Servant
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French › Games
Rating:
Adult ++
Chapters:
9
Views:
3,117
Reviews:
4
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French › Games
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Adult ++
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Disclaimer:
I do not own the games(s) that this fanfiction is written for, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.
chap 9
Servant 9
DUBOIS-GRANET
Normal
vilaud-schnee marie-morgane
2
9
2002-07-10T09:27:00Z
2002-07-10T09:27:00Z
1
2571
14142
Famille
117
33
16680
10.3501
leanlean
Clean
21
0
0
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mso-pagination:widow-orphan;
font-size:10.0pt;
font-family:"Times New Roman";}
Auteur : Asrial
Genre : Servant
Titre : Servant
Rating : NC-72
Servant 9
Kyros le fixait froidement. Un
imperceptible sourire quelque peu sadique jouait au coin de ses lèvres.
Son kimono largement ouvert
sur son torse glissait sur ses épaules, les dénudant ainsi que son dos,
laissant apparaître le tatouage en forme de papillon niché au creux de sa
hanche
Laguna aurait put le trouver
beau à cet instant.
De la sueur roulait le long
de sa gorge, dégouttant en minces filets jusqu'a ses tétons dressés par la passion.
Laguna jeta un râle lorsque
Kyros arqua les reins, encloué sur lui tandis qu'il se débattait contre la
ceinture qui se resserrait sur sa gorge
Il haletait, ant ant à chaque
instant pour avaler péniblement une nouvelle goulée d'air.
La pression du tissu
s'accentua soudain.
Les reins du président
décolèrent du parquet ou le maintenait son amant alors qu'il lâchait un cri de
douleur.
Kyros se pencha sur lui,
libérant en partie sa prise sur sa gorge. Laguna gémit.
Une main lui effleura les
flancs, tendre et douce, puis descendit le long de son dos, toujours tendus en
une impossible arabesque sous les assauts conjo de de la souffrance de la peur
et du plaisir.
Laguna secoua la tête, les
larmes coulant sur ses joues, suppliant sans bruit son maître d'arrêter là, de
le laisser en paix...
L'une des mains de Kyros
remonta sur sa gorge, caressante...
Un a un, ses doigts se
refermèrent sur sa chair sensible, la marquant de pourpre a mesure qu'il
serrait davantage, jouissant de la peur déformant les traits de son amant.
Il se pencha à son oreille.
De petites dents carnassières
eferefermèrent sur son lobe puis un mince filet de sang goutta sur le sol.
Avide, Kyros lécha le fluide
vermillon encore chaud de vie tout juste terrifiar lar l'ex-soldat.
La pression sur la gorge du
président se relâcha quelque peu, le laissant reprendre quelques goulées d'air.
L'autre main de Kyros quitta
les reins qu'il caressait depuis quelques minutes et continua sa lente
descente.
Gentiment, elle se glissa
entre les fesses de Laguna, cherchant sa proie comme un serpent aveugle dans la
tanière d'un pauvre lagopède terrifié par son regard hypnotique.
Kyros contracta ses muscles,
resserrant ses parois autours du soc qui le possédait tout entier pour son
propre plaisir égoïste.
Laguna gémit puis ferma les
yeux avant de s'abandonner a son bourreau.
Enfin, la main de Kyros
atteignit son but.
Il l'effleura a peine, juste
une caresse de chair sur la minuscule protubérance de plastique qu'il cherchait
Laguna hurla, arrachant a
moitié la ceinture qui l'étranglait.
Le godemiché enfin vibrant,
Kyros lâcha un petit rire satisfait tandis que Laguna s'agitait sous lui,
l'enclouant davantage à chaque mouvement.
Il lâcha l'oreille poinçonnée
de par en part et se redressa. D'un geste trahissant une longue habitude, il
entoura encore le cou de son amant de sa longue ceinture rouge et tira.
Ruant et se cabrant comme une
cavale au débourrage, Laguna ne pensait plus.
A la douleur de sa gorge qui
le trempait de terreur se mêlait la souffrance plus intime du jouet qui le
déchirait sans précaution.
Kyros tirait.
Il serrait...
De plus en plus...
Sans se soucier d'aucune
façon des mouvements de plus en plus lents de Laguna.
Sans voir son regard se
voiler d'autre chose que de tristesse et de peur...
Le mince guerrier se resserra
brusquement autours de son amant en serrant d'une traction soudaine la gorge de
son amant. Laguna cracha un filet de sang alors que Kyros le souillait de sa
semence.
Repus, il se dégagea du corps
à moitié inconscient de Laguna et se laissa tomber près de lui.
Des frissons les parcouraient
tous les deux sans qu'ils ne parviennent à les contrôler pas plus qu'à les
restreindre.
"- Tu es satisfait
?"
Kyros fixa sans comprendre
Laguna.
Le brun se redressa un peu,
du sang coulant sur son menton sans qu'il ne fasse un geste pour l'essuyer.
"- Ben quoi ?"
Laguna secoua la tête. Il
avait de plus en plus souvent l'impression qu'ils finiraient par aller trop
loin.
Rampant presque, il se traîna
vers la salle de bain.
Kyros le suivit.
"- Mais qu'est ce que j'ai
fais ?'"
Amer, Laguna se laissa couler
dans la baignoire sans répondre et ouvrit les conduits a fond.
Se forçant à rouvrir les
yeux, il tourna la tête vers son amant.
"- Tu te fout de moi
hein ?"
Déconcerté, le mince
combattant secoua la tête.
"- Je comprend
pas..."
Laguna lâcha un petit rire
sec, douloureux et désabusé.
"- Laisse tomber... laisse
moi..."
Kyros haussa les épaules.
Laguna toussa lourdement
avant de cracher un peu de sang puis s'nça nça dans l'eau brûlante jusqu'aux
oreilles.
Il ferma les yeux....
***
Lorsqu'il se réveilla, l'eau
autours de lui était froide.
Sa gorge lui faisait mal
maintenant que ses muscles s'étaient refroidis et s'était une main posée sur
son épaule qui l'avait sortit de son sommeil, aussi dangereux que réparateur.
"- Tu ne devrais pas
rester dans l'eau, tu sais..."
Laguna sourit faiblement
avant que deux bras musclés ne le sortent de l'eau.
Câlin comme un chaton, il se
serra contre le torse de Seifer sans se soucier de tremper totalement son
gilet.
Le blond sourit à son fardeau
et le porta jusqu'au lit le plus proche.
Retournant dans la salle de
bain, il prit une serviette et de l'eau de Cologne puis revint vers son aîné.
Gentiment, il le sécha puis le massa avec l'alcool a la délicate fragrance.
Avec un tendresse toute
fraternelle, il le borda puis s'allongea près de lui, le berçant dans ses bras
jusqu'a ce qu'il s'endorme. Avec fureur, il fixa Kyros appuyé contre la
chambranle de la porte.
Kyros avala péniblement sa
salive.
Frémissant, il quitta la
chambre...
***
Laguna bailla.
Ses muscles lui faisaient
mal, sa gorge le lançait et son arrière train lui donnait l'impression d'être
passé sous le contingent au grand complet mais il se sentait en sécurité.
Seifer le serrait contre lui
comme une pièce de verre filée, il était au chaud, avait été soigné et il ne
voyait nulle trace de Kyros dans son environnement proche.
Aussi silencieusement que
possible, il se défit de l'étreinte protectrice du chevalier de la sorcière.
Retenant une grimace de
douleur, il s'habilla lentement.
"- Tu t'en va sans
dire au revoir ?"
Laguna eut un pauvre sourire
avant de revenir s'asseoir sur le bord du lit. Machinalement, il caressait la
jambe de Seifer du bout des doigts.
"- Je vais juste faire
un tour..."
"- ne t'éloigne pas
trop, je sens que je vais avoir une longue discutions avec ta Laisse....
Laguna se raidit.
"- Ne lui fait pas de
mal, il ne se rends pas compte... Ca fait tellement longtemps que l'on joue a
ce petit jeu..."
"- C'est pas une raison
pour que ça dégénère à ce point ! Il a faillit te tuer ! Il ait ait connaître
ses limites.
Laguna lâcha un petit rire
amer qui se transforma rapidement en quinte de toux.
"- C'est justement ça
qui l'intéresse. Dépasser ses... ou plutôt Mes limites...
"- Quitte le."
Choqué, Laguna le fixa.
"- Mais..."
"- Tu connais mieux que
moi les règles qui régissent l'association que nous avons avec nos laisses. Il val
a finir par te tuer a ce rythme !
Laguna baissa la tête et
soupira rudement.
"- Et le pire c'est que
c'est un gosse qui me fait la leçon.
Seifer renifla avec hauteur.
"- j'ai eut un bon prof.
Sans répondre davantage,
Laguna quitta la chambre. Il avait besoin de ses changer les idées.
***
Eshtar était belle...
La ville l'était toujours...
La nuit tombait a peine mais
déjà, les néons des magasins crevaient les ombres de leurs lumières aveuglantes
et colorées, tachant l'obscurité grandissante de chimères étranges et
mouvantes.
Laguna aimait sa ville. Plus
que Galbadia ne l'avait jamais été, Eshtar était sa partie. Pas parce qu'il en
était le président, non, simplement par ce qu'il avait l'impression de sentir
la ville elle-même pulser dans ses veines, dans son sang... Comme si chaque
artère de la mégalopole trouvait sa jumelle enchâssée dans sa chair au point
qu'il en connaissait chaque rue, chaque place, chaque recoin, chaque boutique
et chaque habitant
Un frisson le parcouru a
mesure qu'il descendait vers la périphérie de la ville.
Il n'avait pas prit son
automatique mais ne s'en souciait guère.
Les gardes lui laissèrent
franchir les portes de la ville dans faire la moindre difficulté. Ils avaient
l'habitude de voir leur président partir parfois pour quelques heures dans le
désert.
Une fois la ville derrière
lui, il soupira de soulagement.
Le vent jouait dans ses
cheveux comme autant de filet taquins et câlins cherchant à s'insinuer sous sa
chemise.
Pas, is, il avait presque
l'impression d'entendre comme un rire enfantin résonner dans le vide du désert.
Le sable fouettait ses
jambes, cravache minérale le forçant vers les dunes jusqu'a le faire courir a
perdre haleine en une futile tentative de fuir sa promisèmisère.
Les premières étoiles
percèrent la voûte céleste de timides diamants pulsant sans fin vite suivis de
multitudes d'autres, dessinant d'infinis patterns sur l'écran bleu du ciel
nocturne
"- Que fais-tu la,
humain...."
Les yeux fermés, Laguna ne
répondit pas.
Il connaissait la voix douce
qui venait de s'adresser a lui. Il l'avait entendu des dizaines de fois depuis
17 ans. Il l'aimait et la craignait tout autant.
Il en avait frémis de fureur
et d'envie mêlée lorsque Seifer s'était retrouvé immobile sous ses mains.
Il en aurait geint de plaisir
s'il avait laissé courir ses ongles sur sa peau...
Les pas se rapprochèrent.
La poussière du désert
retomba, comme soufflée par la présence du sorcier en ses lieux de silence.
"- Mon bourreau...
La voix sensuelle d'Adel fit
frémir Laguna.
"- Que veux tu ?"
"- Et toi ?" le
cingla la réponse.
Le président repris sa
course, à petite foulée, vers le cœur du désert.
Suivant sa course dans un
silence respectueux, quelques fennec et gerbilles s'écartaient devant lui et
son inapprochable compagnon.
Les dunes s'effacèrent devant
eux alors que pointait enfin le but du président.
La toute petite oasis montait
ses timides poussent vertes a l'assaut du ciel et du désert assoiffé sans se
soucier un instant du touchant tableau qu'il offrait au regard des quelques
humains perdus errant en son sein.
"- C'est beau..."
"- C'est utile..."
Adel haussa un sourcil
parfaitement dessiné devant la voix froide de Laguna.
"- Tu es blessé..."
"- J'ai voulu te tuer
!"
"- Cela a de
l'importance ?"
"- Il commence à faire
froid..."
Adel renifla d'irritation
devant le double conversation que se refusait a poursuivre le président puis
s'éloigna de lui.
Adel sourit pour lui même.
Le petit lac l'attirait comme
une phalène par la flamme.
Lentement, il dénoua sa
longue tresse. Ses boucles rouges coulèrent sur ses reins en une vague liquide
qui tomba jusqu'a ses chevilles.
Un petit coup de vent lui
ébouriffa les cheveux en une couronne une sang ou se reflétait les premières
lueurs de la lune montante.
Laguna frémit.
Sans se soucier de lui, Adel ôta
sa ceinture. Ses voiles glissèrent sur ses cuisses jusqu'au sol ou ils
s'écrasèrent en un bruit sourd et soyeux.
L'eau glissa sur sa peau
lorsqu'il entra dans le petit lac, s'écartant devant lui en une tendre caresse
glacée.
Laguna frémit.
Adel plongea.
Ses cheveux s'étalèrent à la
surface de l'eau comme une couronne d'algues rouges avant qu'il ne crève la
surface avec un petit rire enfantin.
Il se tourna vers Laguna et
lui tendit la main
"- Viens... Viens me
rejoindre !
Les vêtements de Laguna
churent au sol aussi vite qu'il pu s'en débarrasser avant qu'il ne plonge entre
les entrailles noires et polaires du petit lac niché au creux de ses dunes
protectrices.
Appuyé contre l'un des
rochers affleurant l'eau, Adel laissa le président nager vers lui, frémissant
sous la caresse glacée et insidieuse de l'eau coulant sur sa peau.
Avec tendresse,
l'hermaphrodite pressa ses longs doigts fins aux griffes acérées sur la joue de
son futur amant.
Laguna frémit davantage et
ferma les yeux, gouttant le sillons brûlant que le sorcier traçait sur son
visage.
Adel sourit lentement. Il
ouvrit la main et fit suivre a sa paume le met chemin que ses doigts assouplis
par l'usage de la magie avait ouvert. Laguna lâcha un petit soupir troublé.
Il avait écarté les cuisses
pour bien des hommes, subit les pires humiliation de dizaines d'autres, les
coups d'un fraction de ceux ci, leur désir toujours, leur passion sans fin
l'avait brisé de l'intérieur si souventes fois qu'il ne comptait plus depuis
bien des années, quelqu'un uns, rares, avaient vu en lui autre chose qu'un
simple jouet sexuel, mais aucun, pas même Kyros, n'avait pu arraché a son cœur
asséché le voila de passion et de tendresse que la simple caresse d'Adel lui
offrait.
Un petit rire tendre, tout
sauf moqueur l'arracha à ses interrogations intimes.
"- Petit chaton
sensuel..."
Laguna rougit.
Gêné, il voulu s'écarter
quelque peu mais Adel le retint, amusé qu'il s'offre ainsi a lui sans même s'en
rendre compte.
Les reins remonté et appuyé
sur le rocher, les bras noué autours de son cou, le président semblait hésiter
entre la colère de voir son propre corps le trahir ainsi et le plaisir
insidieux de se laisser totalement posséder par la douceur d'Adel...
Le sorcier se pencha sur lui.
Les yeux de pourpre fixant
les iris de béryl, il posa ses lèvres sur celles de son amant.
Laguna referma les yeux.
A peine un souffle, si léger
qu'il eut put le dire esprit, l'humain s'abandonnait davantage sous la caresse
aérienne et diaphane du sorcier. Il gémit a nouveau.
Les doigts fins d'Adel
prirent possession de ses hanches, l'effleurant a peine, jouant de ses nerfs
comme autant d'abat-voix sur l'harmonique de ses sens trop longtemps malmené par
les désirs toujours plus insatiables de ses amants.
Laguna s'arracha au rocher
qui lui meurtrissait le dos et s'appuya contre le torse large du sorcier.
Adel se pencha à son oreille
et en prit le lobe entre ses lèvres.
Avec toute la lenteur dont il
était capable malgré les ondes de passion qui lui déchiraient les reins de
mouvements presque trop violents pour qu'il les contiennent, il lécha le petit
renflement de chair, le mordillant doucement, traçant la courbe de son oreille
avant de redescendre vers le cou, mordillant doucement la peau rougit de
plaisir qui s'enflammait sous le moindre de ses baisers.
Laguna frémit. Passif comme
il l'avait rarement été, avec l'impression d'abandonner davantage que le simple
contrôle de son corps à son amant mais aussi bien celui de son âme, il écarta
les cuisses et entoura les hanches d'Adel.
Gentiment, le sorcier
resserra son étreinte sur son torse avant de murmurer quelques mots.
Un courant d'air chaud
montant du sable fit frissonner Laguna qui se serra davantage encore contre le
grand corps de son amant avant qu'il ne se sente déposer sur un tissu
négligemment jeté sur le sable.
Un poids lourd et déterminé
dans cet art lui cloua les hanches au sol. Il ne rouvrit pas les yeux lorsque
le corps de son amant couvrit le sien.
Un pincement d'appréhension
qu'il n'avait pas connus depuis longtemps le parcourut.
Il craignait sa violence. Il
craignait sa brutalité. Non qu'il craigne qu'il cherche a se venger ainsi de l'homme qui avait manqué
le tuer, non. Il craignait juste la fuite de cette tendresse qui
redécouvrait... découvrait simplement depuis la première fois où le plaisir
physique était entré dans son existence.
Les lèvres soyeuses, aussi
légères que le vol d'un papillon reprirent possession de sa gorge alors que le
membre de son amant se pressait contre son entrée.
Il ne se raidit pas.
Bien trop de mâles l'avaient
couverts de par lenéesnées pour qu'il en ressente une quelconque douleur.
Le sexe d'Adel se fraya son
chemin dans ses entrailles, soc raidit de passion trop patient pour lui
arracher sa jouissance.
Laguna agita un peu les
reins.
Moins que le reste, la
possession qu'il subissait enflammait ses nerfs. Pourtant, il le sentait le
réclamer de lui. S'approprier ses sens et son plaisir trop longtemps dénié pour
une violence brute sans réel gain de soi.
Le président s'abandonna
davantage.
Le torse d'Adel courrait sur
le sien selon un rythme intemporel.
Le sorcier ferma les yeux à
son tour.
Enfin, il se sentait de moins
en moins capable de lutter contre le désir que le corps alangui sous lui lui
jetait dans les reins.
Nichant son visage au creux
du cou de Laguna, il glissa une main entre leur deux ventres collé l'un contre
l'autre et saisit le membre de son amant.
Le caressant au même rythme
qu'il le possédait, il sourit lorsque les bras de Laguna se resserrèrent contre
lui, le soudan davantage a lui.
Puis tout devint blanc...
Une jeep s'éloigna rapidement
vers la cité tandis que le sable cachles les deux amants enlacés au regard de
leur spectateur impromptus.
Squall passa la quatrième.
Kyros aurait à répondre de
beaucoup après tout....
FIN
DUBOIS-GRANET
Normal
vilaud-schnee marie-morgane
2
9
2002-07-10T09:27:00Z
2002-07-10T09:27:00Z
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Auteur : Asrial
Genre : Servant
Titre : Servant
Rating : NC-72
Servant 9
Kyros le fixait froidement. Un
imperceptible sourire quelque peu sadique jouait au coin de ses lèvres.
Son kimono largement ouvert
sur son torse glissait sur ses épaules, les dénudant ainsi que son dos,
laissant apparaître le tatouage en forme de papillon niché au creux de sa
hanche
Laguna aurait put le trouver
beau à cet instant.
De la sueur roulait le long
de sa gorge, dégouttant en minces filets jusqu'a ses tétons dressés par la passion.
Laguna jeta un râle lorsque
Kyros arqua les reins, encloué sur lui tandis qu'il se débattait contre la
ceinture qui se resserrait sur sa gorge
Il haletait, ant ant à chaque
instant pour avaler péniblement une nouvelle goulée d'air.
La pression du tissu
s'accentua soudain.
Les reins du président
décolèrent du parquet ou le maintenait son amant alors qu'il lâchait un cri de
douleur.
Kyros se pencha sur lui,
libérant en partie sa prise sur sa gorge. Laguna gémit.
Une main lui effleura les
flancs, tendre et douce, puis descendit le long de son dos, toujours tendus en
une impossible arabesque sous les assauts conjo de de la souffrance de la peur
et du plaisir.
Laguna secoua la tête, les
larmes coulant sur ses joues, suppliant sans bruit son maître d'arrêter là, de
le laisser en paix...
L'une des mains de Kyros
remonta sur sa gorge, caressante...
Un a un, ses doigts se
refermèrent sur sa chair sensible, la marquant de pourpre a mesure qu'il
serrait davantage, jouissant de la peur déformant les traits de son amant.
Il se pencha à son oreille.
De petites dents carnassières
eferefermèrent sur son lobe puis un mince filet de sang goutta sur le sol.
Avide, Kyros lécha le fluide
vermillon encore chaud de vie tout juste terrifiar lar l'ex-soldat.
La pression sur la gorge du
président se relâcha quelque peu, le laissant reprendre quelques goulées d'air.
L'autre main de Kyros quitta
les reins qu'il caressait depuis quelques minutes et continua sa lente
descente.
Gentiment, elle se glissa
entre les fesses de Laguna, cherchant sa proie comme un serpent aveugle dans la
tanière d'un pauvre lagopède terrifié par son regard hypnotique.
Kyros contracta ses muscles,
resserrant ses parois autours du soc qui le possédait tout entier pour son
propre plaisir égoïste.
Laguna gémit puis ferma les
yeux avant de s'abandonner a son bourreau.
Enfin, la main de Kyros
atteignit son but.
Il l'effleura a peine, juste
une caresse de chair sur la minuscule protubérance de plastique qu'il cherchait
Laguna hurla, arrachant a
moitié la ceinture qui l'étranglait.
Le godemiché enfin vibrant,
Kyros lâcha un petit rire satisfait tandis que Laguna s'agitait sous lui,
l'enclouant davantage à chaque mouvement.
Il lâcha l'oreille poinçonnée
de par en part et se redressa. D'un geste trahissant une longue habitude, il
entoura encore le cou de son amant de sa longue ceinture rouge et tira.
Ruant et se cabrant comme une
cavale au débourrage, Laguna ne pensait plus.
A la douleur de sa gorge qui
le trempait de terreur se mêlait la souffrance plus intime du jouet qui le
déchirait sans précaution.
Kyros tirait.
Il serrait...
De plus en plus...
Sans se soucier d'aucune
façon des mouvements de plus en plus lents de Laguna.
Sans voir son regard se
voiler d'autre chose que de tristesse et de peur...
Le mince guerrier se resserra
brusquement autours de son amant en serrant d'une traction soudaine la gorge de
son amant. Laguna cracha un filet de sang alors que Kyros le souillait de sa
semence.
Repus, il se dégagea du corps
à moitié inconscient de Laguna et se laissa tomber près de lui.
Des frissons les parcouraient
tous les deux sans qu'ils ne parviennent à les contrôler pas plus qu'à les
restreindre.
"- Tu es satisfait
?"
Kyros fixa sans comprendre
Laguna.
Le brun se redressa un peu,
du sang coulant sur son menton sans qu'il ne fasse un geste pour l'essuyer.
"- Ben quoi ?"
Laguna secoua la tête. Il
avait de plus en plus souvent l'impression qu'ils finiraient par aller trop
loin.
Rampant presque, il se traîna
vers la salle de bain.
Kyros le suivit.
"- Mais qu'est ce que j'ai
fais ?'"
Amer, Laguna se laissa couler
dans la baignoire sans répondre et ouvrit les conduits a fond.
Se forçant à rouvrir les
yeux, il tourna la tête vers son amant.
"- Tu te fout de moi
hein ?"
Déconcerté, le mince
combattant secoua la tête.
"- Je comprend
pas..."
Laguna lâcha un petit rire
sec, douloureux et désabusé.
"- Laisse tomber... laisse
moi..."
Kyros haussa les épaules.
Laguna toussa lourdement
avant de cracher un peu de sang puis s'nça nça dans l'eau brûlante jusqu'aux
oreilles.
Il ferma les yeux....
***
Lorsqu'il se réveilla, l'eau
autours de lui était froide.
Sa gorge lui faisait mal
maintenant que ses muscles s'étaient refroidis et s'était une main posée sur
son épaule qui l'avait sortit de son sommeil, aussi dangereux que réparateur.
"- Tu ne devrais pas
rester dans l'eau, tu sais..."
Laguna sourit faiblement
avant que deux bras musclés ne le sortent de l'eau.
Câlin comme un chaton, il se
serra contre le torse de Seifer sans se soucier de tremper totalement son
gilet.
Le blond sourit à son fardeau
et le porta jusqu'au lit le plus proche.
Retournant dans la salle de
bain, il prit une serviette et de l'eau de Cologne puis revint vers son aîné.
Gentiment, il le sécha puis le massa avec l'alcool a la délicate fragrance.
Avec un tendresse toute
fraternelle, il le borda puis s'allongea près de lui, le berçant dans ses bras
jusqu'a ce qu'il s'endorme. Avec fureur, il fixa Kyros appuyé contre la
chambranle de la porte.
Kyros avala péniblement sa
salive.
Frémissant, il quitta la
chambre...
***
Laguna bailla.
Ses muscles lui faisaient
mal, sa gorge le lançait et son arrière train lui donnait l'impression d'être
passé sous le contingent au grand complet mais il se sentait en sécurité.
Seifer le serrait contre lui
comme une pièce de verre filée, il était au chaud, avait été soigné et il ne
voyait nulle trace de Kyros dans son environnement proche.
Aussi silencieusement que
possible, il se défit de l'étreinte protectrice du chevalier de la sorcière.
Retenant une grimace de
douleur, il s'habilla lentement.
"- Tu t'en va sans
dire au revoir ?"
Laguna eut un pauvre sourire
avant de revenir s'asseoir sur le bord du lit. Machinalement, il caressait la
jambe de Seifer du bout des doigts.
"- Je vais juste faire
un tour..."
"- ne t'éloigne pas
trop, je sens que je vais avoir une longue discutions avec ta Laisse....
Laguna se raidit.
"- Ne lui fait pas de
mal, il ne se rends pas compte... Ca fait tellement longtemps que l'on joue a
ce petit jeu..."
"- C'est pas une raison
pour que ça dégénère à ce point ! Il a faillit te tuer ! Il ait ait connaître
ses limites.
Laguna lâcha un petit rire
amer qui se transforma rapidement en quinte de toux.
"- C'est justement ça
qui l'intéresse. Dépasser ses... ou plutôt Mes limites...
"- Quitte le."
Choqué, Laguna le fixa.
"- Mais..."
"- Tu connais mieux que
moi les règles qui régissent l'association que nous avons avec nos laisses. Il val
a finir par te tuer a ce rythme !
Laguna baissa la tête et
soupira rudement.
"- Et le pire c'est que
c'est un gosse qui me fait la leçon.
Seifer renifla avec hauteur.
"- j'ai eut un bon prof.
Sans répondre davantage,
Laguna quitta la chambre. Il avait besoin de ses changer les idées.
***
Eshtar était belle...
La ville l'était toujours...
La nuit tombait a peine mais
déjà, les néons des magasins crevaient les ombres de leurs lumières aveuglantes
et colorées, tachant l'obscurité grandissante de chimères étranges et
mouvantes.
Laguna aimait sa ville. Plus
que Galbadia ne l'avait jamais été, Eshtar était sa partie. Pas parce qu'il en
était le président, non, simplement par ce qu'il avait l'impression de sentir
la ville elle-même pulser dans ses veines, dans son sang... Comme si chaque
artère de la mégalopole trouvait sa jumelle enchâssée dans sa chair au point
qu'il en connaissait chaque rue, chaque place, chaque recoin, chaque boutique
et chaque habitant
Un frisson le parcouru a
mesure qu'il descendait vers la périphérie de la ville.
Il n'avait pas prit son
automatique mais ne s'en souciait guère.
Les gardes lui laissèrent
franchir les portes de la ville dans faire la moindre difficulté. Ils avaient
l'habitude de voir leur président partir parfois pour quelques heures dans le
désert.
Une fois la ville derrière
lui, il soupira de soulagement.
Le vent jouait dans ses
cheveux comme autant de filet taquins et câlins cherchant à s'insinuer sous sa
chemise.
Pas, is, il avait presque
l'impression d'entendre comme un rire enfantin résonner dans le vide du désert.
Le sable fouettait ses
jambes, cravache minérale le forçant vers les dunes jusqu'a le faire courir a
perdre haleine en une futile tentative de fuir sa promisèmisère.
Les premières étoiles
percèrent la voûte céleste de timides diamants pulsant sans fin vite suivis de
multitudes d'autres, dessinant d'infinis patterns sur l'écran bleu du ciel
nocturne
"- Que fais-tu la,
humain...."
Les yeux fermés, Laguna ne
répondit pas.
Il connaissait la voix douce
qui venait de s'adresser a lui. Il l'avait entendu des dizaines de fois depuis
17 ans. Il l'aimait et la craignait tout autant.
Il en avait frémis de fureur
et d'envie mêlée lorsque Seifer s'était retrouvé immobile sous ses mains.
Il en aurait geint de plaisir
s'il avait laissé courir ses ongles sur sa peau...
Les pas se rapprochèrent.
La poussière du désert
retomba, comme soufflée par la présence du sorcier en ses lieux de silence.
"- Mon bourreau...
La voix sensuelle d'Adel fit
frémir Laguna.
"- Que veux tu ?"
"- Et toi ?" le
cingla la réponse.
Le président repris sa
course, à petite foulée, vers le cœur du désert.
Suivant sa course dans un
silence respectueux, quelques fennec et gerbilles s'écartaient devant lui et
son inapprochable compagnon.
Les dunes s'effacèrent devant
eux alors que pointait enfin le but du président.
La toute petite oasis montait
ses timides poussent vertes a l'assaut du ciel et du désert assoiffé sans se
soucier un instant du touchant tableau qu'il offrait au regard des quelques
humains perdus errant en son sein.
"- C'est beau..."
"- C'est utile..."
Adel haussa un sourcil
parfaitement dessiné devant la voix froide de Laguna.
"- Tu es blessé..."
"- J'ai voulu te tuer
!"
"- Cela a de
l'importance ?"
"- Il commence à faire
froid..."
Adel renifla d'irritation
devant le double conversation que se refusait a poursuivre le président puis
s'éloigna de lui.
Adel sourit pour lui même.
Le petit lac l'attirait comme
une phalène par la flamme.
Lentement, il dénoua sa
longue tresse. Ses boucles rouges coulèrent sur ses reins en une vague liquide
qui tomba jusqu'a ses chevilles.
Un petit coup de vent lui
ébouriffa les cheveux en une couronne une sang ou se reflétait les premières
lueurs de la lune montante.
Laguna frémit.
Sans se soucier de lui, Adel ôta
sa ceinture. Ses voiles glissèrent sur ses cuisses jusqu'au sol ou ils
s'écrasèrent en un bruit sourd et soyeux.
L'eau glissa sur sa peau
lorsqu'il entra dans le petit lac, s'écartant devant lui en une tendre caresse
glacée.
Laguna frémit.
Adel plongea.
Ses cheveux s'étalèrent à la
surface de l'eau comme une couronne d'algues rouges avant qu'il ne crève la
surface avec un petit rire enfantin.
Il se tourna vers Laguna et
lui tendit la main
"- Viens... Viens me
rejoindre !
Les vêtements de Laguna
churent au sol aussi vite qu'il pu s'en débarrasser avant qu'il ne plonge entre
les entrailles noires et polaires du petit lac niché au creux de ses dunes
protectrices.
Appuyé contre l'un des
rochers affleurant l'eau, Adel laissa le président nager vers lui, frémissant
sous la caresse glacée et insidieuse de l'eau coulant sur sa peau.
Avec tendresse,
l'hermaphrodite pressa ses longs doigts fins aux griffes acérées sur la joue de
son futur amant.
Laguna frémit davantage et
ferma les yeux, gouttant le sillons brûlant que le sorcier traçait sur son
visage.
Adel sourit lentement. Il
ouvrit la main et fit suivre a sa paume le met chemin que ses doigts assouplis
par l'usage de la magie avait ouvert. Laguna lâcha un petit soupir troublé.
Il avait écarté les cuisses
pour bien des hommes, subit les pires humiliation de dizaines d'autres, les
coups d'un fraction de ceux ci, leur désir toujours, leur passion sans fin
l'avait brisé de l'intérieur si souventes fois qu'il ne comptait plus depuis
bien des années, quelqu'un uns, rares, avaient vu en lui autre chose qu'un
simple jouet sexuel, mais aucun, pas même Kyros, n'avait pu arraché a son cœur
asséché le voila de passion et de tendresse que la simple caresse d'Adel lui
offrait.
Un petit rire tendre, tout
sauf moqueur l'arracha à ses interrogations intimes.
"- Petit chaton
sensuel..."
Laguna rougit.
Gêné, il voulu s'écarter
quelque peu mais Adel le retint, amusé qu'il s'offre ainsi a lui sans même s'en
rendre compte.
Les reins remonté et appuyé
sur le rocher, les bras noué autours de son cou, le président semblait hésiter
entre la colère de voir son propre corps le trahir ainsi et le plaisir
insidieux de se laisser totalement posséder par la douceur d'Adel...
Le sorcier se pencha sur lui.
Les yeux de pourpre fixant
les iris de béryl, il posa ses lèvres sur celles de son amant.
Laguna referma les yeux.
A peine un souffle, si léger
qu'il eut put le dire esprit, l'humain s'abandonnait davantage sous la caresse
aérienne et diaphane du sorcier. Il gémit a nouveau.
Les doigts fins d'Adel
prirent possession de ses hanches, l'effleurant a peine, jouant de ses nerfs
comme autant d'abat-voix sur l'harmonique de ses sens trop longtemps malmené par
les désirs toujours plus insatiables de ses amants.
Laguna s'arracha au rocher
qui lui meurtrissait le dos et s'appuya contre le torse large du sorcier.
Adel se pencha à son oreille
et en prit le lobe entre ses lèvres.
Avec toute la lenteur dont il
était capable malgré les ondes de passion qui lui déchiraient les reins de
mouvements presque trop violents pour qu'il les contiennent, il lécha le petit
renflement de chair, le mordillant doucement, traçant la courbe de son oreille
avant de redescendre vers le cou, mordillant doucement la peau rougit de
plaisir qui s'enflammait sous le moindre de ses baisers.
Laguna frémit. Passif comme
il l'avait rarement été, avec l'impression d'abandonner davantage que le simple
contrôle de son corps à son amant mais aussi bien celui de son âme, il écarta
les cuisses et entoura les hanches d'Adel.
Gentiment, le sorcier
resserra son étreinte sur son torse avant de murmurer quelques mots.
Un courant d'air chaud
montant du sable fit frissonner Laguna qui se serra davantage encore contre le
grand corps de son amant avant qu'il ne se sente déposer sur un tissu
négligemment jeté sur le sable.
Un poids lourd et déterminé
dans cet art lui cloua les hanches au sol. Il ne rouvrit pas les yeux lorsque
le corps de son amant couvrit le sien.
Un pincement d'appréhension
qu'il n'avait pas connus depuis longtemps le parcourut.
Il craignait sa violence. Il
craignait sa brutalité. Non qu'il craigne qu'il cherche a se venger ainsi de l'homme qui avait manqué
le tuer, non. Il craignait juste la fuite de cette tendresse qui
redécouvrait... découvrait simplement depuis la première fois où le plaisir
physique était entré dans son existence.
Les lèvres soyeuses, aussi
légères que le vol d'un papillon reprirent possession de sa gorge alors que le
membre de son amant se pressait contre son entrée.
Il ne se raidit pas.
Bien trop de mâles l'avaient
couverts de par lenéesnées pour qu'il en ressente une quelconque douleur.
Le sexe d'Adel se fraya son
chemin dans ses entrailles, soc raidit de passion trop patient pour lui
arracher sa jouissance.
Laguna agita un peu les
reins.
Moins que le reste, la
possession qu'il subissait enflammait ses nerfs. Pourtant, il le sentait le
réclamer de lui. S'approprier ses sens et son plaisir trop longtemps dénié pour
une violence brute sans réel gain de soi.
Le président s'abandonna
davantage.
Le torse d'Adel courrait sur
le sien selon un rythme intemporel.
Le sorcier ferma les yeux à
son tour.
Enfin, il se sentait de moins
en moins capable de lutter contre le désir que le corps alangui sous lui lui
jetait dans les reins.
Nichant son visage au creux
du cou de Laguna, il glissa une main entre leur deux ventres collé l'un contre
l'autre et saisit le membre de son amant.
Le caressant au même rythme
qu'il le possédait, il sourit lorsque les bras de Laguna se resserrèrent contre
lui, le soudan davantage a lui.
Puis tout devint blanc...
Une jeep s'éloigna rapidement
vers la cité tandis que le sable cachles les deux amants enlacés au regard de
leur spectateur impromptus.
Squall passa la quatrième.
Kyros aurait à répondre de
beaucoup après tout....
FIN