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Fables à la sauce Poudlart
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French › Harry Potter
Rating:
Adult ++
Chapters:
13
Views:
2,153
Reviews:
12
Recommended:
0
Currently Reading:
0
Category:
French › Harry Potter
Rating:
Adult ++
Chapters:
13
Views:
2,153
Reviews:
12
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0
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0
Disclaimer:
I do not own the Harry Potter book and movie series, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.
Le Professeur très sage et ses deux maîtresses
Fables à la sauce Poudlard
.
.
.
Disclaimer : Les persos et situations n’appartiennent qu’à JKR and La Fontaine. Je ne tire aucun bénéfice pécuniaire de ces détournements.
Rating : NC-17 qu’espériez-vous d’autres dans des Fables définitivement paillardes ! On y trouve de tout : lemon, slash yaoï ou slash yuri, et même du BI ! Pour celle-ci… à vous de découvrir.
Je dédie les 9 premiers vers aux folletoutemimi (dont je fais partie) du forum de Fanfiction's World ! Et mici pour leur rewiew à Septentrion (toi zizi ? Comme je suis étonnée !!) et Tagath ; tu sembles décidée de faire le tour de Zaza en deux fictions ? Mici à toué !
.
L’homme entre deux âges et ses deux Maîtresses
Un homme de moyen âge,
Et tirant sur le grison
Jugea qu’il était saison
De songer au mariage.
Il avait du comptant,
Et partant
De quoi choisir. Toutes voulaient lui plaire ;
En quoi notre amoureux ne se pressait pas tant ;
Bien adresse n’est pas petite affaire.
Deux veuves sur son cœur eurent le plus de part :
L’une encor verte, et l’autre un peu bien mûre,
Mais qui réparait par son art
Ce qu’avait détruit la nature.
Ces deux Veuves, en badinant,
En riant, en lui faisant fête,
L’allaient quelquefois testonnant,
C’est à dire ajustant sa tête.
La Vieille à tous moments de sa part emportait
Un peu du poil noir qui restait,
Afin que son amant en fût plus à sa guise.
La Jeune saccageait les poils blancs à son tour.
Toutes deux firent tant, que notre tête grise
Demeura sans cheveux, et se douta du tour.
Je vous rends, leur dit-il, mille grâces, les Belles,
Qui m’avez si bien tondu ;
J’ai plus gagné que perdu :
Car d’Hymen point de nouvelles.
Celle que je prendrais voudrait qu’à sa façon
Je vécusse, et non à la mienne.
Il n’est tête chauve qui tienne,
Je vous suis obligé, Belles de la leçon.
.
.
Le Professeur très sage et ses deux Maîtresses
Un Professeur très sage
Et Maître des potions,
Jugea sans perversion
De quitter son pucelage.
Il avait quarante ans,
Et pourtant
De quoi choisir. Toutes voulaient lui plaire ;
En quoi notre professeur en eut bien du tourment ;
Bien baiser pour lui restait un mystère.
Deux perverses créatures de son corps s’emparent :
L’une encor élève, et l’autre bien mûre,
Mais qui savait des jeux paillards,
Ceux qui éveillent la luxure.
Ces deux friponnes, en l’excitant,
En touchant, en défaisant braguette,
L’allaient quelquefois tatonnant,
C’est à dire son vit, elles dévêtent.
Mac Go en tout sens de ses longs doigts agitait
Sa verge qui d’extase tremblait,
Afin que son amant en jouit tout à sa guise.
La Mione de sa langue, flattait le gland à son tour.
Toutes deux firent tant, que toutes leurs mignardises
Epuisèrent le sieur, laissant son membre gourd.
Je vous rends, leur dit-il, mille grâces, les Belles
Qui m’avez si bien sucé
Que je ne puis plus bander.
Pénétrer ? Point de querelle !
Celle que je prendrais voudrait que sans façon,
J’entrasse avec vigueur en elle.
Hélas ! A ces jeux point n’excelle !
Je vous suis obligé, Belles de vos leçons.
Merci pour vos reviews qui sont toujours très appréciées ! Zoubis à tous et toutes en espérant vous avoir distrait !!!!
Z
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Disclaimer : Les persos et situations n’appartiennent qu’à JKR and La Fontaine. Je ne tire aucun bénéfice pécuniaire de ces détournements.
Rating : NC-17 qu’espériez-vous d’autres dans des Fables définitivement paillardes ! On y trouve de tout : lemon, slash yaoï ou slash yuri, et même du BI ! Pour celle-ci… à vous de découvrir.
Je dédie les 9 premiers vers aux folletoutemimi (dont je fais partie) du forum de Fanfiction's World ! Et mici pour leur rewiew à Septentrion (toi zizi ? Comme je suis étonnée !!) et Tagath ; tu sembles décidée de faire le tour de Zaza en deux fictions ? Mici à toué !
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L’homme entre deux âges et ses deux Maîtresses
Un homme de moyen âge,
Et tirant sur le grison
Jugea qu’il était saison
De songer au mariage.
Il avait du comptant,
Et partant
De quoi choisir. Toutes voulaient lui plaire ;
En quoi notre amoureux ne se pressait pas tant ;
Bien adresse n’est pas petite affaire.
Deux veuves sur son cœur eurent le plus de part :
L’une encor verte, et l’autre un peu bien mûre,
Mais qui réparait par son art
Ce qu’avait détruit la nature.
Ces deux Veuves, en badinant,
En riant, en lui faisant fête,
L’allaient quelquefois testonnant,
C’est à dire ajustant sa tête.
La Vieille à tous moments de sa part emportait
Un peu du poil noir qui restait,
Afin que son amant en fût plus à sa guise.
La Jeune saccageait les poils blancs à son tour.
Toutes deux firent tant, que notre tête grise
Demeura sans cheveux, et se douta du tour.
Je vous rends, leur dit-il, mille grâces, les Belles,
Qui m’avez si bien tondu ;
J’ai plus gagné que perdu :
Car d’Hymen point de nouvelles.
Celle que je prendrais voudrait qu’à sa façon
Je vécusse, et non à la mienne.
Il n’est tête chauve qui tienne,
Je vous suis obligé, Belles de la leçon.
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Le Professeur très sage et ses deux Maîtresses
Un Professeur très sage
Et Maître des potions,
Jugea sans perversion
De quitter son pucelage.
Il avait quarante ans,
Et pourtant
De quoi choisir. Toutes voulaient lui plaire ;
En quoi notre professeur en eut bien du tourment ;
Bien baiser pour lui restait un mystère.
Deux perverses créatures de son corps s’emparent :
L’une encor élève, et l’autre bien mûre,
Mais qui savait des jeux paillards,
Ceux qui éveillent la luxure.
Ces deux friponnes, en l’excitant,
En touchant, en défaisant braguette,
L’allaient quelquefois tatonnant,
C’est à dire son vit, elles dévêtent.
Mac Go en tout sens de ses longs doigts agitait
Sa verge qui d’extase tremblait,
Afin que son amant en jouit tout à sa guise.
La Mione de sa langue, flattait le gland à son tour.
Toutes deux firent tant, que toutes leurs mignardises
Epuisèrent le sieur, laissant son membre gourd.
Je vous rends, leur dit-il, mille grâces, les Belles
Qui m’avez si bien sucé
Que je ne puis plus bander.
Pénétrer ? Point de querelle !
Celle que je prendrais voudrait que sans façon,
J’entrasse avec vigueur en elle.
Hélas ! A ces jeux point n’excelle !
Je vous suis obligé, Belles de vos leçons.
Merci pour vos reviews qui sont toujours très appréciées ! Zoubis à tous et toutes en espérant vous avoir distrait !!!!
Z