La femme de son ennemi
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French › Comics
Rating:
Adult +
Chapters:
14
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1,520
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Disclaimer:
Spiderman et son univers ne sont pas à moi. Ils appartiennent à Marvel Comics. Je ne gagne pas d'argent par mes écrits.
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Mary Jane avait perçu l'avidité de Venom. Son essoufflement, sa voix rauque et tendue ne laissaient aucune place au doute. Elle se méprit cependant sur ses intentions, et pensa qu'il allait la tuer.
Toute force quitta son corps. Ses genoux la lâchèrent et un vertige la saisit.
Le tableau décrit par son agresseur se peint en couleurs vives dans son esprit. Elle vit littéralement Peter ouvrir la porte, et la découvrir là, éparpillée en plusieurs morceaux dans leur appartement, les murs et les sols repeints en rouge avec son sang. Elle savait qu'il ne se remettrait pas d'une telle scène. Il ne se pardonnerait jamais de ne pas avoir été là pour la sauver.
Elle se rappela soudain qu'il avait cru Venom mort et que personne d'autre ne connaissait son identité secrète. Il était parti en la croyant en sécurité.
Les larmes jaillirent toutes seules, sans qu'elle puisse les retenir.
Elle pleurait. Ils lui relevèrent le menton d'un doigt impatient, et la fixèrent. Son petit visage crispé avait repris des couleurs aux mauvais endroits, rouge sur le nez, violet autour des yeux, et restait d'une blancheur spectrale par ailleurs. Même ses lèvres étaient décolorées. Ses joues blêmes étaient sillonnées de trainées humides qui coulaient librement de ses yeux aux paupières obstinément serrées.
Ils remontèrent leurs mains vers ses épaules et imprimèrent une légère secousse, pas trop fort, pour ne pas la briser.
-Alors qu'en penses-tu? A Notre avis, après un coup pareil, il sera fini. Nous pensons même le laisser en vie. C'est un marché qui te tente? Ta vie contre la sienne ? »
Des sanglots silencieux secouaient Mary Jane. Cette vision n'apporta pas à Venom tout le plaisir qu'ils en avaient escompté. A leur propre surprise, ils en conçurent de la fureur, oubliant d'admirer ce qui s'offrait librement à leur vue.
Ils la saisirent à la gorge, et la plaquèrent contre le mur.
Vas-tu cesser de Nous ignorer, à la fin ? Ouvre les yeux !
Qu...quoi?
Pourquoi ne Nous supplies-tu pas pour ta vie ? »
Son expression de stupeur leur aurait semblé comique s'ils n'avaient été aussi occupés à tenter de maîtriser leur colère et leur excitation. Il leur fallut toute la force de volonté de leur part humaine pour ne pas se jeter sur la jeune femme et la prendre avec brutalité.
Mais un tel traitement l'aurait sans-doute tuée sur le champ et ne leur aurait guère apporté de satisfaction. Eddie souhaitait autre chose. Il voulait ce que le symbiote lui avait montré. Il voulait ce qu'elle donnait à l'autre.
Elle le regardait, bouche bée. Elle ne pleurait plus, c'était déjà un début.
-Te supplier? C'est ça que tu veux ? »
Il ricana. Puis il laissa le symbiote reculer pour lui présenter à nouveau un visage humain.
- Ce que Nous voulons? Regarde-toi ! »
La jeune femme baissa les yeux sur son corps dénudé. Elle se raidit. Une lente rougeur envahit ses joues, descendit jusqu'à sa poitrine...
Venom observaient le spectacle, fascinés. Ils suivirent la lente progression du sang sous la peau de la jeune femme qu'ils maintenaient prisonnière, épinglée comme un papillon exotique contre le mur blanc. Il savourèrent l'évolution de la couleur nacrée de ses seins, de son ventre crémeux et lisse. Elle rougit jusqu'à la taille, et plus encore, jusqu'au léger renflement de son pubis soigneusement épilé. Leurs yeux s'attardèrent sur le petit triangle de duvet auburn.
De nouveaux souvenirs émergèrent : Mary Jane s'offrant nue sur une toile, riant aux éclats avant que ses gloussements ne se transforment en tout autre chose sous les caresses enfiévrées de son amant... les images se firent plus précises encore. Ils se souvinrent de plusieurs détails à son sujet. Elle avait les seins très sensibles et arrivait au bord de l'orgasme par leur seule manipulation. Elle aimait particulièrement les cunnilingus. Lorsque Peter introduisait un doigt en elle tout en lui suçotant le clitoris, elle jouissait quasi-instantanément...
Venom sentirent leur sang se mettre à bouillir dans leurs veines.
La jeune femme leva sur eux des yeux de bête traquée.
Elle savait.
Elle savait que le symbiote était présent en Peter dans ces moments là, et elle savait aussi qu'à présent Eddie possédait toute la mémoire qu'il avait volée à Spiderman.
Ils se jetèrent sur elle avec un grognement, la plaquant contre le mur avec le poids de leur corps. Elle émit un gémissement affolé. De plus en plus excités, ils pressèrent leur érection contre son bas-ventre, et furent récompensés par un petit son aigu et étranglé. Ils la saisirent des deux mains par la taille et la soulevèrent à leur niveau. Leurs lèvres s'écrasèrent contre les siennes.
Ils plongèrent une langue avide dans sa bouche et explorèrent sa chaleur humide. Elle avait le goût du dentifrice du café. Ils la serrèrent d'avantage, enroulant leur langue autour de la sienne et sentirent ses mains pousser contre leur poitrine. Ils accentuèrent leur caresse jusqu'à ce que ses mains retombent.
Ils auraient aimé que ses bras entourent leur cou, mais ils se contentèrent de la sentir céder. Ils interrompirent leur baiser pour la regarder. Elle avait toujours le visage enflammé, ses lèvres encore entrouvertes étaient gonflées, ses pupilles dilatées, et elle semblait en totale déroute.
- Alors ? »
Fut tout ce qu'ils parvinrent à articuler, au comble du désir.
Elle haletait. Ils reculèrent légèrement, afin de ne pas l'étouffer. Elle n'était pas loin de l'hyperventilation.
-Je t'en prie... non, je t'en supplie... ne me viole pas !
-Quoi? »
Ce n'était pas du tout ce qu'ils attendaient. Ils en grognèrent de déception. Nichèrent d'avantage leur sexe érigé entre la chaleur de ses cuisses et pressèrent contre son entrée. Un coup de bassin, et il l'empaleraient.
Ils la sentirent frissonner, et grondèrent:
-Ne devrais-tu pas plutôt Nous supplier d'épargner ta vie? Celle de Peter?
Nous proposer de faire tout ce que Nous voudrons pour que Nous ne te fassions pas de mal? »
Ses immenses yeux verts étaient exorbités, débordants de larmes.
« Je t'en prie... non, tue moi plutôt! »
Leur rage atteint des sommets, et ils la soulevèrent d'avantage, afin de ne pas la déchirer en perdant tout contrôle. Il virent qu'elle serrait ses cuisses de toutes ses forces, et eurent un ricanement de dérision. Si elle pensait pouvoir leur résister ainsi elle se trompait lourdement !
Mais le symbiote comme l'homme réalisèrent presque immédiatement qu'il s'agissait d'une réaction instinctive, et non d'une provocation. Ce n'était qu'une petite humaine. Comment aurait-elle pu les défier?
Ils reculèrent et la posèrent, et elle glissa au sol où elle resta immobile, recroquevillée en position fœtale.
De frustration, ils enfoncèrent leurs mains dans le mur, et leurs griffes jaillirent, arrachant de longues trainées de plâtre et de briques dont la poussière atterrit sur les mollets de la jeune femme.
Elle ne bougea pas.
Ils prirent une longue inspiration tremblée, et se maîtrisèrent.
Ils s'accroupirent à ses côtés et s'adressèrent à elle.
- Nous ne te ferons pas de mal. Redresse-toi ».
Comme elle ne bougeait pas, Ils la saisirent et la mirent en position assise, évitant de regarder son corps.
- Nous allons faire un tour. C'est la fête en ville ce soir. Tu viens avec nous. Habille-toi ».
Elle les regarda, hébétée. Ils grondèrent.
- Nous t'emmènerons, quelle que soit ta tenue. Tu as deux minutes pour te préparer.
Toute force quitta son corps. Ses genoux la lâchèrent et un vertige la saisit.
Le tableau décrit par son agresseur se peint en couleurs vives dans son esprit. Elle vit littéralement Peter ouvrir la porte, et la découvrir là, éparpillée en plusieurs morceaux dans leur appartement, les murs et les sols repeints en rouge avec son sang. Elle savait qu'il ne se remettrait pas d'une telle scène. Il ne se pardonnerait jamais de ne pas avoir été là pour la sauver.
Elle se rappela soudain qu'il avait cru Venom mort et que personne d'autre ne connaissait son identité secrète. Il était parti en la croyant en sécurité.
Les larmes jaillirent toutes seules, sans qu'elle puisse les retenir.
Elle pleurait. Ils lui relevèrent le menton d'un doigt impatient, et la fixèrent. Son petit visage crispé avait repris des couleurs aux mauvais endroits, rouge sur le nez, violet autour des yeux, et restait d'une blancheur spectrale par ailleurs. Même ses lèvres étaient décolorées. Ses joues blêmes étaient sillonnées de trainées humides qui coulaient librement de ses yeux aux paupières obstinément serrées.
Ils remontèrent leurs mains vers ses épaules et imprimèrent une légère secousse, pas trop fort, pour ne pas la briser.
-Alors qu'en penses-tu? A Notre avis, après un coup pareil, il sera fini. Nous pensons même le laisser en vie. C'est un marché qui te tente? Ta vie contre la sienne ? »
Des sanglots silencieux secouaient Mary Jane. Cette vision n'apporta pas à Venom tout le plaisir qu'ils en avaient escompté. A leur propre surprise, ils en conçurent de la fureur, oubliant d'admirer ce qui s'offrait librement à leur vue.
Ils la saisirent à la gorge, et la plaquèrent contre le mur.
Vas-tu cesser de Nous ignorer, à la fin ? Ouvre les yeux !
Qu...quoi?
Pourquoi ne Nous supplies-tu pas pour ta vie ? »
Son expression de stupeur leur aurait semblé comique s'ils n'avaient été aussi occupés à tenter de maîtriser leur colère et leur excitation. Il leur fallut toute la force de volonté de leur part humaine pour ne pas se jeter sur la jeune femme et la prendre avec brutalité.
Mais un tel traitement l'aurait sans-doute tuée sur le champ et ne leur aurait guère apporté de satisfaction. Eddie souhaitait autre chose. Il voulait ce que le symbiote lui avait montré. Il voulait ce qu'elle donnait à l'autre.
Elle le regardait, bouche bée. Elle ne pleurait plus, c'était déjà un début.
-Te supplier? C'est ça que tu veux ? »
Il ricana. Puis il laissa le symbiote reculer pour lui présenter à nouveau un visage humain.
- Ce que Nous voulons? Regarde-toi ! »
La jeune femme baissa les yeux sur son corps dénudé. Elle se raidit. Une lente rougeur envahit ses joues, descendit jusqu'à sa poitrine...
Venom observaient le spectacle, fascinés. Ils suivirent la lente progression du sang sous la peau de la jeune femme qu'ils maintenaient prisonnière, épinglée comme un papillon exotique contre le mur blanc. Il savourèrent l'évolution de la couleur nacrée de ses seins, de son ventre crémeux et lisse. Elle rougit jusqu'à la taille, et plus encore, jusqu'au léger renflement de son pubis soigneusement épilé. Leurs yeux s'attardèrent sur le petit triangle de duvet auburn.
De nouveaux souvenirs émergèrent : Mary Jane s'offrant nue sur une toile, riant aux éclats avant que ses gloussements ne se transforment en tout autre chose sous les caresses enfiévrées de son amant... les images se firent plus précises encore. Ils se souvinrent de plusieurs détails à son sujet. Elle avait les seins très sensibles et arrivait au bord de l'orgasme par leur seule manipulation. Elle aimait particulièrement les cunnilingus. Lorsque Peter introduisait un doigt en elle tout en lui suçotant le clitoris, elle jouissait quasi-instantanément...
Venom sentirent leur sang se mettre à bouillir dans leurs veines.
La jeune femme leva sur eux des yeux de bête traquée.
Elle savait.
Elle savait que le symbiote était présent en Peter dans ces moments là, et elle savait aussi qu'à présent Eddie possédait toute la mémoire qu'il avait volée à Spiderman.
Ils se jetèrent sur elle avec un grognement, la plaquant contre le mur avec le poids de leur corps. Elle émit un gémissement affolé. De plus en plus excités, ils pressèrent leur érection contre son bas-ventre, et furent récompensés par un petit son aigu et étranglé. Ils la saisirent des deux mains par la taille et la soulevèrent à leur niveau. Leurs lèvres s'écrasèrent contre les siennes.
Ils plongèrent une langue avide dans sa bouche et explorèrent sa chaleur humide. Elle avait le goût du dentifrice du café. Ils la serrèrent d'avantage, enroulant leur langue autour de la sienne et sentirent ses mains pousser contre leur poitrine. Ils accentuèrent leur caresse jusqu'à ce que ses mains retombent.
Ils auraient aimé que ses bras entourent leur cou, mais ils se contentèrent de la sentir céder. Ils interrompirent leur baiser pour la regarder. Elle avait toujours le visage enflammé, ses lèvres encore entrouvertes étaient gonflées, ses pupilles dilatées, et elle semblait en totale déroute.
- Alors ? »
Fut tout ce qu'ils parvinrent à articuler, au comble du désir.
Elle haletait. Ils reculèrent légèrement, afin de ne pas l'étouffer. Elle n'était pas loin de l'hyperventilation.
-Je t'en prie... non, je t'en supplie... ne me viole pas !
-Quoi? »
Ce n'était pas du tout ce qu'ils attendaient. Ils en grognèrent de déception. Nichèrent d'avantage leur sexe érigé entre la chaleur de ses cuisses et pressèrent contre son entrée. Un coup de bassin, et il l'empaleraient.
Ils la sentirent frissonner, et grondèrent:
-Ne devrais-tu pas plutôt Nous supplier d'épargner ta vie? Celle de Peter?
Nous proposer de faire tout ce que Nous voudrons pour que Nous ne te fassions pas de mal? »
Ses immenses yeux verts étaient exorbités, débordants de larmes.
« Je t'en prie... non, tue moi plutôt! »
Leur rage atteint des sommets, et ils la soulevèrent d'avantage, afin de ne pas la déchirer en perdant tout contrôle. Il virent qu'elle serrait ses cuisses de toutes ses forces, et eurent un ricanement de dérision. Si elle pensait pouvoir leur résister ainsi elle se trompait lourdement !
Mais le symbiote comme l'homme réalisèrent presque immédiatement qu'il s'agissait d'une réaction instinctive, et non d'une provocation. Ce n'était qu'une petite humaine. Comment aurait-elle pu les défier?
Ils reculèrent et la posèrent, et elle glissa au sol où elle resta immobile, recroquevillée en position fœtale.
De frustration, ils enfoncèrent leurs mains dans le mur, et leurs griffes jaillirent, arrachant de longues trainées de plâtre et de briques dont la poussière atterrit sur les mollets de la jeune femme.
Elle ne bougea pas.
Ils prirent une longue inspiration tremblée, et se maîtrisèrent.
Ils s'accroupirent à ses côtés et s'adressèrent à elle.
- Nous ne te ferons pas de mal. Redresse-toi ».
Comme elle ne bougeait pas, Ils la saisirent et la mirent en position assise, évitant de regarder son corps.
- Nous allons faire un tour. C'est la fête en ville ce soir. Tu viens avec nous. Habille-toi ».
Elle les regarda, hébétée. Ils grondèrent.
- Nous t'emmènerons, quelle que soit ta tenue. Tu as deux minutes pour te préparer.