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V cherche F désespérément

By: zazaone
folder French › Harry Potter
Rating: Adult ++
Chapters: 19
Views: 3,598
Reviews: 34
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Disclaimer: I do not own the Harry Potter book and movie series, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.
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9- L'enquête de Sev'

V cherche F désespérément

Spoiler : de HP 1 à HP 5 compris

Disclaimer : blablabla… c’est à JK …. Rowling of course !!!! Et patà moâ !

C’est que j’oubliais ma tite citation, moi, ces derniers temps…. C’est l’émotion du lemon sans doute… Allez, on change d’auteur : …l’homme qui est jeté malgré lui sur ce triste univers, peut réussir à semer quelques roses sur les épines de la vie. Prologue de « La philosophie dans le boudoir du divin Marquis.. Convenait plus au chapitre précédent… J’ai encore un train de retard, moi.

On est prié de ne pas jeté les papiers gras, les chewing-gum périmés et les auteuses sadiques par terre, par la fenêtre. Et pour les auteuses, la poubelle n’est pas le lieu le plus pratique pour updater ! Elles sont nettement plus sensibles à la review…..

D'ailleurs de gros zoubis à Tagath : bin si tu vois, fallait y croire ! le site refonctionne donc je peux à nouveau publier cette fic. Le prochain lemon ? héhéhéhé je ne spoile pas ma propre fic… Et mici pour les compliments !
Et gros zoubis aussi à Sioban : Non, je n'aime pas du tout le Doloris avant de me coucher, surtout avec Sev… Mon p'tit Sev' et sa p'tite voix, devenant de plus en plus schizo au fur et à mesure des chaps… Rhhhhaaaa ! Tu comprends pourquoi je ne peux pas écrire Requiem en même temps… Ce ne sont pas du tout les deux mêmes Severus.
La Bruyère est un immonde phalocrate. Dumby est mon deuxième héros de cette fic. Je ne pensais pas le faire aussi speed… Et il est devenu complète speedé aux sucreries et à la manip'…. J'ai vraiment intérêt à prendre des actions chez kleenex moué… Attends de tomber dans la réunion de profs complètement déjantés… Je crois que tu ne verras plus tes réunions de la même façon… . Mais je ne savias au départ que mes dialogues étaient vivants! Je voyais seulement qu'ils étaient longs… très longs ! Mici pour toutes tes reviews miss !!!!! Et bonne lecture


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10– L’enquête de Sev.

Après cette bonne douche, j’ai les idées un peu plus claires… Quelle nuit mes aïeuls, quelle nuit ! A marquer d’une pierre blanche. Quoique, d’une pierre blanche, c’est sans doute prématuré. Il faudrait d’abord que tu saches avec qui tu viens de passer cette nuit mémorable. Pour la partie liquide et verticale, avec cette pocharde de Minerva. Mais pour la partie horizontale ?. ?. ?

Une chose est sûre : elle connaît mon prénom. Mais ce n’est pas un grand mystère. Qui sait, peut-être ai-je ramené une Moldue hier soir avec moi… Que Grindelwalt m’en préserve ! Si jamais Celui-Qui-Ne-Rigole-Pas-Avec-Ça l’apprenait ! Je signe mon arrêt de mort ou alors, je rejoins les Londubat à Sainte-Mangouste ! Et si quelqu’un le découvre à Poudlard… Je n’ose à peine y penser !
Non, ce n’est pas possible. Ce n’est pas une Moldue, sinon, ce matin, je l’aurais retrouvée dans mon lit attendant que je la raccompagne. Je me vois ramener ma maîtresse sur un balai ! C’est déjà inconfortable seul, mais accompagné, et en plus après une telle nuit ! J’ai cette partie de mon individu légèrement endolorie.
Définitivement non, je peux supprimer cette piste. Mais le mystère reste entier… Je vais devoir faire preuve de la plus extrême prudence ! Pas de paroles franches et naturelles pendant un certain temps, tu pourrais « la » vexer et, par vengeance, elle viderait son sac. Non , sois doux, conciliant et… mielleux…Ouais. Je sais. C’est très difficile ce que je te demande là… Mais c’est dans ton propre intérêt.

Quand même, cette nuit… Tu n’as pas dit grand chose, Plus exactement rien du tout… Mais tu n’a pas éprouvé de difficultés à être aimable, ou plutôt aimant, attentionné… Ouais, mais je n’étais pas moi-même, tu comprends, les vapeurs éthyliques… Et bien, si tu veux mon avis, mon p’tit Sev’, tu devrais prendre quelques verres un peu plus souvent. Certaines apprécieraient sûrement ! Et je ne crois pas que tu aurais à t’en plaindre de ton côté. Si le haut de ta personne n’apprécie guère ce maudit mal de crâne, le bas t’en remercierait encore une fois.

Assez bavardé ! Des choses plus sérieuses nous attendent. D’abord aller déjeuner. L’activité physique, quelle soit verticale ou horizontale creuse l’appétit. Ce repas du midi permettra de tenter une approche des coupables possibles, alors sois attentif et perspicace comme t’a déjà demandé Tu-Sais-Qui. Et en pensant à lui, n’oublie pas non plus ton rendez-vous de cet après-midi. Beurk ! Il ne manquait plus que cela pour me couper à nouveau l’appétit !

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La Grande Salle de Poudlard pour le premier samedi midi depuis le début de l’année, avait toutes ses tables complètes. En ce début d’automne, la fraîcheur extérieure et le dépouillement du paysage n’invitaient guère aux pique-niques tardifs. C’est pourquoi tous se retrouvaient devant leur assiette généreusement remplie du traditionnel rosbif du samedi. Les restes froids participeraient au repas du dimanche soir. Le brouhaha soutenue provenant de chaque table était un bon indicateur de l’ambiance décontractée.

– Tu es sûre que tu veux le faire, demanda Ron pour la quarante-deuxième fois à Hermione. Parce que tu sais, si personne ne se présente devant lui, ce n’est pas un problème, et personne ne risquera de punition non plus.
Ron avait définitivement oublié son incrédulité pour le rôle joué par Rogue dans les petites annonces. L’angoisse par rapport à Hermione prévalait tout. Craignait-il plus pour elle que pour lui ?

- T’es pas fou ! s’exclama George, de vouloir laisser tout tomber ! On s’est même demandé si nous n’allions pas nous déguiser en femmes pour être présent à la rencontre du siècle. Mais quand on a vu nos têtes après l’essai… Il vaut mieux s’abstenir, nous risquerions de ne pas passer inaperçus.

– Et je vous rappelle que je ne vais pas le rencontrer, rappela Hermione. Je vais juste vérifier discrètement s’il a une robe rouge ou pas. Et je pars très vite.

– Mais comment vas-tu faire pour qu’il ne te remarque pas ? s’inquiéta Neville.

– Souviens-toi ! s’énerva-t-elle. Sortie samedi après-midi pour les élèves = boutique pleine d’autres élèves que moi ! Rogue ne me verra même pas.

– J’espère, frissonna Neville. L’idée de se réjouir d’espionner le maître des potions était au-delà de sa compréhension.

L’ambiance était également détendue à la table des professeurs. Flitwick gazouillait avec Mac Gonagall, Dumbledore roucoulait avec Pomfresh, Trelawney pépiait à propos des photographies que lui montrait Chourave, jusqu’à Rogue qui affichait un début de sourire pincé en écoutant Mme Bibine narrer avec entrain le dernier match de Quidditch auquel elle avait assisté. Seule le professeur Ombrage ne parlait pas, ou plutôt, elle avait établi une longue conversation avec son assiette à dessert, maintenant achevée puisque cette dernière était vide.

En fait les pensées de Rogue étaient toutes focalisées sur un problème : comment interrompre ce moulin à paroles débitant son discours dénué d’intérêt sur un jeu complètement ridicule, pour lui poser une question. Et d’abord, quelle question au juste ? Que faisiez-vous cette nuit ? Non, trop personnel.
Que pensez-vous des haleines chargées ? Non, trop insultant car elle en était à sa troisième bièraubeurre et prendrait certainement cela pour elle. Que pensez-vous des relations charnelles entre collègues ? Certainement pas ! Elle va croire à une proposition.

C’est pendant ces intenses réflexions que Severus capta vaguement dans le flot de paroles arrivant à son oreille droite, les mots : « Et je disais justement à mon mari que nous avions bien fait de transplaner cette nuit pour aller les voir.. » . Et voilà ! Plus besoin de s’inquiéter. Une de moins. Il raya sur sa liste mentale un premier nom, puis se tourna vers son autre voisine. Suivi immédiatement d’un demi-tour de sauvegarde en sens inverse. A sa gauche se trouvait Ombrage. Et s’il ne savait pas quelle femme il avait tenu dans ses bras cette nuit, il était certain que ce n’était pas un pachyderme.

Il barra donc mentalement un deuxième nom, suivi rapidement d’un troisième. Il se souvenait parfaitement bien de la finesse de la taille de son amante. Donc, ce n’était pas Chourave non plus. Il la trouvait assez sympathique malgré son apparence. En effet, jamais sa maison de Poufsouffle n’avait réussi à devancer la sienne. Son équipe de Quidditch était régulièrement battue par celle de Serpentard. Et maintenant que Diggory n’était plus là, ce serait un jeu d’enfant. Le Seigneur des Ténèbres n’avait pas que des mauvaises actions, se réjouit-il. C’était un directeur soucieux de la réussite de sa maison. C’est beau, la conscience professionnelle !

Ses réflexions l’amenaient à de plaisantes perspectives, et c’était tout naturellement guidé par ses pensées qu’il porta son regard vers la table des Serpentards.
Arquant l’un de ses sombres sourcils, il s’aperçut que ses élèves s’étaient rapprochés les uns des autres pour entamer une discussion qui semblait à la fois passionnante et confidentielle. Le bavardage avait baissé d’un ton. Ce qui l’inquiétait davantage, c’était les fréquents coups d’œil lancés dans sa direction, comme s’il était l’objet de cette conversation. Malefoy était préfet ; Il faisait des rondes le soir… Aurait-il assisté cette nuit… ?

Mais la question posée par MacGonagall le sortit de son appréhension.

- Qu’en pensez-vous Severus ?

- Pardonnez-moi mais je ne suivais pas, répondit-il poliment en se tournant vers elle, Même si la quantité d’alcool qu’elle avait ingurgité hier soir l’éliminait de la liste, il se devait de rester vigilant et aimable… autant que faire ce pouvait…

– Je disais justement à Albus que la soirée d’hier était très plaisante et avait été appréciée de tous. N’est-ce pas votre cas ?

- Si bien sûr. C’est toujours un plaisir de souhaiter votre grand âg… anniversaire, se reprit-il à temps. Il ne fallait pas déroger à l’attitude fixée. Finis les sarcasmes…pour un temps. Mais j’ai eu quelques difficultés à me lever ce matin. Pas vous ? demanda-t-il innocemment. Le piège était tendu ; certes un peu grossier.

– Pas du tout ! J’aime me lever tôt. Et rien de telle qu’une petite promenade matinale autour du lac pour se remémorer la soirée agréable d’hier soir.

Rogue jaugea son regard. Il reconnaissait que le professeur Mac Gonagall avait une certaine résistance, même endurance, et qu’elle tenait remarquablement bien le coup, et cela, à plus d’un titre. Mais de là à l’imaginer partir après une folle nuit de débauche en petit footing autour du lac sans presque aucun sommeil, il y avait une certaine marge… pour ne pas dire l’océan Pacifique entre les deux. Un nom de plus à barrer de sa liste.

Songeur, il se tourna à nouveau sur la table des Serpentards. Il constata avec agacement que leur petit manège se poursuivait. Il s’apprêtait à se lever pour leur demander quelque explication lorsqu’il vit Parkinson piquer un fard en croisant son regardl. Aussitôt Malefoy la rabroua mais elle eut le temps de jeter une dernière supplique muette des yeux, à son directeur. Severus sentit un frisson glacé descendre le long de son dos, à l’endroit même où la voluptueuse de cette nuit s’était attardée de ses doigts nonchalants.

« Par Merlin ! Faites que ce ne soit pas une élève ! J’aurais pu la croiser à mon retour et ne plus savoir ce que j’ai dit ou fait par la suite… J’aurais pu croiser la mère Michelle roulant une pelle à Rusard, ou Dobby se tapant Miss Teigne (1) que je ne m’en souviendrais pas !
Non, calme toi mon p’tit Sev’, rappelle-toi, elle n’était pas toute jeunette. Demande à tes doigts, ils te le diront… OUF ! Une hypothèse désastreuse de moins. J’avais tout à perdre. L’appui de Dumbledore pour commencer. Le ministère me serait tombé dessus pour détournement de mineur dans le cadre de l’exercice de mes fonctions, et Bouse-De-Dragon qui vous tombe dessus, je préfère ne jamais connaître. Je ne tiens pas à finir mes jours en fauteuil roulant. Sans oublier que le père de Miss Parkinson étant un sympathisant Mangemort et un ami proche de Lucius, je risquais le courroux du Maître. Tu l’as échappé belle mon p’tit Sev’. Nouvelle règle de conduite : ne jamais te saouler en dehors de tes appartements. A l’extérieur, c’est trop dangereux, on rencontre n’importe quoi. »

Le repas s’achevait maintenant et toutes les tables se vidaient une à une, celle des enseignants aussi. Arrivé dans le couloir, le directeur apostropha discrètement le professeur Rogue pour lui rappeler de passer à son bureau ce soir, après le rendez-vous, et de profiter de sa sortie à Pré-au-Lard pour lui rapporter des boules de gommes magiques. Ce dernier acquiesça sobrement d’un signe de tête, plus livide que jamais. Tous ces rappels du moment honni lui contractaient douloureusement l’estomac ; le rosbif avait du mal à passer.

Mais il n’était pas au bout de ses peines. Dès que Dumbledore eut tourné des talons, le professeur Trelawney s’agrippa à lui, telle une sangsue du marécage de Queerditch. Il vit ses gros yeux de veau mort né roulés derrière les culs de bouteille qui lui servaient de lunettes. Un gargouillis à peine compréhensible de mots parvint à son oreille. Quand il en comprit enfin le sens, tout son corps se raidit, hormis une infime partie de lui-même qui, au contraire, se rétrécit mollement comme exposée à un grand froid.

– J’ai fait cette nuit un songe étrange et pénétrant, sans doute prémonitoire, et vous étiez dedans, minauda-t-elle. Mais je me demande comment je dois l’interpréter… C’était tellement… tellement…. Vous voyez ce que je veux dire, cher professeur.

– Je crains que non, finit-il par articuler froidement. En fait, il voyait bien des choses, plus terrifiantes pour lui les unes que les autres, où Trelawney jouait un rôle pour le moins dévêtu… Cette simple idée le réjouissait autant que de gagner un séjour d’un mois à Azkaban. Quoiqu’à bien y réfléchir, il préférait encore la compagnie d’un détraqueur. Le résultat à la sortie serait le même psychologiquement mais les gardiens, eux, ne siphonnaient que le cerveau.

Il se demanda subitement s’il n’allait pas lui retirer ce qui lui servait de lunettes. Il réalisait qu’il serait sans doute incapable de la reconnaître si elle ne les portait plus. Et nulle trace de lunettes dans les souvenirs de cette nuit.

Cette pensée, loin de le réjouir, le paralysa davantage. Serait-il possible que… ? C’était trop horrible ! Cette idée le tétanisait. Et pourtant, la simple logique l’empêchait d’écarter cette possibilité : la finesse de la taille, hélas oui, malgré les couches superposées d’oripeaux divers.
La peau déjà marquée par l’âge… sans doute… mais quel âge au juste avait cette vieille chouette rabougrie ? Plus que lui en tout cas. Elle enseignait (si ce verbe pouvait être utilisé dans son cas… Il avait des doutes.) depuis un an déjà, quand il avait regagné Poudlard pour passer de l’autre côté du bureau.

Elle était complètement cinglée, mais nul besoin d’être extralucide pour se souvenir du prénom d’une personne que l’on rencontre quotidiennement depuis des années.
Et elle avait utilisé ce terme de « pénétrant »… Avait-elle l’intelligence suffisante pour ce genre d’allusion ?
En toute logique, il ne pouvait écarter la possibilité qu’elle soit l’amante mystère, malgré toute l’envie qu’il en avait. Il se morigéna intérieurement et décida de passer à l’attaque.

– Sans doute pourriez-vous m’expliquer. Mes goûts personnels ne m’ont jamais porté vers vos conn…… centres d’intérêt.

– Seuls quelques rares élus peuvent prétendre à la clairvoyance comme moi, reprit l’illuminée. Dans ce rêve, vous étiez étendu…… Comment dire, je perds mes mots.

– Sur qui ? … Je veux dire sur quoi ? questionna-t-il alors que le trouble le faisait dérailler.

– Sur votre lit, ne vous inquiétez donc pas pour cela, mon cher, tenta-t-elle de le rassurer.

Ses paroles eurent l’effet complètement inverse. Ses craintes se confirmaient dangereusement. Il la détaillait de haut en bas et de bas en haut en se demandant comment il avait pu en arriver là… Il sentait une sueur froide d’angoisse perler à son front.

– Mais vous étiez couvert de sang et la mort frappait à votre porte, finit-elle avec une voix qui se voulait de pythie mais ressemblait beaucoup aux criaillements des corneilles.

Ces sinistres propos eurent, eux aussi, l’effet inverse. Ce n’était donc que cela ! Rien de plus qu’une nouvelle élucubration de cette folle ! Quiconque serait passé à ce moment là à côté du professeur Rogue aurait pu voir ses traits se détendre grandement. On aurait même pu entendre le soupir de soulagement s’échapper de sa poitrine. Heureusement pour lui, le professeur de divination n’avait pas que la vue basse. Son ouïe et son intelligence devaient se partager le neurone qui lui restait. Rogue eut le plus grand mal à ne pas exploser de rire, à ne pas danser la gigue sur place, en résumé, à rester stoïque et impénétrable, comme il se le devait.

Après le nom de Parkinson, il put supprimer de sa liste le sixième nom tant redouté, celui de Trelawney.
Le mystère restait entier. Mais qui donc était cette drôlesse !. !. !

Cependant, il devait mettre de côté son enquête pour un instant. Il devait se préparer pour son rendez-vous, ce qu’il fit la mort dans l’âme. Toute cette histoire, toutes ces histoires mêmes, commençaient à peser lourdement sur sa sérénité. Pourquoi diantre aucun sorcier n’avait-il encore inventé un système d’auto-reproduction ! Ainsi toutes les femelles de la création, faiseuses d’histoires, de problèmes, de soucis et autres complications pourraient être toutes définitivement éliminées !

A quelles extrémités l’inquiétude et le désespoir peuvent-ils pousser un homme ! Et pourtant, notre cher Severus n’était pas au bout de ses peines !

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Je sais que vous attendiez la réponse de Sev avec un peu d’impatience… et en plus vous ne l’avez pas encore…. A l’origine, le chap 10 et 11 n’en formaient qu’un seul … (Vous ai-je déjà dit que je suis gravement atteinte de diarrhée verbale et qu’il n’existe aucun médicament pour me soigner ?)
Gros bisous à tous et toutes !
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