Fables à la sauce Poudlart
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French › Harry Potter
Rating:
Adult ++
Chapters:
13
Views:
2,151
Reviews:
12
Recommended:
0
Currently Reading:
0
Category:
French › Harry Potter
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Adult ++
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13
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Disclaimer:
I do not own the Harry Potter book and movie series, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.
Le Remus et le Sirius
Les fables à la sauce Poudlard
Après une lecture éclairée, je me suis jetée sur cette fable en tâchant d’imaginer le sieur Lupin faisant mille grâce à Sirius pour l’emballer et l’empaler. Donc définitivement yaoï.
Disclaimer : tout à la même, la JKR ! et à La Fontaine.
Merci à Cateyed et ChibiShiva pour leur review ! Ce détournement est un de mes préférés ! Avec deux vers dont je suis fière….. bien qu’il n’y ait pas de quoi !
D’abord le moment sérieux… Sauf si vous lisez maintenant les fables dans le même esprit que moi !
Le Loup et le Chien
Un Loup n’avait que les os et la peau,
Tant les chiens faisaient bonne garde.
Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,
Gras, poli, qui s’était fourvoyé par mégarde.
L’attaquer, le mettre en quartiers,
Sire Loup l’eût fait volontiers ;
Mais il fallait livrer bataille,
Et le Mâtin était de taille
A se défendre hardiment.
Le Loup donc l’aborde humblement,
Entre en propos, et lui fait compliment
Sur son embonpoint, qu’il admire.
« Il ne tiendra qu’à vous beau Sire,
D’être aussi gras que moi, lui repartit le Chien.
Quittez les bois, vous ferez bien :
Vos pareils y sont misérables,
Cancres, haires, et pauvres diables,
Dont la condition est de mourir de faim.
Car quoi ? rien d’assuré : point de franche lippée :
Tout à la pointe de l’épée.
Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. »
Le Loup reprit : « Que me faudra-t-il faire ?
–Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gens
Portants bâtons, et mendiants ;
Flatter ceux du logis, à son Maître complaire :
Moyennant quoi votre salaire
Sera force reliefs de toutes les façons :
Os de poulets, os de pigeons,
Sans parler de mainte caresse. »
Le Loup déjà se forge une félicité
Qui le fait pleurer de tendresse.
Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé.
« Qu’est-ce là ? lui dit-il. –Rien. –Quoi ? rien ? -Peu de chose.
–Mais encor ? -Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
–Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? -Pas toujours ; mais qu’importe ?
–Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. »
Cela dit, maître Loup s’enfuit, et court encor.
Le Remus et le Sirius
Un Lupin était encore puceau,
Tant McGo son troupeau garde.
Mais il rencontre le Sirius aussi puissant que beau,
Fat, joli, qui aimait lutiner les mignardes.
L’attirer, le déshabiller,
Lupinou l’eût fait volontiers ;
Mais il y avait une faille,
Et le mâle était de taille
A refuser ses sentiments.
Remus donc l’aborde galamment,
Entre en séduction, vante impudemment
Les exploits du libertin qu’il désire.
« Il ne tiendrait qu’à toi, de jouir
Autant et aussi bien que moi, reprit Lupin.
Laisse toutes ces filles, et leur vagin :
Nos verges y sont misérables,
Cons béants, rien de baisable
Et leur arrière-train est par trop puritain.
Car quoi ? Rien de serrée ; point de franches sucées,
Tout à la force du poignet.
Viens avec moi : tu auras un bien meilleur gourdin. »
Sirius s’enquit : « Que me faudra-t-il faire ?
–Presque rien, dit Lupin, rester serein démentant
Malséantes idées céant ;
Flatter nos sens avides, et sans mesure leur complaire :
Moyennant quoi comme deux frères
Feront délectations de toutes les façons :
Foi de Remus, foi de Gryffons,
Sans parler de maintes caresses. »
Sirius déjà songe avec lubricité
Qui le fait bander d’allégresse.
Ce faisant, il vit Remus s’enduire de gelée.
« Qu’est-ce là ? lui dit-il. –Viens. –Quoi ? viens ? -Si tu l’oses…
-Mais encor ? -Ton fessier dont je suis affamé
De l’objet de ma queue est peut-être la chose.
–Affamé ? dit Sirius : tu ne baisais donc pas
Comme tu voulais ? -Pas encore ; mais qu’importe ?
–Il m’importe si bien, que de tous ces débats
Je ne peux sans aucun remord,
Renoncer aux belles et être traité de la sorte. »
Cela dit, Sirius l’éconduit et furieux sort.
Les deux suivantes sont déjà prêtes. @ +
Zoubis
Z
Après une lecture éclairée, je me suis jetée sur cette fable en tâchant d’imaginer le sieur Lupin faisant mille grâce à Sirius pour l’emballer et l’empaler. Donc définitivement yaoï.
Disclaimer : tout à la même, la JKR ! et à La Fontaine.
Merci à Cateyed et ChibiShiva pour leur review ! Ce détournement est un de mes préférés ! Avec deux vers dont je suis fière….. bien qu’il n’y ait pas de quoi !
D’abord le moment sérieux… Sauf si vous lisez maintenant les fables dans le même esprit que moi !
Le Loup et le Chien
Un Loup n’avait que les os et la peau,
Tant les chiens faisaient bonne garde.
Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,
Gras, poli, qui s’était fourvoyé par mégarde.
L’attaquer, le mettre en quartiers,
Sire Loup l’eût fait volontiers ;
Mais il fallait livrer bataille,
Et le Mâtin était de taille
A se défendre hardiment.
Le Loup donc l’aborde humblement,
Entre en propos, et lui fait compliment
Sur son embonpoint, qu’il admire.
« Il ne tiendra qu’à vous beau Sire,
D’être aussi gras que moi, lui repartit le Chien.
Quittez les bois, vous ferez bien :
Vos pareils y sont misérables,
Cancres, haires, et pauvres diables,
Dont la condition est de mourir de faim.
Car quoi ? rien d’assuré : point de franche lippée :
Tout à la pointe de l’épée.
Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. »
Le Loup reprit : « Que me faudra-t-il faire ?
–Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gens
Portants bâtons, et mendiants ;
Flatter ceux du logis, à son Maître complaire :
Moyennant quoi votre salaire
Sera force reliefs de toutes les façons :
Os de poulets, os de pigeons,
Sans parler de mainte caresse. »
Le Loup déjà se forge une félicité
Qui le fait pleurer de tendresse.
Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé.
« Qu’est-ce là ? lui dit-il. –Rien. –Quoi ? rien ? -Peu de chose.
–Mais encor ? -Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
–Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? -Pas toujours ; mais qu’importe ?
–Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. »
Cela dit, maître Loup s’enfuit, et court encor.
Le Remus et le Sirius
Un Lupin était encore puceau,
Tant McGo son troupeau garde.
Mais il rencontre le Sirius aussi puissant que beau,
Fat, joli, qui aimait lutiner les mignardes.
L’attirer, le déshabiller,
Lupinou l’eût fait volontiers ;
Mais il y avait une faille,
Et le mâle était de taille
A refuser ses sentiments.
Remus donc l’aborde galamment,
Entre en séduction, vante impudemment
Les exploits du libertin qu’il désire.
« Il ne tiendrait qu’à toi, de jouir
Autant et aussi bien que moi, reprit Lupin.
Laisse toutes ces filles, et leur vagin :
Nos verges y sont misérables,
Cons béants, rien de baisable
Et leur arrière-train est par trop puritain.
Car quoi ? Rien de serrée ; point de franches sucées,
Tout à la force du poignet.
Viens avec moi : tu auras un bien meilleur gourdin. »
Sirius s’enquit : « Que me faudra-t-il faire ?
–Presque rien, dit Lupin, rester serein démentant
Malséantes idées céant ;
Flatter nos sens avides, et sans mesure leur complaire :
Moyennant quoi comme deux frères
Feront délectations de toutes les façons :
Foi de Remus, foi de Gryffons,
Sans parler de maintes caresses. »
Sirius déjà songe avec lubricité
Qui le fait bander d’allégresse.
Ce faisant, il vit Remus s’enduire de gelée.
« Qu’est-ce là ? lui dit-il. –Viens. –Quoi ? viens ? -Si tu l’oses…
-Mais encor ? -Ton fessier dont je suis affamé
De l’objet de ma queue est peut-être la chose.
–Affamé ? dit Sirius : tu ne baisais donc pas
Comme tu voulais ? -Pas encore ; mais qu’importe ?
–Il m’importe si bien, que de tous ces débats
Je ne peux sans aucun remord,
Renoncer aux belles et être traité de la sorte. »
Cela dit, Sirius l’éconduit et furieux sort.
Les deux suivantes sont déjà prêtes. @ +
Zoubis
Z