La femme de son ennemi
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French › Comics
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Adult +
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14
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Disclaimer:
Spiderman et son univers ne sont pas à moi. Ils appartiennent à Marvel Comics. Je ne gagne pas d'argent par mes écrits.
Approches
Ils entraient dans une petite pièce meublée de bric et de broc, qui rappela à Mary Jane l'ancien appartement de Peter. Le revêtement mural, d'une couleur indistincte, pelait par endroits et les peintures des boiseries s'écaillaient.
Les meubles étaient dépareillés, usés et sales. Le sol était nu, révélant un plancher de bois irrégulier et parsemé de taches. Seule la kitchenette blanche avait un aspect presque neuf, mais les cartons de pizza et de nourriture chinoise qui traînaient ça et là la déparaient totalement.
Deux hommes se trouvaient dans la pièce. L'un avait le crâne rasé et une carrure d'haltérophile. Il était avachi sur le canapé devant la télévision, une canette de bière à la main.
L'autre était assis à la table de formica de la cuisine et bricolait un composant électronique. De temps en temps, il écartait d'un geste machinal les cheveux bruns filasse qui retombaient sur ses yeux noirs. Aucun ne se tourna vers les nouveaux arrivants.
Un sentiment de profond malaise envahit la jeune femme. Ces hommes ne lui étaient pas inconnus, elle en était sûre. Alors qu'elle se pensait drainée de toute émotion, une crainte nouvelle naquit en elle. Venom allait-il la livrer à eux ?
Mais le monstre resserra une poigne possessive autour d'elle.
- déjà rentrés? Fit-il. Nous aurions cru que vous alliez faire le plein.
- Tu parles » bougonna le bricoleur, les sourcils froncés, toujours penché sur son travail. « Les civils ont tout raflé, et bousillé ce qu'ils n'ont pas pris. Foutus amateurs. Tout Manhattan a participé aux pillages. Mes gants ont été abîmés dans la cohue. »
L'allusion aux gants provoqua un déclic en Mary Jane. Elle reconnut Herman Schultz, le Schocker.
Le second individu intervint, sarcastique:
- Et toi, que fais-tu déjà là ? Tu nous apportes la tête de Spiderman? Non? Je te l'avais dit ! Je savais qu'il partirait avec les autres...
hé, tu as amené de la compagnie ? »
Schultz leva les yeux.
- Qui c'est celle là ?
- Hé je la connais ! C'est Mary Jane Watson, l'actrice!
- Ça une actrice ? » Se moqua le Schocker, parcourant d'un regard dédaigneux la tenue avachie et le visage blême de la jeune femme. Tu joues dans les films d'horreur, poulette ? »
S'emparant d'un minuscule tournevis, il continua dans sa barbe: « pas comme s'il pouvait se dégotter une nana potable, remarque... »
- Beck va s'en mordre les doigts lorsqu'il rentrera... tout ce qui touche au cinéma, il adore ».
Continua le premier. Il se leva et tendit la main à une Mary Jane de plus en plus hébétée.
- Mac Gargan, pour vous servir, mademoiselle Watson... »
Mary Jane reconnut le nom civil du Scorpion. Elle savait aussi distinguer un fan lorsqu'elle en voyait un. Seul un fan aurait pu identifier une actrice de série B sans maquillage et dans son état.
Elle se souvint de ce que lui avait raconté Peter. Instable, mais pas un tueur... elle tenta d'afficher un sourire cordial, mais déjà Venom l'emportait dans une pièce attenante et claquait la porte derrière eux.
Le lit était quasiment le seul meuble de la chambre, avec un chevet orné de quelques livres et d'une lampe de bureau.
Il la lâcha sur un matelas qui avait connu des jours meilleurs.
- Dors.» Ordonna-t-il. Et il quitta la pièce.
Ils retournèrent dans le séjour et toisèrent Gargan.
- Elle est à nous...
- Pas de problème, vieux, pas de problème... » se hâta de répondre le Scorpion. Puis, saisi d'un scrupule :
- Mais hé, tu ne vas pas l'abîmer? J'aime bien ses films. »
Schultz, qui avait d'avantage les pieds sur terre, grogna, sans lever la tête :
- Qu'est-ce que tu lui as déjà fait pour la mettre dans un état pareil ? »
Venom sourit de toutes ses dents. Le Schocker tressaillit.
- Nous lui avons fait peur.
- Tu m'étonnes... » marmonna Schultz en continuant la révision de ses gants. Tête baissée, il tenta de se persuader que cette affaire ne le regardait pas, et que de toutes façons, la fille n'en valait pas la peine.
Ayant assuré leur autorité sur leurs co-locataires, Venom retournèrent chez eux. Comme ils s'y attendaient, La femme de Parker ne leur avait pas obéi. Elle avait ouvert la fenêtre à guillotine, et s'était penchée, sans-doute à la recherche d'une possibilité d'évasion. Comme elle avait dû le constater à présent, ils étaient au sixième étage, et le mur était lisse. Aucune échappatoire par là, à moins de sauter dans le vide.
Ils s'avancèrent silencieusement, afin de pouvoir la rattraper au cas où elle préfèrerait le suicide à l'idée de passer le reste de la nuit en leur compagnie. Mais elle se redressa et referma la fenêtre.
Elle sursauta violemment en les voyant.
Ils désignèrent le lit. Elle secoua la tête, et recula lorsqu'ils avancèrent. Ses mollets heurtèrent le bord du grabat, et elle se retrouva assise devant eux.
Ils virent de l'épouvante se peindre sur son visage et s'impatientèrent.
- Tu es épuisée et tu vas t'allonger avec nous. Si tu ne te détends pas, nous connaissons une méthode très efficace pour t'endormir. Est-ce que c'est clair ?"
Ils ne lui promirent pas de ne pas la toucher. Ils n'étaient pas très sûrs de pouvoir s'en empêcher.
Elle acquiesça, incapable de parler avec le nœud qui s'était formé dans sa gorge. Elle s'allongea en lui tournant le dos, recroquevillée sur elle même. Le lit portait son odeur épicée.
Au bout de quelques instants, le matelas bougea, un bras passa autour de sa taille et elle se sentit serrée contre le corps de Venom.
Elle se rendit compte qu'il était en pleine érection lorsque son sexe dur se pressa contre ses fesses. Son cœur fit un bond et se mit à battre la chamade. Elle n'osa plus faire le moindre mouvement. Elle tenta de contrôler sa respiration, qui s'était accélérée de façon alarmante. Elle suffoquait.
Non... inspire, expire... inspire, expire... doucement... ne pas supplier, tu ne ferais que le provoquer.
Il se rapprocha encore, et son pénis alla se nicher entre ses cuisses. Elle trembla en sentant sa virilité si proche de son propre sexe.
Elle essaya de l'ignorer et de se concentrer sur d'autres sensations. Mais toutes étaient liées à l'être serré contre elle: son souffle dans ses cheveux, sa chaleur dans son dos et contre ses jambes. Le temps s'étira, interminable... avant qu'elle ne réalise qu'il ne faisait rien de plus, se contentant de la maintenir fermement contre lui. Au bout d'un moment, elle partit à la dérive.
Mac Gargan décolla son oreille du panneau de la porte, rassuré. Pas de bruit de lutte, pas de supplications... tout allait bien. Il aurait détesté avoir à combattre Venom. Surtout qu'il était sûr de perdre.
Ils regardèrent la jeune femme s'endormir et s'émerveillèrent de la sensation de ce corps féminin abandonné dans leurs bras. Cela n'était plus arrivé à Eddie depuis qu'Ann l'avait quitté.
Ils n'avaient pu s'empêcher de presser leur membre durci contre elle, résistant difficilement à la tentation de la prendre. Mais ils ne voulaient pas de ses cris et de ses pleurs... pas ce soir, alors qu'elle était dans un tel état de faiblesse, vaincue par son épuisement nerveux. Ils avaient soigné son état de choc pendant leur périple, mais elle avait besoin de ce repos pour se remettre.
Ils s'étonnaient encore de sa réaction. Elle avait totalement sombré lorsque les crapules avaient reçu leur juste rétribution.
C'était pourtant elle qui leur avait demandé de l'aide...
peut-être était-ce là la solution de l'énigme. Elle s'était sentie responsable de la mort de cette vermine. Une telle aberration les sidéra.
Ils ne trouvaient pas le repos. Leur excitation ne diminuait pas, quel que soit le cours que prennent leurs pensées.
Lorsqu'ils furent certains qu'elle s'était profondément endormie, ils se mirent à bouger lentement du bassin, faisant glisser leur sexe entre les cuisses de la jeune femme.
Le symbiote se dissocia de l'humain et se répandit en partie sur la jeune femme. Il enveloppa le pénis de Brock, le lubrifiant afin de lui permettre un meilleur va-et-vient entre les pans de tissu du jogging.
Eddie s'accrocha au matelas d'une main, évitant d'agripper sa compagne, et serra les dents. Il parvint à maintenir un rythme lent et doux, afin de ne pas la réveiller.
La jeune femme soupira dans son sommeil et se cambra instinctivement contre lui, lui offrant un meilleur accès entre ses jambes...
il ne put résister: il glissa sa main libre sous ses vêtements, il frôla la pointe de ses seins, caressa la douceur soyeuse de son ventre, et glissa doucement sa paume vers le bas.
Ses doigts passèrent sur son mont de vénus velouté pour aller explorer entre les lèvres moites de son sexe. Elle était mouillée.
Il glissa doucement son majeur dans sa chaleur humide, et sentit ses muscles vaginaux agripper ses phalanges. La sensation était si excitante qu'il accéléra son rythme, tout en sondant prudemment l'intimité de la jeune femme avec son doigt. Il le fit aller et venir en elle, explorant ses parois internes, et trouva bientôt une zone un peu plus rugueuse, son point le plus sensible. Elle frissonna et marmonna quelque-chose.
N'y tenant plus, il appuya son pouce contre son clitoris, lui arrachant un gémissement. Cette fois, il comprit ce qu'elle disait : « Peter... »
Il sentit son orgasme déferler sur lui comme un raz-de-marée, et retira en hâte son doigt pour serrer les poings, évitant de la toucher afin de ne pas la broyer.
Il explosa contre elle: le symbiote aspira goulument son sperme tandis qu'il nichait son visage dans le cou de la jeune femme, s'enivrant de son odeur.
L'Autre le reprit, et ils sentirent la tension qu'ils avaient accumulés toute la soirée s'apaiser un peu. Pour le moment.
Elle dormait toujours.
Ils la gardèrent dans leurs bras jusqu'au petit matin, et virent qu'elle était réveillée lorsqu'elle se raidit contre eux et que sa peau se couvrit de chair de poule.
Les meubles étaient dépareillés, usés et sales. Le sol était nu, révélant un plancher de bois irrégulier et parsemé de taches. Seule la kitchenette blanche avait un aspect presque neuf, mais les cartons de pizza et de nourriture chinoise qui traînaient ça et là la déparaient totalement.
Deux hommes se trouvaient dans la pièce. L'un avait le crâne rasé et une carrure d'haltérophile. Il était avachi sur le canapé devant la télévision, une canette de bière à la main.
L'autre était assis à la table de formica de la cuisine et bricolait un composant électronique. De temps en temps, il écartait d'un geste machinal les cheveux bruns filasse qui retombaient sur ses yeux noirs. Aucun ne se tourna vers les nouveaux arrivants.
Un sentiment de profond malaise envahit la jeune femme. Ces hommes ne lui étaient pas inconnus, elle en était sûre. Alors qu'elle se pensait drainée de toute émotion, une crainte nouvelle naquit en elle. Venom allait-il la livrer à eux ?
Mais le monstre resserra une poigne possessive autour d'elle.
- déjà rentrés? Fit-il. Nous aurions cru que vous alliez faire le plein.
- Tu parles » bougonna le bricoleur, les sourcils froncés, toujours penché sur son travail. « Les civils ont tout raflé, et bousillé ce qu'ils n'ont pas pris. Foutus amateurs. Tout Manhattan a participé aux pillages. Mes gants ont été abîmés dans la cohue. »
L'allusion aux gants provoqua un déclic en Mary Jane. Elle reconnut Herman Schultz, le Schocker.
Le second individu intervint, sarcastique:
- Et toi, que fais-tu déjà là ? Tu nous apportes la tête de Spiderman? Non? Je te l'avais dit ! Je savais qu'il partirait avec les autres...
hé, tu as amené de la compagnie ? »
Schultz leva les yeux.
- Qui c'est celle là ?
- Hé je la connais ! C'est Mary Jane Watson, l'actrice!
- Ça une actrice ? » Se moqua le Schocker, parcourant d'un regard dédaigneux la tenue avachie et le visage blême de la jeune femme. Tu joues dans les films d'horreur, poulette ? »
S'emparant d'un minuscule tournevis, il continua dans sa barbe: « pas comme s'il pouvait se dégotter une nana potable, remarque... »
- Beck va s'en mordre les doigts lorsqu'il rentrera... tout ce qui touche au cinéma, il adore ».
Continua le premier. Il se leva et tendit la main à une Mary Jane de plus en plus hébétée.
- Mac Gargan, pour vous servir, mademoiselle Watson... »
Mary Jane reconnut le nom civil du Scorpion. Elle savait aussi distinguer un fan lorsqu'elle en voyait un. Seul un fan aurait pu identifier une actrice de série B sans maquillage et dans son état.
Elle se souvint de ce que lui avait raconté Peter. Instable, mais pas un tueur... elle tenta d'afficher un sourire cordial, mais déjà Venom l'emportait dans une pièce attenante et claquait la porte derrière eux.
Le lit était quasiment le seul meuble de la chambre, avec un chevet orné de quelques livres et d'une lampe de bureau.
Il la lâcha sur un matelas qui avait connu des jours meilleurs.
- Dors.» Ordonna-t-il. Et il quitta la pièce.
Ils retournèrent dans le séjour et toisèrent Gargan.
- Elle est à nous...
- Pas de problème, vieux, pas de problème... » se hâta de répondre le Scorpion. Puis, saisi d'un scrupule :
- Mais hé, tu ne vas pas l'abîmer? J'aime bien ses films. »
Schultz, qui avait d'avantage les pieds sur terre, grogna, sans lever la tête :
- Qu'est-ce que tu lui as déjà fait pour la mettre dans un état pareil ? »
Venom sourit de toutes ses dents. Le Schocker tressaillit.
- Nous lui avons fait peur.
- Tu m'étonnes... » marmonna Schultz en continuant la révision de ses gants. Tête baissée, il tenta de se persuader que cette affaire ne le regardait pas, et que de toutes façons, la fille n'en valait pas la peine.
Ayant assuré leur autorité sur leurs co-locataires, Venom retournèrent chez eux. Comme ils s'y attendaient, La femme de Parker ne leur avait pas obéi. Elle avait ouvert la fenêtre à guillotine, et s'était penchée, sans-doute à la recherche d'une possibilité d'évasion. Comme elle avait dû le constater à présent, ils étaient au sixième étage, et le mur était lisse. Aucune échappatoire par là, à moins de sauter dans le vide.
Ils s'avancèrent silencieusement, afin de pouvoir la rattraper au cas où elle préfèrerait le suicide à l'idée de passer le reste de la nuit en leur compagnie. Mais elle se redressa et referma la fenêtre.
Elle sursauta violemment en les voyant.
Ils désignèrent le lit. Elle secoua la tête, et recula lorsqu'ils avancèrent. Ses mollets heurtèrent le bord du grabat, et elle se retrouva assise devant eux.
Ils virent de l'épouvante se peindre sur son visage et s'impatientèrent.
- Tu es épuisée et tu vas t'allonger avec nous. Si tu ne te détends pas, nous connaissons une méthode très efficace pour t'endormir. Est-ce que c'est clair ?"
Ils ne lui promirent pas de ne pas la toucher. Ils n'étaient pas très sûrs de pouvoir s'en empêcher.
Elle acquiesça, incapable de parler avec le nœud qui s'était formé dans sa gorge. Elle s'allongea en lui tournant le dos, recroquevillée sur elle même. Le lit portait son odeur épicée.
Au bout de quelques instants, le matelas bougea, un bras passa autour de sa taille et elle se sentit serrée contre le corps de Venom.
Elle se rendit compte qu'il était en pleine érection lorsque son sexe dur se pressa contre ses fesses. Son cœur fit un bond et se mit à battre la chamade. Elle n'osa plus faire le moindre mouvement. Elle tenta de contrôler sa respiration, qui s'était accélérée de façon alarmante. Elle suffoquait.
Non... inspire, expire... inspire, expire... doucement... ne pas supplier, tu ne ferais que le provoquer.
Il se rapprocha encore, et son pénis alla se nicher entre ses cuisses. Elle trembla en sentant sa virilité si proche de son propre sexe.
Elle essaya de l'ignorer et de se concentrer sur d'autres sensations. Mais toutes étaient liées à l'être serré contre elle: son souffle dans ses cheveux, sa chaleur dans son dos et contre ses jambes. Le temps s'étira, interminable... avant qu'elle ne réalise qu'il ne faisait rien de plus, se contentant de la maintenir fermement contre lui. Au bout d'un moment, elle partit à la dérive.
Mac Gargan décolla son oreille du panneau de la porte, rassuré. Pas de bruit de lutte, pas de supplications... tout allait bien. Il aurait détesté avoir à combattre Venom. Surtout qu'il était sûr de perdre.
Ils regardèrent la jeune femme s'endormir et s'émerveillèrent de la sensation de ce corps féminin abandonné dans leurs bras. Cela n'était plus arrivé à Eddie depuis qu'Ann l'avait quitté.
Ils n'avaient pu s'empêcher de presser leur membre durci contre elle, résistant difficilement à la tentation de la prendre. Mais ils ne voulaient pas de ses cris et de ses pleurs... pas ce soir, alors qu'elle était dans un tel état de faiblesse, vaincue par son épuisement nerveux. Ils avaient soigné son état de choc pendant leur périple, mais elle avait besoin de ce repos pour se remettre.
Ils s'étonnaient encore de sa réaction. Elle avait totalement sombré lorsque les crapules avaient reçu leur juste rétribution.
C'était pourtant elle qui leur avait demandé de l'aide...
peut-être était-ce là la solution de l'énigme. Elle s'était sentie responsable de la mort de cette vermine. Une telle aberration les sidéra.
Ils ne trouvaient pas le repos. Leur excitation ne diminuait pas, quel que soit le cours que prennent leurs pensées.
Lorsqu'ils furent certains qu'elle s'était profondément endormie, ils se mirent à bouger lentement du bassin, faisant glisser leur sexe entre les cuisses de la jeune femme.
Le symbiote se dissocia de l'humain et se répandit en partie sur la jeune femme. Il enveloppa le pénis de Brock, le lubrifiant afin de lui permettre un meilleur va-et-vient entre les pans de tissu du jogging.
Eddie s'accrocha au matelas d'une main, évitant d'agripper sa compagne, et serra les dents. Il parvint à maintenir un rythme lent et doux, afin de ne pas la réveiller.
La jeune femme soupira dans son sommeil et se cambra instinctivement contre lui, lui offrant un meilleur accès entre ses jambes...
il ne put résister: il glissa sa main libre sous ses vêtements, il frôla la pointe de ses seins, caressa la douceur soyeuse de son ventre, et glissa doucement sa paume vers le bas.
Ses doigts passèrent sur son mont de vénus velouté pour aller explorer entre les lèvres moites de son sexe. Elle était mouillée.
Il glissa doucement son majeur dans sa chaleur humide, et sentit ses muscles vaginaux agripper ses phalanges. La sensation était si excitante qu'il accéléra son rythme, tout en sondant prudemment l'intimité de la jeune femme avec son doigt. Il le fit aller et venir en elle, explorant ses parois internes, et trouva bientôt une zone un peu plus rugueuse, son point le plus sensible. Elle frissonna et marmonna quelque-chose.
N'y tenant plus, il appuya son pouce contre son clitoris, lui arrachant un gémissement. Cette fois, il comprit ce qu'elle disait : « Peter... »
Il sentit son orgasme déferler sur lui comme un raz-de-marée, et retira en hâte son doigt pour serrer les poings, évitant de la toucher afin de ne pas la broyer.
Il explosa contre elle: le symbiote aspira goulument son sperme tandis qu'il nichait son visage dans le cou de la jeune femme, s'enivrant de son odeur.
L'Autre le reprit, et ils sentirent la tension qu'ils avaient accumulés toute la soirée s'apaiser un peu. Pour le moment.
Elle dormait toujours.
Ils la gardèrent dans leurs bras jusqu'au petit matin, et virent qu'elle était réveillée lorsqu'elle se raidit contre eux et que sa peau se couvrit de chair de poule.