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Ce qui unit Gryffondor et Serpentard

By: Melindra
folder French › Harry Potter
Rating: Adult ++
Chapters: 14
Views: 3,035
Reviews: 19
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Disclaimer: I do not own the Harry Potter book and movie series, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.
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The birth of the Sorting Hat

Disclaimer :
Les personnages de Harry Potter ainsi que les « décors » sont la propriété exclusive de J.K. Rowling. Il n’y a aucune intention de contre-façon ou de violation de ses droits d’auteur. Cette histoire est écrite pour le plaisir de l’écriture et ne rapportera aucun centime à son auteur.

Hello !!

Just a few words... Mmh, I\'m sorry to be late for the update !! I\'ll post the 7th chapter à the end of this week...
I didn\'t precise it before but the french name of the Sorting Hat is \"choixpeau\"... I shoud have say it before... It\'s better to know it for this chapter.

Thanks to be still there!!

Kisses.


Chapitre 6 – De la génèse du choixpeau


Le lendemain, Godric et Salazar tentèrent une nouvelle discussion avec Harry et Drago.

- Bon voilà où nous en sommes, commença Salazar, prenant la parole ce qui n’était pas son habitude.

A dire vrai il surprenait beaucoup Drago qui ne l’aurait pas imaginé comme ça. L’image de Godric plaquant Salazar contre la porte, alors que ce dernier se pâmait de plaisir, le hantait encore. Surtout quand le manque de sommeil avait transformé ce couple en un autre au petit matin : l’image avait si forte que Drago n’avait pas hésité à se relever pour reprendre une bonne douche froide. Mais comme il refusait d’admettre son désir pour Harry, il n’avait aucune raison de prendre une douche froide, hein ! Ce devait être un truc qu’il avait mangé qui l’avait rendu bizarre et fiévreux. Forcément… Mais toute la nuit, ses pensées avaient cherché à analyser la relation existante entre Salazar et Godric. Pour comprendre.

- On est arrivé à la conclusion pour le moins dérangeante, ironisa Salazar, qu’un objet pourrait nous être utile… Un objet ensorcelé, pour être exact.

- L’inconvénient, poursuivit Godric, c’est que je n’ai jamais ensorcelé un objet. Et je ne sais pas trop comment faire.

- En fait aujourd’hui, on va essayer d’en discuter avec Helga Poufsouffle et Rowena Serdaigle. Elles auront peut-être une bonne idée, conclut Salazar.

Ils sortirent sur ces derniers mots, laissant Harry et Drago seul face à un super petit-déjeuner. Une chouette vient livrer la Gazette du Sorcier.

Harry s’en empara d’un air distrait : c’était l’époque de la révolte des gnomes. Bon d’accord, ils se révoltaient tous les cinquante ans parce qu’ils avaient la mémoire courte… Le seul point positif, c’était qu’il aurait quelques connaissances d’histoire supplémentaires. A part ça, pendant la journée, il étudiait attentivement des sortilèges de défense et d’attaque. Mais il commençait à s’ennuyer ferme, mais alors…! A tel point qu’il envisageait de réviser des potions utiles pour les ASPIC : là au moins il serait au calme. Sans professuer adique pour le stresser. Et puis il n’ignorait pas que cette discipline était essentielle pour devenir Auror… Heureusement qu’il y avait le phénix…

Harry passait des heures en sa compagnie, fasciné par son étrange plumage, tout argenté. Il n’avait jamais entendu parler d’un tel phénix. De temps en temps, le phénix gazouillait, et c’était un pur ravissement. Il n’hésita pas à ramasser une plume tombée près du perchoir. Il se dit qu’il venait de trouver un souvenir. Une preuve de son voyage dans le temps. Oui, heureusement qu’il y avait le phénix ! Car une semaine enfermé avec Drago… C’était atroce. Le pire c’était les nuits… Parce que Drago… Non, Harry ne voulait pas y penser. Il fallait écarter cela fermement de ses pensées. Même si les nuits avec Drago… Le phénix, penser au phénix.

Mais pour Drago, tout n’était pas si simple… Il essayait d’expliquer ce qui lui arrivait par le fait qu’il avait été « choqué » par l’existence d’une relation amoureuse entre Godric et Salazar. Car en effet, ces rêves étranges persistaient à faire irruption dans ses nuits. Des rêves de plus en plus dérangeants… Prenants et d’un tel réalisme ! Qu’il se réveillait presque pantelant… Le matin, il foudroyait Harry du regard. Harry, si impassible…

Au fond, Drago découvrait avec stupeur qu’il avait envie de la faire réagir, vivre. Parce que si Harry était en colère contre lui, cela voulait dire qu’il le remarquait, qu’il le voyait. Et il voulait désespéremment être vu par Harry. Mais ça, il ne parvenait pas à l’admettre… Parce que cela faisait des années qu’il le niait avec force et obstination ! Question d’habitude.

Et Salazar souriait, amusé de ses efforts pour nier la vérité qui l’effrayait tant. Godric ne semblait pas trop y prêter attention, trop obnubilé par la solution de son énigme.

Alors Drago « attaquait » Harry sur tout et n’importe quoi, se transformant en râleur perpétuel. Mais Harry avait trouvé la parade : il le regardait d’un drôle d’air avant de quitter la pièce. Ce qui faisait que Drago s’égosillait en vain et seul. Cela le rendait dingue et ses rêves gagnèrent en intensité. Or, Harry avait le sommeil léger. Il avait certes remarqué que Drago avait le sommeil agité, mais une nuit, il finit par se réveiller tout à fait…

Tout ce que Drago savait, c’est que désormais Harry avait le même sourire que Salazar. Ce qui l’énervait d’autant plus. D’autant que ses rêves semblaient devenir… plus réels. A tel point qu’il se mit à fuir Harry, alors qu’il brûlait de sa présence. Qu’il en avait un étrange besoin. Que Harry lui manquait dès qu’il ne le voyait plus ? Plutôt crever que d’admettre ça !

Dans le même temps Salazar et Godric revinrent d’une succession de réunions. N’osant pas suggérer l’idée aberrante d’ensorceler un objet, Godric proposa simplement d’utiliser un objet, espérant que la prochaine étape, ensorceler l’objet, finirait par être franchie en douceur…

Malheureusement, l’intelligence de Rowena le déçut : elle n’y pensa pas. Leur travail collectif ne porta que sur la création d’un objet approprié. Ce fut ainsi que Godric et Salazar proposèrent à Harry et Drago quatre baguettes de sorcier. Pas ensorcelées, il suffisait de les tenir chacune à tour de rôle. Le principe était simple : celle de la maison où doit aller l’élève s’illumine… Harry se contenta de secouer négativement la tête, tandis que Drago explosa à l’encontre de Godric. Cela, c’était le résultat de ses nuits à caractère franchement érotique. Et de la frustration accumulée qu’il ne pouvait admettre.

- Non mais c’est pas vrai ! Je veux rentrer chez moi et vous n’êtes pas fichu de trouver ça !! Vous attendez quoi ?

Godric n’écoutait pas : c’était le côté un peu lunaire de son caractère. Il regarda Harry et Drago avec un soupir :

- Donc, ce n’est pas ça. Et flûte… J’étais persuadé…

Godric retourna dans son bureau, la tête remplit d’idées et de possibilités, totalement indifférent semblait-il à Drago. Mais Salazar alors s’approcha de Drago. Et avec un sourire mielleux, il lui dit simplement :

- La prochaine fois que tu agresses Godric, tout élève de Serpentard que tu sois, fit-il d’une voix douceureuse, du même ton ton que Snape pouvait avoir quand il s’adressait à Harry, je te…

Et il parla si bas que Harry ne put entendre.

Drago pâlit, ses lèvres frémirent. Ou tremblèrent. Harry l’observait, intrigué. Salazar quitta la pièce, toujours avec le même sourire inquiétant aux lèvres. Drago tremblait de rage et d’humiliation.

- Eh bien il semble que tu aies vexé Salazar !, remarqua Harry, amusé.

- La ferme Potter !!

La scène avait quelque chose de terriblement familier. Ses rêves commençaient maintenant parfois par une dispute. A cette simple pensée, son cœur se mit à battre plus vite, et son regard était aimanté aux lèvres de Harry. Pleines et semblant recéler mille promesses. Que dans ses rêves il mordillait doucement, avant d’en dessiner le pourtour du bout de la langue, dans une taquinerie sans fin… Ces lèvres qui avaient l’air si douces. Ces lèvres qui s’entrouvèrent doucement alors que Harry dit quelque chose. Et sa voix qui était si, si… Lui murmurant tant de choses qui le faisait rougir en rêve.

- … tu ne crois pas ?, acheva Harry.

- La ferme Potter, répéta-t-il plus par habitude, car il était sérieusement décontenancé par ces pensées érotiques anormales qui venaient de faire irruption en plein jour.

Et il le dit sans réelle conviction.

Harry parut surpris, peut-être un bref instant égaré. Cette expression si inhabituelle sur son visage … Drago eut un coup au cœur. Son regard s’adoucit un bref instant. Il choisit de sortir pour aller arpenter le jardin intérieur.

Resté seul, Harry murmura pour lui-même :

- Il se trouble si facilement…

Il sourit :

- Je n’avais jamais remarqué, mais bon, on n’avait jamais partagé la même chambre…

Il venait de trouver un jeu amusant : troubler Drago. Un jeu sans fin, semblait-il. Si seulement il l’avait su plus tôt !! Ces années passées à Poudlard auraient été bien plus piquantes… Sa vie aurait été plus simple.

Drago commença à se poser des questions quand il trouva une longue plume argentée dans son lit un matin suivant un rêve enfiévré. Un rêve où Harry le caressait de cette plume, le faisant se tordre de plaisir. Avant de l’embrasser et lui faire subir les pires outrages. Qu’il avait redemandé plus tard dans son rêve… Avant de faire hurler Harry de plaisir à son tour. Il rougit à nouveau à cette pensée. Ces rêves semblaient lui montrer qu’il avait décidémment un sacré savoir-faire… Il ne songeait plus à les nier, certain que tout rentrerait dans l’ordre quand ils seraient de retour à leur époque.

« Mais oui !, approuva sa petite voix. C’est tout à fait ça bien sûr, et les moldus savent ce qu’est le Quidditch ! Et que même qu’ils sont fans des Canons de Chudley… Si si ! »

Drago renonça à lui dire de se la fermer… Non, il essayait de chasser de sa tête les images de Harry à-demi dévêtu, au torse musclé et à la peau si douce, les lèvres légèrement entrouvertes, haletant et les joues rosies… Non, non ! A quoi donc il pouvait penser ? Ah oui, donc la potion de Ratatinage… Euh c’était quoi déjà les ingrédients ? Il avait beau chercher tout ce qu’il voyait, ce n’était qu’un torse… Avec une peau douce qu’il se voyait lècher avant de mordiller délicatement…

« Voui, c’est donc définitif, les moldus sont fans des Canons de Chudley !! », ajouta la petite voix avec malice.

Lors de la réunion suivante, les quatre fondateurs essayèrent en vain sur eux les baguettes sur eux tous : quand Rowena se trouva désignée pour faire partie de la maison de Serpentard, elle finit par admettre qu’utiliser les éléments magiques de chacune de leur baguette respective ne suffiraient pour répartir convenablement les élèves… Godric finit par émettre l’idée d’ensorceler un objet. Helga et Rowena menaçèrent de partir aussitôt, rejetant d’emblée la proposition, selon elles délirante, de Godric et de Salazar. Godric assez découragé réfléchissait encore, le regard distraitement fixé sur le chapeau d’Helga qui bougeait au gré des mouvements de sa tête. Il bougait, presque vivant. L’esprit de Godric se mit à vagabonder, se demandant ce que ce chapeau aurait pu dire d’Helga s’il avait pu parler…

Rowena dit alors, avec un peu de vanité :

-Ecoutez, nous cherchons en vain depuis des semaines. J’ai cherché pendant des nuits, également en vain. Il n’y a aucune solution acceptable !!

- Oui, appuya Helga avec force, et son chapeau parut hocher la tête avec elle. Je crois que ce projet est un échec. Ce sera donc une école traditionnelle ou ce château restera à jamais inoccupé.

Son chapeau continuait à sursauter augré de ces phrases, virevoltant presque. Godric aimait regarder les chapeaux d’Helga, et elle en avait des tas. Il songea un moment, alors que les deux femmes continuaient leur diatribe, à reparler de l’uniforme des élèves et peut-être prévoir un chapeau, et puis…

Salazar qui observait toujours et encore Godric , et qui donc l’avait vu fixer le chapeau d’Helga, dit tout à coup :

- Ce serait une bonne idée d’ensorceler un chapeau, non ?

- Il faudrait lui donner une conscience, objecta Godric, comme s’ils continuaient une conversation quasi-télépathique.

- Mais de quoi est-ce que vous parlez ?, les interrompit Rowena, avec exaspération.

- D’un des chapeaux d’Helga, précisa Salazar. Tu comprends ils sont si mignons et si élaborés que…, commença-t-il à la taquiner.

- Oh ça suffit, vous deux !! Vous n’arrêtez pas de m’embêtez avec ça !!

- Mais on est sérieux, là !, lança Godric.

- Ensorceler un chapeau qui lira l’esprit des élèves pour les répartir, c’est une bonne idée, non ?, expliqua Salazar.

- Mais irréaliste !, dit aussitôt Rowena. Donner conscience à un chapeau ! Pourquoi pas à un balai !! A une pendule ou encore à un chaudron ?

(Mélindra – Ca existe pour les balais, mais bon, l’inconvénient, c’est qu’ils tombent trop facilement amoureux… Voir le manga Ah my Goddess !)

- Et si on s’y mettait à quatre ?, suggéra Godric. Pour donner une conscience à un chapeau et choisir les élèves ? Comme cela, on pourra effectivement ouvrir l’école pour la date prévue !

- Donner une conscience à ce qui ne vit pas, dit Rowena, intéressée malgré elle par ce défi. Mais enfin, pourquoi une idée si, si…, ajouta-t-elle désemparée, cherchant ses mots.

- Novatrice, compléta Godric. Parce que c’est la seule solution qui nous reste si nous voulons ouvrir l’école de nos rêves... De nos rêves à tous les quatre ! Je crois que ça vaut la peine de s’y attarder. Nous avons tellement investi de notre temps, de notre énergie, et pas seulement dans ce château ! Nous lui avons tellement lançé de sortilèges qu’il possède même un embryon de conscience, pour se protéger et pour vivre !, s’emporta Godric.

- Je crois, dit plus posément Salazar, que l’avenir de nos jeunes sorciers mérite bien cet effort de notre part. Cela semble raisonnable, non ?, conclut-il.

Et cela était dit de façon si calme, si « coulant de source » que cela arrêta en douceur la discussion… Un silence se fit. Helga fut la première à acquiescer, comme son chapeau. Rowena approuva également, y voyant un défi pour son intelligence.

Ce fut pour cela que Salazar et Godric rentrèrent au sixième étage bis d’excellente humeur.

- Vous allez bientôt rentrer chez vous !!, dit Godric avec enthousiasme à Harry et Drago.
Drago boudait toujours. Mais quand Godric et Salazar leur expliquèrent ce qu’ils allaient faire, Drago et Harry reprirent espoir. Surtout Drago qui voyait le long tunnel de ses nuits avoir une fin. Pour le moment, cela empirait : à tel point que cette nuit-là il décida d’aller dormir ailleurs. Il regarda le soleil se lever avec une sorte de tristesse fatiguée.C’était assez bizarre. Il avait un coup de spleen. Pour rien au monde il ne l’aurait avoué, mais il savait que quelque chose lui manquait. Ou quelqu’un.

Ils ne revirent pas Godric et Salazar pendant deux jours. Avec Helga et Rowena, ils s’attelèrent à la création d’un sortilège devant être lançé à quatre, agrémenté de potions diverses. La rédaction de ce sortilège avait été longue et ardue. Fruit de réflexions et de compromis divers, c’était un mélange de magie blanche et noire… Avec un zeste de nécromancie pour satisfaire Salazar... Nécessaire pour « réveiller » ce qui n’était pas encore vivant comme il le dit lui-même…

En fait, ce qui fut le plus difficile fut de se mettre d’accord sur… le chapeau lui-même. Après plusieurs discussions emflammées, il fut finalement décidé que ce chapeau serait fait de quatre morceaux d’étoffes de couleurs et de textures différentes pour symboliser chacune des quatre maisons. Chacun comme cela y trouvait son compte… Mais en vérité, ce chapeau de compromis était vraiment mal fichu : Helga avait été obligée de le faire à la main. Le faire par magie aurait pu causer des interférences avec le puissant sortilège auquel il devait servir de réceptacle.

Le chapeau qu’il finirent par présenter à Harry et à Drago était vraiment mal fichu. Tout bonnement parce que c’était le cinquième qu’ils avaient ensorcelé. Et Helga en avait marre de se donner autant de mal pour rien. De plus, c’était le seul qui n’avait pas entièrement brûlé.
Car en effet, le premier s’était transformé en charbon bleu ciel. La table sur laquelle il était posé se couvrit aussitôt de cristaux de glace, et la température de la pièce chuta rapidement. Rowena avança l’idée que le sortilège contenait trop de glace. Comme le froid se répandait de plus en plus, ils finirent par le brûler. Sauf qu’il explosa… Le deuxième était devenu couvert de griffes et de dents : pire qu’un animal sauvage. Il avait fallu également le brûler. Le troisième s’était transformé en un crâne bizarre, qu’il avaient préféré brûler pour éviter tout danger. Le quatrième, lui, ne faisait que ronfler. Ils avaient cru avoir enfin réussi, mais il ne s’était jamais réveillé. Le cinquième avait baillé. C’était un signe encourageant. En plus il semblait être… vivant. Le tout, bah, c’était d’essayer. Mais pas sur eux… Evidemment !

Godric et Salazar regardaient songeur ce truc un peu informe et roussi sur la table. Ils étaient persuadés d’avoir échoué. Bref, c’était la déprime totale. Mais quand Harry et Drago entrèrent…

- Ah !, firent-ils ensemble avec enthousiasme.

Godric haussa les épaules.

- Non, on a échoué. Mais on va trouver un moyen pour vous renvoyer. C’était le cinquième essai et on n’en peut vraiment plus…

Harry prit le chapeau, le tourna et le retourna. Avec une satisfaction grandissante.

- C’est un lamentable échec, fit Salazar d’une voix fatiguée. Je crois qu’on arrivera à rien à nous quatre.

Drago encore endormi bailla et dit :

- Ben non, vous avez enfin réussi. Il était temps ! On va enfin pouvoir quitter cet endroit et rentrer chez nous.

- Ce truc marche ?, demanda Godric incrédule.

- Il le devrait en tout cas, répondit Harry.

- Il nous faut un cobaye pour le tester, dit Salazar avec un certain regain de vivacité.

Harry soupçonna que le mot cobaye n’y était pas étranger. Typique de lui, tiens !


Next chapter... \"the end ?\"

Kisses!
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