Get Hermione Laid : Mission 1

Chapitre 6 : MISSION : Complète

-Ça suffit vous deux, dit Sirius à ma gauche. Lupin s’écarte avec hésitation de mes lèvres. J’essaye désespérément de le ramener vers le bas, mais il sourit doucement et secoue la tête, tout aussi doucement.

Merde, merde, merde ! Je pense que je suis entrain de devenir une vraie nympho : ces trois-là m’ont fait prendre mon pied je ne sais combien de fois, et j’en veux encore plus ! Je suis impatiente de voir ce que Snape et Sirius ont à m’offrir : je suis sûre que chacun va vouloir surpasser la performance de Lupin. Je ne vois pas comment, mais…

Lupin se retire, et je suis assez déçue par cela. Il m’aide à me remettre sur mes pieds tremblants ; je tombe presque sur ma chaise.

-Bon, où sont mes cartes ? demande Sirius en lançant un regard mordant à Snape.

Celui-ci fronce les sourcils vers lui.

-Est-ce qu’on a vraiment besoin de ces putains de cartes ?

Sirius hausse les épaules.

-A toi de voir.

-Je suppose que tu t’attends à ce que ce soit ton tour ?

-Loin de là, Severus. Je tiens à laisser un bon souvenir à Hermione, quelque chose dont elle pourrait se remémorer.

-N’essaye même pas de te comparer à moi, Black !

-Hermione est toujours là, dit Lupin d’un ton légèrement énervé. Vous ne pensez pas que ce serait plus juste de lui demander ce qu’elle veut ?

Ce que je veux ? Je ne pense pas que mon imagination soit aussi étendue que celle de ces deux-là…

-Alors ? Snape dresse un sourcil impatient vers moi.

-Je…

Zut, zut, zut. Quel dilemme !

-C’est ton choix Mione. Moi ou … lui ? Sirius agite la tête vers Snape.

Je suis assise là et je continue de balancer entre les deux. Je ne peux vraiment pas faire ça.

-Toi, tu choisis, ordonné-je à Lupin. Tu choisis qui je me prends.

Lupin paraît un peu surpris.

-Bon, je dois retourner la faveur, alors. Sirius…

-Ooh, je suis choqué… La voix de Snape dégouline de sarcasme tandis qu’il s’effondre de nouveau sur sa chaise, vaincu. J’aurais vraiment dû savoir qu’il ne fallait pas s’attendre à ce que Lupin choisisse quelqu’un d’autre que son meilleur pote. Enfin, je m’en moque un peu : je suis sûre que j’arriverai à mes fins avec Snape, et d’ici peu…

Je décide de prendre l’avantage cette fois. Je me lève et me dirige vers Sirius. Je prévoyais de me remettre sur ses genoux, mais il a toujours son pantalon, et ça ne va pas. Je lui fais un petit sourire et me mets à genoux. Je suis un peu maladroite avec les boutons de son pantalon, mais après tout je suis un tantinet ivre et donc pas totalement apte à déshabiller les autres… Finalement, les voilà tous défaits. Avec un petit peu d’aide de la part de Sirius, j’arrive à faire tomber son pantalon de ses hanches à ses chevilles. Hum, j’aurais dû enlever ses chaussures avant… trop bête !

Je refais glisser mes mains le long de ses jambes, stoppant tout près du bas de son boxer. Je ne suis pas sûre de vouloir savoir pourquoi Lupin et lui ont le même boxer violet vif.

-Cadeau de Noël, dit Sirius, comme s’il pouvait lire dans mes pensées. Maintenant je sais que je ne voulais pas savoir !

Sans importance. Bon, je n’ai pas pu observer Lupin de près, et j’aimerais vraiment repartir de cette escapade avec un minimum de connaissances. Je pourrais au moins utiliser cette excuse pour me justifier toute cette histoire demain. Je lève une main impatiente et caresse doucement le renflement devant moi. Sirius lèche sa lèvre supérieure, m’adressant un sourire joueur. Je profite de l’occasion pour enrouler mes doigts autour de lui, à travers le tissu soyeux. Je suis assez surprise de sa dureté. Avec précaution, je laisse ma main le caresser quelques fois et je suis encouragée par un grognement guttural venant de l’homme au-dessus de moi. Il semble que Sirius apprécie cela. Avec un peu plus de détermination, je répète mes mouvements, le tissu bougeant sous mes doigts, et soudain je sens de la chair. C’est si chaud…

Bien, il est temps de pousser l’enquête un peu plus loin. Je farfouille dans l’ouverture de son short le libérant de son confinement. Mon Dieu ! Je prends un petit moment pour l’admirer, complètement captivée par la petite goutte de liquide qui glisse lentement du sommet au bas de son membre. Je ne peux pas m’en empêcher : je dois vraiment savoir quel goût cela a. Je me penche en avant et donne un coup de langue.

-Merde ! Hermione !

Hihi ; apparemment c’est au goût de Sirius ! Bon, je suis allée trop loin pour m’arrêter maintenant… Je mets mes lèvres autour de son gland, suçant très légèrement. Bien, il ne s’enfuit pas, horrifié, donc cela doit aller. Je glisse prudemment sur lui, l’avalant juste un tout petit peu plus. Je suis sûre d’avoir lu quelque part une façon de décontracter la gorge et tout, mais je pense qu’avoir un haut de cœur maintenant ne serait pas super, alors je décide de jouer avec quelques centimètres seulement. Je laisse courir ma langue sur lui et il laisse échapper un grognement. Cool, j’ai tiré le gros lot, là ! Continuant, je relève une main pour le maintenir en place, et j’effleure accidentellement ses bourses. Sirius sursaute et heurte le fond de ma gorge. Heureusement je parviens à ne pas m’étrangler. Ah, alors c’est ça ! Je laisse ma main là où elle est. Mon Dieu, il y a quelque chose de tellement merveilleux là-dedans : j’ai toujours su que j’aimais contrôler, mais ceci élève la chose à un tout autre niveau…

-Je crois, dit Snape de sa voix traînante, que ça ne fait pas partie du marché.

-Regarde ce que j’en ai à faire, répond Sirius, les mains enfouie dans mes cheveux.

Quelques secondes plus tard, je sens des doigts voyager le long de ma colonne vertébrale, me faisant frissonner. Puis des mains agrippent mes hanches, me soulevant du sol. Je suis forcée de me détacher de Sirius, pour me retrouver brutalement posée sur ses genoux.

-Si tu ne peux pas t’en tenir aux règles, Black, je ne vois pas pourquoi je les suivrais, siffle Snape derrière moi.

Sirius le regarde longuement avant de hausser les épaules. Il ne m’abandonne pas pour autant, au contraire. S’emparant lui-même de mes hanches, il me soulève et se positionne sous moi. Mon Dieu, le bout de ce merveilleux entrejambe taquine mon entrée, me pénétrant presque, avant de s’écarter. Les mains de Snape s’occupent de mes tétons, les tirant presque violemment, s’arrêtant juste avant de me faire mal. Putain ! J’ai encore perdu tout ce foutu contrôle ! Ça ne m’aide pas d’un iota que Sirius enfonce soudainement ses doigts dans mes hanches et me ramène brusquement à lui, me remplissant d’un seul mouvement rapide. Je ne sais pas trop s’il est plus gros que Lupin ou si je suis juste plus enflée après mes précédents orgasmes, mais bordel, c’est serré. Les mains de Sirius bougent dans mon dos, descendant vers mon postérieur. Elles agrippent mes fesses et les pétrissent alors qu’il me soulève encore, me permettant de revenir une nouvelle fois sur lui, brutalement. Quelqu’un vient de crier. J’ai le sentiment que c’était moi. Je m’en fous.

Je sens une peau chaude contre mon dos, glissant lentement vers le bas.

-A ta place Severus, grogne Sirius, sur tes putains de genoux.

-J’aurais cru que tu avais des problèmes plus pressant en main que de t’occuper de ce que je suis en train de faire.

Mon Dieu, cette voix !

Une main quitte ma poitrine et retourne sur ma colonne vertébrale. Je la sens tracer sa route vers le bas, ses glisser entre mes fesses et taquiner mon entrée de derrière.

-Vous aimez ça Granger ? gronde Snape dans mon oreille.

Je réponds par un soupir. Je ne peux vraiment pas faire mieux. Je suis en train de coller fiévreusement mes hanches contre Sirius. Chaque mouvements permet aux poils sombres de son pubis d’effleurer mon clitoris, mais ce n’est pas assez …

-Alors vas-y, demande Sirius.

-Crois-moi Black, je n’ai pas besoin de ta permission ! J’entend un petit froissement derrière moi, puis le doigt s’en va. Merde !

-Professeur !

-La patiente, Miss Granger, est une vertu.

J’emmerde la patience. Ah ! Une nouvelle fois de la chair se presse contre ce trou serré, mais ça semble beaucoup plus large que le doigt fin…

-Rends-toi utile et embrasse-là ! Snape ordonne à Sirius.

-Sois gentil.

Sirius ne doit cependant pas être aussi offusqué que ça, puisqu’il obéit rapidement à Snape, capturant ma bouche, fouillant avec sa langue, réclamant la mienne. Il suspend ses mouvements sous moi, s’appuie contre le dossier de la chaise et m’attire contre lui.

Je sens la pression augmenter à mon autre entrée, et Snape commence à glisser lentement en moi. Oh Seigneur… Il s’arrête presque toutes les secondes, me permettant de me positionner pour avoir les deux en moi. Je sens les prémices d’une douleur alors qu’il pousse dans mon anneau serré de muscles…

-Détendez-vous Miss Granger, souffle Snape dans mon oreille, ses mains me contournant de nouveau pour venir caresser doucement mes seins. Je fais ce qu’il dit et la douleur s’amoindrit alors qu’il avance encore. Mon Dieu, je me sens si agréablement pleine…

Doucement, Snape se retire, d’une manière atrocement lente.

-Oh, putain !

La bouche de Sirius a quitté la mienne pour grogner des insanités à travers la pièce.

-Putain ! Putain !

-Surveille ton langage, Black. Il y a une élève dans cette pièce !

Apparemment, cette idée est plus que séduisante pour Snape. Sirius se reprend sous moi, et je suis soudain assaillie par des coups de chaque côté du mur fin qui les sépare. Je ne peux pas tenir plus longtemps… Je me penche en avant, trouve juste assez de friction contre mon clitoris, et me voilà partie, de retour dans le monde des étoiles rouges…

-N’ose pas Black, c’est loin d’être fini, gronde Snape derrière moi.

J’entends Sirius grogner, je sens ses doigts s’enfoncer de nouveau dans mes hanches.

-Putain, Si serrée ! murmure-t-il.

-Comme ton cul, Black. Tu préfères que je m’y plante ? Snape le regarde d’un air sadique. Contrôle-toi ! Suis le rythme !

Après une éternité, je redescends, incapable de sentir mes muscles. Je glisse en arrière, m’appuyant contre le torse de Snape. Sirius semble avoir regagné un peu de contrôle, et il bouge de nouveau sous moi. Snape paraît s’enhardir, ses coups sont plus longs et plus rapides.

Je sens des lèvres sur les miennes, des baisers doux et rassurants. J’ouvre les yeux, mais c’est inutile. C’est Lupin. J’avais presque oublié qu’il était là.

-Tout va bien, Mione ? chuchote-t-il gentiment.

-Parfait, répondé-je rêveusement.

-Merde ! Je ne tiens plus ! crie soudain Sirius en-dessous de moi.

-Putain d’imbécile incompétent ! lui grogne Snape. Rend-toi utile Lupin. Que je sois maudit si j’en fini avant de sentir Miss Granger se resserrer encore une foi autour de moi !

Lupin descend le long de mon corps en m’embrassant, prenant finalement un de mes tétons dans sa bouche. Il est encore doux, il fait juste glisser sa langue sur moi. Je peux me sentir atteindre le point culminant une nouvelle fois, et ceci avant de sentir ses doigts sur mon clitoris. Il écarte les plis, augmentant encore plus la tension à cet endroit-là, un doigt me caressant aussi légèrement qu’une plume. Cette main me quitte et je soupire, puis j’arrive à ouvrir les yeux pour le voir me lécher sur ses doigts. Hou là !

-Tu permets ? demande-t-il d’une voix rauque, faisant un signe de tête vers l’endroit qui me relie à Sirius.

Je permets ? JE PERMETS ?!

J’arrive à incliner affirmativement la tête. Je jette un rapide coup d’œil à Sirius, qui est en train de mordre sa lèvre inférieure, essayant de se retenir.

Je sens la langue de Lupin sortir pour me goûter, et mes yeux se referment encore. Oh, merde, vraiment... C’est si torride…

-Je peux plus... je peux plus … scande Sirius sous moi.

-Pas encore, crache Snape.

-Rémus, crie Sirius.

Lupin accélère le tempos sur moi, et m’y voilà déjà, si près, une nouvelle fois …

-Pas encore ! braille de nouveau Snape.

-Rémus !

Je sens une main se glisser derrière moi, effleurant doucement ma peau. D’après le gémissement qui vient d’échapper à Snape, je peux deviner ce que Lupin vient de faire. Les mouvements de Snape perdent leur contrôle. Il me pilonne littéralement, égalant les coups irréguliers de Sirius. Juste au moment où je les sens exploser à l’intérieur de moi, je me perds de nouveau. Nous sommes devenus une masse de nerfs, s’agitant et se tordant ensemble…

o§o

-Qu’est-ce qui t’es arrivé la nuit dernière, Mione ? Je pensais que tu étais allée te coucher ? demande Ginny avec désinvolture au petit déjeuner. Elle et Harry sont assis l’un à côté de l’autre ; Harry semble assez embarrassé.

-J’ai fait un petit poker avec Sirius, Lupin et Snape, répondé-je aussi nonchalamment que possible. Franchement, j’ai supporté les grands sourires suffisants de Sirius et Lupin pendant les dix dernières minutes et je suis sur le point de leur ressauter dessus… ou je le serais si je n’avais pas aussi mal. Peut-être après le dîner.

Tonks, cependant, gâche ma réponse pleine de sincérité en s’étouffant avec son petit déjeuner.

-Tu as quoi ?!

Elle jette un coup d’œil à Lupin et Sirius, qui échangent un regard bref avant de trouver soudainement un grand intérêt aux bols de céréales devant eux. Snape, qui venait juste d’entrer dans la pièce à la fin de cette conversation, est figé dans l’embrasure de la porte. Apparemment, je ne suis pas la seule à avoir joué au poker avec ces gars… Soudain la couleur violet vif des cheveux de Tonks me semble très, très familière… étrangement semblable aux deux shorts violets de la nuit dernière... ou est-ce que c’est violet violent ?

-Whao, ça à vraiment du être palpitant, dit Ron sarcastiquement, attrapant son verre de jus d’orange, sans se rendre compte, comme d’habitude, de ce qui se passe autour de lui.

-Ce n’était pas si mal.

Hihi, qu’ils soient donc mal à l’aise !

FIN


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Voilà, la première partie de GHL est terminée. Nous sommes en cours de traduction pour la seconde partie. Je tenais à m'excuser pour le retard de publication, c'est entièrement ma faute. Ne vous tracassez pas, fanette se fera un plaisir de me punir, elle aime ça ^^

Nous vous remercions de nous avoir suivis et à bientôt pour la suite.

L'équipe de traduction/bêta.