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L'odyssée de Butters Stotch

By: Mika
folder French › Cartoons
Rating: Adult ++
Chapters: 9
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Disclaimer: I do not own the cartoons(s) that this fanfiction is written for, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.
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Avec Kenny

-Hmmm…
-mm… Butters…
-Quoi ?
-Excuse-moi c’est juste que ça me fait un peu flipper…
-On est derrière le bâtiment, personne ou presque vient pendant la journée.
-En tout cas tu embrasses très bien…
Kenny amoureux, c’est quelque chose. Il est d’une tendresse incroyable. Pourtant ça ne fait que depuis hier qu’on sort ensemble. On mange ensemble le midi, et je m’efforce de le protéger des cons. Les autres se sont engagés à le respecter, à le saluer chaque matin et si possible à renouer avec moi.
Pour leur imposer ça, j’avais du prendre sur moi (J’ai beau m’être endurci, je suis toujours un peu plus « suiveur » que « dirigeur ») et surtout utiliser les secrets des gens : Envers Clyde, je menaçais presque de tout dire à Bébé, ce qui le gêna. Visiblement d’ailleurs c’était tendu entre lui et Craig. Kyle avait adhéré à mon idée, et Stan aussi.
Kenny était donc réintégré dans le cercle.

-Nostalgique ?
-Ouais.
Clyde exposait sa théorie aux autres, à table.
-En fait il voudrait nous voir tous réunis comme avant quoi.
Stan acquiesça
-En quoi ça lui manque ?! On était tellement cons étant gosses ! S’étonna Kyle
-Mais on était ensemble. On était unis, ajouta Craig
-Et ça lui manque ? Se demanda Stan.
-Ouais. Parce qu’on était forts. On pouvait faire n’importe quoi… Sourit Kyle en regardant dans le vide

Je continuais d’embrasser Kenny. Il était si doux et si heureux à mes côtés que j’aurais pu sécher la journée entière. Mais il fallait y aller.
-On va devoir retourner en cours, Ken.
Il m’embrassa une dernière fois.
-Ces deux derniers jours étaient superbes, Léopold.
-Ca me fait bizarre que tu m’appelles par mon prénom !
-Héhé… Merci en tout cas.
-T’essaieras quand même de t’excuser pour ce que tu as dit. Peut-être qu’ils s’excuseront à leur tour.
Il sourit, et nous allons en cours.

Vint le mercredi, ou je devais aller à cette putain de séance à la con avec Mr Mackey la tête à claques la plus reconnaissable à des kilomètres.
Pas envie de parler… Parler de quoi ?!
-Stotch !
J’entrais dans la salle, pas très motivé. Mr Mackey me regarda, se leva et me serra la main.
-J’avais deviné que c’était toi, Butters, voyez.
-C’est cool, Mr Mackey. Vous allez bien ?
-Oui bien sur et toi ?
-Ca peut aller.
-Bien, nous allons essayer de rendre cette séance prolifique.

Après une heure, il fait un bilan.
-Euuuh… Butters il y a comme un problème.
-Quoi ?
-Tu n’as parlé que des autres. Pas de toi ou très peu.
-J’aime pas parler de moi.
-Mais c’est sur toi que la séance est axée, pas sur les soucis de couple de Stan et Kyle, voyez, ou les problèmes de Kenny, ou encore sur Bébé, tu vois ?
-Ce sont des choses importantes pour moi !
-Mais Butters tu as une vie ! Un avenir ! Il faut penser à ce que tu es pour avancer.
-Mouais…
-Les gens qui comme toi résolvent les problèmes des autres, ne font en fait que cacher leurs propres ennuis les plus profonds et les plus intimes. Ils créent les sujets de conversation pour les maîtriser. Ca fait combien de temps que tu es à l’université ?
-Un mois.
-Et tu n’as fait que résoudre les ennuis des autres. Pense un peu à toi.
Je hochais la tête.
-Avant d’entrer ici, je pensais que j’allais me faire chier grave… Mais merci.
Je sortais du cabinet. Et je croisais alors une tête inattendue : Shelley Marsh. Elle me poussa.
-Dégage !
-Ourf ! Salut… Moi aussi ça va !
Elle me regarda. Très sexy. Ses années d’appareil ont payé, elle a une bouche magnifique.
-Ah t’es… Bu… Beu…
-Butters. Le petit Stotch.
-Ah ouais, la tarlouze.
Et elle entre dans le cabinet. L’a pas changé.

Le désavantage d’habiter chez Stan et Kyle maintenant, c’est que les deux se livraient à un batifolage qui me faisait carrément tenir la chandelle.
De quoi je me plaignais avec les disputes ?!

Le lendemain jeudi, après mon sport, je suis avec les autres au réfectoire. J’aperçois Kenny qui nous évite ostensiblement. Il se dirige vers quelqu’un. Ils s’échangent des trucs. Je vois Kenny plus discret que d’habitude. Je me dirige vers lui non sans leste.
-Kenny !
Il me regarde surpris.
-Butters… Salut.
Je tire la main de sa poche. Un pétard. Je regardais le mec vers qui il était allé…
Mike !
-Ok…
Je prends le pétard. Kenny semble honteux. Je l’emmène dehors, derrière le bâtiment, et je l’embrasse, le plaquant au mur.
-Hmmph…
Le laissant respirer, je lui chuchote alors :
-Drogue-toi plutôt à ça. Viens en demander quand tu veux, j’en ai à revendre
Il hocha la tête. Je passais le reste de la pause avec lui.
-C’est une habitude ?
Il hoche la tête.
-Kenny, je suis là, maintenant. Pourquoi t’es pas venu m’en parler ?
-Je te comprends pas Butters. Pourquoi tu… T’intéresses tant à moi ?
-Parce qu’on est amis. Entre amis on se soutient.
-Est-ce que… Tu m’aimes ?
Je le regardais.
Il semblait si seul…
Je lui attrapais la main.
-Oui, Kenny. Je t’aime. Si tu as besoin de moi, je suis là.
Il hocha la tête et serra ma main.

-Ca a l’air puissant entre toi et Kenny…
Je regardais Stan. C’était le soir même à l’appart
-Il est tellement attachant… Je n’arrive pas à croire que ses parents l’aient foutu dehors.
-C’est triste, mais là, tu ne peux rien faire, Sauveur.
-Sauveur… C’est quoi ça ?!
-C’est ton surnom dans la bande maintenant. Sauveur Butters.
-Tchhhhéhéhé… Et d’où ça me vient ça ?
-Du fait que tu sois un ange gardien pour nous tous. Saint Butters, quoi.
-Ca suffit, Stan… Si j’étais un ange ça se saurait !
Stan me sourit.
-Tu sais, si ça te dit, avec Kyle, on avait pensé à… T’introduire pour un soir dans une… Partie fine !
Je tombais des nues
-Pardon ?!
-Ouais, on a l’impression que tu te sens un peu… A l’écart.
-Stan, c’est non… Vous vous retrouvez à peine…
-Ok, je te disais simplement que si un soir tu veux… N’hésite pas.
-Vous êtes dingues… J’oserais pas, vous êtes comme mes frères tous les deux !
-Je me doute.
Il s’approche de moi et me fait une bise.
-T’es un petit frère adorable.
Il monta pour rejoindre son Kyle. Je me demandais comment ça serait une partie à trois avec ces deux là…
SMS. Je regarde mon portable. Sortir, vite.
Je monte pour les avertir mais ils sont en plein… Disons que ça crie
Bon, je pose un mot et je sors.

« Les gars,
Désolé, affaire urgente avec Kenny
Je reviens »

Une fois dans les rues de Denver, je rejoins Fall Harbour Street, sa rue. Puis j’aperçois son immeuble. Chambre 13.
TOC TOC TOC
-Kenny ?!
TOC TOC TOC
Il m’ouvre.
-B… Butters…
-Kenny ! Tu vas bien ?
-J’suis désolé…
J’observe la lame de rasoir dans sa main.
-Kenny… Donne-moi ça.
-Butters…
Il s’effondre en larmes. J’éloigne la lame.
-Kenny…
-Je voulais pas, mais…
-Je sais, je sais. Chuuuut.
Pas question de repartir pour aujourd’hui.
-Kenny, je reste dormir chez toi.
-T… Tu es sur ?!
-Oui, tu vas pas bien, ça se voit.
-Je veux pas que tu croies que je fais exprès pour t’avoir à mes côtés…
-Je sais que ce n’est pas ça, Kenny… On a tous des problèmes, des choses qui nous font mal, qui nous alourdissent. Je veux que tu te ressaisisses, Kenny !
-Oui…
Je l’embrasse. Puis je nous installe sur le lit.
-Allez, Kenny. Maintenant on dort.
-Hm…
Il se serre contre moi. Il est en pyjama. J’enlève ma veste, ma chemise et mon pantalon pour me retrouver en caleçon-débardeur.
-Tu vois ? Bien tranquilles.
Il sourit et se presse contre moi. Qu’il est maigre…
Je le serre contre mes « muscles », à côté de lui j’ai l’air d’un ouvrier slave.

Le lendemain, son réveil sonne.
-Kenny…
Il se réveille. Je souris tout en lui caressant les cheveux.
-C’est l’heure.
On se lève. Je remets les habits de la veille. Lui ne bouge pas, une fois assis sur le bord de son lit.
-Je suis désolé, Butters.
-Hé, c’est rien.
-J’ai honte de t’avoir fait te déplacer et de t’avoir pris ta nuit.
-Honte ?
-J’ai honte de pas pouvoir régler mes propres problèmes.
-Moi non plus j’arrive pas à régler mes problèmes. En ce moment je vois un psy par exemple.
-Vraiment ?!
-Ouais. J’ai des… Terreurs nocturnes.
-…
-Nan c’est pas genre je mouille mon lit, c’est genre… Je fais des crises de somnambulisme.
-Ah.
Il me regarde différemment. Plus comme un homme, plus comme un ami véritable.
Je voudrais voir dans ses yeux une lueur briller. Il me regarde, droit dans les yeux et je lui souris.

-Yo, Butters.
-Salut Eric.
-Pas mal aujourd’hui. Tu t’es bien démené.
-J’avais besoin de sortir mes tripes aujourd’hui je crois.
Je sors du vestiaire. Il me suit.
-Butters… Est-ce que Kenny va bien ?
-Mieux, en tout cas. Je fais ce que je peux.
-J’ai demandé aux gars de faire leur possible pour que les types qui l’emmerdaient soient châtiés. Par des moyens détournés bien sur.
-Eric Théodore Cartman est de retour…
-Héhéhé… Butters, dis-moi, tu seras là pour le tournoi interuniversitaire ?
Oula… Ca c’est pas trop prévu au programme…
-Baaaaaah je sais pas trop…
-Tu m’es un soutien indispensable sur les côtés. On aura besoin de toi. Et je pense que tes parents seraient contents de venir te voir.
-Sûrement, ouais. Surement. J’y réfléchirais.
-Tu sais ce que dit souvent Mitchell, le pilier ? « Le rêve américain, tu en prends ce qui t’y intéresse, et le reste, tu as le droit de le laisser de côté. »
Je hochais la tête. Ouais, ça pourrait être sympa

Ce midi, je ne restais pas avec Kenny qui s’était assis avec des gens de son groupe d’étude pour un travail. J’en profitais pour faire le point sur la semaine.
Craig s’assit devant moi. Il paraissait gêné.
-Craig ?
-Butters, je veux… Je veux m’excuser.
-C’est pas la peine, Craig…
-Pour ce que je t’ai dit, sur Lloyd.
-C’est oublié.
-Tu sais, en fait je crois que j’étais jaloux de toi et de lui… Tout ce temps là.
-J’aurais du être clair avec moi-même depuis le début.
-J’ai rompu avec Clyde, définitivement. Pour Bébé. Il m’a promis qu’elle n’en saurait rien.
-Cool.
Nous nous serrons la main en signe de paix retrouvée.

Pas cours cet après midi. J’en profite pour annoncer à Stan et Kyle ma décision.
-Tu déménages chez Kenny ?!
-Oui, c’est mieux. Vous êtes bien tous les deux, et Kenny a besoin de moi.
Stan semblait déçu. C’est moi ou il la voulait vraiment sa partie à trois ?!
-Si c’est ce que tu veux…
-C’est pas seulement ce que je veux, c’est ce dont Kenny a besoin.
Kyle et Stan se regardent et se mettent face à Butters
-Euh… T’es sur que ça ira chez Kenny ? Il est dans un quartier plutôt craignos…
-Bah alors Kenny n’a qu’à venir ici !
J’étais sur qu’ils n’y répondraient rien.

Kenny m’aida à m’installer. A chaque fois qu’il mettait mes affaires dans un coin de son armoire, j’avais l’impression qu’il faisait une sorte de pas vers la lumière : Son visage se faisait de plus en plus souriant.
A quinze heures, nous avions fini. Il me proposa une bière que j’acceptais (Eh, j’ai seize ans, pas dix !)
-Tu restes dormir ce soir ?!
Je lui lançais un regard triste.
-On est vendredi, ce soir je rentre chez moi pour le week-end.
-Oh…
-Kenny, ne t’en fais pas, je reviens Lundi.
-Hm… Ouais.
Buvant ma bière, je le regardais. Il m’observait très fermement. C’est vrai que j’avais un peu forcé ma chance en mettant un débardeur noir. Lui portait une chemise rouge comme le feu, aux boutons un peu lâches ce qui laissait entrevoir la chair blanche.
Peu à peu nos regards devinrent plus évidents.
-Mais je sais que tu ne feras pas de conneries ce week-end.
-Pourquoi ça ?
Je me levais, me penchais vers lui et l’embrassais. L’alcool me montant peut-être à la tête, je l’emmenais au lit.
-B… Butters, t’es sur ?!
-Ouais… Comme ça tu sauras que quelque chose de bien t’attends lundi !
Il sourit. Nous nous posons sur le lit. Tendrement nous nous caressons et nous déshabillons. Kenny est une adorable petite chose qui aime mon contact. Sa maigreur n’est pas laide, au contraire elle lui donne un air gracieux, et moi à côté j’avais l’air d’un camionneur. Il enleva mon débardeur et me caressa avec envie.
-Tu es… Magnifique…
-Tu es très bien aussi, Kenny.
-Tu es tout musclé… J’ai l’impression que tu es un fantasme…
Je lui caressais l’entrejambe, ce à quoi il réagit par un souffle altéré.
-Non, je suis bien réel.
On s’embrasse de nouveau, je presse mon corps contre lui, ce qui le fait rougir. Au bout d’un certain moment, je l’interroge.
-Au fait Kenny… T’es… Actif ou passif ?!
Kenny me regarda, étonné.
-Je suis bisexuel, Butters ! Je peux faire les deux, sans problème.
-Ah ok…
-Je suis trop fana de gros nichons pour les abandonner…
-Désolé de faire un bonnet A…
Il ricana et m’embrassa. Je lui enlevais son pantalon, le mettant en slip. Lui décida carrément d’ouvrir ma braguette et de sortir mon engin en pleine érection pour s’en charger avec sa bouche. Kenny suçait comme un dieu, je le lui faisais savoir.
-Oh Kenny, c’est bon ! Hmm… Oui…
Il avait une douceur intenable. Ses doigts de fée caressaient l’intérieur de mes cuisses puis mon anus qu’il semblait lisser avant de pénétrer. Il humecta ses doigts pour me préparer à son intrusion prochaine. Il laissa mon sexe, et il avait bien raison sinon j’allais exploser avant l’apothéose.
J’enlevais son pantalon pour le gratifier des mêmes éloges. Il apprécia tant mes caresses buccales qu’il me cria de continuer. Mais j’avais trop envie d’autre chose.
-Allez, Kenny…
Il sourit et enfila un préservatif. Il entreprit ensuite de me pénétrer. Je le sentit trembler.
-Ca va, Kenny ?!
-Oui, excuse-moi, c’est juste que… J’ai peur de te…
-Ne t’en fais pas. J’ai l’habitude. Vas-y.
Il entre en moi. Il reste serré contre mon dos confortable.
-B… Butters !
-C’est bon, Kenny, tu peux bouger.
Il s’agite en moi. Peu à peu je le sens prendre en assurance. Il se déchaine et crie, tout comme moi, tant sa vélocité est génératrice de plaisir.
-Hmm Kenny !! C’est… C’est très bon ça…
-Butters !! Oh ouii…
Il sort son sexe de mon rectum, retire le préservatif et m’éjacule sur les fesses. Je le regarde faire, amusé.
-C’est une habitude ?!
-Va pour me protéger mais… J’aime bien sentir et voir que ça s’écoule.
-En attendant je suis bon pour me doucher…
Ce petit coquin de Kenny commença alors à lécher son propre sperme sur ma croupe, ce qui me fit rire silencieusement. Je trouvais ça mignon.
Nus l’un contre l’autre, nous nous embrassons, et là il me fait une demande :
-Butters… Fais-moi l’amour !
-Quoi ?!
-Allez Butters ! S’il te plait !
Il me demandait ça comme un enfant. Je crois que mon côté sportif le faisait grave fantasmer.
-Bah… J’ai pas trop l’habitude…
-Je… Enfin, ton sexe est plutôt gros, et… J’aimerais bien que tu…
Ouah, ça c’était un commentaire qui me flattait. Ni une ni deux, je me relève et enfile un de ses préservatifs.
-Bon, all… Euh….
Il me tend sa jambe. Je le regarde, surpris.
-Tu peux me prendre comme ça ? En me levant une seule jambe et en me prenant sur le côté ?
Mais Kenny, t’es mon partenaire idéal, dis-moi ! On adore le sexe de la même façon, c’est trop jouissif ! Je le pénètre, et il se mordille la lèvre.
-Bon, Kenny, c’est ma première fois alors…
-Quoi ?!!
-C’est la première fois que quelqu’un me demande de le…
-Oooh… Et ça fait quel effet ?
-C’est… Plutôt cool… C’est chaud et ça me serre un peu… C’est… Bon, doux et… Visqueux.
-T’es crade !
-Héhé…
Je commence à bouger. Lui me regarde et semble me trouver magnifique. Je n’ai pas trop l’habitude mais visiblement je m’y prends bien. Kenny émet bientôt un cri lancinant, semblant apprécier ce que je lui fais. Moi aussi je suis un peu secoué, mon sexe qui s’agite tout seul en lui c’est comme une fellation mais en plus intense. Il se masturbe en me regardant. Je lui souris et y vais plus fort. Il crie puis jouit d’un orgasme intense. Moi aussi je viens dans le préservatif, ce qui me perturbe assez voire me frustre. Dans mon état de fureur, j’aurais voulu le remplir de mon essence.
Je m’écroule sur lui, heureux de l’avoir rendu heureux. « Comme les dieux qu’on adore adorer, j’adorais l’adorer. »
-Butters… T’es le meilleur.
J’étais content qu’il ne me dise pas qu’il m’aimait. On se comprenait si bien lui et moi…

Après une douche chez lui, je repartais en car à South Park.
Sur le chemin je m’endormis.
Dans mon sommeil, je repensais à ce qui m’était arrivé au Canada, avec Lloyd…
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