Get Hermione Laid : Mission 1

CHAPITRE 5 : MISSION : Réussie, mais pas terminée.

Snape me fait un petit sourire moqueur alors que je m’étale sur mon siège : quel enfoiré !

Bordel, j’ai vraiment perdu tout contrôle, là. Il est temps de gagner de nouveau. J’attrape mes cartes et je ne peux m’empêcher de sourire. J’ai une main gagnante, là.

-Défausse-toi, Hermione, m’ordonne Lupin.

-Ça va, merci.

Ils se lancent tous trois des coups d’œil, puis Sirius hausse les épaules et balance deux cartes sur la table. Finalement les trois étalent leurs mains. Ha ! Je les ai !

-Bien, alors, Miss Granger, qu’est-ce que ce sera ? demande Snape d’une voix pleine de sous-entendus. Peuh ! Vous ne gagnerez pas aussi facilement ! Vous avez eu votre chance… Bon, les options…

Il serait temps que je baise. Mais Lupin a l’air assez tendu. Laissez-moi reformuler : Lupin me donne l’impression que si on le frappait maintenant, il exploserait en mille morceaux, comme une de ces pièces du jeu d’échec géant qui protégeait la pierre Philosophale. Il ne risque pas d’y avoir d’action avec lui si les choses continuent ainsi ! Dommage : je vais devoir gaspiller un tour… bon, pas gaspiller, mais vous voyez…

-Remus,dis-je, en m’assurant que Snape me regarde et en lui lançant un sourire effronté. Je prends la bouteille de Firewhisky et je remplis le verre de Lupin, bien que ce ne soit pas vraiment utile en fait : il n’y a pas touché depuis que je suis arrivée.

-Vas-y. Descend ça.

-Quoi ? Sirius me regarde d’un air perdu.

Je lui fais un sourire espiègle et lui tapote les genoux.

-Encore un petit peu de temps. « Pas trop, j’espère ! »

Lupin semble assez soulagé de mon défi, et vide rapidement le verre, le reposant sur la table triomphalement. Bien, donnons-lui quelques minutes, et il sera de retour dans l’action…

Snape distribue le tour suivant et je suis vraiment déterminée à gagner celui-là aussi. J’en ai assez de tourner autour du pot : revenons à nos moutons !

Zut, zut, zut ! Les cartes sont merdiques. Pas grave. Je jette le tout sur la table et en prend cinq nouvelles. C’est pas beaucoup mieux : une pauvre paire de cinq, c’est tout. Bon. Je suis sûre qu’un des gars va proposer quelque chose de savoureux…

-Alors ?

Snape hausse un sourcil vers Sirius. Ah, Sirius chéri, qu’as-tu pour moi dans ton sac (ou dans ton pantalon) ?

Sirius regarde autour de la table. Ses yeux se posent finalement sur Lupin. Lupin qui maintenant affiche ce large sourire propre à un trop-plein d’alcool. Ah, on se sent plus accommodant maintenant, mon Loulou ?

-Je crois que c’est ton tour, Lunard, dit Sirius en riant. Fais-le.

-Faire quoi ?

Sirius lève les yeux au ciel. Moi, par contre, je me tords d’impatience sur ma chaise.

-Qu’est-ce que tu crois, imbécile ? grogne Snape. Prend-la, Baise-la, Saute-la ! Appelle ça comme tu le veux, putain !

Ohhhhhhhhh yes !


MISSION : La cible approche…

Lupin me regarde. Grands dieux ! Ses yeux sont remplis de désir. On dirait qu’il va me dévorer vivante. Peut-être qu’un verre entier, c’était un peu trop… JAMAIS !

-Déshabille-la d’abord. La voix de Lupin est agréablement rauque.

-Avec plaisir, répond Sirius.

Oh, oh, OH ! Il se lève et m’offre sa main. Je l’autorise à me faire lever doucement. (Autorise ? Je serais à genoux en train de le supplier s’il n’était pas en train de le faire !) Sirius me fait tourner pour que je fasse face à Lupin. Ses mains glissent sur mes flancs nus, de mes hanches au dessous de mes bras, où elles dévient pour aller englober mes seins. Il les pétrit doucement et je me transforme en guimauve dans ses bras. Mes frissons refont surface et je mords ma lèvre inférieure d’impatience.

Les mains de Sirius m’abandonnent, ses doigts suivent le dessous de mes seins, juste en dessous de mon soutien-gorge, cheminant jusque dans mon dos où ils se rejoignent. Il tire doucement sur l’attache, la défait, si bien que le tissu léger pend maintenant lâchement à mes épaules, la dentelle se soulevant et exposant un centimètre et quelque de ma chair. Le frôlement m’irrite la poitrine et me fait pousser un petit cri. De grandes mains refont le tour de moi et glissent sous les sous-vêtements pour agripper ma peau nue. Oh, merde. C’est époustouflant ! Les doigts de Sirius tirent sur mes mamelons, raidissant encore plus les petits boutons, puis les faisant rouler nonchalamment.

-Oh ! je gémis.

Sirius se serre un peu plus contre moi, me permettant de m’appuyer contre son corps. Heureusement, car je serais à terre sinon. Pas que ça me gênerait… Mon dos nu touche de nouveau son torse, et la chaleur de sa peau moite contre moi me semble divine.

-Regarde ce que tu lui fais, grogne Sirius à Lupin.

Je ne pense pas vraiment qu’il ait besoin qu’on le lui dise : Lupin n’a même pas cligné des yeux depuis que Sirius a commencé. Ce n’est pas que je m’en plaigne : j’adore que Sirius me fasse ça devant son ami. Je suis sûre que je devrais me sentir exhibée, ou peut-être honteuse, mais franchement, je suis plutôt complètement dévergondée là. Oh, whao…

Je remue un peu mes épaules pour permettre à mon soutien-gorge de glisser le long de mes bras, puis sur mes mains, pour enfin tomber au sol. Sirius englobe mes seins, les soulevant pour les faire admirer à Lupin. Ils ont l’air d’être assez à son goût. Sans détourner les yeux, il commence à retirer son pantalon. Merde, je crois que je vais bientôt y passer ! Je pense soudain que ce n’est pas la meilleure façon d’avoir ma première expérience : tous les futurs candidats seront jugés en comparaison et franchement, je ne peux pas imaginer que l’un d’entre eux se rapprochera de ça. Et merde !

J’entends une chaise grincer sur le parquet. Un coup d’œil rapide sur la gauche de Lupin m’informe que Snape a déplacé son siège pour y voir mieux. Il a un air intéressé sur le visage, je dois dire. Un peu comme un chien affamé louchant sur un os remuant devant son merveilleux nez.

-Mione ? Tu le regardes ? chuchote Sirius dans mon oreille, et mes yeux reviennent sur Lupin.

Oh mon Dieu ! Son pantalon est tombé au sol et il est debout devant moi avec seulement son boxer. Ainsi qu’un renflement assez intéressant sur le devant. Oh whao ! Je peux voir un tout petit bout de chair dans l’ouverture, et je ne peux plus détourner mes yeux de là.

MISSION : En vue…

-Mmmh, je murmure. Mon vocabulaire semble être parti en vacances. Tant pis. Il y a plein de sons que je peux produire, et je vais sûrement en découvrir d’autres que je ne soupçonnais même pas.

-Encore trop de vêtements, Mione.

Les mains de Sirius descendent le long de mes flancs, laissant ma poitrine complètement exposée aux deux autres. Remus s’en lèche les babines. Je tremble littéralement cette fois, et je suis récompensée par un gargouillement profond (issu d’un rire retenu) venant de la poitrine de Sirius. Celui-ci glisse le long de mon dos alors que ses bras atteignent leur extension maximale, très près de l’ourlet de ma jupe. Lentement, ses doigts trouvent leur chemin en dessous, grimpant le long de l’intérieur de mes cuisses pour attraper mon slip, qui est resté juste en dessous de mes fesses depuis mon entretien avec le Professeur Snape. Sirius me fait quelques caresses à travers le tissu avant de faire descendre le vêtement gênant jusqu’à mes chevilles. Il m’attrape délicatement par la taille pendant que je lève les pieds pour l’enlever. Je peux sentir l’air frais lécher ma peau maintenant moite et nue, ce qui intensifie encore mon désir.

Sirius récupère ma culotte au sol et ma ramène avec lui en glissant le long de mon corps. Du coin de l’œil, je le vois la porter à son visage, puis je l’entends respirer profondément.

Snape émet un drôle de son étranglé.

-Allons, allons, Severus, tu attendras ton tour. En même temps…

Je vois ma culotte voler au-dessus de la table jusqu’au Professeur Snape, et je ne peux m’empêcher de le regarder faire la même chose que Sirius. Ses yeux se ferment alors qu’il inhale mon odeur, et un gémissement indescriptible s’échappe de ses lèvres. Je ne peux même pas décrire celui qui s’extrait des miennes.

-Tu aimes ça, Mione ? Tu aimes regarder Severus…

-Professeur Snape !

- …le Professeur Snape – se corrige Sirius – respirer ton odeur ?

Je hoche la tête tandis que quelque chose d’incompréhensible sort de mes lèvres.

-Bien, bien. Remus, tu veux qu’on enlève sa jupe ? demande Sirius, ses doigts glissant sur mes fesses pour atteindre la fermeture éclair.

-Ça dépend. Tu veux que j’enlève ma cravate ? me demande Lupin, un curieux pétillement dans les yeux. Je parviens à secouer légèrement la tête.

-Bon, alors, Patmol, je crois que la jupe va rester.

Mon Dieu, il y a quelque chose de très séduisant dans l’idée de s’envoyer en l’air à moitié habillé. Je devrais y penser plus attentivement, mais à un moment plus approprié.

Lupin a fait deux pas vers moi et se tient maintenant à quelques centimètres de mon corps très légèrement vêtu. Une de ses mains s’élève pour venir caresser ma joue, avant de me faire doucement pencher la tête en arrière. Il s’incline et embrasse délicatement mes lèvres. Lentement, il les écarte et sa langue commence à caresser gentiment mais résolument la mienne, son hésitation initiale oubliée depuis longtemps. Merde, si ce qui est sur le point d’arriver équivaut à au moins une fraction de ça, je vais perdre la tête. Je vais être envoyée à Ste Mangouste avec Lockhart… Il y a de pire d’y être envoyé, il est vrai.

Sirius est revenu sur mes seins, le mouvement de ses doigts synchronisé avec celui de la langue de Lupin dans ma bouche. Je suis comme de la pâte à modeler entre leurs caresses.

-Débarrasse la table, Severus, demande Sirius. J’entends un minuscule craquement et la dernière chose dont je me rends compte, c’est que Remus m’a soulevée du sol et m’a déposée sur la froide surface en bois. Le changement de température par rapport au corps de Sirius est assez étrange, mais il n’est pas de refus.

-Dernière chance, Hermione, me gronde Remus en se baissant pour retirer son boxer. Fais marche arrière maintenant !

-Jamais.

Whao, quelle chance : apparemment il y avait encore un mot qui traînait dans ma gorge, et on dirait bien que c’était le bon. Mes hanches sont posées tout au bout de la table, donnant à Lupin un accès parfait à son objectif. Ses doigts se posent doucement sur mes cuisses, les écartant gentiment alors qu’il se met en position. Je lutte pour garder ma tête droite et regarder ce qu’il fait. L’expression sur son visage est du pur désir. Probablement pas si loin de la mienne, je pense. Lupin s’avance juste un peu et je peux le sentir, chaud et dur, se presser toujours si doucement contre mon entrée. Nom de dieu ! Je ne peux plus garder ma tête haute et je l’autorise à tomber vers le côté de la table, où elle est accueillie par le visage de Snape qui exprime un désir sombre. Snape prend la liberté de s’emparer de ma bouche avec la sienne. Son baiser est loin de celui presque amoureux de Lupin : c’est si intense, si nécessiteux. J’aurais pu me sentir désolée pour le pauvre gars si Lupin n’avait pas commencé à pousser en avant à ce moment. Je sens juste la plus minuscule des brûlures alors qu’il avance, puis une agréable chaleur et une délicieuse friction alors qu’il glisse en moi. J’aurais dû faire ça il y a si longtemps… mais là, ce n’est pas le moment pour les regrets…

MISSION : J’emmerde la mission ! Je profite !

Lupin commence de lentes caresses attentives, chacune d’elle provocant des frissons dans mon corps. Entre ça et le baiser de Snape, j’ai l’impression de me noyer de la plus agréable façon qu’il soit.

Ohhh ! Les lèvres de quelqu’un viennent juste de s’accrocher à mes mamelons, titillant gentiment mes nerfs en faisant courir sa langue sur le téton. Je lutte pour relever une main et la placer sur cette tête talentueuse. Des cheveux longs et hirsutes accueillent le bout de mes doigts. Mon Dieu, Sirius, c’est une sacrée langue que tu as…Je lui montre ma gratitude en glissant mes doigts dans ses cheveux et en attirant sa tête plus près de moi, pour lui faire accentuer sa pression. Putain ! Voilà : j’ai totalement perdu le contrôle. Ma tête roule sur le côté, mais Snape ne semble pas s’inquiéter pour moi et brise notre baiser. Ses lèvres sont bientôt ancrées dans mon cou d’une façon digne des rumeurs vampiriques le concernant.

Il y a des mains partout : sur mes cuisses, sur mon bas-ventre, cheminant vers l’endroit où Lupin et moi somme joints, sur mon visage…c’est une vrai surcharge sensorielle. Les mouvements de Lupin s’intensifient. Parfois, il heurte le col de mon utérus, me faisant bondir à la fois de surprise et de désir. Je suis vaguement consciente du fait qu’un flot de soupirs et de gémissements de plaisir s’échappe de ma gorge, mais ça fait longtemps que j’ai perdu la maîtrise de ça.

-Dis-nous, Lupin, gronde Snape contre ma clavicule, comment est-elle ?

-Si chaude, souffle Lupin, alors que je sens des doigts s’enfoncer dans mes cuisses, si serrée. Merlin, Hermione, c’est le paradis !

Pas besoin de me dire ça, Remus. Je suis au courant…

Oula ! Un doigt vient d’atteindre mon clitoris, dansant sur le petit bourgeon de nerfs. Je peux le sentir venir, là. Mes orteils commencent à picoter, une vague de chaleur remonte de mes jambes pour venir envelopper mon corps entier.

-Mione ! Je n’en peux plus ! crie la voix de Lupin au loin.

Je sens mes muscles se resserrer autour de lui, l’attirant de plus en plus profondément. Mon corps se tord de son propre gré sur la table, une main retient mes hanches pour essayer de m’empêcher de glisser au sol. Juste au moment où je culmine, je sens Snape mordiller mon cou, juste assez douloureusement pour être agréable, alors que Sirius a augmenté son tempo sur ma poitrine. Le doigt sur mon clitoris me caresse toujours, mais les caresses sont plus lentes et plus longues, descendant tout droit vers l’endroit où Lupin plonge en moi, puis revenant dans mes plis jusqu’à cette petite boule de nerfs qui vibre encore et encore.

Les coups de Lupin ont perdu leur contrôle. Maintenant il me pilonne littéralement alors que mon orgasme se poursuit. Il donne encore un dernier coup avant que je sente un flot de chaleur en moi et entende un grognement guttural résonner à travers la pièce.

Je pourrais jurer que je perds connaissance pendant un moment ; des étoiles rouges explosent sous mes paupières et chaque nerf de mon corps est en feu.

J’ouvre lentement les yeux alors que leurs mouvements cessent. Je les lève et voit Lupin penché sur moi, ses bras tremblants agrippés étroitement au bout de la table pour se maintenir debout. Il dépose un doux baiser sur mes lèvres.

-Je suppose que c’était à ton goût ? souffle Lupin à mon oreille.

Mais de qui il se fout ? A mon goût ?

J’aimerais répondre quelque chose de très sarcastique, mais mes cordes vocales sont encore en train de récupérer.

Je hoche simplement la tête très légèrement et l’attire dans un nouveau baiser.

A suivre…