Douce domination

Titre: Douce domination
Chapitre01
Rated: NC-17 relation explicite
Couple: Ryoma X Sakuno
Genre: première fois/domination
Résumé: Ryoma apprend à Sakuno la soumission

Des gémissements se font entendre dans toute la pièce. Le souffle est court. Deux ombres se superposent. Une d’entre elles se relève. La poitrine gonflée de désir pointe vers le ciel. Des mains viennent la caresser. L’autre resta allongé. Gémissement. D’un mouvement de haut en bas, un bruit de glissement se fait entendre. Le mouvement va progressivement plus vite. Les caresses plus dures. Sur un fond de coucher du soleil, le couple s’accouple sur une table de classe. Aucun bruit ne se fait entendre à l’horizon, à part leur souffle.
-Plus vite, soupira- t- il.
C’est ce qu’elle fait. Son mouvement devient désordre. De petits cris sortent de sa bouche. Elle sent un liquide chaux jaillir dans son ventre. Elle jouit. Plus de force, elle s’allonge sur lui.
Ils ne se parlent pas. Ce n’était pas dans leur habitude de le faire surtout après avoir fait l’amour.
Au bout de quelques minutes, elle se relève et libéra l’homme de sa prison moite. A son tour il se relève. Il se met debout et remonte son pantalon alors qu’elle remet ses sous- vêtements silencieusement. Sans lui jeter un coup d’œil, il lui tend son haut d’uniforme tout en prenant sa chemise. Lorsqu’ils ont fini, ils prennent leur sac et quittent la salle de classe tout en regardant s’ils n’ont rien oublié.
Lorsqu’ils sont dans la rue, elle lève les yeux vers lui discrètement puis regarde le sol.
-Ryoma- kun ?
Il ne lui répondit pas mais elle sait qu’il a toute son attention sur elle.
-Je… Je peux tomber enceinte, lâche- t- elle difficilement.
-Tu ne pends pas la pilule ? demande- il sans aucune surprise.
-Je… J’ai commencé il y a une semaine. Et il faut un mois pour ce se soit efficace.
-Tu crois que tu es enceinte ?
-Je… Je ne sais pas.
-Tu veux qu’on aille vérifier ?
-C’est peut- être un peu tôt.
-Comme tu veux…. Tu me préviendras au moment voulut.
-Tu m’accompagneras ? demande- t- elle surprise.
Il ne répond pas. Ils marchent silencieusement jusqu’à :
-Je suis le père, dit- il doucement qu’elle seule peut entendre.
Elle soupire de soulagement.
Lorsqu’ils arrivent chez elle, elle ouvre la porte et appelle :
-Grand- mère ! Tu es là Grand- mère ? En dirait que non.
Elle se retourne vers lui et lui dit :
-Tu veux entrer ?
Il fait un signe de la tête, entre et ferme la porte derrière lui. Elle court vers le téléphone qui bipe toutes les dix secondes. Elle appuie sur un bouton et entend :
-Sakuno c’est grand- mère. J’ai rencontré des amis et je vais rentrer tard ce soir. Alors ne m’attends pas pour dîner et va au lit dès que tu auras fini tes devoirs.
Elle soupire une nouvelle fois. Elle sera seule ce soir. Soudain, elle sent une douleur à son cuir chevelu. Elle tourne la tête et voit que Ryoma prend une de ses tresses et la tire jusqu’à l’en faire mal. Il regarde autour de lui, toujours en tirant sur sa natte puis s’avance dans la cuisine la traînant à ses côté. Sauvagement, il lui prend le bras et la tire violement pour qu’elle s’assoie sur une des chaises. Sans rien dire, elle baisse les yeux. Elle entend un zip et lève les yeux vers Ryoma qui sort son sexe.
-Suce, ordonne- t- il.
Elle ne veut pas au début, mais il reprend une tresse et tire pour qu’elle s’approche de plus près. Il tire plus fort et elle crie. Il profite pour fourrer son sexe dans sa bouche. Il fait lui-même les mouvements de va et vient, allant au plus profond de sa bouche puis il arrête.
-Suce- la, ordonne- il plus froidement.
A contre cœur, elle pose sa main sur le membre et fait un va et vient avec précaution.
-Tu m’énerves, dit- il furieux.
Il met ses deux mains sur son cou et l’étrangle presque.
-Puisque c’est comme ça, je m’occuperai de toi d’une autre manière.
-Tu… Tu me fais mal Ryoma- kun, dit- elle péniblement.
-Tu dois m’obéir, tu m’entends.
-Je… Je n’ai jamais fait ça avant… Je ne sais pas comment faire.
Sans ménagement, il la balance sur la table. Elle atterrit sur son ventre. Il dézippe la jupe et descend sa culotte à ses pieds.
-Tu as le plus beau cul que je n’ai jamais vu, il est moins timide que sa propriétaire, plus éloquent. Ça fait quatre ans que je le vois déambuler et qui me donne des idées. Mais s’il n’y avait que le cul se serait beaucoup plus facile.
-Ryo… Ryoma- kun, dit Sakuno tristement. Je... je suis désolée.
-L’avantage avec toi c’est que tu es assez docile. Te dévirginé fut un véritable régale. Tu t’en souviens ?
-Oui… C’est il y a un mois… avant que tu ne partes pour un mois à Hokkaido pour une compétition.
Il soupire et ferme les yeux se souvenant de ce moment. Cela avait commencé dans le vestiaire des garçons. Sans prévenir, elle était entré et se trouva face à un Ryoma nu.
-Qu’est ce que tu fait là ? demanda- t- il sans aucune gêne.
-Je… je suis désolée, dit- elle toute rouge. Le vestiaire des filles est fermé… je pensais qu’il n’y avait plus personne chez vous pour que je puisse me changer… je suis désolée.
Elle baissa les yeux pour ne pas le voit. Elle l’entendit bouger de la place où il était.
-Approche, dit- il lentement.
Elle leva les yeux vers lui avec crainte et le vit assit toujours en tenu d’Adam. Sans la regarder, il fit un mouvement de la main qui lui demanda de venir. Voyant qu’elle ne bougea pas, il leva des yeux furibond vers elle et dit d’une voix terrifiante.
-J’ai dit approche.
Son sang se glaça. C’est la première fois qu’elle entendit cette voix. Sans savoir pourquoi, elle s’avança vers lui tout en déviant le regard. Il soupira. Lorsqu’il eut à sa porter une de ses tresses, il lui tira dessus ce qui l’obligea à s’agenouiller devant lui.
-Ca fait bien longtemps que j’attendais ça.
Il mit ses deux mains entre son visage et sourit.
-Ferme les yeux et ouvre ta bouche.
Sa voix autoritaire l’obligea à s’exécuter. Soudain elle sentit quelque chose de long entrer dans sa bouche. Elle ouvrit les yeux et vit avec horreur que le jeune homme lui avait mis son sexe dans la bouche. Elle voulut se débattre pour s’enfuir de cette situation, mais il la tenait fermement. Il se mit sur ses deux pieds et il fit des mouvements de va et vient dans sa bouche.
-C’est tellement bon… Depuis le temps que j’attendais ça… Hum… Je vais venir… Ahhh !
Un liquide visqueux entra dans sa bouche en grande quantité. Elle ne put tout avaler sinon elle s’étouffait avec mais Ryoma garda son sexe dans sa bouche savourant ce moment avec un petit sourire sur les lèvres. Lorsqu’il le sortit, il s’assit et admira Sakuno.
-Et bien dit donc, je t’ai mis la dose !
Le spectacle qu’elle lui offrit lui sembla magnifique. Tout le sperme qu’elle ne put avaler coula de sa bouche la laissant toute baveuse sur son menton.
-C’est vrai que ça fait longtemps que je ne me suis pas trouvé de vide- couilles.
Il se leva et prit le bras de Sakuno.
-Vient, je n’ai pas encore finit avec toi.
Il ne lui laissa pas le temps de s’essuyer la bouche qu’il l’emmena vers le cours de tennis. Elle s’affola.
-Ryoma- kun, dit- elle paniquée.
Ils entrèrent dans le cours et il la lança au sol.
-Déshabille toi. Fait le, sinon c’est moi qui le fait et je peux t’assurer que tu n’auras plus de vêtement à mettre sur toi après. Dépêche- toi.
Elle voulut se lever, mais Ryoma l’en empêcha en lui prenant une de ses tresses.
-Bien que je les trouve trop long, j’ai pu trouver une fin utile. Dépêche toi !
Elle exécuta ses ordres, mais lorsqu’il fallait retirer ses sous- vêtements, elle paniqua.
-Ryoma- kun qu’est ce que tu vas me faire ?
-A quoi penses- tu. Je suis nu, je te demande de te déshabiller, que crois- tu que je vais te faire. J’ai toujours pensé que ta virginité serra mienne alors je compte bien profiter pour que tu me sois soumise, Sakuno.
-Je… je ne veux pas…. Si grand- mère l’apprend.
-Tais- toi : cria- t- il
Il la poussa sur la terre battue et arracha les derniers remparts qui lui préservèrent son intimité. Il écarta en grand ses jambes, lui donnant une vue imprenable de ce qui l’attendait.
-En dirait que la situation te plait ! dit- il en jouant avec la cyprine sur son clitoris. Tu es toute mouillée alors que je ne t’ai même pas encore touché. Je ferai l’effort de ne pas trop te faire mal pour ta première fois et tu vas aimer. Toutes les femmes, même quand elles ne le veulent pas, elles aiment ça.
Il plongea un doigt dans son intimité. Elle sursauta en le sentant entrer en elle. Il fait un va et vient avec son doigt alors que son pouce joua avec son clitoris. Elle gémit.
-Tu aimes ? demanda- t- il.
-Ou… Oui, avoua- t- elle en gémissant de plus en plus fort.
-Je le savais. Tu mouilles comme une fontaine. J’ai trop envie de te goûter. Savoir ton odeur et ton goût.
Il avança son visage vers le sexe ouvert de Sakuno et lécha le précieux liquide. Elle ne savait pas comment réagir. Elle apprécier les sensations qu’il lui procurait. Elle ne pouvait plus se retenir et elle cria sa jouissance.
-C’était quoi ? demanda- t- elle en reprenant son souffle.
-Tu as jouie ma belle, dit- il en lui tirant les cheveux pour qu’elle s’assoie et qu’il puisse l’embrasser.
Le goût était étrange pour elle. C’était ça le goût de Ryoma quand il embrasse ? se demanda- t- elle. Il se sépara d’elle et sourit.
-Tu aimes ton goût avec ma salive.
-Mon goût ?
-Oui. Je t’ai léché puis je t’embrasse avec encore ton jus dans ma bouche.
-C’est ce goût que j’ai ?
Ryoma trempa une nouvelles fois ses doigts dans le vagin de Sakuno en tournant presque à lui faire mal puis il les sortit et les mit devant sa bouche.
-Goûte !
C’est ce qu’elle fit et reconnu le goût.
-Tu aimes ?
-Je ne sais pas… C’est étrange…
-Tu réfléchiras plus tard, maintenant je vais prendre plaisir à te dépuceler.
-At… Attend, Ryoma- kun… Pas comme ça… pas ici…
-Qu’est ce que tu crois ? Si je t’ai emmené ici c’est que j’ai mes raisons. Allonge- toi si te ne veux pas avoir plus mal qu’il ne faut.
-C’est ma première fois, dit- elle les larmes aux yeux.
-Tu aimeras.
Il la força à s’allonger par terre et il écarta ses jambes. Il se positionna entre elles et prit son sexe dans sa main.
-Tu vas avoir mal au début mais après ce sera parfait. Ce sera étroit et agréable, dit- il en souriant.
Il entra son sexe dans celui de Sakuno qui appréhendait cette douleur de la première fois. Il s’enfonça encore plus en elle. Elle se sentit de plus en plus écartée et une douleur commença à transpercer son ventre.
-Il est là. Attention j’y vais.
Il entra elle d’un coup. Elle cria de douleur. Il ne bougea plus. Il s’allongea sur elle et lécha ses larmes puis l’embrassa tendrement sur la bouche. Il glissa ses mains sur tout son corps et pinça ses seins dont les mamelons durcissent. La douleur s’arrêta et laissa la place à un certain plaisir.
-J’ai plus mal Ryoma- kun, dit- elle d’une petite voix.
Il se leva légèrement et la regarda fixement.
-A partir d’aujourd’hui tu seras mon esclave de sexe. Tu feras tout ce que je te demanderai et sans discuter. Tu es à moi et à personne d’autre, tu m’entends ?
-Oui, Ryoma- kun.
Il commença son mouvement de va et vient. Le clapotis de son sexe la fit rougir de honte. Il sourit de sa rougeur. Il aimait la voir comme ça. Il ne pouvait pas être méchant plus longtemps avec elle. Il voulait son plaisir avec le sien. Il vit qu’elle grimaça signe que son premier orgasme allait venir. Il garda malgré tout le même rythme. Elle jouie de plaisir. C’était plus fort que tout à l’heure. Elle aimait cette sensation. Elle leva les yeux vers Ryoma pour savoir si c’était finit ou pas. Il continua son mouvement. Elle sentait son sexe grossir encore un peu plus en elle.
-Ryoma- kun.
-Ce n’est pas encore finit pour moi, dit- il en accélérant le mouvement.
-Encore, dit- elle en s’accrochant à son cou sentant un nouvel orgasme la posséder. Elle accompagna le mouvement du jeune voulant plus. Alors il déchargea en elle et elle eut un orgasme plus violent. Elle cria de tout son soul.
Il s’allongea sur elle sans sortir son sexe du sien. Ils reprirent leur respiration.
-Tu es mon esclave maintenant, dit- il au creux de son oreille. Je t’apprendrai a aimé le sexe.
-J’aime le sexe avec toi, dit- elle doucement.
-Aujourd’hui c’était ton dépucelage, Sakuno. Mais la prochaine fois se sera tout à fait différente. Tu feras tous mes fantasmes.
Il descendit vers son mamelon et le prit en bouche. Elle aimait le sentit sur elle. Soudain elle eut une douleur. Ryoma venait de lui mordre le mamelon. Alors elle compris ce qu’il voulait dire par esclave.
-Tu seras mon maître, dit- elle en l’enlaçant.