les chevaliers de Zexen relaxent un vendredi soir!
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Adult ++
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Disclaimer:
I do not own the games(s) that this fanfiction is written for, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.
les chevaliers de Zexen relaxent un vendredi soir!
Titre: Les grands chevaliers de Zexen relaxent un vendredi soir.
Écrit par: Pikinanou
Jeu: Suikoden III mettant en vedette: «the six mighty knights of Zexen» moins une.
Note: Je sais, le titre est pourri mais espérons que l\'histoire ne le sera pas.^_^ Cette histoire contient du sexe entre deux ou plusieurs (!) hommes. Si vous vous sentez offusqués par cela, ne lisez pas la suite. NC-17 bien sûr.
Déclaration: Je NE POSSÈDE PAS Borus, Percival, Leo, Roland, Salome et/ou n\'importe quel autre personnage du jeu Suikoden 3. J\'ai seulement une copie du jeu, une collection de fanarts et un esprit tordu (la preuve, j\'écris une histoire hentai, un «cinqsome» en plus! Si c\'est pas tordu, ça...) Si Konami ne veut pas de Borus ni de Jacques, je suis plus que prête à les accueuillir chez moi, hehe! *souris à pleine dent!* En tk...
Autre note: *Even if I talk and speak english, my writting skills...suck! anybanybody want to translate this story, i\'ll just have one thing to say: go baby GO!!!*
And the story goes...
Bien que dans le parfait univers de Suikoden 3 il ne semblait jamais pleuvoir, pour les besoins de cette histoire ridicule (et parce que je l\'ai décidé ^_______^), ce soir-là, il pleuvait. Il pleuvait beaucoup. Énormément même. Il pleuvait tellement que les plus courageux (ou imbéciles) habitants du château de Brass pouvaient pêcher le saumon en jetant leur ligne par-dessus les remparts du pont reliant la forêt de Zexen au eau.eau. Mais il pleuvait tellement qu\'un pauvre personnage anonyme qui tentait de pêcher sur le pont éternua et tomba par-dessus bord. Quel dommage... ou presque.
Mais cette histoire n\'ayant rien à voir avec un imbécile qui pêchait sur le pont, poursuivons donc vers notre centre d\'intérêt ou plutôt nos centres d\'intérêt, ceux-là même qui étaient bien à l\'abri de la pluie dans les murs du château de Brass, bien au chaud dans la salle commune des six grands chevaliers de Zexen, héros parmis les pauvres mortels (muahhahahahaha!). Oui, cinq hommes bien connus du peuple étaient dans la salle commune, le nez collé dans les fenêtres à regarder la pluie ruiner leur premier vendredi soir de congé depuis longtemps. Je pourrais vous dire depuis combien de temps ils n\'avaient eu un vendredi soir de congé mais je n\'en sais rien moi-même alors dites vous que ça faisait longtemps.
Borus, Perc, Le, Leo, Roland et Salome regardaient par la fenêtre, hypnotisés par les gouttelettes qui ruisselaient le long de la paroie vitrée; chacun d\'eux s\'ennuyait emenement. Ils s\'ennuyaient tellement que même leur ennui s\'ennuyait. Ils passèrent des heures en silence, le nez refroidit par la vitre et embuée par leur souffle ennuyé puis comme un orchestre, ils poussèrent un long soupir tous en même temps. Ils ne portaient pas leurs armures ce soir-là, seulement leurs tuniques et leurs pantalons, ils avaient cependant gardé leurs bottes car le pher her du château n\'était pas chauffé. Le regard refletant son ennui, ce fut Leo qui brisa le silence:
\" Quel vendredi.\"
\" Tu parles\", répliqua Percival puis sarcastiquement,\" c\'est une chance que nous ayoongéongé ce soir!\"
Salome répondit sans quitter sa fenêtre:
\" Je ne contrôle pas la température, Percival. De toute façon, le conseil aurait très bien pû nous forcer à combattre la déesse seule sait quels hommes-des-Terres en un temps pareil.\"
\" Considérons-nous chanceux\", ajouta Roland. \" Je ne voudrais pas aller sur les Terres pour tout l\'or du monde par un tel temps.\"
Le silence revint à peine quelques minutes pour être interrompu par la voix du chevalier de la rage:
\" Ça nous contraint à rester cloitré ici pendant notre premier vendredi soir de congé depuis des lunes quand même.\"
\" Ouais\", fit le chevalier de Gale. \" Que pouvons-nous faire pour passer le temps? Lady Chris est à Vinay del Zexay avec Louis et il nous est impossible de sortir du château.\"
Le blondinet s\'éloigna de son poste et se dirigea vers le foyer dans lequel un grand feu réconfortant réchauffait la pièce. Les autres chevaliers le suivirent du regard, l\'observant se diriger vers le foyer puis vers la table près de celui-ci pour atteindre finalement un sac de voyage. Borus l\'ouvrit puis en sortit d\'un geste triomphant une grande bouteille de vin rouge de sa collection personnelle:
\" Il n\'y a pas grand chose à faire sinon profiter d\'une bonne bouteille. Qu\'en dites-vous?\"
Percival et Leo furent les premiers à rejoindre leur ami, le sourire aux lèvres.
\" C\'est une idée splendide, Borus\", répondit le brunet.
\" En effet\", dit Salome. \" Il y a bien longtemps que nous n\'avons pas fêté ensemble.\"
Roland alla chercher des verres puis revint vers le groupe:
\" Je suis d\'accord.\"
Tous remplirent leur verre puis firent un toast:
\" Buvons en l\'honneur des meilleurs chevaliers de Zexen\", lança Salome.
Tous répliquèrent un fort «Aye!».
\" À nos futurs campagnes desquelles nous sortirons vainqueurs\", annonça Roland, un de ses rares sourires illuminant ses lèvres.
«Aye!»
\" À notre chère mère nature qui nous a permit de nous réunir ce soir\", renchérit Borus.
«Aye!»
\" En l\'honneur de notre chère Lady Chris\", dit Leo.
«Aye!»
\" Et que cette soirée soit une dont nous nous souviendrons\", répliqua enfin Percival, un sourire charmeur accompagnant ses paroles.
«Aye!»
Verre après verre, les heuressèrssèrent et l\'atmosphère dans la salle commune se réchauffa. Elle s\'était tellement réchauffée que les chevaliers s\'étaient mis à l\'aise en retirant leurs bottes et en enlevant leur tuniques, vêtus seulement de leurs chemises et de leur pantalons. Les cinq hommes avaient maintenant terminé trois bouteilles de vin rouge et ils étaient en train d\'en vider une quatrième, le sourire sur toutes les lèvres. Assis sur l\'immense tapis devant le foyer, les chevaliers jouaient maintenant à un jeu de boisson dont le but était de dire une affirmation en forme négative puis chaque joueur dont l\'affirmation se révélait fausse dans leur cas devait boire une gorgée. Le jeu avait commencé sur une note drôle où chaque chevalier relatait une histoire ou une mésaventure et cela les avait mené encore plus loin dans leur état d\'hébriété. Mais plus le jeu avançait et plus les mésaventures tournaient autour du sexe et des conquêtes secrètes...
Salome était assis par terre, le dos contre l\'un des sofas et bloti entre Roland et Leo. Le chevalier à la hache avait son bras autour des épaules du stratégiste et de l\'elfe, ce dernier beaucoup plus souriant et nonchalant que d\'habitude. Borus et Percival étaient assis en face, eux-même appuyés contre un autre sofa, le regard brumeux et l\'air joyeux. Les jambes du blond étaient entremélées avec celles de Salome alors que son compagnion avait passé son bras gauche par dessus ses épaules et jouait distraitement avec une mèche de cheveux.
\" À qui le tour?\" demanda Roland.
\" C\'est à moi\", lança Salome en levant son verre. \" Je... je ne suis jamais tombé à cheval en allant en quête!\"
Les quatres autres chevaliers grognèrent puis prirent une gorgée du liquide ensorcelleur tandis que le stratégiste souriait à pleine dents. Borus marmonna après avoir avalé l\'ol dol dans sa bouche:
\" Ça serait difficile pour toi de tomber de cheval... tu nous accompagnes toujours à pied!\"
L\'aîné aux cheveux blonds souria d\'avantage et laissa un profond rire s\'échapper de sa gorge. Il fut accompagné par ceux de ses compagnions sans attendre, le moindre mot pouvant les faire rire aux larmes sans effort, l\'alcool était à remercier. Le chevalier elfique passa une main dans ses cheveux violets puis il leva son verre:
\" À moi! (Il se racla la gorge solonellement.) \" Je...\"
Percival lui lança un regard étrange:
\" Je quoi?\"
\" Je... je n\'ai... jamais...jamais... jamais jamais jamais jamais jamais jamais jamais jamais (Il reprit une grande respiration.) jamais jamais jamais...\"
\" Roland!
\" Ça ne lui fait pas trop de boire, il devient excessif.
\" On a comprit la partie du jamais, tu sais.
\" Hehehe... je-n\'ai-jamais... couché avec Lady Chris!\"
Sur ces mots, l\'archer leva maladroitement son verre et le but d\'un trait. Les quatres autres chevaliers haussèrent les épaules et burent. Ils se regardèrent ensuite pendant une trentaine de seconde sans mot puis ils pouffèrent de rire.
\" Je le savais!\", lança Salome.
\" Bah, Lady Chris s\'est tapée toute l\'armée... même les autres femmes!\", répondit Percival, les larmes aux yeux.
Borus remplit à nouveau les verres en versant plus de la moitié de la bouteille sur le tapis. Son esprit était embrouillé tout comme ses gestes mous mais il se sentait très heureux alors il reprit sa place auprès du chevalier de Gale, inhalant profondément l\'odeur musquée de celui-ci au passage.
Ce fut au tour du chevalier à la hache de parler et celui-ci réfléchit un instant avant de dire son affirmation. Cette question avait tourné en rond dans sa tête depuis quelques temps déjà et il ne supportait plus de retenir sa langue. L\'alcool avait maintenant une petite voix dans sa tête et elle lui disait:
\" Qu\'est-ce que t\'attends? Le retour du Champion de Feu? Dis-le!!\"
Alors il le dit, calmement, tout en fixant ses compagnions:
\" Je n\'ai jamais eu le béguin pour l\'un des six grands chevaliers de Zexen.\"
Tous les chevaliers le regardèrent tandis qu\'il levait son verre puis le but au complet. Leurs visages étaient rougis mais on ne pouvait dire si c\'était à cause de l\'alcool ou bien à cause de l\'affirmation du chevalier à la hache. Percival pencha la tête vers son verre puis ricanna pour lui-même. Il porta le verre à ses lèvres et en but tout le contenu. Il fut bientôt imitr Sar Salome puis par Roland et enfin par Borus. Tous se regardèrent et leurs yeux ne mentirent pas, cependant l\'elfe demanda doucement en regardant plus précisément les hommes à ses côtés:
\" Suis-je le seul qui ne pensait pas à Lady Chris?\"
Le temps s\'était figé dans la pièce, on n\'entendait que le crépitement du feu dans le foyer. Les cinq chevaliers ivres assis à même le sol étaient en plein combat intérieur: devraient-ils se laisser aller par leurs pulsions alors que le défi venait d\'être lancé? L\'alcool ayant affaibli leurs capacités, il ne se passa pas plus que quelques secondes avant que la machine infernale de la passion masculine ne s\'enclenche. Leo caressa l\'une des longues oreilles de Roland tandis que Salome glissait sa main sur sa poitrine, laissant ses doigts explorer les courbes musculaires qui lui étaient inconnues. Un immense frisson parcourut l\'entité du corps de l\'elfe qui répondit à ces gestes avec ses mains, les guidant vers la source d\'une nouvelle sensation qui envahissait maintenant les deux chevaliers dans la région inférieure. L\'alcool dans leurs systèmes amplifiait les sensations et leur peau devint extrêmement sensible, leur respiration s\'accéléra alors que leurs mains devenaient de plus en plus confiantes et généreuses. Guidés par la voix de la passion, les trois doyens des grands chevaliers de Zexen exprimaient leur désir avec tous les membres de leur corps, multipliant les caresses et les baisers, gémissant du plus profond de leur gorge des plaintes de désir primaire.
Devant cette scène plutôt inattendue, les deux autres chevaliers étaient bouche bée. Percival sembla prendre conscience, au meilleur de son état d\'ivresse, que son bras gauche le mettait en contact avec le corps du plus jeune blond. Au même moment, Borus arrivait à la même constatation. L\'alcool et la vue érotique qui s\'offrait à eux activèrent leur bas instincts dans un sens plutôt... positif.
Le chevalier de Gale glissa sa main gauche sur le bras de l\'objet de son désir, ressentant du même coup la chaleur intense que celui-ci dégageait sous sa chemise. Le blond plongea son regard noisette dans la noirceur des yeux du brunet, humectant en même temps ses lèvres entrouvertes. Comprenant immédiatement la signification de ce geste, Percival laissa son corps prendre le contrôle, ses lèvres envieuses et impatientes fusionnèrent avec celles du chevalier de la rage, goûtant le vin du plaisir qui les avait tous entraînés dans cette aventure. Les yeux de celui-ci exprimèrent mieux que milles mots les sentiments qui émergeaient en lui: surprise puis doute mais enfin un doux désir à l\'arôme envoutant. Il répondit alors au baiser en demandant accès avec sa langue pour goûter d\'avantage, ce qui ne lui fut pas refusé. Le chevalier de Gale réduisit instinctivement l\'espace entre leurs deux corps alors qu\'ils étaient liés si intimement et tandis que sa main gauche caressait la chevelure dorée, sa main droite glissa tel un serpent le long des muscles de la jambe, parcourant ce corps tant désiré, sensuellement provocatrice en passant tout près d\'une certaine région sans y toucher directement pour monter le long des abdominaux puis les pectoraux; tout cela ayant atisé un feu dans son propre abdomen et même plus bas alors que son amant poussait un grognement du plus profond de sa gorge blanche.
Borus n\'était pas du genre patient lorsqu\'il était sobre mais il l\'était encore moins lorsqu\'il était ivre; empoignant le brunet par les muscles fessiers, il l\'assit sur ses cuisses en un élan, pressant dès lors sa preuve d\'affection contre celle de son partenaire. Percival brisa le baiser, regagnant quelque peu son souffle et fixa le blond dans les yeux. Celui-ci lui rendit un regard malin puis comme pour lui montrer son impatience passionnelle, roula ses hanches contre les siennes tout en aggripant son derrière musclé par toutes ces années d\'entrainement et de chevalerie. Percival souria comme un loup devant l\'audace du blond et entreprit une douce vengeance. Ses lèvres retrouvèrent celles de son amant et ses mains s\'affairèrent à débarasser le jeune chevalier d\'un évident surplus de vêtements.
S\'ils n\'avaient pas été aussi... occupés à se satisfaire, les deux plus jeunes chevaliers auraient été témoins des activités de leurs séniors qui réchauffaient la pièce à eux seuls. Tout trois étaient maintenant sans chemise, la sueur ruisselait sur leurs fronts et détrempait leur peau moite et bouillante. Leo était agenouillé derrière Salome, son érection caressant la peau douce et tentatrice du fessier du stratégiste alors que Roland tenait ce dernier contre son compagnion de couleur, ayant glissé les jambes de l\'homme autour de sa taille pour se rapprocher de son corps. Il avait déjà libéré le blond de l\'obstacle qu\'était son pantalon pour glisser sa main droite aux doigts éffilés dans son entre-jambes, découvrant ainsi le membre secret du stratégiste qui durcit au touché elfique. L\'elfe traça un chemin humide sur la peau salée de son compagnion avec sa langue et ses lèvres, terminant son périple sur la pomme d\'Adam qu\'il suça avidement. Le chevalier aux cheveux longs fit rouler ses hanches d\'impatience tandis que sa main se faufila sur la peau crèmeuse de l\'archer, resentant tout les os et les muscles des ses épaules, de son dos et de sa nuque pour trouver à nouveau les longues oreilles qu\'il chatouilla vilainement, ce qui provoqua un puissant soubresaut de la part du propriétaire des dites oreilles et une réponse incompréhensible dans sa langue natale. Emmitoufflé entre ses deux frères d\'armes, Salome avait beaucoup de difficulté à garder sa tête claire car son esprit était embrumé par l\'ivresse de l\'alcool et celle du désir, cette dernière qu\'il n\'avait pas ressenti depuis des siècles. Se trémoussant entre les deux corps enflammés, il cherchait son souffle dans cet atmosphère bouillante et suffocante, sa tête rejetée en arrière pour mieux sentir l\'homme exotique et son arôme salée et terreuse, ses mains calculant chaque centimètres d\'épiderme avec lesquels elles entraient en contact, ses jambes bien accrochées autour de la taille du plus grand chevalier... Ne pouvant être tempté d\'avantage sans sentir sa tête exploser, il ne cacha aucunement son urgent besoin de contact plus intime: il implora d\'un coup séducteur de son postérieur l\'attention du chevalier derrière lui qui se débarassa aussitôt de son propre pantalon tandis que le stratégiste arrachait littéralement ceux de l\'elfe. En quelques mouvements si rapides et fluides qu\'ils n\'y virent rien, leur nudité fut apparente autant que leur excitation devant cet acte aussi tabou, leurs coeurs battant comme des diables dans leurs poitrines en sueur.
Puisque leurs vêtements n\'étaient plus un obstacle, Percival put enfin admirer le corps dénudé de Borus Redrum, le chevalier dont la chair portait tant de cicatrices que raconter l\'histoire de chacune d\'elles serait une tâche ardue mais tellement plaisante. Lui-même en portait un lot impressionnant mais jamais il n\'avait put contempler celles de son compagnion, spécialement celles qui marquaient son dos, résultat d\'une colère familliale inconnue dont les souvenirs étaient enfouis dans un recoin du coeur du blondinet. Malgré cela, le chevalier aux cheveux de café ressentit un désir intense lorsque ses yeux tombèrent sur ce dernier alors qu\'il était étendu sur le dos, ses cheveux blonds tombant sur son front et camouflant à peine ses yeux enflammés, sa bouche entrouverte, ses lèvres souriantes, son cou et sa pomme d\'Adam, sa poitrine vierge de poils mais musclée par l\'entraînement, ses bras forts qui étreignaient le brunet par les épaules alors que celui-ci traçait avec sa bouche, similairement à la manière de l\'elfe, un parcours le long des muscles abdominaux pour rejoindre le centre de l\'univers passionnel de son amant, ses propres bras fermement enlacés autour de ces hanches dignes d\'un dieu grec. Son souffle chaud combiné avec la moiteur de sa langue extrayaient des sensations enivrantes pour le chevalier de la rage qui courbait le dos de plaisir et poussait des roucoulements du fond de sa gorge. Cependant, sa surprise fut grande lorsque son organe masculin se retrouva dans le foyer d\'une chaleur digne de celle de l\'Enfer, la langue si experte dans les caresses précédentes se prouvant encore plus indispensable en ce moment, celle-ci examinant chaque millimêtres de peau sensible de son univers. Il cherchait son souffle dans toutes ces émotions, ses yeux roulaient dans leurs orbites et sa tête vacillait de gauche à droite, instable et lourde mais en même temps si légère car il ne la sentait pas contre le tapis. Ses mains trouvèrent la chevelure virevoltante du brunet et y plongèrent tandis que celui-ci travaillait sur le centre d\'attention du jeune blond, sa propre érection se faisant sentir un peu plus bas. Son esprit embrumé par le désir commandait chaques muscles de son corps dans ces actes d\'amour passionel, lui-même à peine conscient du temps et de l\'espace. Il n\'entendait que le battement de son coeur ainsi que des gémissements de Borus dont il n\'avait jamais assez. Cependant, lorsque ce dernier accélèra sa respiration et qu\'il murmura son nom d\'une voix suave et insistante, il sut qu\'il approchait de la cime de son plaisir. Redoublant d\'intensité sur sa tâche, le chevalier aux cheveux de café administra le coup de grâce et en peu de temps, l\'essence de vie du jeune blond jaillit de son membre, extirpant du même coup un profond cri de libération de ses lèvres puis il relaxa enfin, reposant sa tête et calmant sa respiration d\'un tel plaisir. Percival lècha ses lèvres puis porta son regard sur le visage en sueur de son amant, celui-ci si essoufflé qu\'il semblait sur le point de perdre connaissance. Il n\'en était pourtant pas le cas car le chevalier de Gale sentit deux mains puissantes l\'empoigner par les bras pour le tirer vers le propriétaire des dites mains, les deux hommes étant maintenant nez à nez. Borus plongea son regard noisette dans celui de jais de son compagnion puis murmura dans un souffle à peine audible:
\" C\'est à ton tour maintenant.\"
En effet, le brunet serait récompensé pour une si bonne action...
Qui aurait crû que le vin avait un tel effet sur l\'homme rationel qu\'était Salome? Et pourtant il semblerait que oui car celui-ci s\'agenouillait grâcieusement devant le sofa, appuyant ses coudes sur le siège moelleux et écartant ses jambes pour donner accès à ses compagnions. Roland, dévêtu et plus prêt que jamais, s\'agenouilla derrière le stratégiste, la cime de son membre frémissant à l\'entrée du fessier du blond. Leo s\'agenouilla alors derrière l\'elfe, imitant le geste avec son propre organe, aggrippant les hanches de l\'archer alors que celui-ci faisait de même avec celles du chevalier contre le sofa. Ce fut le stratégiste qui activa ce rouage de la machine passionellement infernale cettes-cis-ci: se positionnant minutieusement, il s\'empala délicieusement sur l\'elfe sans retenue, serrant les dents devant cette nouvelle douleur qui envahissait son corps. Roland figea un instant par la surprise puis il jeta un coup d\'oeil d\'affirmation vers le chevalier de couleur qui le pénétra à son tour. Tous trois surpris par une telle sensation à la fois si douloureuse et jouissante, ils restèrent quelques secondes ainsi, insérés l\'un dans l\'autre, s\'habituant à cette intimité inhabituelle. Puis comme un orchestre soumis à un ordre invisible, ils bougèrent en accord, balançant leur masse l\'un vers l\'autre, plongeant en l\'autre et envahi par l\'autre. Ils dansèrent dans une harmonie synchronisée, leur corps répondant aux désirs et aux besoins de l\'autre sans paroles. Leur rythme s\'accélèra graduellement, leurs caresses reprirent pour accompagner leurs gémissements coïtaux et bientôt, ils furent prit de la frénésie sexuelle, soumis à ces lois invisibles qui les attiraient de plus en plus férent ent l\'un à l\'autre, leurs corps se frappant régulièrement, leurs cris plus sauvages, plus aggréssifs, plus charnels... La chaleur de la pièce devenait étouffante voir même insupportable au fur et à mesure que leur danse lascive les emportait vers le point de non-retour. S\'abandonnant langoureusement au plaisir de la chose, les trois hommes se donnèrent entièrement, satisfaisant leurs besoins autant que celui des autres dans un crécendo endiablé qui monta en flèche vers l\'innomable beauté de l\'orgasme.
Inspiré par les gémissements de ses compagnions, le jeune chevalier de la rage écarta les jambes pour exposer sa région sensible au bon plaisir du chevalier de Gale. Il porta son index et son majeur droit à sa bouche et les humidifia généreusement d\'une manière similaire à celle que son amant avait utilisé auparavant sur son organe en besoin. À cette vue tentatrice, le brunet senti son érection se raidir encore plus, visiblement satisfait de ce qu\'il voyait. Le blond guida alors ses doigts vers son entrée vierge, caressant la peau sensible entre ses fesses rondes pour alléger la tension qui y règnait. Percival joignit sa propre main au rituel de préparation tandis que ses lèvres retrouvèrent celle de l\'objet de son désir. Il envelloppa la main du blond avec la sienne et guida les doigts vers la source de plaisir, enfonçant d\'abord l\'index dans l\'ouverture puis après un moment ajouta le majeur, ces gestes provoquaient de furieuses réactions chez le chevalier en question... réactions affreusements excitantes aux dires du chevalier d\'Iksay. Borus poussa des gémissements qui furent camouflés par le long baiser qu\'il partageait avec Percival, ses lèvres littéralements fusionnées avec celles de son amant, leurs langues se livrant une délicieuse bataille à l\'insu du monde. Le chevalier de la rage, sans briser le lien buccal, retira ses doigts de son portail charnel puis souleva le bas de son corps, appuyant son entre-jambe sur la preuve de virilité masculine du chevalier de Gale, roulant ses hanches pour inciter un contact plus intime entre eux. Obéissant aveuglement aux ordres de la machine infernale, le brunet aggrippa son Adonis par les fesses, se positionna entre celles-ci puis s\'unifia d\'un coup de hanche lent mais calculé avec le jeune blond, les jambes de ce dernier s\'enlacèrent autour de sa taille et ses bras, autour du haut de son dos. Leurs lèvres se séparèrent mais elles ne s\'éloignèrent point, les chevaliers unis maintenant par le regard d\'où l\'un pouvait lire douleur mais aussi une magnifique sensation d\'entité qui envahissait la première. Les premiers mouvements furent incertains et timides mais bientôt, leurs instincts prirent le contrôle de leurs corps, les entraînant dans une expression passionelle trop longtemps refoulée. Leurs voix étaient basses, murmurant des mots et des monosyllables presques inaudibles; leurs respirations s\'accélèraient en cadence avec leurs gestes, leurs mains parcouraient la peau moite de désir de l\'autre; la chaleur de la pièce n\'ayant maintenant aucun lien avec le feu du foyer... À chaque coup, le chevalier blond sentait ses muscles se contracter autour du chevalier brunet, accentuant du même coup les sensations qui envoyaient des vagues de chocs électriques de son estomac à chaque extrémité de sa chair. Il rejeta sa tête vers l\'arrière, tel qu\'il l\'avait fait peu de temps avant, son amant grogna en accélèrant d\'avantage son rythme, lui-même si proche de son propre orgasme.
D\'un point de vue extérieur, une telle histoire pourrait sembler impossible. Pour être franc, les deux chevaliers anonymes postés dans le couloir de l\'autre côté de la porte de la salle commune des chevaliers de Zexen n\'en croyaient tout simplement pas leurs oreilles. Les deux hommes étaient encore à leurs postes, immob com comme les bons soldats anonymes qu\'ils étaient. Cependant, les cris qui retentissaient de la pièce devenaient de plus en plus suggestifs et bientôt ils ne purent s\'empêcher de se regarder avec une expression de surprise au visage. L\'un d\'eux finit même par demander à l\'autre:
\" Crois-tu vraiment qu\'ils jouent aux cartes?\"
Il fut un temps pour la pluie mais comme on dit: \"Après la pluie vient le beau temps, après la nuit vient le jour, après le premier du mois viennent les chèques de paie... (ehrr?!).\" Bref, la pluie qui tombait de façon torentielle sur le parfait monde de Suikoden finit par s\'estomper et la nuit laissa place au jour, la fraîche brume du matin couvrant encore l\'herbe innondée... le personnage anonyme qui pêchait la veille put enfin descendre de son arbre auquel il avait trouvé refuge, (vous ne pensiez quand même pas qu\'un personnage anonyme allait mourir dans cette histoire, non?)
Lady Chris, accompagnée de Louis, arrivait au château de Brass, épuisée mais heureuse. Le capitaine des chevaliers de Zexen chevaucha jusqu\'à l\'intérieur des murs du château, une chanson joyeuse trottant dans sa tête mais elle se retenue de la chanter tout haut car la déesse sait bien qu\'elle fausse comme un cochon qui se fait égorger! Elle descendit de monture, empoigna son sac de voyage puis entra dans le grand hall aux murs de pierres. Elle gravit l\'escalier en saluant les deux femmes anonymes qui parlent toujours au pied de cet escalier, le sourire toujours aux lèvres et Louis à ses talons. Elle traversa le couloir puis arrêta devant la salle commune, se demandant si il était sage de saluer les grands chevaliers de Zexen de si bonne heure. Décidant ainsi, Chris ouvrit les portes de bois massif, en lançant:
\" Bonjour, messeigneurs!\"
Elle regarda dans la pièce mais ne vit personne. Un grognement endormi se fit cependant entendre. Elle demanda:
\" Il y a quelqu\'un?\"
Un pied nu remua derrière l\'un dofasofas, l\'héroïne blanche s\'approcha du centre pour voir à qui il appartenait. Lorsqu\'elle posa les yeux par terre, son visage fut frappé de stupeur. Ses yeux s\'aggrandirent comme des assiettes, sa bouche pendait stupidement et elle en laissa même tomber son sac de voyage.
Elle resta ainsi quelques secondes, le choc tellement apparent sur son visage qu\'elle en faisait peur. Ses cinq chevaliers les plus valeureux, les plus habiles, les plus dévoués à Zexen... étaient tous couchés sur le tapis devant le foyer, nus comme le jour de leur naissance, entrelacésfaçofaçon suggestive et endormis comme les saoulons qu\'ils étaient après une nuit où l\'alcool avait coulé abondamment.
Son choc passa alors pour être remplacé par une fureur pure et brutale. Tout le château de Brass l\'entendit hurler à plein poumons en ce matin joyeux et ensoleillé:
\" BANDE D\'INGRATS!!! ET VOUS NE M\'AVEZ MÊME PAS ATTENDUE!!!!!\"
~Fin~
So? Was it good? Bad? Stupid? Where is Charlie? Will i stop asking all these useless questions? Will you be a good reader and rewiew? Yesss. I know you will... go ahead!
^_______~
Pikinanou
Écrit par: Pikinanou
Jeu: Suikoden III mettant en vedette: «the six mighty knights of Zexen» moins une.
Note: Je sais, le titre est pourri mais espérons que l\'histoire ne le sera pas.^_^ Cette histoire contient du sexe entre deux ou plusieurs (!) hommes. Si vous vous sentez offusqués par cela, ne lisez pas la suite. NC-17 bien sûr.
Déclaration: Je NE POSSÈDE PAS Borus, Percival, Leo, Roland, Salome et/ou n\'importe quel autre personnage du jeu Suikoden 3. J\'ai seulement une copie du jeu, une collection de fanarts et un esprit tordu (la preuve, j\'écris une histoire hentai, un «cinqsome» en plus! Si c\'est pas tordu, ça...) Si Konami ne veut pas de Borus ni de Jacques, je suis plus que prête à les accueuillir chez moi, hehe! *souris à pleine dent!* En tk...
Autre note: *Even if I talk and speak english, my writting skills...suck! anybanybody want to translate this story, i\'ll just have one thing to say: go baby GO!!!*
And the story goes...
Bien que dans le parfait univers de Suikoden 3 il ne semblait jamais pleuvoir, pour les besoins de cette histoire ridicule (et parce que je l\'ai décidé ^_______^), ce soir-là, il pleuvait. Il pleuvait beaucoup. Énormément même. Il pleuvait tellement que les plus courageux (ou imbéciles) habitants du château de Brass pouvaient pêcher le saumon en jetant leur ligne par-dessus les remparts du pont reliant la forêt de Zexen au eau.eau. Mais il pleuvait tellement qu\'un pauvre personnage anonyme qui tentait de pêcher sur le pont éternua et tomba par-dessus bord. Quel dommage... ou presque.
Mais cette histoire n\'ayant rien à voir avec un imbécile qui pêchait sur le pont, poursuivons donc vers notre centre d\'intérêt ou plutôt nos centres d\'intérêt, ceux-là même qui étaient bien à l\'abri de la pluie dans les murs du château de Brass, bien au chaud dans la salle commune des six grands chevaliers de Zexen, héros parmis les pauvres mortels (muahhahahahaha!). Oui, cinq hommes bien connus du peuple étaient dans la salle commune, le nez collé dans les fenêtres à regarder la pluie ruiner leur premier vendredi soir de congé depuis longtemps. Je pourrais vous dire depuis combien de temps ils n\'avaient eu un vendredi soir de congé mais je n\'en sais rien moi-même alors dites vous que ça faisait longtemps.
Borus, Perc, Le, Leo, Roland et Salome regardaient par la fenêtre, hypnotisés par les gouttelettes qui ruisselaient le long de la paroie vitrée; chacun d\'eux s\'ennuyait emenement. Ils s\'ennuyaient tellement que même leur ennui s\'ennuyait. Ils passèrent des heures en silence, le nez refroidit par la vitre et embuée par leur souffle ennuyé puis comme un orchestre, ils poussèrent un long soupir tous en même temps. Ils ne portaient pas leurs armures ce soir-là, seulement leurs tuniques et leurs pantalons, ils avaient cependant gardé leurs bottes car le pher her du château n\'était pas chauffé. Le regard refletant son ennui, ce fut Leo qui brisa le silence:
\" Quel vendredi.\"
\" Tu parles\", répliqua Percival puis sarcastiquement,\" c\'est une chance que nous ayoongéongé ce soir!\"
Salome répondit sans quitter sa fenêtre:
\" Je ne contrôle pas la température, Percival. De toute façon, le conseil aurait très bien pû nous forcer à combattre la déesse seule sait quels hommes-des-Terres en un temps pareil.\"
\" Considérons-nous chanceux\", ajouta Roland. \" Je ne voudrais pas aller sur les Terres pour tout l\'or du monde par un tel temps.\"
Le silence revint à peine quelques minutes pour être interrompu par la voix du chevalier de la rage:
\" Ça nous contraint à rester cloitré ici pendant notre premier vendredi soir de congé depuis des lunes quand même.\"
\" Ouais\", fit le chevalier de Gale. \" Que pouvons-nous faire pour passer le temps? Lady Chris est à Vinay del Zexay avec Louis et il nous est impossible de sortir du château.\"
Le blondinet s\'éloigna de son poste et se dirigea vers le foyer dans lequel un grand feu réconfortant réchauffait la pièce. Les autres chevaliers le suivirent du regard, l\'observant se diriger vers le foyer puis vers la table près de celui-ci pour atteindre finalement un sac de voyage. Borus l\'ouvrit puis en sortit d\'un geste triomphant une grande bouteille de vin rouge de sa collection personnelle:
\" Il n\'y a pas grand chose à faire sinon profiter d\'une bonne bouteille. Qu\'en dites-vous?\"
Percival et Leo furent les premiers à rejoindre leur ami, le sourire aux lèvres.
\" C\'est une idée splendide, Borus\", répondit le brunet.
\" En effet\", dit Salome. \" Il y a bien longtemps que nous n\'avons pas fêté ensemble.\"
Roland alla chercher des verres puis revint vers le groupe:
\" Je suis d\'accord.\"
Tous remplirent leur verre puis firent un toast:
\" Buvons en l\'honneur des meilleurs chevaliers de Zexen\", lança Salome.
Tous répliquèrent un fort «Aye!».
\" À nos futurs campagnes desquelles nous sortirons vainqueurs\", annonça Roland, un de ses rares sourires illuminant ses lèvres.
«Aye!»
\" À notre chère mère nature qui nous a permit de nous réunir ce soir\", renchérit Borus.
«Aye!»
\" En l\'honneur de notre chère Lady Chris\", dit Leo.
«Aye!»
\" Et que cette soirée soit une dont nous nous souviendrons\", répliqua enfin Percival, un sourire charmeur accompagnant ses paroles.
«Aye!»
Verre après verre, les heuressèrssèrent et l\'atmosphère dans la salle commune se réchauffa. Elle s\'était tellement réchauffée que les chevaliers s\'étaient mis à l\'aise en retirant leurs bottes et en enlevant leur tuniques, vêtus seulement de leurs chemises et de leur pantalons. Les cinq hommes avaient maintenant terminé trois bouteilles de vin rouge et ils étaient en train d\'en vider une quatrième, le sourire sur toutes les lèvres. Assis sur l\'immense tapis devant le foyer, les chevaliers jouaient maintenant à un jeu de boisson dont le but était de dire une affirmation en forme négative puis chaque joueur dont l\'affirmation se révélait fausse dans leur cas devait boire une gorgée. Le jeu avait commencé sur une note drôle où chaque chevalier relatait une histoire ou une mésaventure et cela les avait mené encore plus loin dans leur état d\'hébriété. Mais plus le jeu avançait et plus les mésaventures tournaient autour du sexe et des conquêtes secrètes...
Salome était assis par terre, le dos contre l\'un des sofas et bloti entre Roland et Leo. Le chevalier à la hache avait son bras autour des épaules du stratégiste et de l\'elfe, ce dernier beaucoup plus souriant et nonchalant que d\'habitude. Borus et Percival étaient assis en face, eux-même appuyés contre un autre sofa, le regard brumeux et l\'air joyeux. Les jambes du blond étaient entremélées avec celles de Salome alors que son compagnion avait passé son bras gauche par dessus ses épaules et jouait distraitement avec une mèche de cheveux.
\" À qui le tour?\" demanda Roland.
\" C\'est à moi\", lança Salome en levant son verre. \" Je... je ne suis jamais tombé à cheval en allant en quête!\"
Les quatres autres chevaliers grognèrent puis prirent une gorgée du liquide ensorcelleur tandis que le stratégiste souriait à pleine dents. Borus marmonna après avoir avalé l\'ol dol dans sa bouche:
\" Ça serait difficile pour toi de tomber de cheval... tu nous accompagnes toujours à pied!\"
L\'aîné aux cheveux blonds souria d\'avantage et laissa un profond rire s\'échapper de sa gorge. Il fut accompagné par ceux de ses compagnions sans attendre, le moindre mot pouvant les faire rire aux larmes sans effort, l\'alcool était à remercier. Le chevalier elfique passa une main dans ses cheveux violets puis il leva son verre:
\" À moi! (Il se racla la gorge solonellement.) \" Je...\"
Percival lui lança un regard étrange:
\" Je quoi?\"
\" Je... je n\'ai... jamais...jamais... jamais jamais jamais jamais jamais jamais jamais jamais (Il reprit une grande respiration.) jamais jamais jamais...\"
\" Roland!
\" Ça ne lui fait pas trop de boire, il devient excessif.
\" On a comprit la partie du jamais, tu sais.
\" Hehehe... je-n\'ai-jamais... couché avec Lady Chris!\"
Sur ces mots, l\'archer leva maladroitement son verre et le but d\'un trait. Les quatres autres chevaliers haussèrent les épaules et burent. Ils se regardèrent ensuite pendant une trentaine de seconde sans mot puis ils pouffèrent de rire.
\" Je le savais!\", lança Salome.
\" Bah, Lady Chris s\'est tapée toute l\'armée... même les autres femmes!\", répondit Percival, les larmes aux yeux.
Borus remplit à nouveau les verres en versant plus de la moitié de la bouteille sur le tapis. Son esprit était embrouillé tout comme ses gestes mous mais il se sentait très heureux alors il reprit sa place auprès du chevalier de Gale, inhalant profondément l\'odeur musquée de celui-ci au passage.
Ce fut au tour du chevalier à la hache de parler et celui-ci réfléchit un instant avant de dire son affirmation. Cette question avait tourné en rond dans sa tête depuis quelques temps déjà et il ne supportait plus de retenir sa langue. L\'alcool avait maintenant une petite voix dans sa tête et elle lui disait:
\" Qu\'est-ce que t\'attends? Le retour du Champion de Feu? Dis-le!!\"
Alors il le dit, calmement, tout en fixant ses compagnions:
\" Je n\'ai jamais eu le béguin pour l\'un des six grands chevaliers de Zexen.\"
Tous les chevaliers le regardèrent tandis qu\'il levait son verre puis le but au complet. Leurs visages étaient rougis mais on ne pouvait dire si c\'était à cause de l\'alcool ou bien à cause de l\'affirmation du chevalier à la hache. Percival pencha la tête vers son verre puis ricanna pour lui-même. Il porta le verre à ses lèvres et en but tout le contenu. Il fut bientôt imitr Sar Salome puis par Roland et enfin par Borus. Tous se regardèrent et leurs yeux ne mentirent pas, cependant l\'elfe demanda doucement en regardant plus précisément les hommes à ses côtés:
\" Suis-je le seul qui ne pensait pas à Lady Chris?\"
Le temps s\'était figé dans la pièce, on n\'entendait que le crépitement du feu dans le foyer. Les cinq chevaliers ivres assis à même le sol étaient en plein combat intérieur: devraient-ils se laisser aller par leurs pulsions alors que le défi venait d\'être lancé? L\'alcool ayant affaibli leurs capacités, il ne se passa pas plus que quelques secondes avant que la machine infernale de la passion masculine ne s\'enclenche. Leo caressa l\'une des longues oreilles de Roland tandis que Salome glissait sa main sur sa poitrine, laissant ses doigts explorer les courbes musculaires qui lui étaient inconnues. Un immense frisson parcourut l\'entité du corps de l\'elfe qui répondit à ces gestes avec ses mains, les guidant vers la source d\'une nouvelle sensation qui envahissait maintenant les deux chevaliers dans la région inférieure. L\'alcool dans leurs systèmes amplifiait les sensations et leur peau devint extrêmement sensible, leur respiration s\'accéléra alors que leurs mains devenaient de plus en plus confiantes et généreuses. Guidés par la voix de la passion, les trois doyens des grands chevaliers de Zexen exprimaient leur désir avec tous les membres de leur corps, multipliant les caresses et les baisers, gémissant du plus profond de leur gorge des plaintes de désir primaire.
Devant cette scène plutôt inattendue, les deux autres chevaliers étaient bouche bée. Percival sembla prendre conscience, au meilleur de son état d\'ivresse, que son bras gauche le mettait en contact avec le corps du plus jeune blond. Au même moment, Borus arrivait à la même constatation. L\'alcool et la vue érotique qui s\'offrait à eux activèrent leur bas instincts dans un sens plutôt... positif.
Le chevalier de Gale glissa sa main gauche sur le bras de l\'objet de son désir, ressentant du même coup la chaleur intense que celui-ci dégageait sous sa chemise. Le blond plongea son regard noisette dans la noirceur des yeux du brunet, humectant en même temps ses lèvres entrouvertes. Comprenant immédiatement la signification de ce geste, Percival laissa son corps prendre le contrôle, ses lèvres envieuses et impatientes fusionnèrent avec celles du chevalier de la rage, goûtant le vin du plaisir qui les avait tous entraînés dans cette aventure. Les yeux de celui-ci exprimèrent mieux que milles mots les sentiments qui émergeaient en lui: surprise puis doute mais enfin un doux désir à l\'arôme envoutant. Il répondit alors au baiser en demandant accès avec sa langue pour goûter d\'avantage, ce qui ne lui fut pas refusé. Le chevalier de Gale réduisit instinctivement l\'espace entre leurs deux corps alors qu\'ils étaient liés si intimement et tandis que sa main gauche caressait la chevelure dorée, sa main droite glissa tel un serpent le long des muscles de la jambe, parcourant ce corps tant désiré, sensuellement provocatrice en passant tout près d\'une certaine région sans y toucher directement pour monter le long des abdominaux puis les pectoraux; tout cela ayant atisé un feu dans son propre abdomen et même plus bas alors que son amant poussait un grognement du plus profond de sa gorge blanche.
Borus n\'était pas du genre patient lorsqu\'il était sobre mais il l\'était encore moins lorsqu\'il était ivre; empoignant le brunet par les muscles fessiers, il l\'assit sur ses cuisses en un élan, pressant dès lors sa preuve d\'affection contre celle de son partenaire. Percival brisa le baiser, regagnant quelque peu son souffle et fixa le blond dans les yeux. Celui-ci lui rendit un regard malin puis comme pour lui montrer son impatience passionnelle, roula ses hanches contre les siennes tout en aggripant son derrière musclé par toutes ces années d\'entrainement et de chevalerie. Percival souria comme un loup devant l\'audace du blond et entreprit une douce vengeance. Ses lèvres retrouvèrent celles de son amant et ses mains s\'affairèrent à débarasser le jeune chevalier d\'un évident surplus de vêtements.
S\'ils n\'avaient pas été aussi... occupés à se satisfaire, les deux plus jeunes chevaliers auraient été témoins des activités de leurs séniors qui réchauffaient la pièce à eux seuls. Tout trois étaient maintenant sans chemise, la sueur ruisselait sur leurs fronts et détrempait leur peau moite et bouillante. Leo était agenouillé derrière Salome, son érection caressant la peau douce et tentatrice du fessier du stratégiste alors que Roland tenait ce dernier contre son compagnion de couleur, ayant glissé les jambes de l\'homme autour de sa taille pour se rapprocher de son corps. Il avait déjà libéré le blond de l\'obstacle qu\'était son pantalon pour glisser sa main droite aux doigts éffilés dans son entre-jambes, découvrant ainsi le membre secret du stratégiste qui durcit au touché elfique. L\'elfe traça un chemin humide sur la peau salée de son compagnion avec sa langue et ses lèvres, terminant son périple sur la pomme d\'Adam qu\'il suça avidement. Le chevalier aux cheveux longs fit rouler ses hanches d\'impatience tandis que sa main se faufila sur la peau crèmeuse de l\'archer, resentant tout les os et les muscles des ses épaules, de son dos et de sa nuque pour trouver à nouveau les longues oreilles qu\'il chatouilla vilainement, ce qui provoqua un puissant soubresaut de la part du propriétaire des dites oreilles et une réponse incompréhensible dans sa langue natale. Emmitoufflé entre ses deux frères d\'armes, Salome avait beaucoup de difficulté à garder sa tête claire car son esprit était embrumé par l\'ivresse de l\'alcool et celle du désir, cette dernière qu\'il n\'avait pas ressenti depuis des siècles. Se trémoussant entre les deux corps enflammés, il cherchait son souffle dans cet atmosphère bouillante et suffocante, sa tête rejetée en arrière pour mieux sentir l\'homme exotique et son arôme salée et terreuse, ses mains calculant chaque centimètres d\'épiderme avec lesquels elles entraient en contact, ses jambes bien accrochées autour de la taille du plus grand chevalier... Ne pouvant être tempté d\'avantage sans sentir sa tête exploser, il ne cacha aucunement son urgent besoin de contact plus intime: il implora d\'un coup séducteur de son postérieur l\'attention du chevalier derrière lui qui se débarassa aussitôt de son propre pantalon tandis que le stratégiste arrachait littéralement ceux de l\'elfe. En quelques mouvements si rapides et fluides qu\'ils n\'y virent rien, leur nudité fut apparente autant que leur excitation devant cet acte aussi tabou, leurs coeurs battant comme des diables dans leurs poitrines en sueur.
Puisque leurs vêtements n\'étaient plus un obstacle, Percival put enfin admirer le corps dénudé de Borus Redrum, le chevalier dont la chair portait tant de cicatrices que raconter l\'histoire de chacune d\'elles serait une tâche ardue mais tellement plaisante. Lui-même en portait un lot impressionnant mais jamais il n\'avait put contempler celles de son compagnion, spécialement celles qui marquaient son dos, résultat d\'une colère familliale inconnue dont les souvenirs étaient enfouis dans un recoin du coeur du blondinet. Malgré cela, le chevalier aux cheveux de café ressentit un désir intense lorsque ses yeux tombèrent sur ce dernier alors qu\'il était étendu sur le dos, ses cheveux blonds tombant sur son front et camouflant à peine ses yeux enflammés, sa bouche entrouverte, ses lèvres souriantes, son cou et sa pomme d\'Adam, sa poitrine vierge de poils mais musclée par l\'entraînement, ses bras forts qui étreignaient le brunet par les épaules alors que celui-ci traçait avec sa bouche, similairement à la manière de l\'elfe, un parcours le long des muscles abdominaux pour rejoindre le centre de l\'univers passionnel de son amant, ses propres bras fermement enlacés autour de ces hanches dignes d\'un dieu grec. Son souffle chaud combiné avec la moiteur de sa langue extrayaient des sensations enivrantes pour le chevalier de la rage qui courbait le dos de plaisir et poussait des roucoulements du fond de sa gorge. Cependant, sa surprise fut grande lorsque son organe masculin se retrouva dans le foyer d\'une chaleur digne de celle de l\'Enfer, la langue si experte dans les caresses précédentes se prouvant encore plus indispensable en ce moment, celle-ci examinant chaque millimêtres de peau sensible de son univers. Il cherchait son souffle dans toutes ces émotions, ses yeux roulaient dans leurs orbites et sa tête vacillait de gauche à droite, instable et lourde mais en même temps si légère car il ne la sentait pas contre le tapis. Ses mains trouvèrent la chevelure virevoltante du brunet et y plongèrent tandis que celui-ci travaillait sur le centre d\'attention du jeune blond, sa propre érection se faisant sentir un peu plus bas. Son esprit embrumé par le désir commandait chaques muscles de son corps dans ces actes d\'amour passionel, lui-même à peine conscient du temps et de l\'espace. Il n\'entendait que le battement de son coeur ainsi que des gémissements de Borus dont il n\'avait jamais assez. Cependant, lorsque ce dernier accélèra sa respiration et qu\'il murmura son nom d\'une voix suave et insistante, il sut qu\'il approchait de la cime de son plaisir. Redoublant d\'intensité sur sa tâche, le chevalier aux cheveux de café administra le coup de grâce et en peu de temps, l\'essence de vie du jeune blond jaillit de son membre, extirpant du même coup un profond cri de libération de ses lèvres puis il relaxa enfin, reposant sa tête et calmant sa respiration d\'un tel plaisir. Percival lècha ses lèvres puis porta son regard sur le visage en sueur de son amant, celui-ci si essoufflé qu\'il semblait sur le point de perdre connaissance. Il n\'en était pourtant pas le cas car le chevalier de Gale sentit deux mains puissantes l\'empoigner par les bras pour le tirer vers le propriétaire des dites mains, les deux hommes étant maintenant nez à nez. Borus plongea son regard noisette dans celui de jais de son compagnion puis murmura dans un souffle à peine audible:
\" C\'est à ton tour maintenant.\"
En effet, le brunet serait récompensé pour une si bonne action...
Qui aurait crû que le vin avait un tel effet sur l\'homme rationel qu\'était Salome? Et pourtant il semblerait que oui car celui-ci s\'agenouillait grâcieusement devant le sofa, appuyant ses coudes sur le siège moelleux et écartant ses jambes pour donner accès à ses compagnions. Roland, dévêtu et plus prêt que jamais, s\'agenouilla derrière le stratégiste, la cime de son membre frémissant à l\'entrée du fessier du blond. Leo s\'agenouilla alors derrière l\'elfe, imitant le geste avec son propre organe, aggrippant les hanches de l\'archer alors que celui-ci faisait de même avec celles du chevalier contre le sofa. Ce fut le stratégiste qui activa ce rouage de la machine passionellement infernale cettes-cis-ci: se positionnant minutieusement, il s\'empala délicieusement sur l\'elfe sans retenue, serrant les dents devant cette nouvelle douleur qui envahissait son corps. Roland figea un instant par la surprise puis il jeta un coup d\'oeil d\'affirmation vers le chevalier de couleur qui le pénétra à son tour. Tous trois surpris par une telle sensation à la fois si douloureuse et jouissante, ils restèrent quelques secondes ainsi, insérés l\'un dans l\'autre, s\'habituant à cette intimité inhabituelle. Puis comme un orchestre soumis à un ordre invisible, ils bougèrent en accord, balançant leur masse l\'un vers l\'autre, plongeant en l\'autre et envahi par l\'autre. Ils dansèrent dans une harmonie synchronisée, leur corps répondant aux désirs et aux besoins de l\'autre sans paroles. Leur rythme s\'accélèra graduellement, leurs caresses reprirent pour accompagner leurs gémissements coïtaux et bientôt, ils furent prit de la frénésie sexuelle, soumis à ces lois invisibles qui les attiraient de plus en plus férent ent l\'un à l\'autre, leurs corps se frappant régulièrement, leurs cris plus sauvages, plus aggréssifs, plus charnels... La chaleur de la pièce devenait étouffante voir même insupportable au fur et à mesure que leur danse lascive les emportait vers le point de non-retour. S\'abandonnant langoureusement au plaisir de la chose, les trois hommes se donnèrent entièrement, satisfaisant leurs besoins autant que celui des autres dans un crécendo endiablé qui monta en flèche vers l\'innomable beauté de l\'orgasme.
Inspiré par les gémissements de ses compagnions, le jeune chevalier de la rage écarta les jambes pour exposer sa région sensible au bon plaisir du chevalier de Gale. Il porta son index et son majeur droit à sa bouche et les humidifia généreusement d\'une manière similaire à celle que son amant avait utilisé auparavant sur son organe en besoin. À cette vue tentatrice, le brunet senti son érection se raidir encore plus, visiblement satisfait de ce qu\'il voyait. Le blond guida alors ses doigts vers son entrée vierge, caressant la peau sensible entre ses fesses rondes pour alléger la tension qui y règnait. Percival joignit sa propre main au rituel de préparation tandis que ses lèvres retrouvèrent celle de l\'objet de son désir. Il envelloppa la main du blond avec la sienne et guida les doigts vers la source de plaisir, enfonçant d\'abord l\'index dans l\'ouverture puis après un moment ajouta le majeur, ces gestes provoquaient de furieuses réactions chez le chevalier en question... réactions affreusements excitantes aux dires du chevalier d\'Iksay. Borus poussa des gémissements qui furent camouflés par le long baiser qu\'il partageait avec Percival, ses lèvres littéralements fusionnées avec celles de son amant, leurs langues se livrant une délicieuse bataille à l\'insu du monde. Le chevalier de la rage, sans briser le lien buccal, retira ses doigts de son portail charnel puis souleva le bas de son corps, appuyant son entre-jambe sur la preuve de virilité masculine du chevalier de Gale, roulant ses hanches pour inciter un contact plus intime entre eux. Obéissant aveuglement aux ordres de la machine infernale, le brunet aggrippa son Adonis par les fesses, se positionna entre celles-ci puis s\'unifia d\'un coup de hanche lent mais calculé avec le jeune blond, les jambes de ce dernier s\'enlacèrent autour de sa taille et ses bras, autour du haut de son dos. Leurs lèvres se séparèrent mais elles ne s\'éloignèrent point, les chevaliers unis maintenant par le regard d\'où l\'un pouvait lire douleur mais aussi une magnifique sensation d\'entité qui envahissait la première. Les premiers mouvements furent incertains et timides mais bientôt, leurs instincts prirent le contrôle de leurs corps, les entraînant dans une expression passionelle trop longtemps refoulée. Leurs voix étaient basses, murmurant des mots et des monosyllables presques inaudibles; leurs respirations s\'accélèraient en cadence avec leurs gestes, leurs mains parcouraient la peau moite de désir de l\'autre; la chaleur de la pièce n\'ayant maintenant aucun lien avec le feu du foyer... À chaque coup, le chevalier blond sentait ses muscles se contracter autour du chevalier brunet, accentuant du même coup les sensations qui envoyaient des vagues de chocs électriques de son estomac à chaque extrémité de sa chair. Il rejeta sa tête vers l\'arrière, tel qu\'il l\'avait fait peu de temps avant, son amant grogna en accélèrant d\'avantage son rythme, lui-même si proche de son propre orgasme.
D\'un point de vue extérieur, une telle histoire pourrait sembler impossible. Pour être franc, les deux chevaliers anonymes postés dans le couloir de l\'autre côté de la porte de la salle commune des chevaliers de Zexen n\'en croyaient tout simplement pas leurs oreilles. Les deux hommes étaient encore à leurs postes, immob com comme les bons soldats anonymes qu\'ils étaient. Cependant, les cris qui retentissaient de la pièce devenaient de plus en plus suggestifs et bientôt ils ne purent s\'empêcher de se regarder avec une expression de surprise au visage. L\'un d\'eux finit même par demander à l\'autre:
\" Crois-tu vraiment qu\'ils jouent aux cartes?\"
Il fut un temps pour la pluie mais comme on dit: \"Après la pluie vient le beau temps, après la nuit vient le jour, après le premier du mois viennent les chèques de paie... (ehrr?!).\" Bref, la pluie qui tombait de façon torentielle sur le parfait monde de Suikoden finit par s\'estomper et la nuit laissa place au jour, la fraîche brume du matin couvrant encore l\'herbe innondée... le personnage anonyme qui pêchait la veille put enfin descendre de son arbre auquel il avait trouvé refuge, (vous ne pensiez quand même pas qu\'un personnage anonyme allait mourir dans cette histoire, non?)
Lady Chris, accompagnée de Louis, arrivait au château de Brass, épuisée mais heureuse. Le capitaine des chevaliers de Zexen chevaucha jusqu\'à l\'intérieur des murs du château, une chanson joyeuse trottant dans sa tête mais elle se retenue de la chanter tout haut car la déesse sait bien qu\'elle fausse comme un cochon qui se fait égorger! Elle descendit de monture, empoigna son sac de voyage puis entra dans le grand hall aux murs de pierres. Elle gravit l\'escalier en saluant les deux femmes anonymes qui parlent toujours au pied de cet escalier, le sourire toujours aux lèvres et Louis à ses talons. Elle traversa le couloir puis arrêta devant la salle commune, se demandant si il était sage de saluer les grands chevaliers de Zexen de si bonne heure. Décidant ainsi, Chris ouvrit les portes de bois massif, en lançant:
\" Bonjour, messeigneurs!\"
Elle regarda dans la pièce mais ne vit personne. Un grognement endormi se fit cependant entendre. Elle demanda:
\" Il y a quelqu\'un?\"
Un pied nu remua derrière l\'un dofasofas, l\'héroïne blanche s\'approcha du centre pour voir à qui il appartenait. Lorsqu\'elle posa les yeux par terre, son visage fut frappé de stupeur. Ses yeux s\'aggrandirent comme des assiettes, sa bouche pendait stupidement et elle en laissa même tomber son sac de voyage.
Elle resta ainsi quelques secondes, le choc tellement apparent sur son visage qu\'elle en faisait peur. Ses cinq chevaliers les plus valeureux, les plus habiles, les plus dévoués à Zexen... étaient tous couchés sur le tapis devant le foyer, nus comme le jour de leur naissance, entrelacésfaçofaçon suggestive et endormis comme les saoulons qu\'ils étaient après une nuit où l\'alcool avait coulé abondamment.
Son choc passa alors pour être remplacé par une fureur pure et brutale. Tout le château de Brass l\'entendit hurler à plein poumons en ce matin joyeux et ensoleillé:
\" BANDE D\'INGRATS!!! ET VOUS NE M\'AVEZ MÊME PAS ATTENDUE!!!!!\"
~Fin~
So? Was it good? Bad? Stupid? Where is Charlie? Will i stop asking all these useless questions? Will you be a good reader and rewiew? Yesss. I know you will... go ahead!
^_______~
Pikinanou