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Fables à la sauce Poudlart

By: zazaone
folder French › Harry Potter
Rating: Adult ++
Chapters: 13
Views: 2,152
Reviews: 12
Recommended: 0
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Disclaimer: I do not own the Harry Potter book and movie series, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.
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Le Severus Snape et les deux Belettes

b>Les fables à la sauce Poudlard
.
.
Pas de surprise sur les persos cette fois, vous les connaissiez depuis deux fables déjà, lorsque je vous avais parlé de mes découvertes. Mais je voulais vous remercierVous me gâtez… C’est trop mimi et me fait plein de roudoudous dans le côté gauche de ma poitrine… Mici vraiment mille et une fois ! (Tiens, faudrait que je les détourne eux aussi… si j’avais le temps !)

Disclaimer : Je ne sais pas si JKR et La Fontaine se seraient entendus pour écrire ensemble, mais ils auraient sans doute eu du mal à faire 50/50 sur les profits, hé hé hé ! Parce que moi, rindutout !

Rating : indécrottablement NC-17 ; si vous n’aimez ni le style un peu leste, ni les crudités, laissez tomber ! Ce sont définitivement des fables paillardes. Car après le … pédéraste (la une) , l’exhibitionniste (2, vilain Lupin), la masturbation (en 3..les images mentales ne sont pas conseillées), le voyeur avec les deux mini lesbiennes ( en 4 .. pas bien Lucius !) et les homos (en 5 rrhhooo les canidés mimi ! ! ! !), voici le nouveau sujet de cette fable : la bisexualité ! Vous êtes avertis, il est encore temps de fuir…

A tout seigneur, tout honneur, l’original… Je suis à peu près certaine que vous ne le connaissez pas. Siouplait, prenez le temps de la lire car j’ai écrit la seconde en gardant en permanence devant les yeux celle-ci.

La Chauve-Souris et les deux Belettes

Une Chauve-Souris donna tête baissée
Dans un nid de Belette ; et sitôt qu’elle y fut,
L’autre, envers les souris de longtemps courroucée,
Pour la dévorer accourut.
« Quoi ? vous osez, dit-elle, à mes yeux vous produire,
Après que votre race a tâché de me nuire !
N’êtes-vous pas Souris ? Parlez sans fiction.
Oui, vous l’êtes, ou bien je ne suis pas Belette.
– Pardonnez-moi, dit la pauvrette,
Ce n’est pas ma profession.
Moi Souris ! Des méchants vous ont dit ces nouvelles.
Grâce à l’Auteur de l’Univers,
Je suis oiseau ; voyez mes ailes :
Vive la gent qui fend les airs ! »
Sa raison plut, et sembla bonne.
Elle fait si bien qu’on lui donne
Liberté de se retirer.
Deux jours après, notre étourdie
Aveuglément se va fourrer
Chez une autre Belette, aux oiseaux ennemie.
La voilà derechef en danger de sa vie.
La Dame du logis avec son long museau
S’en allait la croquer en qualité d’Oiseau,
Quand elle protesta qu’on lui faisait outrage :
« Moi, pour telle passer ! Vous n’y regardez pas.
Qui fait l’Oiseau ? c’est le plumage.
Je suis Souris : vivent les Rats !
Jupiter confonde les Chats !
Par cette adroite repartie
Elle sauva deux fois sa vie.
Plusieurs se sont trouvés qui, d’écharpe changeants
Aux dangers, ainsi qu’elle, ont souvent fait la figue.
Le Sage dit, selon les gens :
« Vive le Roi, vive la Ligue. »


..
..
..
Le Severus Snape et les deux Belettes.

Un Severus Snape trouva toute apeurée
Dans son lit une Belette ; Ron y était nu ;
L’autre, envers les puceaux de longtemps attiré,
Pour s’en protéger insinue :
« Quoi ? Vous osez , dit-il, dénudé vous produire,
Afin que cette audace s’employa à me nuire !
N’êtes-vous pas Gryffons ? Dites votre mission.
Oui, vous l’êtes, ou bien je ne suis pas Snape.
– Pardonnez-moi, mais je n’accepte
Aucunement cette suspicion.
Moi sournois ! Mes penchants devant vous se révèlent
Grâce à Potter et ses caresses.
Je suis à vous, soyez sensuel :
Vive le gland qui fend les fesses ! »
Sa passion plut, et sans vergogne
Il fit si bien sa besogne
Qu’il lui permit d’éjaculer.
Deux jours après, sans préavis
Trouve une autre belette, au regard tant hardi.
Le voilà derechef sollicité pour son vit.
La damoiselle dans son lit esquiva ses assauts ;
Il brûlait que sucé soit son raide pinceau,
Mais elle protesta qu’on lui faisait outrage :
« Moi, vous turluter ! Ne vous méprenez pas.
Que veux-je perdre ? C’est le pucelage.
Je suis Ginny : venez plus bas,
Et dans mon con, puisez ébats. »
Pour cette adroite repartie
Il trempa deux fois son vit.
Si tel Severus vous vous trouvez, d’amants changeant,
Aux dangers, ainsi qu’eux, d’essuyer propos iniques,
Comme Snape dites à ces méchants :
« Vive le con, vive la trique ! »
.

Mille Zoubis et merci de me suivre !
Z
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