Get Hermione Laid : Mission 1

Chapitre 4 : MISSION : Quelle mission ?


-Descendez de ses genoux alors, dit Snape d’une voix traînante. Je crois que nous attendons vos cartes Her… Miss Granger.

Oups, d’accord. Je me lève des genoux de Sirius – mince – et me glisse sur mon propre siège. Hum, j’arrive bien mieux à réfléchir après cette petite excursion ! Bien !

-Hermione, tu es sûre de vouloir continuer à jouer ?

Merde ça venait de Sirius, je crois ! Ou alors Lupin peut déplacer sa voix…

-Bien sûr, dis-je avec un grand sourire.

Je le vois échanger rapidement un regard avec Rémus, puis il finit par hausser les épaules. Je n’ai pas la moindre idée de ce que ça signifiait et je m’en moque un peu …

-Alors ? crache Snape impatiemment, pendant que je récupère mes cartes sur le sol. Mince, même pas une paire. Je jette boudeusement le tout sur la table.

Je jette un coup d’œil sur le reste des mains étalées sur la table tout en fauchant une autre cigarette à Snape.

Je trouve la combinaison gagnante : aah, professeur Snape, qu’avez-vous en rayon pour moi ? Pourquoi pas un autre tour sur les genoux du toutou ? Ça ne me dérangerait pas, honnêtement !

-Bien, Miss Granger, vous voulez un jeu équitable, ou du moins vous voulez nous le faire croire. Je crois avoir passé un tour à vous sucer les orteils, pas vrai ?

-Mmmh, dis-je en me complaisant dans ce petit souvenir. Attendez, il ne s’attend pas à ce que je fasse ça à ses orteils, si ? J’ai bien peur de ne pas être aussi fair-play, Professeur…

-Et votre démonstration dégoûtante avec ça – il fait un signe de tête en direction de Sirius – m’a mis dans un état assez… disons… « inconfortable »…

-Ah, donc, ce que vous dites, c’est que vous souhaitez que je remplace votre cigarette par votre « baguette », dis-je en plaisantant.

-… Professeur. Oups, j’ai failli oublier !

-Cela conviendrait.

Oh, le fameux côté euphémistique du Serpentard, hein Monsieur ? Rien à foutre. Je n’ai jamais fait ça avant, mais après tout, cette soirée est là pour me faire expérimenter de nouvelles choses, et ça ne fait sûrement pas de mal… en plus, Ginny m’a dit que les mecs étaient plus enclin à faire la même chose pour vous après que vous leur ayez fait…

Et puis, ça me dirait bien de savoir ce que le Maître des Potions cache sous ses vêtements…

Alors que je me lève encore une fois de mon siège, une chose des plus choquante sort de la bouche de Sirius :

-Je pense que ça suffit Hermione. Le jeu est terminé !

Quoi ? C’était Sirius, pas Monsieur Ma-Conscience-a-le-dessus-sur-moi-le-Loup-Garou, n’est-ce pas ? Je vérifie deux fois. Ouaip, en effet, un Sirius très sexy regarde droit vers moi. Je suis embarrassée. J’ai fait quelque chose de mal ?

-Je crois au contraire que nous venons juste de commencer, grogna Snape à Sirius.

-Rémus, as raison, tu es beaucoup trop saoule, continue Sirius. Quoi ? QUOI ? QUOI ?

Je grince entre mes dents que je n’étais pas trop saoule dix secondes plus tôt.

-Oui, mais c’était avant… Sirius s’interrompt soudainement. Il lance un nouveau regard bizarre à Rémus.

-Avant quoi ? Que ton doigt la pénètre sans s’en rendre compte ? Ne soit pas si égoïste, merde ! beugle Snape. Je ris devant le choix de ses mots. Ça n’a cependant pas l’air d’impressionner Rémus ou Sirius.

-Sirius a raison. Il est temps d’aller au lit, Hermione, intervient Rémus.

Qu’ils soient tous maudits !

-Ça va trop loin à votre goût, n’est-ce pas ?

Le ton de Snape est réellement mauvais là. Ça ne devrait vraiment pas m’exciter comme ça le fait…

-Pour l’amour de Merlin, Severus, cette fille est vierge ! dit sèchement Sirius.

Oh, alors le toutou a subitement une morale ! Zut ! Zut ! Zut !

MISSION : Si près, mais si loin...

Snape fusille Sirius du regard, ce qui de toute évidence signifie qu’il n’en a rien à foutre.

-Est-ce que j’ai mon mot à dire ?

Maintenant que mon statut d’objet sexuel semble avoir éclaté en morceaux, je dois de nouveau compter sur ma cervelle… Je ricane à cette pensée… Où est-ce que je situe ma cervelle au juste ?

Sirius me lance un regard intéressé, tandis que Lupin continue à paraître dubitatif.

-J’ai un petit aveu à vous faire.

Bien, il est temps qu’une partie de la vérité éclate au grand jour …

-Je comptais bien me débarrasser de ce petit problème ce soir.

-Hermione, en aucune façon tu n’avais prévu ça ! grogne Lupin, en désignant de la main les cartes sur la table.

-Pas ça précisément. En vrai, j’avais prévu de sauter sur quelqu’un lors de la fête, mais les candidats étaient plutôt… lamentables.

-Vraiment ? demande Sirius avec espoir. Donc ce n’est pas comme si tu avais fait tout ça pour le jeu, alors ?

Je secoue la tête.

MISSION : Plan de sauvetage en cours.

-Belle histoire, dit Lupin sarcastiquement. Malheureusement, Hermione, je ne te crois pas.

-Qu’est-ce que ça peut faire ? gromella Snape. Elle est parfaitement consentante…

-Vu tes penchants, je me serais difficilement attendu à ce que tu comprennes ! cracha Lupin.

-Bon, dit Snape après quelques instant, puisque vous voulez tellement savoir la vérité, il y a un moyen…

Sirius lève un sourcil intéressé vers le Professeur.

-Il se trouve que je suis assez compétent Légillimencie.

-Comment saurons-nous que tu nous dis la vérité ? demanda Lupin.

-Quand ne l’ai-je pas fait ? Je suis peut-être un sale type, Lupin, mais pas une fois je ne vous ai menti.

Lupin semble réfléchir pendant plusieurs minutes, jetant des coups d’œil de Snape à moi. Assez drôle vraiment : je n’aurais jamais cru que je serais d’accord avec Snape sur autre chose que les chiffres et les lettres ! Et la vue de Lupin, l’air très sérieux, avec son torse nu et sa cravate encore en place, est presque risible.

-Très bien.

OUIII ! Oh minute, ça veut dire que Snape va lire dans mes pensés ! Mon dieu …

Je commence à réfléchir à toutes les choses que je ne dois pas penser, avant de réaliser que c’est exactement ce que je ne devais pas faire…

A un moment, au milieu de tout ça, j’ai entendu Snape prononcer la formule :

-Légilimens !

Ma panique augmente…

-Merde, relaxez-vous, espèce d’idiote ! me jette sèchement Snape, les sourcils froncés par la concentration. En ce moment, je n’en ai rien à foutre de connaître les différentes farces que vous et ces imbéciles avez fait !

Ok Herm, pense au début de la soirée… Des images de ce soir font irruption dans ma tête, en train de parler à Ginny et Harry, surveillant le salon, me tenant derrière la porte de cette pièce pour écouter leur conversation… Oups ! Je peux le sentir dans mon esprit : une sensation vraiment bizarre, je dois l’admettre. Ne pas être capable de contrôler ses propres pensées… Enfin, en y réfléchissant, l’alcool fait déjà ça de toute façon. Hihi. Finalement, je le sens s’extraire de mon esprit.

-Miss Granger, dit finalement Snape, avec un grand sourire suffisant, nous dit en effet la vérité.

-Pourquoi cet air paniqué alors ? Lupin est encore sceptique quand il se tourne vers moi. Je rougis furieusement.

-Miss Granger a été une mauvaise fille, continue Snape avec un sourire diabolique. Il semble qu’elle ait écouté notre petite conversation la concernant, cachée derrière la porte.

Lupin me regarde, embarrassé. Sirius, en revanche me lance un regard appuyé. Bon chien.

-Reprenons la partie, alors. Le sourire en coin sur le visage de Sirius veut tout dire.

-Je crois, étant donné que je suis au courant de la… mauvaise conduite de Miss Granger, que j’ai un souhait très approprié à mon tour gagnant. Snape me relance ce regard diabolique avec un sourcil levé. Oh merde ! Quoi ?

-Je croyais que nous avions choisi votre récompense, dis-je d’une vois anormalement aiguë. Ça vaut la peine d’essayer. Je me lèche les lèvres, pas très subtilement, pendant que j’y suis. Je suis sûre d’entendre Sirius soupirer, mais Snape semble avoir un peu plus de self-contrôle que ce que j’espérais.

-Les mauvaises filles méritent la fessée, Miss Granger. Oh, et pour répondre à votre question, c’est assurément plus gros que ça !

Honteuse, je couvre mes yeux, mais je ne peux m’empêcher de lui jeter un coup d’œil furtif entre mes doigts, et un sourire idiot apparaît bientôt sur mon visage. Je savais que je n’aurais pas dû m’interroger sur les « talents » de Snape pendant qu’il était dans ma tête, mais je n’ai pas pu m’en empêcher ! Donc, plus gros que celui de Bill Weasley, hein ? Oh, arrêtez avec vos idées mal placées vous ! Je l’ai surpris au lit avec cette bimbo… je veux dire, Fleur Delacour, il y a quelques années. Whao, plus gros que ça ? Mon gars, je suis bien partie pour m’amuser, euh je veux dire pour avoir un peu mal, je veux dire… Oh et puis merde, M’AMUSER !

Cependant, la fessée… Hum, franchement, je m’inquiète un peu pour ça ! Et je pense que ça risque de me faire changer d’avis quand au fait de raconter à Harry le coup du Maître des Potions rampant à mes pieds un peu plus tôt. Je peux imaginer, là…

-Alors Mione, qu’est-ce qu’il a fait après ? me demandera Harry

-Oh, il m’a juste posée sur ses genoux et m’a donné une fessée. Ouais, cool.

-D’accord Professeur, vous avez gagné. Je ne le dirai pas à Harry.

-Excusez-moi ? dit Snape de sa voix traînante, relevant la tête vers moi. Je ne pense pas non, Mis Granger. Et vous retardez le jeu.

Je lance un regard pitoyable à Rémus.

-Allez Severus, laisse-la tranquille.

-Oh, par pitié, vous pensez que j’ai envie de laisser une preuve de tout ça s’étaler au grand jour ? Je ne vais pas vous blesser !

D’accord. J’aurai bien vu Dumbledore ayant une discussion amicale avec Snape. « Alors Severus, je crois que vous avez passé la nuit dernière à vous faire une Hermione sans connaissance ? Non ? Alors expliquez-moi pourquoi la marque de votre main est encore visible sur son derrière ? »

Cependant, j’entends Snape dire : « … pas trop »

Je regarde Sirius avec un air interrogatif.

-C’est juste pour un tour, Mione, répond-t-il en haussant les épaules.

Bien, bien, bien. Je me lève de ma chaise et me dirige de l’autre côté de la table, celui du Professeur. Mon dieu, c’est embarrassant, malgré mon état d’ivresse. Je décide que j’ai besoin d’un autre verre avant de plonger là-dedans : après tout on utilisait bien l’alcool en guise d’anesthésiant, non ?

Je lance un regard retors à Snape avant d’attraper son verre presque plein sur la table et de le descendre cul-sec. Aah, c’est mieux.

-Cec,i ma chère, n’est pas très malin.

Tu ne me fais pas peur Snape. Enfin, plus maintenant que je suis complètement pleine de Whisky Pur Feu. Je lui fais un faux sourire.

Je m’étends sur les genoux de Snape, d’une manière pas très féminine, et je m’accroche.

Ses longs doigts effleurent l’intérieur de mes genoux, puis je le sens remonter doucement ma jupe, frôlant l’intérieur de mes cuisses. Mon dieu, je tremble d’impatience, là. Il est si près de là ou je préférerais que ses doigts soient…

-Très mignon, Miss Granger, mais je pense que nous n’avons pas besoin de ceci.

Merlin, aidez-moi ! Sa voix est d’un velours démoniaque. Il poursuit en agrippant l’élastique de mon slip sous ses pouces et le descend pour qu’il se glisse juste en dessous de mes fesses. Je me demande quelle vue mon derrière blanc comme un linge peut offrir au monde… Je jette un coup d’œil à Sirius et Lupin : ils semblent tout deux complètement captivés. Ça ne doit pas être si mal alors…

Les mains de Snape tracent des cercles légers sur ma peau, me chatouillant presque. Oh, oh, oh ! Ses doigts sont si près de mes lèvres humides maintenant, juste un peu plus loin, juste un peu… Aaaaaaaah !

-Bien, s’il restait le moindre doute sur le fait qu’elle soit consentante ou non, je crois que je viens juste de trouver votre réponse gentlemen.

-Merde.

Mon dieu, est-ce que ça venait de Lupin ?

Snape fait revenir un long doigt en arrière, plongeant légèrement en moi. Je vais à sa rencontre aussi vite que je peux, tentant de m’y empaler.

-Miss Granger, dit-il sèchement. Sa main me quitte un instant, puis vient me taper sur le derrière de façon cuisante. Surprise, je pousse un cri aigu.

-Personne n’a dit que vous pouviez bouger !

-Mais… commencé-je à protester.

Sa paume me frappe encore

-…Ou parler !

Je soupire un peu mais je commence à vouloir la suivante. Mon dieu, un côté masochiste que je ne soupçonnais même pas semble faire son apparition.

Une fois encore, Snape fait glisser ses doigts sur ma peau qui est maintenant beaucoup plus sensible qu’avant. Enfin, il retourne fouiller dans mes profondeurs, même si c’est juste un instant, et j’arrive à retenir mon soupir de plaisir. Mais il s’arrête trop vite encore une fois. Ses doigts filent droit vers mes fesses et taquinent mon entrée. Oh, mon Dieu ! Je ne parviens pas du tout à me contenir cette fois. Je suis sûre que ce gémissement à dû s’entendre jusqu’en bas…

-Je croyais vous avoir dit de ne pas faire de bruit !

J’imagine que ma peau n’est plus si blanche… enfin, ça vaut le coup !

Paf ! Ooh, en voici une autre…

-C’était pourquoi celle-là ?

-Parce que, Black, espèce d’andouille, tu ne joues pas. Distribue !

Ah, Snape a bougé la main qui était restée sur ma cuisse et il la fait vagabonder dans ma culotte, à ma grande approbation. L’autre main effleure mon derrière, menaçant de claquer à nouveau. Mon Dieu, là je ne sais pas ce que je veux le plus : ça ou qu’il…

Oh, yessss. Son doigt, qui est mouillé de ma propre humidité, joue maintenant avec les muscles serrés qui entourent mon anus. Ceci, combiné avec les caresses langoureuses que deux des doigts de son autre main effectuent en moi, est presque insupportable, mais de la plus douce des façons…

-Vous aimez ça, hein ? gronde Snape au-dessus de moi.

Ça à l’air plutôt agréable pour lui aussi : une bosse assez grosse déforme son pantalon et est en train de creuser mon ventre (et ça semble effectivement plus gros que ce que Bill semblait avoir…).

Puis sa main me quitte une nouvelle fois pour venir rougir mes fesses.

-Répondez-moi quand je vous parle !

J’ai la sournoise impression que je suis condamnée quoique je fasse, mais qu’est-ce que ça peut faire ?

-Oui !

Une autre claque.

-Oui qui ?

-Oui, monsieur !

-C’est mieux.

MISSION : Quelle mission ?

Mon esprit ne pense plus à rien d’autre qu’au délice de ces doigts.

Oh, oh, OH ! L’estrémité de l’un d’eux à trouvé son chemin entre les muscles serrés mentionnées ci-dessus et putain, c’est super ! Les doigts de son autre main continuent de pomper en moi et c’est incroyable ce que je suis prête à répéter ce qui s’est passé sur les genoux de Sirius.

-N’osez pas faire ça ! me gronda Snape.

Trop tard, Monsieur. Le retrait de son doigt m’envoie au ciel alors qu’il lève la main pour me fesser encore. Je suis parfaitement consciente d’être en train de crier le nom du Professeur Snape en me tordant sur ses genoux, et je n’en ai strictement rien à foutre !

Je crie :

-Baisez-moi ! Baisez-moi Monsieur !

-C’est ton tour, Hermione, ricane Sirius. Vous voulez un sachet de glace, ma chère ?

Zut, zut, zut, ces tours devraient être plus longs…