce qu'en croirait Kenpachi...
- Aaaaaah ah ouiii ahhhh prends moi temeeee...
Cette utilisation ne le choquerait pas et risquerait au contraire de le stimuler, mais à ce stade elle s'en moquait... elle voulait seulement que ça s'arrête...
Vas y tu peux y arriver... fais le pour lui... Tu ne peux pas flancher...
Toujours dans cette démente frénésie où leurs deux corps se mêlaient, un zanpakutô en plus qui s'infiltrait en elle, le capitaine devenait de plus en plus fou à ces appellations des plus stimulantes, léchant son visage, son cou ... tout d'elle jusqu'à ce qu'il sente la chaleur dans son pénis .. Prenant les hanches tout en étant entre les cuisses de la Vénus, l'Arès de la Soul Society éjacula en elle.
- J'y suis presque et tu vas voir !
Il alla encore plus profondément, le zanpakutô étant enfoncé au maximum en son sein. La vice capitaine retint les larmes de toutes ses forces... Elle ne pouvait pas se permettre une telle démonstration de faiblesse. Puisque cela n'avait pas l'air de le déranger, la belle continua de l'insulter et le maudire, se soulageant quelque peu de cette frustration.
- Ohhhhh teme... raclure... Sois maudit.
Puis prise d'une subite idée, elle suivit son exemple, utilisant son zanpakutô. Elle n'eut pas besoin de toucher Haineko tombé à terre...
- Unare... Haineko.
Un murmure avait suffi à réveiller le chat de cendres qui s'envola tout droit vers le dos et la nuque du capitaine.
Tandis que cet affreux capitaine torturait la demoiselle de l'intérieur en la souillant ... serrant ses cuisses tout en les griffant.
- Ahhhhhh Arghhh Tu aimes me traiter comme cela petite chienne ... Ah !
Souffle coupé, le sadique ressentit tous les gestes de ces cendres incandescentes qui s'envolèrent sur sa nuque. Raide, il se colla contre la poitrine volumineuse et commença à se vider en elle, le bruit était complètement déplaisant, sa colère baissant comme son désir montait.
Ravalant les larmes qui se faisaient imminentes, la fukutaishô continua de diriger les cendres partout sur son corps, de la joue ou un filait de sang s'écoulait déjà jusqu'au postérieur. Elle prit de l'index une goutte de sang qui s'écoulait d'une plaie béante et le mit dans sa bouche pour le sucer ostensiblement. Qu'il pense ce qu'il veut... Elle ne céderait pas. Elle pensa encore à Jyuushirô, essayant de puiser cette force qu'elle n'avait plus. Le visage serein d'Ukitake aurait pu lui apparaître, le taishou ne pensant qu'à elle ...
A la fin de cet acte barbare, l'homme finit de la souiller de tout son sperme avant de retirer aussi son zanpakutô, qui certainement était décoré de liquides corporels. Avant de la laisser, il se vida aussi sur son visage, laissant ses flots collants entacher les lèvres vermeilles. Matsumoto finit par se mordre la lèvre d'une telle force, qu'elle commença à en saigner abondamment... Elle se frotta la visage, dégoûtée par tant d'immondices. Elle donnait cette visite comme terminée, alors sans dire un mot, elle prit les lambeaux de ses vêtements qu'elle essaya de remettre un tant soit peu en place en ramassant Haineko, tourna le dos à l'être ignoble qui lui avait subir tout ça et sortit en claquant la porte.
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Le papillon avait fini de regarder pareille luxure, alors que l'homme de la onzième finit en bain de sang et de sperme. Cet immonde créature avait osé souiller la belle Vénusienne qui faisait peine à voir maintenant que le massacre était terminé. Ce fut digne qu'elle quitta les quartiers de la onzième division alors que le papillon se reposa sur la main d'Unohana.
- Matsumoto mérite des soins ... et je me dois de la soigner. La pauvre s'est retrouvée victime d'un bien malheureux incident... Nous sommes déjà au début de l'acte... combien de temps tiendra-t-elle ?
Matsumoto essuya à sa manche son visage encore sale, et sa lèvre qui ne s'arrêtait pas de saigner. Elle quitta les couloirs de la onzième en shyunpô pour que personne ne la voie, parcourut le trajet sur les toits et arriva à la dixième, exténuée et mal en point. Elle n'avait cependant pas pleuré, gardant son orgueil intact. Elle avait fait ce qu'il fallait... Même si elle commençait à se haïr elle même.
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Zaraki s'ennuyait dans son bureau, aussi excité qu'enragé de ne pas avoir assouvi ses désirs les plus bas. On disait souvent que la barbarie dans les combats cachait une luxure sans précédent, l'attrait pour les belles choses, surtout fragiles ...
- Je la veux ... merde...
Il renifla la senteur de la rousse, son désir grimpa d'un coup tout comme cette érection démesurée entre ses jambes.
De son côté Matsumoto ravala son appréhension et parcourut le couloir menant au bureau du capitaine borgne. Il fallait qu'elle parvienne à le convaincre de laisser Ukitake tranquille... Et elle ne voyait qu'un seul et unique moyen... Jouer de manière aussi basse que lui. La Vénusienne ne prit même pas la peine de cogner avant d'entrer, car de toute façon la 11ème ne connaissait ni politesse ni discipline. Quoi qu'il puisse advenir, elle ne montrerai ni peur, ni faiblesse... Pour Jyuushirô.
Pourléchant ses babines insatiables de chair tendre, le capitaine était de plus en plus excité par l'odeur et les bruits de pas de la belle rousse qui viendrait s'étaler sous son corps massif. Ce Sadique imaginait déjà les tortures que la beauté aurait à subir, quand celle-ci entra encore plus stupéfiante qu'à l'accoutumée.
- ... Onna .. tu t'es dépêchée finalement ...
Il se leva et sans attendre se mit juste en face d'elle, soulevant ses bras par ses poignets fins.
- Peut-être que tu veux que je te saute vite ? Un coup vite fait bien fait ou la totale chérie ? Tu décides .. enfin presque.
Il sourit carnassier et lui lécha l'oreille en profitant de sa stature avoisinant les deux mètres, surplombant la jeune femme bien plus petite que lui, pressé de la posséder. Le creux au ventre, Matsu ne répondit bien sur pas à cette vicieuse question. Elle pouvait lire l'étendue du vice dans cet œil unique, qui exprimait clairement tous les sévices auxquels elle se risquait en venant ici. Elle garda une expression neutre malgré l'impression étrange à son oreille avant de répliquer:
- Avant que vous fassiez quoi que ce soit, j'ai une proposition à vous faire.
Peu apte à écouter les propositions, le malsain Kenpachi laissa la femme au regard neutre décider cette fois-ci de la proposition. Il aurait après tout ce qu'il désirait et ce qu'elle pouvait demander l'intéressait peu ... Attrapant un des seins opulents de la voluptueuse, la langue de ce dernier voyagea du bas de son cou jusqu'à son menton.
- Demande vite ! Je ne serai pas aussi patient dans quelques minutes alors dépêche-toi.
Comme un loup en cage, l'homme cherchait à satisfaire une érection énorme qui se frottait honteusement contre la cuisse de l'autre demoiselle. Serrant les poings pour éviter d'ébaucher une quelconque réaction, Matsu-chan pesa ses mots, consciente de leur importance. Elle devrait se faire violence et dire des choses impensables...
- Laissez Ukitake-taishô tranquille, il ne doit plus vous être utile comme jouet, vous en avez fait tout ce qui est possible et imaginable, et c'est une loque qui ne vous oppose aucune résistance. Moi je suis une femme, qui vous plaît par ailleurs...
Elle laissa aller sa main vers l'imposante virilité du capitaine pour la caresser à travers le tissu.
- Vous aurez ce que vous voulez de moi et je serai à vous... Si seulement vous l'oubliez. Autrement vous ne retirerez aucun plaisir d'un corps immobile et d'une bouche qui ne crie pas d'horreur.
L'excitation de cet homme en fut encore décuplée, son cœur battant à la vitesse de la lumière. Pendant ses caresses non désirées, il écouta les mots de Matsu alors que celle-ci toucha trop tôt le membre épais de ce vicelard sous couvert d'amateur de sang. Tout soumettre, hommes, femmes, rien ne devait s'opposer à sa libido démesurée...
- Si tu veux .. mais comme tu vas m'obéir... agenouille-toi !
Devenu comme fou après cette caresse, il ordonna que la belle se mettre face à ses cuisses légèrement écartées. Matsumoto se doutait qu'elle aurait à faire à ce genre de poses humiliantes et s'y était préparée mentalement. Cependant elle ne croyait pas un mot de ce que venait de prononcer le taishô de manière si légère. Elle n'obtempéra pas tout de suite mais à la place voulut s'assurer qu'il tiendrait parole en le faisant jurer sur la seule chose qui avait une valeur pour lui... Elle s'approcha et se frotta de manière lascive contre son corps entaché de cicatrices et dur comme la roche, frottant sa poitrine contre lui et son ventre contre son sexe.
- Jurez le sur la vie de Yachiru et votre honneur de combattant. Dans le cas contraire, notre marché n'est pas valable, vous pourrez tenter de me contraindre par la force, ma détermination est plus forte que la douleur.
Son regard étincelait de rage contenue et de résolutions inattendues...
Alors qu'elle ne se baisserait pas tout de suite à ses exigences, la rousse lascive se frottait encore et encore contre ce sexe aussi dur que de la roche, l'obscène voulant creuser au fond de la gorge de la voluptueuse demoiselle ... Au nom de Yachiru, celui-ci leva un sourcil, et sourit ...
Bonne... et intelligente.
- Sur la tête de la gamine ... je ne violerais pas mon accord.
Il montra ses dents de requin, ce prédateur sexuel ayant d'autres idées bien vicieuses ... fortement et de façon tonitruante, il hurla à la dame rousse, en écartant les pans de son kimono violemment...
Rassurée sur ce point, elle laissa un sourire ironique divaguer sur ses lèvres. Quoi qu'il puisse arriver à présent, son seul et unique but était rempli. Peu lui importaient les humiliations ou les peines qu'elle endurerait, Ukitake était désormais à l'abri. Elle essaya de repenser à son visage si tendre,... Et ne put que constater le contraste avec cette expression sournoise et diabolique qu'arborait Kenpachi. Elle n'ébaucha toujours aucune crainte devant lui, sachant que cela ne contribuerait qu'à empirer les choses...
Mais ce n'était pas au goût de ce dernier qui perdant de plus en plus patience, voulut arracher son bandeau... mais risquait de faire des dégâts autour d'eux... prenant les fragiles tétons de la dryade, il les tirait donc violemment, en léchant le cou de la rouquine, mettant sa bave animale sur la peau si vivante et magnifique.
- Puisque tu veux pas me tailler une pipe maintenant, laisse-moi ...
Il saisit cette fois-ci la paire de seins, qu'il pétrit sans détours comme pour lui faire mal.
- Je vais me servir alors!
Il se mit à lécher les tétons, les tirer violemment pour les mordre avec ses dents. Matsumoto se mordit la lèvre inférieure, car sa poitrine était traitée comme un jouet,... il lui faisait mal, il le savait et cela l'excitait. Elle savait également que ce n'était que le début d'un long supplice... Elle pencha alors la tête pour le laisser faire et plongea la main dans la chevelure étrange ornée de clochettes, en faisant bouger quelques unes pour glisser sa main dans la nuque bestiale et la griffer. Libre à lui de prendre ça pour du plaisir...
Sadique éhonté mais masochiste complètement déjanté, pendant qu'il torturait la poitrine volumineuse de la vice-capitaine, la griffure sur sa nuque le rendit dingue de plaisir, sa région érogène la plus forte ayant été excitée.
- Putain de merde .. oh putain tu es bonne là !
Il croqua le sein droit à pleines dents, plongeant ses crocs dans cette région aussi doucereuse et sensible tandis que son autre main lâcha un sein pour défaire le hakama de la pauvre fukutaishou qui ne connaîtrait que le début de sa souffrance ... un papillon de l'Enfer les regardait, battant de ses ailes noires à ce moment même...
L'érubescente laissa s'échapper un petit cri plus de surprise que de douleur, et continua de le griffer encore plus violemment de ses ongles, presque jusqu'au sang.
- Aaaaah...
L'autre main se glissa à travers la veste largement entrouverte, attrapant à son tour un téton pour jouer avec, parcourant également le torse plein de cicatrices. Elle espérait qu'en lui procurant son plaisir malsain il serait moins concentré en ces choses horribles qui l'attendaient.
- Ahhhhhh ...
Il bavait son plaisir sur les seins de Matsumoto, rougis ou légèrement violets à certains endroits à cause de la brutalité de Kenpachi, qui fit couler un peu de sang sur le sein droit douloureux. Du sang coulait de sa nuque, tachant les ongles de la Pure Matsumoto qui joua aussi avec ses tétons ... Le bas de Rangiku étant enlevé, le shinigami tira le sous-vêtement de la belle, levant automatiquement une de ses jambes, mettant deux doigts dans son intimité
- Je parie que tu mouilles .. peut-être est-ce la vue d'Uki qui t'a fait perdre tes moyens sale chienne ?... Tu aimerais que je le baise devant toi ? Répète-le !
Matsumoto pensa effectivement à Ukitake mais se disant surtout qu'après une nuit au paradis, aujourd'hui elle allait connaître l'Enfer... Elle décida d'obtempérer sans discuter à ce qu'il lui dirait... De toute façon elle n'avait pas le choix si elle voulait qu'il tienne sa part du marché. Que valait son orgueil en comparaison du bien être du taishô d'argent? Elle frémit lorsqu'il toucha son intimité de manière violente, mais n'ébaucha pas un geste.
- Aaaaaah... Oh oui... tout ce que vous voulez... Maître.
Elle se haït elle même de parvenir à dire ces horreurs, mais espéra que ça lui plairait, tout en le maudissant intérieurement. Elle passa ses mains sur ses côtes et les pinça violemment. Le souvenir étiolé d'Ukitake donnait un peu de courage à Matsumoto et diminuait peut-être la douleur face aux assauts de Kenchan.
- Merde .. même quand tu gémis tu es bonne...
Embrassant à pleine bouche les lippes boursouflées, l'homme fouilla la bouche de cette dernière avec véhémence, mordant ses seins ou tirant les tétons avec le bout de ses dents tranchantes.
- Bien bonne ... Cependant j'aurais aimé que tu me demandes plus comme ta chère pute de taishou qui avalait tant et en demandait toujours plus ...
Ses mains fouillaient son sexe, écartant simultanément son anus avec les autres doigts de guerrier .. Tout fait sans délicatesse aucune. Matsu fut choquée par ces paroles vulgaires, mais surtout car il dénigrait ce pourquoi même elle se battait. Elle ne réagit pas, trop concentrée à essayer de ne pas crier de douleur en raison des gestes brusques et violents du colosse. Elle préféra au contraire lui prouver qu'il avait beau dominer par la force, elle ne se laisserait pas amoindrir et garderait sa volonté, même si elle lui obéissait.
- N'était ce pas un défi que vous cherchiez? Alors pourquoi demandez vous que je me soumette?
En disant cela elle empoigna son sexe à pleine main, le caressant vigoureusement pour enfin le serrer fermement. Non la belle ne se soumettrait jamais mentalement et sa jactance rendit l'homme presque pourpre ! Alors que celle-ci enchaîna une caresse vigoureuse sur son sexe, il lui vomit à la figure:
- Tu te fais philosophe maintenant sale chienne ? Je vais t'apprendre ...
Il se mit donc debout, levant la pauvre fukutaishou par les cheveux, son sexe enfin libérés qui cherchaient cavité.
- Suce et dépêche toi !...
La vénusienne serra les dents et grimaça de douleur lorsqu'il la tira par ses longs cheveux. Les insultes ne l'atteignaient pas, la douleur elle s'en moquait alors pourquoi devrait elle s'en faire? Parce qu'un salaud jouait de façon ignoble pour lui faire faire ce qu'il veut? Qu'il en soit ainsi...
- Attention que la sale chienne ne soit pas enragée...
Elle s'exécuta alors, prenant le sexe proéminent dans sa bouche et en promenant ses lèvres sur son extrémité, lui procurant assez de plaisir pour que celui ci ne réplique pas violemment, du moins pas tout de suite. Elle tira sur ses testicules et mordit doucement sa masculinité, sans toutefois être violente car les représailles le lui feraient certainement regretter.
- Bien enragée...
Elle au moins ne s'abandonnait pas à une débauche insolente, n'éprouvant guère de plaisir à faire ce qu'elle faisait.
- Fais-moi mal ! Oui tu tires bien n'est-ce pas... car tu aimes.
Il se mit à bouger brutalement entre les lippes comme un cheval pressé, son gland touchant même le bout d'un des os de la gorge dans son ascension afin de l'étouffer. Extase quand son sexe proéminent fut aspiré, ses mains dans les cheveux roux continuant de les tirer avec une force toute caractéristique ...
Elle n'en revenait pas que des actes aussi violents puissent procurer une once de plaisir, mais tant qu'il s'agissait de faire mal, elle s'en préoccupait peu. Elle manqua de tousser lorsqu'elle sentit la verge au fond de sa gorge, manquant visiblement d'air. Elle tira donc encore plus de sa main, se demandant comment il n'était pas tiraillé de douleur, et lui mordit le gland de manière violente, jusqu'à avoir le goût du sang dans la bouche. Elle planta également ses ongles à la base de son sexe, le serrant comme pour se venger. Elle décida alors jouer les actrices, afin de lui plaire... si au moins ça le calmait...
- Huummmm...
- Oh oui ... merde... vas y encore...
Le sexe de Kenpachi saignait, amateur de cette mutilation des plus ignobles que l'on puisse faire sur un corps humain ... le shinigami à la verge ravagée et au plaisir éclatant se retira des dents vengeresses de Matsumoto, écartant encore plus les jambes de cette dernière pour la pénétrer violemment, le manche de son zanpakutô quant à lui titillant l'anus fleuri de la demoiselle.
- Aaaaaah !
La shinigami avait eu le temps de se préparer à ce moment bien qu'elle ne puisse avoir imaginé au préalable cette horrible sensation. Elle ferma les yeux en murmurant et gémissant, alors que ses ongles lacéraient la peau du dos du capitaine, ainsi que ses fesses. D'autre part elle plongea la tête dans le torse et cou de Kenpachi, léchant et surtout mordant violemment son corps, comme une vampiresse avide de sang.
Mordu, léché, complètement déchiqueté, le fou allié n'en finissait pas de mutiler le sexe de l'exquise, à coups de butoir tel un dard aiguisé qui percerait sans contexte la chair de la belle demoiselle.
- Ukitake aussi adorait cela ... mais plutôt ici ... Hurlant comme un affamé de plaisir .. un véritable affamé !
Son pénis se plantait toujours autant, du sang coulant de ses fesses et de son dos déchiré alors que le manche glissait dans l'antre de Matsumoto. La jeune femme n'en revenait pas... Elle n'arrivait même pas à réfléchir tant elle était assaillie par cet amas d'émotions... La rage, la douleur, la surprise, le dégoût... elle continua son manège, criant maintenant sans retenue des gémissements de douleur et plaisir mêlés, du moins c'est ce qu'en croirait Kenpachi...
- Aaaaaah ah ouiii ahhhh prends moi temeeee...
Cette utilisation ne le choquerait pas et risquerait au contraire de le stimuler, mais à ce stade elle s'en moquait... elle voulait seulement que ça s'arrête...
Vas y tu peux y arriver... fais le pour lui... Tu ne peux pas flancher...
Toujours dans cette démente frénésie où leurs deux corps se mêlaient, un zanpakutô en plus qui s'infiltrait en elle, le capitaine devenait de plus en plus fou à ces appellations des plus stimulantes, léchant son visage, son cou ... tout d'elle jusqu'à ce qu'il sente la chaleur dans son pénis .. Prenant les hanches tout en étant entre les cuisses de la Vénus, l'Arès de la Soul Society éjacula en elle.
- J'y suis presque et tu vas voir !
Il alla encore plus profondément, le zanpakutô étant enfoncé au maximum en son sein. La vice capitaine retint les larmes de toutes ses forces... Elle ne pouvait pas se permettre une telle démonstration de faiblesse. Puisque cela n'avait pas l'air de le déranger, la belle continua de l'insulter et le maudire, se soulageant quelque peu de cette frustration.
- Ohhhhh teme... raclure... Sois maudit.
Puis prise d'une subite idée, elle suivit son exemple, utilisant son zanpakutô. Elle n'eut pas besoin de toucher Haineko tombé à terre...
- Unare... Haineko.
Un murmure avait suffi à réveiller le chat de cendres qui s'envola tout droit vers le dos et la nuque du capitaine.
Tandis que cet affreux capitaine torturait la demoiselle de l'intérieur en la souillant ... serrant ses cuisses tout en les griffant.
- Ahhhhhh Arghhh Tu aimes me traiter comme cela petite chienne ... Ah !
Souffle coupé, le sadique ressentit tous les gestes de ces cendres incandescentes qui s'envolèrent sur sa nuque. Raide, il se colla contre la poitrine volumineuse et commença à se vider en elle, le bruit était complètement déplaisant, sa colère baissant comme son désir montait.
Ravalant les larmes qui se faisaient imminentes, la fukutaishô continua de diriger les cendres partout sur son corps, de la joue ou un filait de sang s'écoulait déjà jusqu'au postérieur. Elle prit de l'index une goutte de sang qui s'écoulait d'une plaie béante et le mit dans sa bouche pour le sucer ostensiblement. Qu'il pense ce qu'il veut... Elle ne céderait pas. Elle pensa encore à Jyuushirô, essayant de puiser cette force qu'elle n'avait plus. Le visage serein d'Ukitake aurait pu lui apparaître, le taishou ne pensant qu'à elle ...
A la fin de cet acte barbare, l'homme finit de la souiller de tout son sperme avant de retirer aussi son zanpakutô, qui certainement était décoré de liquides corporels. Avant de la laisser, il se vida aussi sur son visage, laissant ses flots collants entacher les lèvres vermeilles. Matsumoto finit par se mordre la lèvre d'une telle force, qu'elle commença à en saigner abondamment... Elle se frotta la visage, dégoûtée par tant d'immondices. Elle donnait cette visite comme terminée, alors sans dire un mot, elle prit les lambeaux de ses vêtements qu'elle essaya de remettre un tant soit peu en place en ramassant Haineko, tourna le dos à l'être ignoble qui lui avait subir tout ça et sortit en claquant la porte.
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Le papillon avait fini de regarder pareille luxure, alors que l'homme de la onzième finit en bain de sang et de sperme. Cet immonde créature avait osé souiller la belle Vénusienne qui faisait peine à voir maintenant que le massacre était terminé. Ce fut digne qu'elle quitta les quartiers de la onzième division alors que le papillon se reposa sur la main d'Unohana.
- Matsumoto mérite des soins ... et je me dois de la soigner. La pauvre s'est retrouvée victime d'un bien malheureux incident... Nous sommes déjà au début de l'acte... combien de temps tiendra-t-elle ?
Matsumoto essuya à sa manche son visage encore sale, et sa lèvre qui ne s'arrêtait pas de saigner. Elle quitta les couloirs de la onzième en shyunpô pour que personne ne la voie, parcourut le trajet sur les toits et arriva à la dixième, exténuée et mal en point. Elle n'avait cependant pas pleuré, gardant son orgueil intact. Elle avait fait ce qu'il fallait... Même si elle commençait à se haïr elle même.