Hogwart Fuck Fest

Je suis un homme, pas une femme. Et en
tant que tel, je n’ai pas la même sensibilité  et la même approche pour
parler de certains sujets. Et le sexe fait parti de ces sujets ou je me rends
compte qu’il faut mieux être une femme pour en parler (surtout pour certains
sujets internes du sexe !!).

Pour ceux qui me connaissent un peu, ou
qui me connaissent bien à travers les différentes fanfictions que j’ai écrites
et publiées, vous savez que je me complais plutôt dans les histoires sombres et
violentes. Le genre avec du suspense à foison, des combats, des morts et de la
souffrance. Pour ceux qui en douteraient, ils peuvent toujours le vérifier en
lisant mes autres fanfictions !

Mais un jour, j’ai voulu essayé dans un
autre genre : l’érotisme. J’avais lu des fanfictions érotiques écrites par
d’autres auteurs. Certaines m’ont plu, d’autres non. Mais une auteure a retenu
particulièrement mon attention par la sensibilité et l’humour qu’elle parvenait
à distiller dans ses chapitres. Elle ne m’en voudra pas, je pense, de la
citer : Lylah. Pour ceux qui ne la connaissent pas, je ne saurais que trop
vous conseiller de lire ses chefs d’œuvre.

Enfin bref ! Pour ceux qui se
souviennent du chapitre 2 de cet épisode de Hogwart Fuck Fest, vous savez qu’il
s’agit d’une histoire mettant en scène Cho Chang et une autre fille s’appelant
Su Li. Etant un homme (je me répète là !) et hétéro de surcroit, je ne
sais décrire ce genre de rapport que par la vue perverse et trompée d’un homme.
C’est plus ou moins le reproche que m’a fait une amie après l’avoir lue qui
elle, en plus d’être une fille, est homosexuelle. Elle a réécrit le chapitre à
sa façon. Et franchement, dés le premier jet, j’ai vu la différence et j’ai
tout de suite adoré (et vous pouvez lui demander : je ne suis pas du genre
hypocrite !!).

Enfin voilà, je ne résiste pas au fait
de vous présenter sa version du chapitre 2 en guise de bonus.

(Et désolé pour l’attente du deuxième
épisode mais je suis en manque d’inspiration sur cette série et surtout, je
suis obnubilé par une autre série dans mon registre de prédilection.)

 

 

           
BONUS : COMMENT ON ATTRAPE LE VIF ? (VERSION KINDER, c’est son
pseudo)

La
fin de l’année approche, et franchement, il me faut une échappatoire. A rester
plongée dans les livres de Poudlard, je me rend compte que je me suis enfermée
moi-même.

 Une
activité extra scolaire, une échappatoire…

Je
ne sais par ou commencer…

« Bonjour,
moi, Su la fille enfermée dans une cage de livres appeler bibliothèque, cherche
n’importe quel moyen de m’y échapper »…

Et
si je commençais par l’activité la plus éloignée de l’école ?

La
botanique ? Ouais pourquoi pas… ça ne m’apportera pas plus que ça niveau cours,
mais pourquoi pas…

Après
avoir fait le grand raid des calamitées ( oui, je suis un désastres lorsqu’il
s’agi de sortir de mes cours), j’arrive au stade de Quidditch, le cœur un peu
lourd de ne pas avoir pu trouver mon activité.

C’est
ma dernière option, et ça ne peut pas être pire que dans les autres activités.

 C’est
donc le vague a l’âme que je m’approche de l’imposante structure, quand
soudain, volant sur son balai, un ange, ou plutôt, Cho, l’attrapeuse de
l’équipe de Serdaigle…

 La
majesté de ses gestes, son allure magnifique… Oui, je l’ai toujours admirée.

Mais
comment une fille comme elle pourrait me voir ?

Une
voix… perdue dans mes pensées, je n’avais pas entendu.

Elle
m’appelle, moi !

« Alors
ça te dis ? Tu veux essayer ?

-Je…
je sais a peine tenir sur un balai… je…

-Aller,
t’inquiète pas, tu vas te lancer contre ce garçon de 1^ère année,
tout comme toi. On sera là en permanence, t’as pas a t’en faire »

C’est
ainsi que je me retrouvais à califourchon sur un balai, totalement perdu, mais
je l’avoue, un peu excitée.

« Tu
feras l’attrapeuse » me dit Cho

« 
Quoi, mais c’est toi l’attrapeuse ! La meilleure !! Je ne peux pas prendre ta
place !

-Et
si tu étais plus douée? Tu y as pensé ?

-Non
je… (je me sens rougir )

-C’est
un coup d’essais, ça n’engage rien ! »

Et
le match improvisé commença.

Choc
avec l’attrapeur de l’autre équipe, je me sens tomber. Comme pour anticiper la
douleur, je retiens ma respiration et ferme les yeux, attendant la chute.

 A
ma surprise, j’atterris sur quelque chose de doux, chaud même… j’ouvre les
yeux, Cho m’avait rattrapé au vol, je tenais dans ma main… son sein !! Gênée,
je l’enlève d’un geste brusque. Voyant que je retrouve l’esprit, Cho me lança

« Ca
va toi ? Quel abruti ! Il aurait pu te faire vraiment plus mal. L’inconscient !

-
si ça te dérange pas je préfère me reposer aux vestiaires » dis-je a Cho,
avec la voix tremblante de honte, de ne pas avoir été à la hauteur.

« D’accord,
me répond-elle. Harry tu t’occupes du nouveau, je raccompagne notre débutante
aux vestiaires, il faut qu’elle se remette de ses émotions »

Une
fois rentré dans les vestiaires, je sens mes jambes défaillir, je m’assois, ne
pouvant regarder ma camarade, la meilleure attrapeuse de Poudlard.

J’entends
le froissement de vêtements, je lève les yeux. L’athlète se déshabille.

Durant
ces quelques minutes, je caressais du regard ce corps magnifique, au rythme des
vêtements enlever.

Oui,
je fais plus que de l’admirer, je… oserais-je le dire ? J’ai toujours rêvé
pouvoir… la posséder.

 Je
ne sais pas si c’est l’émotion de la chute, mais j’ai une irrésistible envie de
l’embrasser.

Le bruit de l’eau. Plongée dans mes songes, j’avais oublié que je suis aux
vestiaires du stade.

« Tu
viens prendre une douche ? Me lance Cho.

-Euh
oui désolée, j’arrive , répondis-je en jetant mes vêtements a terre.

Un
peu hésitante, j’entre dans les douches, non sans reluquer ma sauveuse.

L’eau
ruisselant sur ses muscles, ses cheveux libres glissant sur ses épaules, mon
regard suivant ses courbes nues… je me sens honteuse de mon corps d’enfant.
Elle est si belle.

 
Je sens mes joues se teindre.

Comme
pour me réconforter, Cho s’avance, me saisit les mains

« 
Hey, ça va pas ? N’ai pas honte, tu n’as pas été si mauvaise. A mon 1^er
match, j’ai cassé mon balai et mon poignet. Détends-toi ». Elle me tire
doucement contre elle, au point où on se retrouva lèvres contres lèvres. Je ne
savais pas quoi penser. Fait-elle cela à toutes les filles ? Seulement à moi ?
Est-ce une preuve d’amour ou juste un élan de pitié ?

 L’attrapeuse,
surement ayant ressentit ma surprise, met fin a ce baiser trop court.

« Ca
va mieux ?

-Tu…
es comme moi ? Je veux dire… elle coupe ma phrase par un rire:

-Non,
je n’aime pas les filles, mais j’en avais envie. Son regard devient sérieux : Excuse-
moi, je pensais pas à mal. Tu veux qu’on en reste là ?

-NON,
coupais-je brusquement, non… » Devant mon enthousiasme, Cho m’offrit le
plus tendre des baisers : au contact de ses lèvres, mes yeux se ferment, et je
n’ai pu m’empêcher de poser ma main sur sa joue, comme pour m’assurer que ce
moment n’était pas encore un de mes rêves. Sa langue vient caresser mon palet,
la mienne cherchant la sienne. Elle m’entoure la taille de ses bras, accentuant
notre étreinte.

 L’effet
de sa poitrine contre la mienne me fait teindre le visage, partagée entre
surprise et plaisir.

 Ses
mains descendent le long de mes fesses puériles, tandis que sa bouche explore
mon cou, puis le peu que lui offre mon torse. Sa langue râpe le bout de mes
seins, et une sorte de décharge de chaleur me parcourt la colonne. Je ne
comprends pas trop comment je peux lui rendre cette émotion.

Une
main toujours autour de mes reins, l’autre qui se glisse entre mes jambes,
effleurant mon intimité.

Un
murmure : «  tu es toutes mouillée » puis la tête de l’attrapeuse
vient remplacer sa main.

 Quelque
chose de mouillé vient se frotter sur mon entre jambe. Je ne sais plus que
faire. Ceci est nouveau pour moi. Mon cœur bat la chamade.

Cho
saisit ma cheville, posant mon pied sur son épaule. Ça frotte plus fort. C’est
agréable. La langue de mon ainée s’enfonce, j’étouffe un gémissement, je me
contente de me mordre les lèvres pour étouffer les suivants.

Les
vas et vient deviennent plus insistants, plus rapides, je serre les poings.

Cho
suçote mon intimité. Elle se redresse et a mi-voix m’invite :

« Tu
veux essayer ? »

Je
lui réponds d’un hochement de tête.

Un
peu dépourvue, je m’agenouille, faisant face à sa fente.

Je
lèche au hasard, ma langue s’enfonce. C’est doux, chaud, très humide.

Voyant
l’hésitation de mes gestes, Cho passe ses doigts dans mes cheveux, et me guide.

Mes
dents frôlent cette tendre partie, ses doigts se serrent. Elle m’impose le
rythme.

 Je
tire au maximum ma langue, elle enchérit mes gestes par des coups de bassin.

Je
l’entends suffoquer. Savoir que je lui fais ce qu’elle m’a fait m’excite encore
plus.

 Tout
comme ma camarade l’a fait précédemment, j’avale le liquide qui se dégage de
son orifice. Je me surprends à aimer le gout, ce qui amplifie ma soif.

 L’attrapeuse
m’arrête, m’aide a me redresser, et m’embrasse fougueusement.

Elle
mord tendrement mes lèvres, les suçote, replonge sa langue dans ma bouche…

Sa
main caresse ma cuisse, remonte lentement, atteint mon bas ventre, s’y attarde.

 Un
feu ardent brûle mon entre jambe.

D’un
bras derrière la taille, elle m’accompagne sur le carrelage. La différence
entre le contacte froid du sol, et la chaleur de son corps allongé sur le mien,
je frissonne.

 Mon
initiatrice se retourne, me présentant sa coupe à l’élixir délicieux.

 Je
la sens titiller la braise de mon anatomie juvénile, j’aime cette sensation sur
ma peau. Je m’affaire sur ce fruit délicieux qui s’offre à moi.

Quelque
chose de plus dur pénètre en moi, un doigt. Sous l’effet de la surprise, je me
crispe, il persiste dans ses mouvements, je me détends peu à peu. Quelle joie
de donner ma virginité à celle qui hante mes nuits depuis si longtemps.

Un
sursaut, un deuxième doigt vient de rejoindre le 1^er, et les
mouvements se font plus saccadés et plus insistants. Je ne peux plus retenir mes
frémissements. Sa bouche a rejoins les doigts explorateurs. Je laisse un cri
s’échapper, tout mon corps c’est tétanisé, je voudrais que ce moment dure… Une
légère douleur, je serre les fesses de mon amante, puis, mon corps se relâche,
et malgré moi je lâche à ce moment une grosse quantité de liquide. Cela n’a pas
l’air de déranger ma partenaire. Comme la 1^ère fois, elle aspire
tout ce que mon corps lui donne.

Cho
vient ensuite l’allonger à coté de moi, déposa un baiser sur mes lèvres, me
sourit, et doucement me susurre:

« Tu
vois, c’était pas si difficile. »