Fables à la sauce Poudlart
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French › Harry Potter
Rating:
Adult ++
Chapters:
13
Views:
2,154
Reviews:
12
Recommended:
0
Currently Reading:
0
Category:
French › Harry Potter
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Adult ++
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13
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Disclaimer:
I do not own the Harry Potter book and movie series, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.
La Chatte métamorphosée en femme
Fables à la sauce Poudlard
..
..
Voici une nouvelle fable soufflée par Lil’ly .
Disclaimer : Pr disc. Cf chap. 1….. signée l’Auteuse flémarde…
Rating : M ou NC-17 comme Mémézaza est une malade obsédée… et même ? Moi j’aime ! D’abord, Pamphlet, Paillard et Poudlard commencent par la même lettre, c’est pas pour rien !
Mici de me suivre et de lire mes détournements des fables, vous lectrices et lecteurs anonymes, quoique vous savez que comme toute auteuse qui se respecte, j'ADOOOOORRREEE les reviews ! J'espère que vous avez un peu du plaisir que j'ai eu à les écrire, car il m'arrive de piquer des crises de fou rire seule devant mon ordi, en me demandant où mon cerveau peut trouver ces idées tordues !
..
..
Rendons grâce à l’auteur original en se penchant, sans ronfler, sur sa fable… Avant-avant-avant dernière ….
La Chatte métamorphosée en femme
Un homme chérissait éperdument sa Chatte ;
Il la trouvait mignonne, et belle, et délicate,
Qui miaulait d’un ton fort doux,
il était plus fou que les fous.
Cet homme donc, par prières, par larmes,
Par sortilèges et par charmes,
Fait tant qu’il obtient du destin
Que sa chatte en un beau matin
Devienne femme, et le matin même,
Maître sot en fait sa moitié.
Le voilà fou d’amour extrême,
De fou qu’il était d’amitié.
Jamais la Dame la plus belle
Ne charma tant son Favori
Que fait cette épouse nouvelle
Son hypocondre de mari.
Il l’amadoue, elle le flatte ;
Il n’y trouve plus rien de Chatte,
Et poussant l’erreur jusqu’au bout,
La croit femme en tout et partout,
Lorsque quelques Souris qui rongeaient de la natte
Troublèrent le plaisir des nouveaux mariés.
Aussitôt la femme est sur pieds :
Elle manqua son aventure.
Souris de revenir, femme d’être en posture.
Pour cette fois elle accourut à point :
Car ayant changé de figure,
Les souris ne la craignaient point.
Ce lui fut toujours une amorce,
Tant le naturel a de force.
Il se moque de tout, certaine âge accompli :
Le vase est imbibé, l’étoffe a pris son pli.
En vain de son train ordinaire
On le veut désaccoutumer.
Quelque chose qu’on puisse faire,
On ne saurait le réformer.
Coups de fourche ni d’étrivières
Ne lui font changer de manières ;
Et, fussiez-vous embâtonnés,
Jamais vous n’en serez les maîtres.
Qu’on lui ferme la porte au nez,
Il reviendra par les fenêtres.
..
..
Et voui ! J’aime beaucoup Minerva, mais sous un autre jour que l’officiel… Et comme a déjà dit Sev, c’est dans les vieux chaudrons qu’on fait les meilleurs potions. NA !
Donc, au programme, étude de l’érection de Dumbledore et des techniques SM de Minerva…
..
La Chatte métamorphosée en Minerva
Un Directeur chérissait tendrement sa Chatte ;
Il la trouvait mignonne, sensuelle, et délicate,
Elle le frôlait d’un corps si doux.
Il était plus fou que les fous.
Dumbledore donc, en sorcière, sans armes,
Par sortilèges et par charmes,
Fait tant que le hasard séduit
Et sa Chatte lors d’une belle nuit
Devient femme, et le soir même,
Dumbledore la met dans son lit.
Le voilà fou d’amour extrême,
Et sa condition il oublie.
Jamais Minerva, tel s’appelle,
Ne montra tant de chatteries
A son amant qu’elle ensorcèle
Et mène par maintes gâteries.
Il flatte sa croupe, et elle tâte
Son vit et menottes ses pattes,
Et poussant l’erreur jusqu’au bout
Elle manie le fouet de partout.
Lorsque le vieux grisou qui devint écarlate
Montra le plaisir au bas-ventre l’irradier
Bientôt, Minerva crut gagner ;
Elle manqua son aventure :
Pénis de rétrécir, perdant toute droiture.
Par malheur tout son art n’y suffit point,
Car ayant changé de posture
Le triste Sire ne banda point
Davantage, rien ne le renforce.
L’âge lui retire sa force.
L’envie ne fait pas tout, et nulle panoplie,
Les années amassées, ne sert après complies. *
En vain de son train ordinaire
On le veut désaccoutumer.
Fellations qu’on puisse faire,
On ne saurait le reformer.
Coups de fouet ne les guêpières
Ne font plus d’effets que prières ;
Fussiez-vous métamorphosée
Jamais vous n’en aurez l’ivraie. *
Que vous tentiez actes osés
Vous en resterez pour vos frais.
..
..
.. * Il faut sortir vot’ p’tit Bob de l’étagère ou du placard.
Un peu cruel pour Dumby... Ils ne devaient pas connaître le viagra les pôv ! Mais la plupart des fables sont cruelles et celle-ci ne faisait pas exception.
Plus que trois !...
A bientôt !
Zoubis
Z
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Voici une nouvelle fable soufflée par Lil’ly .
Disclaimer : Pr disc. Cf chap. 1….. signée l’Auteuse flémarde…
Rating : M ou NC-17 comme Mémézaza est une malade obsédée… et même ? Moi j’aime ! D’abord, Pamphlet, Paillard et Poudlard commencent par la même lettre, c’est pas pour rien !
Mici de me suivre et de lire mes détournements des fables, vous lectrices et lecteurs anonymes, quoique vous savez que comme toute auteuse qui se respecte, j'ADOOOOORRREEE les reviews ! J'espère que vous avez un peu du plaisir que j'ai eu à les écrire, car il m'arrive de piquer des crises de fou rire seule devant mon ordi, en me demandant où mon cerveau peut trouver ces idées tordues !
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Rendons grâce à l’auteur original en se penchant, sans ronfler, sur sa fable… Avant-avant-avant dernière ….
La Chatte métamorphosée en femme
Un homme chérissait éperdument sa Chatte ;
Il la trouvait mignonne, et belle, et délicate,
Qui miaulait d’un ton fort doux,
il était plus fou que les fous.
Cet homme donc, par prières, par larmes,
Par sortilèges et par charmes,
Fait tant qu’il obtient du destin
Que sa chatte en un beau matin
Devienne femme, et le matin même,
Maître sot en fait sa moitié.
Le voilà fou d’amour extrême,
De fou qu’il était d’amitié.
Jamais la Dame la plus belle
Ne charma tant son Favori
Que fait cette épouse nouvelle
Son hypocondre de mari.
Il l’amadoue, elle le flatte ;
Il n’y trouve plus rien de Chatte,
Et poussant l’erreur jusqu’au bout,
La croit femme en tout et partout,
Lorsque quelques Souris qui rongeaient de la natte
Troublèrent le plaisir des nouveaux mariés.
Aussitôt la femme est sur pieds :
Elle manqua son aventure.
Souris de revenir, femme d’être en posture.
Pour cette fois elle accourut à point :
Car ayant changé de figure,
Les souris ne la craignaient point.
Ce lui fut toujours une amorce,
Tant le naturel a de force.
Il se moque de tout, certaine âge accompli :
Le vase est imbibé, l’étoffe a pris son pli.
En vain de son train ordinaire
On le veut désaccoutumer.
Quelque chose qu’on puisse faire,
On ne saurait le réformer.
Coups de fourche ni d’étrivières
Ne lui font changer de manières ;
Et, fussiez-vous embâtonnés,
Jamais vous n’en serez les maîtres.
Qu’on lui ferme la porte au nez,
Il reviendra par les fenêtres.
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Et voui ! J’aime beaucoup Minerva, mais sous un autre jour que l’officiel… Et comme a déjà dit Sev, c’est dans les vieux chaudrons qu’on fait les meilleurs potions. NA !
Donc, au programme, étude de l’érection de Dumbledore et des techniques SM de Minerva…
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La Chatte métamorphosée en Minerva
Un Directeur chérissait tendrement sa Chatte ;
Il la trouvait mignonne, sensuelle, et délicate,
Elle le frôlait d’un corps si doux.
Il était plus fou que les fous.
Dumbledore donc, en sorcière, sans armes,
Par sortilèges et par charmes,
Fait tant que le hasard séduit
Et sa Chatte lors d’une belle nuit
Devient femme, et le soir même,
Dumbledore la met dans son lit.
Le voilà fou d’amour extrême,
Et sa condition il oublie.
Jamais Minerva, tel s’appelle,
Ne montra tant de chatteries
A son amant qu’elle ensorcèle
Et mène par maintes gâteries.
Il flatte sa croupe, et elle tâte
Son vit et menottes ses pattes,
Et poussant l’erreur jusqu’au bout
Elle manie le fouet de partout.
Lorsque le vieux grisou qui devint écarlate
Montra le plaisir au bas-ventre l’irradier
Bientôt, Minerva crut gagner ;
Elle manqua son aventure :
Pénis de rétrécir, perdant toute droiture.
Par malheur tout son art n’y suffit point,
Car ayant changé de posture
Le triste Sire ne banda point
Davantage, rien ne le renforce.
L’âge lui retire sa force.
L’envie ne fait pas tout, et nulle panoplie,
Les années amassées, ne sert après complies. *
En vain de son train ordinaire
On le veut désaccoutumer.
Fellations qu’on puisse faire,
On ne saurait le reformer.
Coups de fouet ne les guêpières
Ne font plus d’effets que prières ;
Fussiez-vous métamorphosée
Jamais vous n’en aurez l’ivraie. *
Que vous tentiez actes osés
Vous en resterez pour vos frais.
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..
.. * Il faut sortir vot’ p’tit Bob de l’étagère ou du placard.
Un peu cruel pour Dumby... Ils ne devaient pas connaître le viagra les pôv ! Mais la plupart des fables sont cruelles et celle-ci ne faisait pas exception.
Plus que trois !...
A bientôt !
Zoubis
Z
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