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SELVA

By: lotharingie
folder French › Anime
Rating: Adult ++
Chapters: 1
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Disclaimer: I do not own the anime/manga that this fanfiction is written for, nor any of the characters from it. I do not make any money from the writing of this story.

SELVA

Chapitre 1
Passage de la douane

L'avion survolait la zone tropicale. La forêt apparaissait de temps en temps entre les nuées épaisses. L'avion descendait rapidement. La périphérie de l'immense métropole étagée sur les hauts plateaux apparut progressivement. L'avion n'en finissait pas de descendre soudain il toucha la piste et très vite s'immobilisa...
La blonde Laura secoua doucement Julie dont la jolie tête brune reposait sur son épaule. Julie fit une moue adorable avant d'ouvrir les yeux. L'adolescente se blottit un instant contre sa jeune tante puis se releva pour regarder par le hublot toute éblouie par la réverbération du soleil sur le ciment de la piste.
Les habitations précaires des Barrios s'accrochaient à la montagne de l'autre côté des pistes à plus de 3000 mètres d'altitude.
En descendant sur le tarmac la touffeur les fit suffoquer. Heureusement qu'elles avaient eu la bonne idée de se changer dans les toilettes et de quitter leurs tenues d'hiver pour des robes légères. Les filles gagnèrent les bâtiments de l'aéroport comme dans un rêve. La chaleur montait violemment du sol le long de leurs jambes nues. Après 15 heures de vol elles étaient complètement épuisées et ne rêvaient que de douche, de boisson fraîches et de draps propres... Laura avançait entièrement habitée par l'image de Jaime son fiancé qu'elle tentait d'apercevoir derrière les vitres teintées du hall de l'aéroport. Julie le cœur battant la suivait anxieuse de se sentir pour la première fois de sa courte existence si loin de sa famille hyper possessive.
Le vol n'était pas plein et les voyageurs semblaient tous avoir disparus lorsque les deux filles, après avoir récupéré leurs bagages, arrivèrent à la douane. Alors qu'elles approchaient de la banque derrière laquelle une jolie employée officiait, un homme en uniforme noir se dressa soudainement devant elles. Il portait d'épaisses lunettes de soleil. Il leur demanda obséquieusement de bien vouloir le suivre dans une pièce attenante au guichet. Elles entrèrent sans méfiance abasourdie par l'air raréfié des hauts plateaux. L'homme referma la porte derrière elles. La pièce était et sombre encombrée d'étagères surchargées de colis et de bagages entrouverts dont le contenu s'épandait en tout sens portant des étiquettes avec des annotations au marqueur rouge. Une table occupait le milieu du local. L'homme leur fit signe de poser leurs sacs de voyages sur la table, demanda leurs passeports qu'il examina à la lueur de l'unique ampoule de faible voltage pendant du plafond. Laura ressentit un malaise. L'homme était grand, de forte stature, des mains carrées extrêmement désagréables à regarder, Son uniforme sinistre semblait la réplique médiocre de celui des SS. Il respirait fortement et transpirait. Silencieux, il examina méticuleusement chaque page du document.
- Señora Laura Galien vous avez bien 27 ans?
Cette question inattendue surpris tellement Laura qu'elle demeura interloquée sans pouvoir répondre.
- Vous venez faire quoi ici?
- Mais... s'écria-t-elle un début d'indignation dans la voix, je viens rejoindre mon fiancé qui est citoyen de naissance de votre pays. Il est conseillé au ministère des affaires étrangères si vous vous voulez tout savoir.
L'homme la dévisagea un rictus au coin des lèvres sous sa moustache broussailleuse.
- Bien, bien... Et toi Chica, dit-il en se tournant cauteleusement vers Julie, tu as bien 19 ans? Julie n'entendait pas un mot d'espagnol mais compris au ton qu'employait Laura que quelque chose n'allait pas. Laura répondit pour elle:
- Julie est ma nièce mais que signifient ces questions, y a-t-il un problème avec nos passeports?
L'homme ne répondit pas mais empocha les passeports et s'approchant de la table entreprit d'ouvrir le grand sac de voyage de Laura qu'il attrapa par le fond et vida brutalement sur la table. Les vêtements, les paquets cadeau et la trousse de toilette tombèrent en vrac. L'homme se mit à fouiller méticuleusement chaque effet, ouvrant même chaque paquet cadeau à l'aide d'un gros cutter.
- Je vous préviens que je me plaindrai de la façon dont vous nous fouillez...
Indifférent il ouvrit la trousse de toilette et en tira un sachet de préservatifs aux fruits... Julie tremblait de rage, d'indignation... Il rit grossièrement et soudain extirpa trois petits boudins de latex emplis d'une substance blanche, des préservatifs fermé par un nœud comme des baudruches Il en brandit un sous le nez de la pauvre fille désemparée, sortit un couteau à large lame et éventra le petit sac. Une odeur très particulière un parfum acidulé emplit la pièce:
- Cocaïne, dit-il... La señora ne sait pas que la drogue est interdite et qu'en détenir c'est risquer la peine de mort???
- Je ne sais pas ce que cela veut dire, hurla-t-elle, je vous prie de me croire quelqu'un à mis cette drogue et ces préservatifs dans mon sac...
Mais l'homme ne l'écoutait pas et déjà vidait le sac de Julie. La pauvrette ressentait une vive détresse à voir ainsi malmener le contenu de sa valise si méticuleusement rangée. De grosses larmes coulaient le long de ses joues. Le pseudo SS s'attarda vicieusement sur les sous-vêtements gracieux de la jeune fille: des petites culottes en coton...
Les filles se serraient l'une contre l'autre. Julie pleurait de grosses larmes mouillaient une mèche de ses cheveux et la collaient à sa joue. Elle était terrorisée. Laura qui lui enserrait les épaules, très protectrice, dit d'une voix décomposée qu'elle voulait téléphoner à son fiancé tout de suite, qu' il était ici dans l'aéroport
- ... et si il ne nous voit pas arriver il va alerter tout l'aéroport et vous allez entendre parler de lui...
Mais l'homme restait impassible il venait d'extirper un DVD au milieu des vêtement de Julie: il le brandit sous le nez de la fille; s'était une production pornographique: une toute jeune adolescente tenait dans sa bouche le vit disproportionné d'un adulte... Julie poussa un cri d'horreur...
L'homme n'ajouta pas un mot et prit le téléphone, il demanda à parler au Colonel Valencia.
- Oui Colonel les deux criminelles sont à votre disposition.
Julie s'était précipitée vers la porte mais celle-ci était fermée à double tour... elle tambourina mais l'homme s'approchant d'elle la saisit par un poignet et lui fit faire un demi tour éclair.
- Il faut te calmer salope sinon... il brandit le couteau et fit le geste de trancher une gorge... Il tordit le frêle poignet de la jeune fille dans son dos, la menotta et la fit mettre genoux, devant lui. Laura hurlait au secours. Il s'approcha d'elle murmurant:
- Crie ma belle, personne ne viendra secourir une criminelle... Allons les mains dans le dos et à genoux à côté de ta salope de nièce...
Laura voulait protéger Julie et pour ne pas attiser à colère du policier elle s'exécuta en silence. Les deux belles jeunes filles étaient à présent à genoux côte à côte le visage à hauteur de l'entrejambe de l'homme... Julie essayait vainement d'étouffer des sanglots. Laura lui murmurait des paroles apaisantes.
- Ne t'inquiète pas... Jaime va intervenir j'en suis sûre ce n'est qu'une question de minutes... Mais au fond d'elle elle doutait...
- Silence putains, grogna l'homme... Je ne veux pas vous entendre jusqu'à l'arrivée du Colonel...
- Regarde moi, conne, dit-il à Julie. Il lui prit le menton entre ses doigts boudinés et l'obligea à lever la tête...
- Hum je suis sûr qu'une pute comme toi aime sucer les grosses queues...
Tout en continuant à tenir le bas du visage de la pauvre enfant il entreprit de la main gauche d'ouvrir sa braguette et d'extraire de son slip une queue mollement bandante mais d'un fort calibre. La vue de l'engin fit peur à Julie qui n'en avait jamais vu d'aussi gros... Il massa lentement sa queue, quelques allers-retour très précis agirent sur les nerfs et l'engin se redressa, pulsant légèrement, devant le nez de la pauvre fille. Laura jeta un regard chargé de haine vers le policier qui lui décocha une claque:
- Callate Puta...
La tête de la jeune femme vint heurter celle de Julie qui poussa un cri. L'homme poussa alors l'index de sa main libre entre les lèvres de Julie qui résista un peu mais fini par céder. Il dit à Laura
- Apprends-lui à sucer, toi qui ne penses qu'à ça. Dis-lui de sucer mon doigt, pas comme ça, qu'elle plaque bien la langue et qu'elle tète, allons plus fort, et plus lentement, et en rythme.
La pauvre Laura complément atterrée par ce qui leur arrivait se surprit en train de donner ses conseils obscènes à Julie.
- Allons, je crois que ça va aller.
Il retira son doigt
- Dis-lui de prendre mon gland entre ses lèvres et d'appuyer la pointe de la langue sur le bout... Allons, qu'elle ne traîne pas.
Le ravissant visage exprimait l'horreur, les larmes avaient collé des mèches de cheveux sur la joue toute rose. L'homme appuya son gland et, la bouche en cœur, Julie avala tout le gland. L'engin semblait disproportionné et la pauvrette, dégoûtée, les yeux écarquillés, fixait sans le voir le ventre velu du violeur de bouche... Satisfait de l'effet et de la chaleur du local, l'homme s'enfonça encore un peu dans la bouche de sa victime puis il ordonna à Laura de baisser les bretelles de la robe de Julie et de libérer ses petits seins, dont il a bien vu qu'aucun soutien-gorge ne les protégeait, comme d'ailleurs pour sa tante, il faisait si chaud...
Laura s'exécute en pleurant à chaudes larmes... La vue des seins, petits, aux bouts délicats, agit sur le bourreau dont la queue durcit brusquement dans la bouche. L'homme s'enfile jusqu'au fond et cogne violement contre la paroi de la gorge.
- Suce salope! Tète plus fort! Hum oui encore connasse.
Il saisit Laura par les cheveux et l'oblige à embrasser son amie sur la commissure des lèvres. Puis soudain, quittant la bouche de Julie, il dit à Laura:
- A toi salope! Ouvre ton bec et tète! Et dis-lui de te mettre les seins à l'air. Dis à ta nièce de te mordre les tétons. Dis-lui de te les mordre bien fort salope.
Julie se met à quatre pattes devant sa tante et prend un téton entre ses dents.
- Serre, connasse, serre.
Elle mordille...
- Plus fort, hurle-t-il et finalement elle mord très fort et Laura pousse des cris de douleur.
Alors il prend sa queue à pleine main et s'en sert pour gifler le visage de la jeune femme.
- Ouvre, ouvre vite, putain, suce, suce.
Il s'enfonce d'un coup tout au fond de la bouche, ivre de volupté, et reste immobile, contenant la nuque dans sa main gauche pressant au fond de la bouche de la jeune femme qui remue sous les coups de dents répétés de Julie. Alors l'homme commence un va et vient, il lime cette belle bouche comme un vagin et ne pouvant plus se retenir sort de là écumant...
- Embrassez-vous, langue dans la bouche, vite, vite.
Les deux filles éperdues se prennent dans les bras et Laura conduit un baiser profond. Alors l'homme achève doucement de se branler en les contemplant et éjacule sur leurs beaux visages...

Chapitre 2
Le prix du succès

Le colonel Valencia se leva pour accueillir le jeune homme. Ce dernier était grand et large d'épaules, très mate de peau, la chevelure noire. Son visage pouvait paraître aimable mais une lueur au fond de ses yeux témoignait d'une certaine insensibilité Plusieurs stages commando avaient achevé de faire de lui une véritable combattant. Le colonel ne le fit pas asseoir. Le colonel était en habillé en civil comme tous les agents de la CPS.
- Vous prendrez vos fonctions dès demain à la Centrale de la Police Spéciale. Vous avez fait la preuve de votre loyalisme indéfectible. Vous avez payé le prix demandé sans hésiter un instant. Mais cette mise à l'épreuve ne doit pas être une fin en soi, votre zèle peut s'exprimer et je ne doute pas que vous aller faire preuve d'initiative pour nous témoigner votre attachement indéfectible... Le Colonel sourit en coin et retira ses lunettes de soleil. Son regard froid scrutait le visage du jeune homme: celui-ci offrait un masque imperturbable.
- Je vous remercie mon colonel, je dois vous dire que je tire beaucoup de satisfaction et d'honneur de servir ma patrie sous vos ordres...
- Je sais je sais coupa le colonel. Mais j'ai encore une chose à régler avec vous... Je vais sur l'heure tester votre détermination... Suivez-moi...
Le colonel suivi du jeune homme s'enfonça dans les couloirs et les escaliers souterrains du centre d'interrogatoire de la police secrète... Ils descendirent plusieurs niveaux pour atteindre les cellules des prisonniers politiques réparties en quartier homme et femmes... Le colonel sonna devant la porte blindée et insonorisée du quartier des femmes...
Jaime compta 10 cellules réparties de chaque côté d'un couloir peint en rouge vif.
- Venez voir les salles de jeu dit en riant le colonel, c'est là que vous passerez une grande partie de votre vie professionnel
Il poussa la porte d'une pièce triangulaire garnie sur ses trois cotés de grandes baies vitrées sans tain permettant de voir sans être vu occultaient pour l'heure occultée par des stores. La salle était un poste de contrôle situé au centre des trois lieux d'épouvante... trois salles de torture pour femmes. Au mur un grand poster d'une jeune fille attachée nue, cuisses grandes ouvertes sur une table de torture, un gode enfoncé dans le vagin parfaitement épilé, et surveillée par des soldats hilares la queue à la main. Le colonel referma la porte derrière lui. De larges fauteuils en cuir noir pivotant permettaient de suivre confortablement le déroulement des séances et de jouir d'une vue parfaite. La salle comportait aussi une sorte de paillasse à même le sol au dessus de laquelle, fixées au mur des chaînes munies de bracelets d'acier pendaient.
Le colonel appuya sur une commande électrique et les stores se levèrent doucement. Une des salles était dans l'obscurité, une autre éclairée au néon contenait deux filles d'une vingtaine d'années, un bandeau sur les yeux, pendues par les poignets; enfin dans la troisième seul un spot de faible puissance perçait la pénombre. C'est dans celle-ci que se trouvait Laura, accroupie par terre, un collier de chien autour du cou. Un nouveau clic sur la télécommande et deux projecteurs vinrent éclairer violemment la prisonnière qui releva son délicieux visage, complètement aveuglée, ne sachant ou regarder.
Le colonel s'approcha d'un micro et prononça d'une voix suave:
- Bienvenue dans votre nouveau pays Laura!
Jaime ne broncha pas. Il ressenti une violente érection à la vue de celle qu'il trahissait mais n'en laissa rien paraître. Il devinait les intentions du colonel et s'en délectait d'avance...
- Que pensez vous de cette pute soumise Jaime, ironisa le colonel Valencia, vous vouliez vous marier avec cette salope? Je vous délivre d'un grand poids Jaime... Vous vous apercevrez vite que votre mission comporte des compensations sexuelles qui vous ferons oublier vos inclinaisons envers cette jeune pute anglaise: un bon interrogatoire est un acte d'amour cruel... Vous aurez l'occasion de renouveler chaque jour vos conquêtes et de braver tous les tabous car ici tous les genres de femelles passent un jour ou l'autre.
Tandis qu'il parlait de sa voix profonde un homme nu entra dans la cellule et s'approchant de la jeune femme l'empoigna si fort, par les mèches blondes de sa chevelure hier si bien tenue et à présent souillée de traces suspectes, qu'elle se cambra et se releva en poussant un cri aigu de douleur et de surprise.
Le colonel soudain intéressé s'était rapproché de la vitre et posant son front contre son poing il observait attentivement.
- C'est une salope savez-vous, elle a accepté de sucer sans se plaindre le plus grossier des policiers de l'aéroport. La salope était pleine de foutre quand elle est arrivée ici, nous avons dû la laver au jet, ajouta-t-il en ricanant. Quant à sa nièce, vous allez voir!
Il appuya sur un bouton et la porte de la pièce s'ouvrit. Une jeune femme brune entra, suivie de Julie vêtue d'un slip de coton et tenue en laisse. Julie reconnut Jaime, qu'elle avait souvent vu à Londres... Jaime si affectueux, si câlin avec elle, même parfois un peu trop câlin mais Julie avait aimé ces câlins... Elle eut un élan vers lui, mais la geôlière la contint en tirant sur la laisse du collier étrangleur.
- Cette pute vous aime beaucoup Jaime, ironisa le colonel. Je sais que vous avez eu des faiblesses vis-à-vis d'elle mais à Londres vous n'avez pas pu faire tout ce que vous souhaitiez. Je propose donc que vous usiez d'elle autant que vous le voulez. Qu'en pensera Laura? Nous le verrons bientôt.
Jaime eut un haut le cœur. Lorsqu'il avait accepté le marché proposé par les services secrets, son ambition et sa cruauté avaient parfaitement étouffé tous ses scrupules et tous ses sentiments pour les deux jeunes filles. Le colonel voulait ces deux filles pour son plaisir propre en échange de la promotion de Jaime au grade de responsable de section. Le colonel possédait nombre de jeunes filles mais il était insatiable, et une grande partie de l'argent qu'il se procurait en participant à différents trafics lui servait à acheter et entretenir les filles les plus jolies. Il possédait une vaste propriété gardée par des hommes et des femmes déterminés et c'est là qu'il resserrait ses proies. Il y passait souvent ses soirées, seul ou ne compagnie d'amis pervers.
Jaime avait désiré très fort jouer avec Julie... il avait même imaginé pervertir Laura et partager Julie avec elle dans le même lit: ses fantasmes étaient sans limites... mais il n'avait jamais imaginé que cela allait se dérouler ainsi; contre son gré comme un ordre à exécuter.
Le colonel observait Jaime. Le beau jeune homme salivait à présent. La geôlière poussa la jeune fille contre lui.
- Tu vas obéir Julie tu vas faire tout ce que je te dis de faire et tout ira bien...
Julie secoua la tête en signe d'acquiescement, des larmes plein les yeux. Il se laissa tomber sur le canapé et tenant la main de la belle l'attira à lui, la prit sur ses genoux. Il lui murmure des mots sales à l'oreille:
- J'ai envie de ta bouche pour y fourrer ma grosse queue ma jolie chérie, j'ai envie de bouffer ta chatte ma salope, de boire ton jus de putain.
Tout en parlant il déposait de rapides baisers dans la nuque gracile et donnait des petits coups de langue comme pour goûter sa proie sexuelle.
Il avait passé son bras en travers du ventre de Julie, sa main à plat sur le pubis il jouait avec l'élastique du slip qu'il tendait et relâchait en le faisant claquer provoquant des sursauts de la demoiselle. Il s'aperçut qu'elle était complètement épilée, en la tâtant à travers son slip, et il n'en fut que plus décidé à la tourmenter. Son autre main avait saisit un téton au bout du petit sein et il le trayait cruellement et quand il l'avait étiré au maximum il enfonçait ses ongles dans ce joli petit ornement de chair. Sa queue emplissait à présent son slip et souffrait d'être emprisonnée si près de sa proie, et Julie pouvait sentir la bosse tendue et pulsante contre ses fesses à la coupe parfaite.
- Allons, au travail salope...
Il la tira violemment par les cheveux vers l'arrière offrant sa gorge sans défense à la vue de tous. Puis il lui fit faire une volte face: elle tomba à genoux entre ses cuisses.
- Tu sais comme je t'aime ma jolie Julie, dit-il un rictus sadique au coin des lèvres.
Il caressait sa joue: "Il faut me sucer à présent!" La geôlière se place à genoux aux côtés du couple et ouvre la braguette de l'homme, baisse le pantalon de treillis et sort la queue du slip. Le membre apparaît en pleine lumière, nerveux et veiné, lourd dans la main de la branleuse, elle appréciait le contact et massa doucement le membre.
Le colonel avait mis la main dans sa poche, et se titillait la bite...
- Bien Jaime vous êtes prêt pour les opérations spéciales à présent ricana-t-il...
Julie savait déjà ce qui allait se passer: La scène de l'aéroport emplissait encore tout son esprit traumatisé. Durant le transfert, menottée à Laura dans la jeep, le visage en pleurs, elles furent toutes deux longuement violées, puis battues et violées à nouveau dans la forêt sur le parcours vers le centre de détention et de torture... Les cris cruels des trois soldats, les hurlements des chiens, le sperme plein le visage et la chevelure, plein les fesses... Elle eut un haut le coeur comme si elle allait vomir et elle ferma les yeux... Elle sentit soudain le contact d'une chair tiède ferme et lisse. Le gland de Jaime pressait contre ses lèvres tremblantes, sa bouche au dessin si gracieux
- Ouvre la bouche Julie, il le faut, ouvre bien mon petit ange. Je t'aime, Julie, fais-le par amour de moi...
.Elle pensa à Laura: elle ne l'avait pas vu derrière la vitre sans tain en entrant; elle était trop tétanisée par la terreur... Oui elle avait ce péché sur la conscience, elle avait rêvé de Jaime, des lèvres, du corps, de la queue de Jaime. Lui aussi l'avait encouragée; le soir il la rejoignait dans sa chambre et lui effleurait les seins à travers l'étoffe du tee shirt quelle portait pour dormir, l'intérieur des cuisses chaque fois, sur le qui vive... caresses volées... Elle payait bien cher d'avoir ainsi trahi sa chère tante... Elle ouvrit la bouche, résignée à accomplir sa peine.
Jaime, de plus en plus impatient, et sachant qu'aucune limite ne lui serait imposée, bien au contraire, saisit sa proie par les oreilles et enfonce sa queue d'un seul coup au fond du gosier. Puis restant fixement en place il crie:
- Travaille putain! plus vite plus fort...
Julie les yeux exorbités commence à donner de la tête d'avant en arrière en bavant salement sur ses petits seins. La belle geôlière baisait les lèvres de Jaime et ce dernier pétrissait rudement le sein gauche à peine éclos de la jolie Anglaise, ce qui ajoutait des mouvements spasmodiques incontrôlés au rythme régulier de la sucée.
Le colonel appuya une nouvelle fois sur le bouton et la porte s'ouvrit à nouveau. Un soldat entra poussant devant lui Laura entièrement nue, les chevilles entravées. Le colonel alluma tout grand la lumière et Laura découvre soudain en un éclair toute l'horreur de son destin, et poussant un long cri elle se tord dans l'étreinte du soldat qui la retient fermement contre lui par les avant bras. Le groupe interrompit la scène sexuelle et Julie éclata en sanglots. Le colonel saisit une cravache et s'approchant de Laura, la regarde fixement et la gifle:
- Infâme putain! Qui t'a permis de crier ainsi, jeune bourgeoise, salope, tu te crois tout permis. Saches que dans ce pays tes grands airs n'ont pas droit de cité, je te méprise comme une chienne.
Il cracha violemment au visage de Laura qui se crispa dans une grimace de dégoût tandis que ses yeux reflétaient tout le désespoir du monde. Il lui appliqua une dizaine de coups de cravache en travers des seins, des cuisses, du ventre jusqu'à ce qu'elle se calme. Le bruit du cuir sur la peau délicate transportait le fouetteur dont le vit devenait raide comme un pieu. Puis il s'approcha de Julie, la saisit par les cheveux et la jeta contre Laura:
- Allons, à genoux devant ta putain de tante.
La pauvrette s'exécute. Le soldat avait relâché son étreinte et dégagé prestement sa queue de son pantalon. C'était un membre énorme et très nerveux, d'un fort diamètre.
- Allons, Julie tu vas lécher ta tante et sucer ce jeune soldat qui n'a pas déchargé depuis presque huit jours, se gardant pour toi... Le colonel s'exprimait dans un anglais parfait, presque distingué.
Le soldat vint placer sa queue contre la joue de la pauvre enfant dont le visage était à hauteur du bas-ventre de Laura. Il frotta le gland dans les larmes un peu de foutre précoce s'y mêla. Laura calmée par les coups avait un peu uriné et le pipi coulait à l'intérieur de ses cuisses. N'ayant jamais léché de femme Julie se désespérait intérieurement.Tout le monde faisait cercle.
- Aide-la, Consuelo, dit le colonel à la belle femme brune.
Consuelo se mit à genoux, posa les mains sur les fesses de la victime et dardant sa langue avec délice elle glissa la pointe dans la fente de Laura. Celle-ci était rasée avec grand soin; encore une bonne pute à tortures, pensaient les militaires ravis de l'aubaine. Ils prenaient soin de raser les poils du con de leurs victimes, car ils avaient remarqué que cela les rendait dociles plus vite et plus en profondeur; et quand une victime se présentait déjà toilettée pour les supplices, ils savaient qu'ils pourraient aller très loin avec elle car, même sans s'en douter, elle avait l'âme d'une parfaite salope..
- Regarde, conne, tu dois encore aller à l'école, dit le colonel, voila comment il faut opérer. Amorce-la, Consuelo, qu(elle soit prête à jouir sur le visage de sa nièce.
Consuelo, gouine certainement, prend son pied à rendre folle de plaisir la pauvre Laura. Consuelo se retire lorsque de subtils frissons commencent à parcourir la peau de son sujet d'expérience.
- A toi Julie, dit-elle et Julie comme dans un songe achève le travail commencé.
Elle pose ses mains sur le cul de sa tante et presse doucement tandis que son visage s'enfouit contre le pubis rasé de la très belle jeune femme, elle donne de la langue et des lèvres faisant sourdre le jus le plus clair de ce con délicieux... Jaime qui contemple la scène songe aux moments de délice que lui a procurer ce beau cul... il se branle doucement et le colonel libère son membre et demande à Consuelo de venir le sucer. Il prend sa cravache et en applique des coups sur les seins de Laura, puis sur les épaules des deux suceuses: Julie et la tortionnaire, qui se laisse faire de bon coeur. Laura soudain pousse un gémissement qui ressemble à la plainte d'un animal. Elle jouit donnant du cul dans un mouvement si beau à voir qu'il arrache du foutre au colonel qui remplit le fond du gosier de Consuelo à moitié étouffée, tandis que Jaime s'étant rapproché, agrippe la chevelure de Julie et s'enfonce brutalement dans la bouche ou il éjacule à longs traits - concluant ainsi une attente de plusieurs mois...
- Fouettez-la pendant qu'elle jouit! hurle-t-il.
Le soldat prend une cravache et fustige si durement les cuisses et le dos de Laura qu'elle tombe à genoux...
- Fouettez Julie aussi!
Le soldat applique 10 coups de la nuque au bas des cuisses puis il jette l'engin de torture pour achever de se branler et il éjacule dans la belle chevelure de Julie qu'il orne de perles de foutre ivoirines.

Chapitre 3
Une jeune fille au pair

Julie prenait son rôle au sérieux, chaque matin elle se faisait belle. Depuis sa séparation d'avec Laura, emmenée vers une destination inconnue, elle avait beaucoup changé. Le colonel la recevait deux fois par semaine. Il la voulait parfaite, vêtue comme une ingénue, parfois en tenue de collégienne, parfois en maillot une pièce, parfois en tailleur... Le colonel se contentait parfois de choses vicieuses comme de la regarder se branler devant un miroir, parfois de scènes un peu plus hard, comme par exemple de lui faire lécher le gode strap-on d'une femme tandis qu'elle devait se masturber devant lui. La femme enculait ensuite la jeune fille en levrette sans la dévêtir se contentant d'écarter le slip pour accéder aux délices du cul le plus adorable...
Parfois il officiait en compagnie d'autres militaires de son rang à qui il offrait ce divertissement. C'était alors très dur pour la pauvre fille. Les cris et les coups pleuvaient sans cesse. Et le foutre finissait par la recouvrir entièrement. Mais Julie savait que son sort dépendait de sa docilité. Ce qu'elle devinait des sévices endurés par les filles dans l'hacienda la remplissait de terreur... Et Laura n'était plus là pour la défendre. Elle résolut de servir, de devenir la soumise dont avait besoin ses brutes cruelles. Elle savait bien qu'ils commettaient par ailleurs des horreurs avec les prisonnières, mais ils avaient aussi besoin de plaisirs plus ordinaires et ce qui lui paraissait au début comme le comble de l'animalité était devenu au fil du temps une routine pas vraiment désagréable. Au début le gode lui déplaisait. Ce contact avec toutes sortes de matériaux lui resserrait les trous... Mais le climat sexuel de plus en plus dément qui l'entourait avait raison de ses blocages et elle se surprenait à jouir entravée, godée par une putain, la queue d'un convive fixée au fond de la bouche, le foutre lui sortant des narines.
Au début le colonel usait d'elle de manière à la terroriser. Il s'enfermait seule avec elle de longues heures. Son imagination sadique n'avait pas de bornes.
Un des premiers jours il la fit paraître vêtue comme une putain, les lèvres peintes, chaussée de hauts talons, une jupe au ras du sexe. A la place du slip il avait fait nouer un ruban noir qui serrait la taille et qui, glissé dans sa fente épilée, l'écrasait un peu. Le haut de son corsage était ajouré au niveau des seins et ses jolies mamelles taguées de mots orduriers; elle portait des boucles d'oreille en forme de bite à grosses couilles.
Le colonel lui tendit un livre: c'était un texte de Sade, en anglais, surligné en rouge. Il ordonna à la belle enfant de se place à genoux devant lui à quelques centimètres de sa queue déjà demi bandante et de lire ce texte atroce. Elle commença doucement à lire:
Après cette revue, il désire faire celle des quatre femmes; Palmire l'enchante: il n'a, dit-il, jamais rien vu de si beau, et les superbes fesses de cette belle fille font ses délices pendant plusieurs minutes.
- Ordonne, me dit-il, à toutes ces putains de se mettre à genoux en demi-cercle autour de moi, de venir ensuite, dans la même posture, adorer mon vit, et de le sucer l'une après l'autre. L'arrêt s'exécute, et chacune reçoit deux soufflets en tétant son engin.
Interdite par l'obscénité du texte la pauvre Julie s'interrompt et se met à pleurer... Le colonel empoigne alors le visage de la jeune fille et l'attire contre sa queue et frotte durement ses grosses couilles contre son visage puis enfile son gland dans la jolie bouche et s'y frotte rudement contre le palais...
- .Lis chienne et ne t'arrête pas...
Elle recommence la voix cassée, le visage noyé de larmes.
- Allons, dit-il dès que c'est fait, il faut que mon derrière ait son tour, que toutes dans le même ordre viennent le lécher et l'adorer. Il suce des vits pendant ce temps-là, sans en excepter, comme vous l'imaginez bien, ceux de Cloris et de Delcour.
- Il est temps, dit-il, Juliette de terminer cette première scène.
Le scélérat encule Julie; les valets contiennent le père et la mère pendant qu'il lime le cul de cette enfant. Delcour, armé de son rasoir, va lentement détacher la tête.
A ses mots la pauvre Julie jette le livre à terre. Le colonel la gifle et s'enfile à nouveau au fond de son gosier où il donne plusieurs coups de boutoir. Les mots terribles prononcés par cette voix de jeune fille semblent avoir éveillé une violence sexuelle inouïe: il lime longuement la gorge de la pauvre lectrice. Puis il sort le vit tout pulsant...
- Lis, lis encore sans t'arrêter ou je te fouette jusqu'au sang.
Julie recommence si apeurée cette fois qu'elle trouve des ressources pour lire d'une voix ferme et assurée mettant le ton. Le colonel au comble de l'extase se branle contre sa joue, tirant des mèches de ses beaux cheveux bruns.
- Sois long, sois très long, Delcour, s'écrie-t-il, je veux que ma très chère nièce se sente mourir, je veux qu'elle souffre aussi longtemps que je foutrai.
A peine Delcour a-t-il fait sentir le taillant du rasoir, que les cris de cette malheureuse retentissent de toutes parts.
- Allez, allez, dit Saint-Fond bien introduit dans le cul, mais allez doucement; vous ne concevez pas le plaisir qui me transporte; penche-toi, Delcour, que je puisse te branler le vit pendant que tu travailles; Juliette, adorez les fesses de Delcour: il est un Dieu maintenant à mes regards. Qu'on approche le cul de la mère, je veux le baiser pendant que je fais assassiner sa fille.
Mais quels baisers, grand Dieu! Ce sont des morsures si cruelles, que le sang jaillit à chacune de celles qu'il fait. Un valet l'encule; l'infâme est dans une extase indicible.
- Comme je savoure le crime, s'écrie-t-il en jurant, comme il est enchanteur pour moi! Delcour, fais durer le plaisir...
Le malheureux père, abattu, est prêt à perdre connaissance, ses yeux se détournent avec horreur. La belle tête de Julie tombe enfin comme celle d'une jolie rose aux efforts redoublée de l'aquilon.
- Rien n'est voluptueux comme ce que je viens de faire, dit Saint-Fond déculant le cadavre: on n'imagine pas le resserrement qui résulte, dans l'anus, de la lente incision opérée sur les vertèbres du col; c'est délicieux! Allons, madame, dit-il à la mère, préparez-vous à me donner le même plaisir.
La même scène recommence. Saint-Fond, qui trouve que l'on va trop vite, suspend l'opération.
- Vous ne savez pas, dit-il, combien il est divin de couper ainsi en détail le col d'une femme qu'on eut la faiblesse d'aimer autrefois: oh! comme je me venge bien des rigueurs de la chère cousine!
Le colonel interrompt la lecture: la pauvre fille toute innocente tremble encore des horreurs qu'elle vient de lire. Elle est effrayée de constater le plaisir qu'a pris le sadique à cette lecture...
Après quelques instants de silence l'homme saisissant la pauvre Julie, la place en levrette et contemple le petit cul de la jeune fille.
- Ne bouge surtout pas salope.
Sa main monte et descend doucement le long de sa queue en contemplant les belles fesses nues et le ruban noir serré, tendu et incrusté dans la fente. La fille est épilée soigneusement. Le colonel songe sans doute à des horreurs... Au bout de longues secondes sa voix douce et perverse rompt le silence.
- Va chercher à quatre pattes le gode posé sur la table... et apporte-le moi, comme une chienne, tenu entre tes dents.
L'engin tout noir hérissé de rugosités inspire la peur à la fille. Le bel objet mesure 25 cm de long environ et la pauvrette comprend bien ce qui va lui arriver. Julie traverse la pièce à quatre pattes.
- Remue un peu le cul, montre que tu es heureuse d'être une salope et une vicieuse.
Julie s'exécute, s'humiliant un peu plus devant son maître. Elle se redresse sur les genoux, les mains dans le dos et penche la tête de côté pour prendre à pleines dents le corps du gode. Puis elle fait demi tour, ses petits seins biens fermes apparaissent sous elle tandis qu'elle progresse lentement.
- Relève la tête et regarde ton maître dans les yeux...
La pauvrette est toute rouge de honte. Elle songe un instant qu'il y a quelques jours elle faisait partie des jeunes filles les plus en vue de sa ville... Elle dépose le gode sur les genoux de son maîtres qui la flatte doucement, lui presse doucement les seins.
- C'est bien salope, c'est bien mon amour...
Puis il lui donne sa queue énorme et pulsante à sucer. Elle est si dure que la victime doit se contorsionner, se redresser pour la mettre bien au fond de sa bouche comme elle a été dressée à le faire. La voila penchée vers l'avant dans une position instable qui enchante l'homme.
- Si tu tombes, je te fouette, prévient-t-il.
Elle lève les yeux craintivement vers lui...
Le colonel la laisse chercher la position: il y a quelques jours il l'empoignait et la positionnait violemment, à présent c'est à elle de trouver la bonne position et gare si la maladroite ne va pas assez vite: des claques et les crachats pleuvent ainsi que les gifles sur ses petits seins... Dès que le gland effleure le fond de la bouche et qu'il ressent cette sensation que l'homme éprouve au fond d'un vagin de fille, un doux cervix tout chaud, il bloque la position et reste longuement jusqu'à ce qu'elle s'étouffe et manque de vomir... Alors il ressort dans un état d'excitation si grand qu'il manque décharger, il se calme en respirant très fort et en tirant cruellement sur les cheveux de la fille qui geint doucement. Puis il substitue le gode à sa queue et la voilà avec l'outil dans la bouche... il le fait coulisser du fond de la gorge aux lèvres et retour, le sortant tout à fait, obligeant Julie à fermer la bouche pour mieux pousser contre ses jolies lèvres: un viol de bouche en quelque sorte. Puis au contraire il l'oblige à ouvrir toute grande la bouche, se penche, lui crache dans la bouche un long filet de bave qui coule le long de sa langue et enfile le gode jusqu'à percer la luette de la malheureuse, qui effectue des bonds adorables à regarder pour un sadique.
Quand le gode est luisant de bave il ordonne à la chienne de lui offrir son cul... Il se met à genoux et l'empoigne par la taille pour la contenir. Il ajuste le bout glandu de l'outil contre l'anus de la donzelle. Un anus petit et froissé comme une fossette de bébé.
Quelle jolie ouverture, songe-t-il,c'est le seul trou que je n'ai pas encore violé... Le gode doit préparer cette opération... Il appuie doucement mais la douleur fait faire de tels mouvements au bassin de la jeune fille qu'il ne parvient pas à entrer, alors il se penche et crache un gros glaire entre les cuisses et avec la mouille de la chatte, qu'il récolte dans la fente, il lubrifie l'anus... Il replace le gode et cette fois quelques centimètres entrent doucement dans la fille qui se détend et fini par s'abandonner... Mais l'engin doit forcer pour rester en place et le sphincter se referme doucement faisant glisser le tube vers l'extérieur... Le colonel pousse, cette fois cruellement, et arrache un long gémissement à son esclave... La respiration est courte, elle fait entendre une douce plainte qui peut être de plaisir... Alors il la branle par en dessous sur le haut de la fente mais sans toucher directement le joli clitoris. Il stimule la zone si bien qu'un peu plus de mouille coule le long des cuisses de la fille. Il profite de cet état de plaisir pour pousser un peu plus loin le gode et bientôt elle se cambre avec 20 cm de latex dans ses doux intestins, son visage exprime l'extase et elle finit par jouir comme jamais il ne l'a vu jouir.
Il ressort alors et prend dans une mallette un engin de 25 cm, d'un diamètre peu commun, ainsi qu'un écarteur...
Il contient la jeune truie à bras le corps et enfile le nouveau gode: cette fois ce sont des hurlements qui emplissent l'espace. Le colonel sent sa bite prête à exploser tandis que dans l'excitation il enfile par à-coups le monstre dans le petit canal. La dilatation est parfaite et il ne reste plus qu'à mettre en place une bel écarteur en plastique translucide qu'il va laisser en place plusieurs heures. Il procéde de même avec le vagin de la jolie salope... Les opérations sont encore plus cruelles car ce gode-là mesure 30 cm... Il est obligé de fixer la belle sur une table de torture de salon, munie des lanières indispensables pour la contention. Il peut alors prendre son temps pour pratiquer la lente et cruelle pénétration qu'il réussit dans un concert de cris de détresse et de souffrance puis il place là aussi un bel écarteur qui lui ouvre la vue sur le fond du vagin, aux muscles palpitants de la victime. N'ayant pas joui malgré tout, il l'abandonne geignante pour aller se restaurer et revient au milieu de la nuit pour continuer son jeu.
Dès qu'il substitue un gode énorme à chaque écarteur Julie remue le cul d'avant en arrière, très doucement, tandis que la violence des ondes qui la parcourt lui donne la chair de poule, plusieurs spasmes soulèvent sa poitrine dont les bouts sont tout durs. La queue du sadique, agitée de spasmes, réclame d'être travaillée et se plaçant dans sa bouche de Julie, une main fouillant par en dessous les seins et l'autre empoignant la tête de la jeune fille, il se libère longuement d'un long flot de foutre, enfoncé jusqu'aux couilles dans le plus ravisant et le plus innocent visage de fille...
Puis il l'oblige à prendre avec ses doigts le foutre qui lui dégouline sur les joues et à le déguster en le regardant droit dans les yeux. Comme elle a un haut-le-cœur et manque vomir il l'empoigne par les cheveux et la secoue en tout sens. Cette brutalité ranime un peu sa grosse bite qui se redresse peu à peu. Il recueille le foutre au bout de son gland et le tartine sur les joues de l'adorable esclave.
- Ce n'est pas tout de bien lire chérie, il faut aussi bien avaler le foutre et n'en pas perdre une seule goutte.
Elle le regarde, le minois apeuré. Il tire violemment les cheveux vers la nuque et il lui crache au visage un paquet de salive longuement récoltée. La salive épaisse coule le long de son petit nez et atteint la lèvre supérieure, mêlée au foutre. Il retire alors les deux godes, l'un luisant de mouille, l'autre sec d'un enculage à sec qu'il laisse en place à l'orée de l'anus...
- Ouvre la bouche, foutue branleuse et mets-toi un doigt dans le con... J'aime voir les filles se masturber...
Le colonel debout tourne doucement autour d'elle la queue à la main. La fille se tient à présent à genoux, cuisses entr'ouvertes, adorable, ses beaux cheveux bruns épandus sur les épaules. Le gode encore collé à l'anus écarte la raie des fesses, sa chatte épilée aux grandes lèvres délicates de jeune pute est entrouverte sous l'effet du violent plaisir qui vient de lui secouer le corps et d'ébranler son cerveau. Elle glisse son index peint en violet du haut de sa fente vers le bas. Son doigt écarte le sillon qui apparaît rose et légèrement humide... Elle pousse le bout de son doigt à l'entrée encore fermée de son petit con... Elle enfile son petit doigt et se branle doucement... alors Valencia se penche vers le gracieux visage à la bouche grande ouverte et crache fortement un épais paquet de salive qu'il envoie au fond de la gorge de l'infortunée. Il saisit les mâchoires de la jeune truie entre ses mains de façon à maintenir grand ouvert la bouche, il regarde le liquide infamant au fond de la bouche et sa queue se dresse devant l'humiliation qu'il vient d'infliger à son objet sexuel. Sa queue est à nouveau droite...
La fille qui se caresse finit par ressentir à nouveau la montée du plaisir... Elle jouit doucement, plus doucement que tout à l'heure une sorte de réplique au séisme qui l'a traversée. Alors l'homme la prend dans ses bras et l'emmène sur un divan ouvert et la dispose à genoux, calcule longuement la pose, le petit cul offert il retire complètement le gode et l'encule violemment...

Chapitre 4
L'affamée

Tandis que Julie devenait l'objet sexuel préféré du colonel, Laura avait été mise à l'isolement dans une cellule voûtée éclairée d'une mince veilleuse durant de longues journées, une des ces cellules construites depuis l'inquisition pour accueillir la chair à supplice. Des dizaines de jeunes filles y avaient séjourné depuis des siècles.
Un silence angoissant règne... Laura reçoit de temps à autre un peu d'eau et de nourriture glissée par une sorte de chatière sur laquelle elle se jette comme un animal. Elle est nue sauf un collier de chien étrangleur avec une plaque d'identité ainsi libellée "Laura - esclave femelle - 27 ans". L'humidité la glace, sa chevelure est emmêlée, une cuvette de WC et un lavabo lui permettent de se tenir propre. Outre le savon et une serviette élimée, on lui a fourni un rasoir de sûreté; elle n'a pas eu besoin qu'on lui explique son usage, et a pris soin de se raser les corps tous les jours. Malgré toutes les violences subies ses derniers jours elle est encore désirable. Peut-être plus désirable... Dans la cave il y a des limaces: elle se réveille en sursaut, un cauchemar, elle porte la main à sa chatte et découvre horrifiée qu'une limace s'est placée contre sa vulve glabre.
Elle a perdu tout repère, elle dort de longs moments à même la paille du cachot, elle se réveille en pleurs. Elle hurle parfois.
Après une éternité, la porte s'ouvre soudain dans ce qui lui semble un fracas étourdissant: Un homme entre, il s'approche d'elle et se tient debout sans rien dire. La jeune fille redresse son beau visage implorant ébloui par la lumière qui pénètre à flot par la porte ouverte. L'homme referme la porte et sans un mot s'agenouille auprès d'elle.
- Pitié parvient elle à dire, le visage encombré par les mèches de sa belle chevelure défaite collées à sa joue par les larmes séchées et la nourriture prise à même la gamelle.
Après tant d'heure sans prononcer une parole, sa propre voix la terrorise.
- Ne me faites pas de mal, je vous en supplie quand allez vous me délivrer.?
Sans répondre l'homme prend ses jolis seins rebondis, aux tétons brun roses, à pleines mains et enfonce lentement ses ongles dans la chair. Elle tressaute, se cambre de douleur, pousse un cri aigu de souffrance et de peine, et l'homme peut sentir dans ses paumes, à travers la chair un peu lourde des seins un peu tombants, tout la tension de son corps en alerte, et cela le fait bander. Il sent son membre à l'étroit presser contre l'étoffe de son pantalon de combat. Elle respire rapidement. Dans le silence le bruit harmonieux de sa respiration est nettement perceptible.
- Ecoute-moi bien, horrible salope et répète: "Je suis une salope faite pour servir et souffrir"...
L'homme a un accent russe prononcé. Lermov était un mafieux russe engagé comme tortionnaire appointé, il aurait très bien pu travailler par pur plaisir car maltraiter de jolies filles était sa plus grande volupté. Valencia tenait beaucoup à lui pour exécuter des choses atroces. C'était un homme redoutable spécialisé dans les interrogatoires des filles...
En découvrant la physionomie de ce monstre, Laura pousse un hurlement. Le colonel Valencia avait prévu de faire de cette très belle jeune femme une de ses esclaves les plus soumises. Lorsqu'il assistait aux interrogatoires dans la salle située entre les trois salles de torture il aimait avoir à portée de queue une fille perverse pour le caresser. Car la vision des supplices provoquait chez lui un plaisir sexuel intense. Les 3 salles étaient parfois occupées en même temps.
Valencia adorait Julie mais elle était jeune et son dressage serait long, tandis que Laura avait déjà derrière elle plusieurs années d'activité sexuelle. De plus Laura recélait au fond d'elle toutes sortes de fantasmes qu'une éducation bourgeoise et stricte avait refoulés. Le colonel connaissait la méthode pour faire remonter à la surface ces fantasmes refoulés et faire d'une jeune femme honnête une chienne vicieuse, une femelle soumise et perverse capable d'exécuter ses moindres fantaisies et de s'offrir aux pires supplices. Lermov avait été chargé de commencer le travail.
Le visage légèrement tourné les yeux craintivement levés vers le bourreau, elle ne parvient pas à dire une seule parole. Ses grands yeux brillent dans le Noir. Avant de poursuivre l'homme l'observe immobile. Il contemple ce corps aux courbes à peine trop prononcées, le galbe des hanches, les belles épaules, le triangle glabre de la chatte plein de promesses... Il tient toujours les seins dans ses mains cruelles, les froisse encore, les pétrit puis les relâche et les contemple longuement.
- Répète Laura, répète plusieurs fois "Je suis une salope faite pour servir et souffrir."
L'homme était immense et même à genoux son ombre gigantesque maintenait la malheureuse dans l'obscurité, masquant la faible lueur de l'ampoule. Il décoche sur le nez de la prisonnière une taloche dont le bruit sec retenti sous la voûte. Puis un coup dans l'estomac l'envoie en arrière mais il la rattrape et la saisit à pleine chevelure l'approche de lui, visage contre visage.
- Regarde-moi Laura.
La jeune femme la tête inclinée par la poigne de fer lève une nouvelle fois les yeux vers son persécuteur qui lui sourit doucement.
- Tu es belle Laura, belle à faire souffrir, une bête à plaisir... Allons répète, conne, répète!!!
Et il tire sur les cheveux jusqu'à lui poser la tête sur le sol inclinée devant ses genoux, il tape la tête à plusieurs reprises sur la terre battue. Alors la voix délicieuse de Laura s'élève.
- Je suis une sal... salope,... Haï, pitié, une salope oui, oui pitié je suis faite pour servir et souffrir...
- Encore, putain, encore, mets toi un doigt dans le con, branle-toi comme une pute et répète encore.
La pauvre jeune femme courbée vers le sol glisse sa main aux doigts délicats entre ses longues cuisses et entrouvre les lèvres toutes froissées de sa jolie chatte. Depuis la série de viols elle ne s'est même pas branlée, elle qui le faisait si souvent et si naturellement avant de dormir...
Elle répète la phrase perverse en boucle jusqu' à en devenir ivre et ses doigts lui procurent une ivresse tellement forte qu'elle oublie l'abject bourreau qui lui tire la tête en tout sens. Elle sent le plaisir la gagner, ses tétons deviennent durs, elle remue le cul doucement. L'homme qui sent venir l'orage d'un orgasme la relève et la tient face à face.
- Tu crois jouir comme ça putain. Ouvre la bouche conne, tire la langue putain vite.!!!
La femelle tend sa belle langue rose les yeux agrandis de terreur et d'un trouble naisant. Il se penche, l'embrasse, tète sa langue, la mordant et la tirant comme pour l'arracher, puis crache au fond du gosier de la jeune femme un épais glaviau de bave. Elle commence à tousser sans pouvoir s'arrêter, pliée en deux, la poitrine secouée, la salive ayant pénétré la trachée. Il l'observe et lâche un autre jet de salive dans l'œil gauche de la belle. Elle frissonne, fait une grimace les yeux clos. Il lui pince le nombril. Elle bondit dans un autre sens... le cul vers l'arrière...
- Tu te branles, putain vicieuse, et tu crois que je vais te laisser jouir comme une chienne? Tu jouiras quand cela me fera bander, tu as compris? Tu vas le payer! Ouvre ma braguette.
Il tient à présent un large couteau de chasse dont il la menace
Laura, le visage dégouttant de salive qui coule au coin de la commissure des lèvres, se penche et avec maladresse déboutonne le pantalon de treillis et tout de suite la queue pousse à travers l'étoffe du slip, elle la dégage doucement et achève de baisser le pantalon et le slip révélant un monstrueux outil de 30 cm de long, de 10 cm de tour, aux veines très apparentes, dont le gland violacé se dresse menaçant devant son adorable minois. Le méat au bout du gland laisse perler une goutte de foutre...
- Lèche, goûte, saloperie...
Elle passe la pointe de la langue délicatement et recueille le précieux foutre de son bourreau. Malgré l'horreur de la situation elle éprouve un vif plaisir et se surprend à mouiller.
- Bien, bien oui chèvre oui chatte, j'aime la douceur oui hum, hum sois mignonne...
Laura lèche le gland les yeux mi-clos. L'excitation gagne le bourreau et la violence vient avec. Elle soupire la bouche entrouverte. Il en profite pour tenter d'y enfoncer son membre raide, bloquant les dents avec le manche de son couteau et provoquant des haut-le-cœur... Il prend sa nuque entre ses doigts de fer et pousse sa queue dans la bouche avec une telle violence que la belle se débat et se relève à moitié. Il commence alors à se branler avec cette adorable tête comme avec un objet. Empêchée de crier par le membre qui envahit sa jolie bouche, elle pousse une longue plainte en sourdine dont les vibrations excitent le bourreau, qui sans plus attendre lime à toute vitesse cette belle cavité, donnant des coups dans toutes les cloisons, joues, palais, fond de la gorge comme pour les traverser...
Le bruit humide de la queue frappant en cadence et les plaintes étouffées forment un concert délicieux et l'homme sent sa queue devenir encore plus dure, comme un pieu rougi au feu. La malheureuse, les yeux agrandis par l'horreur pleure, mais le bas de son corps remue involontairement.
Il reprend les seins qu'il martyrise comme s'il voulait les arracher...
- Tu as des nichons tout mous salope, je vais encore te les attendrir moi...
Il cogne durement au fond de la gorge, s'interrompt et frappe à pleine main seins et ventre. Puis il prend la tête à nouveau et la fait aller d'avant en arrière pendant de longues minutes durant lesquelles son sadisme se réjouit de ce beau spectacle, de cette belle demoiselle devenue truie... Il la relève et claque ses belles fesse, introduit son index dans l'anus. Puis la replaçant à genoux laisse aller un premier jet de foutre épais d'une belle couleur ivoire sur le sein gauche, un second au milieu du visage qui opercule l'œil gauche, et pour s'achever comme une brute il force une nouvelle fois le passage des belles lèvres de la fille et se vide les couilles au fond du gosier...
Il pousse des soupirs de plaisir tandis que le bruit d'une lente déglutition achève lentement la scène.
Repu de plaisir il tombe à genoux devant elle, lui prend la bouche et la dévore de longues minutes. Il prend la main de la jeune femme et la place sur sa queue, lui faisant comprendre qu'elle doit le branler mais très doucement, les nerfs de sa queue étant à vif, mais son désir pour son beau visage étant si fort, il veut encore, encore et encore jouir d'elle.
Plusieurs heures de débauche s'écoulent, la violence gagne peu à peu en intensité.
Ultime perversion, l'homme, cependant, ne la pénètre jamais, pourtant c'est elle qui gagnée par cette folie sexuelle dépravée veut être enconnée, sodomisée, elle supplie. Mais par sadisme il refuse et se sert plusieurs fois encore de sa bouche... Il a bien veillé à ce qu'elle ne jouisse pas une seule fois en 5 heures...
Enfin, épuisé et sans rien dire il s'habille et se relève pour partir. Au moment de refermer la porte sur sa solitude, il se ravise, se retourne et dit:
- A partir de ce soir tu n'auras plus rien à manger... Tu seras nourrie au sperme deux fois par jour... Tu auras la chance de sucer deux fois par jour une nouvelle queue. Ne te réjouis pas idiote ce sont des queues qui ont besoin de beaucoup de cruauté pour délivrer leur foutre... Remercie ton maître salope.
- Merci mon maître de me livrer, je subirai les cruautés de vos amis avec courage pour vous plaire...
Il tire sur le collier étrangleur et l'adorable Laura, le visage plein de foutre et de crachat, la langue tirée car il l'étrangle bel et bien, ressemble bien à une chienne fautive malmenée par son maître.
- Aboie connasse: allons, aboie, sac à foutre hurle t-il de son accent effrayant.
Une gifle la jette à terre, elle se redresse et levant la tête pousse un cri ridicule: ouah ouah!
- Mords-moi les chevilles salope...
Elle se jette à ses pieds et tente de mordre le bas de son pantalon: il rit aux éclats
- Allons couchée putain, trois doigts dans le con, tu peux jouir maintenant...
Elle se branle allongée sur le dos, grande ouverte et commence à gémir, se tordre, éprouvant un violent orgasme. Son cerveau obscurci par la montée du plaisir, elle ne sait plus ou elle est, elle délire pendant de longues secondes suppliant d'être frappée, ses doigts étirent et pincent ses lèvres sexuelles avec une violence non feinte..
- Je vous en supplie, pitié, frappez moi mon amour.
L'homme la regarde en riant aux éclats et se penchant vers elle lui crache dans la bouche entrouverte avant de donner un coup de pied vicieux sur la main collée à la chatte. Elle enlève sa main, écarte les jambes, et il lui donne encore une série de shoots violents en plein dans le con.

Chapitre 5
Plus fort... plus profond...

Téter - jouir- souffrir
Lermov était envoûté par Laura qu'il nourrissait au biberon de sa queue. Depuis 4 jours elle n'avait pas reçu d'autre nourriture. Cela l'avait amenée peu à peu à un état de délire érotique permanent... Comme beaucoup de pervers Lermov pouvait remettre à l'infini une jouissance pour en décupler la violence: ainsi il repoussait jour après jour l'enculage et l'enconnage de la belle chienne blonde... Il voulait tellement y mettre d'horreur et d'atrocité qu'au fil du temps son imagination malade ajoutait des détails qu'il consignait dans un petit carnet qu'il portait glissé dans son treillis non loin de sa queue...
Parmi les dix jeunes militaires chargés de dispenser leur foutre à la belle, il était le plus assidu, le plus cruel et les réponses de cette adorable chienne à ses violences lui tiraient des décilitres de crème. Le beau corps de Laura recevait des humiliations incessantes, toutefois le Russe pratiquait la torture en professionnel et les chairs si désirables ne portaient pas trop les marques des supplices variés et pervers.
Cependant.Lermov rendait compte de l'évolution des choses à Valencia et ce dernier lui dictait ses fantaisies...
Laura quant à elle devenait de plus en plus désireuse et désirable. Elle vivait dans un état constant de manque. Elle voulait sa queue et ses gifles. Elle n'avait droit à l'orgasme que dans des conditions bien strictes fixées par ses bourreaux. Le plus souvent elle devait jouir en se branlant au milieu d'une assemblée de soudards ivres, agenouillée au centre d'un cercle de bites féroces agitées lentement par des mains fébriles, victime des plaisanteries les plus vulgaires et recevant des coups de ceinturons à toute volée sur les seins qu'elle leur présentait, de multiples crachats qu'elle devait récolter et avaler goulûment... La douleur aiguisait son plaisir, elle jouissait au moment ou ces monstres étaient au bord de l'explosion: elle recevait alors coups et foutre sur tout le corps...
Puis le silence retombait: seule elle se branlait à nouveau mais s'interdisait de jouir: elle faisait de rapides progrès dans la soumission.
Au moment du repas elle était affamée et se précipitait vers la queue de l'homme chargé de la torturer. Elle se courbait à terre, la tête sur les genoux devant lui silencieux, elle entendait son souffle court, provoqué par l'excitation sexuelle... Il jouissait de sa toute puissance sur la belle fille blonde... Il contemplait son dos longiligne, la souple arête de la colonne vertébrale arquée, la chevelure faisant un voile sous lequel le délicieux visage prosterné disparaissait, l'ensemble culier, les belles fesses bien mise en évidence par la pause et la fente glabre en saillie entre les cuisses. Elle attendait immobile la volée qui ne manquerait pas, les insultes puis le défonçage de sa bouche et le repas délivré dans les tourment, le repas chaud, épais, visqueux dont l'odeur emplissait sa bouche en continu, imprégnait sa peau et agissait sur elle comme un aphrodisiaque.
Un soir Lermov vint la voir accompagné de deux autres brutes, un Noir de 2 m de haut pesant sans doute plus de cent kilo et un ancien tortionnaire du Chili, un gigantesque Indien des Andes au regard fou nommé Huatec. A eux trois ils semblaient occuper tout l'espace et la pauvrette à genoux à leurs pieds ne semblait pas exister.
Lermov tenait une cravache à la main, Sabial le Noir un morceau de tuyau en caoutchouc et le Chilien une courte badine de bambou d'un gros diamètre.
- Bonsoir mon amour siffla-t-il entre les dents c'est l'heure de la tétée de bite et ce soir tu vas être gâtée salope...
- Mets-toi à genoux cuisses ouvertes, grandes ouvertes... Hum plus ouverte, hurla-t -il
Et le premier coup claqua sur le ventre de la jeune femme, un coup de cravache, les deux autres hommes émirent un ricanement. Laura rectifia la pause, se cambrant pour faire saillir de manière obscène son mont de Vénus toujours soigneusement rasé...
C'est sur cette douce chair que le sadique balança le second coup de cravache. Elle bondit, sa charmante gorge tressauta adorablement et reçu le coup suivant appliqué par le Noir: le tuyau laissa une large marque en travers des seins tombants...
Puis le Chilien se mit à genoux devant elle. Il incrustait son regard inquiétant dans le regard éperdu de l'esclave. D'une voix de serpent à l'accent étrange il murmura:
- Enfile-toi cette canne dans le con, puta.
Le bois était vernissé, marqué des noeuds naturels de la plante. Il le lui glissa entre les dents. Elle resta ainsi quelques instants, immobile, les narines légèrement dilatées par sa respiration, soudain plus oppressée...
- Enfile salope, enfile.
Elle prit le morceau dans sa main et regardant fixement l'Indien, elle écarta les lèvres de son sexe et, du bout de l'index, dégagea l'entrée toute rose et tendre de son vagin.
L'Indien pendant ce temps extirpait lentement sa queue de sa braguette, la roulait doucement dans sa main et frottait le gland contre sa paume. La queue était très grosse pour sa longueur et Laura toujours excitée par les détails anatomiques ressentit une venue de mouille: la queue avait le diamètre du bâton de bambou.
L'esclave sexuelle se cambra un peu plus pour faciliter l'intromission de l'engin rigide comme l'acier. Elle dut mettre un second doigt puis un troisième en bouquet... Lermov s'était placé dans son dos et distribuait de petits coups de cravache sur les épaules, sur le trapèze svelte du dos; le Noir lui aussi déballait son vit.
L'engin était effrayant, l'homme l'avait scarifié comme les guerriers d'Afrique... Des motifs obscènes de vulves entremêlées de pénis, l'ornaient des couilles au gland. Il bandait droit vers la voûte du cachot et prit tout de suite en main son plaisir.
Il s'approcha lui aussi tout contre la belle et prenant une poignée de cheveux blonds s'en fit un fourreau et il se branla. Laura environnée de corps massifs sentait le souffle court et le bruit de respiration rapide des trois tortionnaires, l'odeur de sueur. Ils agissaient en spécialistes tout leurs gestes semblaient avoir été mûrement étudiés. Laura ajusta le bout cylindrique et froid et sursauta de douleur
- Enfile-toi, puta, tu aimes te faire détruire le con, saloperie, ajoutait l'Indien toujours bandant tandis que les coups de cravache retentissaient de plus en plus fort sur le cul de la belle jeune femme dont la chair molestée tremblait à chaque offense.
Des marques ornaient tout l'arrière de son corps et Lermov qui bandait dans son pantalon se frotta contra l'arrière du crâne, stimulant son membre sadique à chaque frottement tout contre le vit du Noir dont le gland énorme au méat béant émergeai seul de la masse de cheveux.
Enfin serrant les lèvres, les larmes aux yeux l'adorable chienne s'enfila en gémissant cinq centimètres dans le canal d'amour.
L'auto-supplice était une idée délicieuse et les trois commandos appréciaient la scène.
- Allons ne perds pas de temps mon amour enfile-le d'un coup à présent.
Les 5 centimètres restants furent engloutis dans un hurlement de la victime et les soupirs d'approbation des hommes.
- Et maintenant lime et lime mi perita... ajouta Huatec.
Elle ne pouvait plus bouger tétanisée par la douleur. Elle offrait un spectacle lubrique, le bas du cylindre pointant sous son cul. Lermov avait sorti sa queue demi bandante et en appliquait de petits coups sur le beau visage, frottait son gland dans les larmes. Alors elle réussit à faire entrer le reste dans des souffrances atroces...
- Crache-lui à la gueule, Huatec.
L'Indien lui pinça le nez et s'approchant, le visage congestionné par la violence sexuelle, cracha dans les yeux de la pauvre chérie. Le glaviau plein d'humeur et jauni de tabac coula vers les lèvres délicatement dessinées... Lermov à présent pressait son énorme gland légèrement lubrifié, contre l'œil clos plein de bave...
La pression sur le globe oculaire ajoutait un nouveau tourment, mais la belle soumise ne déviait pas des ordres et d'un main délicate elle tirait et enfonçait lentement dans son con le gros morceau de bambou et la mouille qu'elle trayait de son ventre rendait tout luisant, à la lueur de l'ampoule de 25 W, l'intérieur bien plat de ses cuisses longilignes...
Laura pensait à la sucée, au foutre. Elle ne pensait plus à son passé, à ce qu'elle avait pu être. Elle songeait à ce qu'elle devait être pour ses bourreaux et toute entière elle se donnait pour qu'ils jouissent, et le plus cruellement possible, cela aussi elle le voulait. Elle songeait aux jets de foutre au fond de sa gorge...
Le bruit de siphon provoqué par le godage cruel excitait les trois hommes dans leur masturbation lente...
- Tu as bien mérité le con de cette salope dit Lermov à l'Indien au visage congestionné, la queue prête à exploser... Viole-la à présent.
Lermov et le Noir s'écartèrent et Huatec se précipita sur elle, lui saisit les poignets dans une seule de ses mains monstrueuses et lui passa des menottes. Il la suspendit toute engodée de bambou, la mouille dégoulinant sur ses cuisses, à un porte manteau situé derrière la porte.
La pointe des pieds de la jeune femme effleurait la terre battue. L'homme prit le morceau de bambou et pompa cruellement le vagin écartelé puis brusquement le retira, et enfonçant ses doigts de la main gauche dans la bouche il la contraignit dans la plus grande ouverture possible.
La belle râle, la bouche ouverte et bave... Huatec rejette la tête en arrière et crache un énorme mollard dans l'adorable bouche et le contemple glissant vers l'intérieur du corps. Il se branle doucement.
Huatec enfile alors le gode de bambou entre les lèvres d'en haut. Elle pousse un gémissement de chienne blessée et demeure les yeux exorbités les mâchoires disjointes par l'énorme pieu...
Puis Huatec se met à genoux et, écartant les cuisses le plus largement possibles, se perd dans la contemplation du con demeuré béant après le retrait du bambou...
Il perçoit le bruit discret des queues maniées à la main par les deux voyeurs, postés debout dans son dos.
- Fais-la chanter dit Lermov.
Le Noir muet approuve d'un grognement étirant sa queue et décalottant recalottant en rythme son gland énorme pour augmenter le plaisir, les yeux exorbités...
Le canal tout rose est si écartelé que la vue porte loin à l'intérieur. Les spasmes du muscle vaginal pulsant doucement excitent très fort l'Indien...
Il porte sa langue à l'intérieur savourant l'odeur de jeune fille puis il mord le clitoris à présent dégagé entre les grandes lèvres trempées de moiteur sexuelle...
Ces derniers détails lubriques l'ayant porté à l'incandescence, il se lève, se place contre la chienne et ajuste son membre devant l'orifice qu'il veut clouer et d'un coup de rein va jusqu'au fond soulevant la jolie pendue, la maintenant un instant en l'air, ressentant les 45 kg de grâce et de joliesse sur son gland...
Puis il lime comme jamais on n'a vu limer, limer comme pour usiner une pièce, comme pour tuer: si sa queue avait été un poignard la fille serait morte sur le coup... Il calme le rythme et griffant les fesses en sang d'une main, il étrangle la malheureuse de l'autre.
Les poignets délicats heurtés à chaque mouvement de cul finissent par devenir violets. Il empoigne la chevelure et tirant la tête en arrière la cogne contre la porte à deux reprises: le bruit mat l'excite tellement qu'il pense déculer pour ne pas jouir de suite.
- Vas y Huatec vas y amigo, casse, casse.
Mais Huatec qui n'a pas baisé depuis des jours se voit forcer de sortir de l'entrejambes délicieux et pour remplir son contrat de fournisseur de jute alimentaire, il la dépend prestement, la place à genoux entre ses jambes, retire le bambou auquel il substitue son membre en pleine crise. Il perd malheureusement la première giclée de foutre qui va dans les cheveux mais il arrive au fond de la gorge à temps pour le premier service du soir...
... - Puta de mierda, saloperie hum oui, oui salope pompe, avale, pompe.
Il se libère à grands coups de reins 5 ou 6 fois. I n'avait atteint un tel orgasme qu'en enculant une fille à l'agonie qu'il avait torturée de longues heures dans un village de la cordillère...
Il ressort et sur le visage ravagé de la putain il contemple les traces d'extase et de douleur. Il la gifle plusieurs fois, faisant voler la tête en tout sens, la chevelure éparse dans l'air...
Laura la main sur la chatte se caresse doucement et soudain gémit: elle va s'envoyer en l'air mais elle sait qu'elle n'a pas le droit et revenant à elle, elle lève des yeux soumis vers Lermov: Une chienne n'a qu'un maître et Laura ne connaît que Lermov: celui-ci approuve sa retenue et pour la remercier lui balance un coup de cravache vicieux entre les jambes...
- Il faut nettoyer après le service chienne, lèche et vide ma queue, vide-la bien, n'en perd pas, oui ma chérie, prends mes couilles dans ta jolie foutue bouche, chaque olive, oui comme ça...
et l'Indien rebande doucement, la queue s'érige à nouveau, la fille donne toute sa bave toute la souplesse de sa langue pour satisfaire son tortionnaire.
- A toi Lermov, cette conne va m'épuiser... Tu comprends pourquoi je les tue après avoir joui...
Lermov ricane sadiquement et le Noir fait mine de trancher une gorge avec sa main...
Laura cette fois est terrorisée...
Elle sait que sa vie ne tient qu'à un fil mais elle ignore que Valencia à parfaitement orchestré sa déchéance et qu'une caméra infra rouge équipe sa cellule. L'image est retransmise directement dans le salon de Valencia... Valencia se branle pour elle jour et nuit devant un gigantesque écran plasma... Valencia prend Julie et Julie le lèche quand il observe Laura...
Et Julie aime entendre les cris de Laura...
Lermov le vit très raide s'approche de la belle à genoux et frotte son gland sur le bout de son nez tout en malaxant les seins en tout sens les écrasant les aplatissant...
- Hum ces foutus seins m'excitent énormément dit-il. Allons, branle-moi un peu contre tes tétons ma chérie.
Laura avec délicatesse prend la bite dans sa main droite et frotte le gland au bout de son téton, tout durci par l'excitation du ramonage qui a mis son corps en feu...
Lermov prend la cravache et place le bout du manche entre les dents de la chienne.
- Et bien Laura à présent tu vas te fourrer dans le cul le manche de cette cravache... Suce et mouille bien, tu auras moins mal... Mets-toi debout vite.
Dès qu'elle s'est relevée légèrement titubante il la plaque face contre la muraille et se penchant vers ses fesses il enfonce ses dents profondément et fait rouler la chair ferme du joli cul entre ses lèvres puis il s'agenouille et claque le cul: Laura sait qu'elle doit s'offrir, s'ouvrir et montrer qu'elle aime ce qu'on lui fait; elle remue doucement le cul sous la torture.
L'homme pince l'intérieur de la raie culière, descend peu à peu jusqu'à l'anus fermé et tout fripé... Il joue avec le trou quelques minutes puis dépose un crachat épais dans la fente du cul pour lubrifier le petit trou violacé. Il se relève, retourne la fille et la gifle.
- Dans le cul tout de suite...
Sa queue est agitée de mouvements spasmodiques.
Laura prend la cravache, relève une jambe, se déhanche et fouille entre ses cuisses à la recherche de l'orifice bien rasé lui aussi, qu'elle masse légèrement, les yeux levés vers Lermov, le souffle court, narines palpitantes, lèvres entrouvertes sur ses dents parfaites, le visage maculé de traces orgiaques. Elle presse le manche en cuir luisant comme un gland, ferme les yeux et d'un coup s'empale en hurlant...
- Plus fort chienne, suce couilles, plus profond jusqu'à la gorge murmure Lermov qui se caresse avec précision le haut de la tige, effleurant le gland sans accentuer sa pression... Le titillement très doux l'excite encore plus que toute branlée vigoureuse...
Il admire la pause déhanchée de la victime qui tourne la tête par dessus l'épaule et observe son maître pour lire dans ses yeux l'approbation mais ce dernier reste de marbre. La vue de la bite cruelle pointée vers son visage la rassure, elle commence à se limer le cul dans la douleur.
Le supplice semble durer depuis des jours. Elle ne pense plus à rien qu'aux gestes et aux sensations...
Les chairs autour de l'anus entraînées par le gros manche de cuir se retournent à l'intérieur du corps accroissant les souffrances de Laura.
Lermov ne peut plus attendre le foutre lui monte à la tête, il prend lui-même le manche de la cravache en main. La fille se laisse faire en dodelinant de la tête. Il la laboure si cruellement qu'elle s'évanouit.
Il frappe et frappe et de l'autre main l'empoignant par la tignasse blonde mêlée du foutre de l'Indien, la redresse, l'appuie contre le mur le visage de côté... hurlante...
- Pitié ne me tuez pas monsieur non je vous en supplie pas encore je veux vivre...
- Tiens-la, commande-t-il au nègre; tiens la bien et il la place à genoux prenant la même pose derrière son adorable cul.
Le nègre saisit à son tour la chevelure souillée de la toute belle et la maintient relevée... Lermov lime encore et encore... Le noir profite de la position de la bouche pour y fourrer sa queue. Sa bite explore à grand coups la bouche devenue insensible... La pauvre vicieuse les yeux à demi clos reprend goût à l'orgie et tète l'énorme bite à l'odeur de musc, sa langue gonflée tente d'apprivoiser le gland.
Le gland frappe en tout sens dans la cavité buccale tandis que Lermov retire le bout glandu de la cravache et enfonce à présent dans l'anus le manche de son poignard de guerre beaucoup plus gros. La belle remue le cul en tout sens comme pour se dégager. Ses cris raisonnent sur le gland du Noir qui accentue son enculage de bouche.
Le Russe recule toujours à genoux contemple la vue de l'entrejambe avec la lame brillante qui sort de l'anus pointant vers l'arrière. Alors saisissant la cravache couverte de bave il fouette les cuisses et les épaules de la malheureuse, retire le poignard, prend son engin à la main, explore le trou dilaté et enfile son gland turgescent dans l'adorable conduit qu'il étrille un long quart d'heure.
Laura ressent une brûlure terrible, la queue est trop grosse et elle n'a jamais beaucoup pratiqué la sodomie... Elle geint et soudain elle sent l'intérieur de ses intestins inondés d'une douce chaleur qui jaillit par à coups délicieux, tandis que sa bouche s'emplit de la liqueur excessivement salée du noir.
Prise entre ses deux fouteurs elle jouit malgré elle... Alors l'Indien que la scène à fait rebander s'installe à son tour pour avoir sa part et les trois commandos habitués à ce genre de partage fraternel s'ajustent pour que l'Indien puisse la prendre à nouveau en con.
Au bout de longues minutes chacun change de place et les trois brutes comparant les mérites de chaque trou se mettent à cracher dans la bouche dans le vagin et l'anus pour tout remerciement...
Valencia tient Julie sur ses genoux, cuisses écartées: son gland se dresse contre la fente de la jolie fille, toute fraîche et parfumée, de grandes boucles d'oreilles et un collier d'émeraudes entre les seins: Julie ne perd rien du spectacle projeté sur l'écran géant...
- Julie tu aimes voir souffrir n'est ce pas mon amour.
Valencia caresse légèrement et presque distraitement le petit clitoris... Elle se tortille:
- Oui señor c'est si beau...
- Tu aimerais faire souffrir Laura pour moi ma chérie?...
- Oh señor hum oui, oui et la fille pose sa main sur la main qui la fouille doucement.
Valencia n'a pas longtemps à attendre Julie est agitée de longs spasmes, cambrée dans ses bras, il pelote ses petits seins au tétons en érection presque douloureuse... Elle mouille, la conne et caresse le gland qui soudain se met à gicler un foutre tout visqueux dans la paume de sa main.

Chapitre 6
Laura sert à quelque chose

Vers midi Lermov entrait dans la cellule toujours aussi obscure. Laura venait à lui sur les genoux ou à quatre pattes. Elle portait plaisamment des accessoires nouveaux.
Outre le collier de chien, Lermov avait posé lui même de petits anneaux dans les lèvres du sexe au niveau du clitoris de la jeune femme, de manière à y fixer une laisse. Valencia avait prévu cela comme une nouvelle étape dans la dégradation de sa victime... il avait beaucoup aimé la cérémonie de pose des anneaux...
Un jour ou Lermov venait dégorger au fond du gosier de Laura le repas qu'elle attendait la plus part du temps en se branlant, il lui intima l'ordre de s'allonger sur le sol grande ouverte et, se plaçant à l'envers d'elle, se vautrant sur son corps, frottant ses couilles sur son visage, jusqu'à ce que son membre énorme saille jusqu'entre les tétons de la belle, il avait longuement ausculté le con du bout de l'index, puis d'un massage très lent entrecoupé de brusques et profondes pénétration dans le vagin qui soulevait le corps de la fille et lui tirait des gémissements, il avait peu à peu amené la putain au point de non retour.
Il jouait de son doigt dans la fente lisse et rose et se penchant dévorait comme une bouche la chatte de la victime donnant de la langue aussi profond que possible dans le con à la cloison satinée et délicate..Il songeait avec ravissement aux sévices que lui et ses complices avaient infligé à la jeune femme quelques jours plus tôt. Sa bite effroyablement dure appuyée entre les seins il recouvrait de son énorme bassin poilu ignoble de sueur et de relent d'eau de toilette frelatée le visage de la fille qui geignait sous lui.
Il releva un peu la tête, inspecta le vagin, puis, fortement, cracha dans le con entrouvert comme il le faisait d'ordinaire dans le gosier de sa victime.
Avec le doigt il fourra le con de bave le mêlant à la cyprine. La fille geignait. Le bruit mouillé du doigt dans le con et le frottement du corps de la brute sur la mince silhouette de l'esclave faisait une musique obscène. L'odeur de cul remué ajoutait à la montée du délire érotique. Pour rompre la scène il claqua vivement de la paume le sexe glabre et l'empoigna dans ses doigts de fer pour mieux ressentir les mouvements de la fille près de mourir étouffée sous lui et qui se tordait en tout sens.
Comme il lui travaillait rarement la chatte, la fille était particulièrement excitable. Ce jour là elle mouillait abondamment et il léchait ses doigts couverts de cyprine... un délice... Il se redressa au dessus d'elle, le vit pendant comme celui d'un taureau. La pauvre pensait recevoir des hommages appuyés de son bourreau et regardait la queue demi bandante près de son visage. Toujours penché sur le sexe de l'esclave, Lermov prit un poinçon et écartant doucement un des ailes délicates du sexe il l'étira et la perça brusquement. La fille poussa un petit aïe et redressa la tête pour voir ce qui se passait entre ses belles cuisses.
La queue de Lermov se redressa brusquement le gland très rouge indiquant clairement que la cruauté agissait directement sur ses nerfs... Il pratiqua lentement de même avec l'autre lèvre comme l'on pratique pour un piercing. Laura ne disait plus rien. Seule une perle de sang tintait sur ses grandes lèvres: il la lécha aspirant la chair délicate jusqu'au milieu de la bouche.
Puis il pinça cruellement les deux lèvres percées afin d'obtenir un long cri.
- Chienne en laisse de con dit-il en riant dans un espagnol épouvantable...
Il fixa deux petits anneaux en argent dans les orifices. Le métal désormais irriterait son clito au moindre changement de position.
- Frotte tes cuisses l'une contre l'autre foutue carne hurla-t-il.
Elle croisa les jambes et remua comme si elle avait envie de faire pipi. Elle ressentait l'humiliation d'être ainsi asservie mais les petits anneaux massaient le haut de sa fente son petit clitoris et elle mouilla et ne vit plus que son maître. Parfois elle pensait à Jaime. Elle pensait que lui aussi avait envie parfois de la salir de la diminuer. Pendant l'amour il employait des mots blessant pour parler de son corps... Lermov vit luire la mouille dans le sillon de la chatte.
Lermov clippa le bout d'une laisse métallique et tira légèrement dessus étirant le sexe de la belle qui poussant de petits cris se vit obligée de se redresser...
- Debout chienne nous changeons de chenil et disant cela il sorti dans le couloir la tirant derrière lui elle suivait les jambes entrouvertes avec difficulté.
Elle faisait des efforts pour marcher en rythme avec son bourreau et ne pas ressentir la traction des anneaux... Ils gravirent des escaliers et arrivèrent en plein jour au centre d'une vaste cour.
Laura aveuglée tomba à terre et reçu de ce fait un coup de laisse pour se relever.
- Quelle conne cette femelle fulminait Lermov...
Ils traversèrent la cour et pénétrèrent dans un bâtiment aux fenêtres entièrement grillagée. Au dessus de la porte principale un panneau indiquait:
CENTRE D'INSTRUCTION
SALLE D'EXPERIMENTATION
Il poussa la porte, 5 garçons et 5 jeunes filles en tenue de tennis, de 20 ans environ, étaient assis devant des tables de classe disposées en carré laissant au centre un espace libre.
C'étaient de très beaux jeunes gens à l'air vif et hautain. Les filles particulièrement jolies et dédaigneuses. Tous attentifs prenaient des notes. Au tableau une jeune femme d'une rare présence se tenait debout dans une attitude martiale...
Lermov pénètre dans la salle de classe. La jeune instructrice lui fait signe d'approcher il traverse la classe tenant Laura entièrement nue sous les regards scrutateurs et amusés des jeunes stagiaires... Laura en laisse est attachée au pied du bureau de l'instructrice.
- Mes hommages lieutenant Selva lança Lermov voici le cobaye...
La jeune femme répondit gracieusement d'un petit signe de la tête, elle avait posé son magnifique regard, cependant froid comme l'hiver, sur le visage du rustre qui, déstabilisé, fut tenter de baisser les yeux...
Selva fit signe un désinvolte pour lui signifier de se retirer... Lermov savait que sa mission était terminée. Il détestait cette femme, bras droit de Valencia, mais il avala son humiliation et sortit sous les regards méprisants des jeunes gens... Pourvoyeur de cobaye était un job très mal considéré. Mais Lermov savait que la récompense pour ses bons et loyaux services l'attendait au bout du couloir: un ravissant cobaye femelle de 20 ans, bien dressée et endurante, et le droit d'utiliser une salle de torture toute une nuit...
Cependant Selva arpentait l'estrade une cravache à la main.
- Je vous demanderai de ne prêter aucune attention à cette esclave sexuelle... Nous verrons plus tard à quoi elle peut nous servir... Je parle pour les garçons mais aussi pour vous mes demoiselles car la plupart d'entre vous sont gouines ou bisexuelles.
Elle jeta un regard convenu et enflammé vers une jeune fille boire particulièrement adorable...
- Aujourd'hui nous allons poursuivre notre instruction. Hier nous avons vu que certaines parties du corps féminin sont propices aux interrogatoires poussés. Nous avons appris que douleur et plaisir pouvaient se combiner pour faire craquer une prisonnière. Nous avons appris aussi que la dégradation progressive permettait de faire d'une fière guerillera une putain soumise avide d'orgasme... Vous avez été choisis car vous êtes les plus disciplinés les plus sensibles et les plus sadiques de nos jeunes recrues. Car sadisme et hyper sensibilité vont de pair.
- Vous devez pratiquer la torture comme si vous faisiez l'amour avec votre victime et donc en tirer un grand plaisir c'est le secret de la réussite... Vous allez à présent voir dans ce film comment cela se passe. Il se peu que vous ressentiez de l'horreur ou au contraire une excitation sexuelle: contrôlez-la jusqu' à la fin de la séance. Après la projection nous ferons quelques exercices destinés à décompenser les émotions que vous allez refouler.
Selva éteint les lumières et lance la projection sur un grand écran derrière elle... Apparaît une très jolie Asiatique d'une quinzaine d'années toute nue agenouillée, ses longs cheveux noirs et raides couvrant ses épaules, ses mains menottées dans le dos. Son sexe est parfaitement glabre.
La pute est menue et gracieuse, la camera fait le tour de la fille et la montre sous tous les angles possibles s'approchant des orifices, con anus et bouche comme si elle voulait pénétrer la fille...
Deux hommes en pantalon de combat, torse nu, en tenue paramilitaire, se tiennent debout, menaçants, de chaque côté de la pute.
La fille porte une pancarte autour du cou rédigée en anglais
"20 years - to be tortured"
Leur visage est masqué et ils s'adressent à la fille dans sa langue sur un ton menaçant: elle répond d'une voix aigue et implorante. Elle tourne son beau visage alternativement vers chacun des deux soldats.
L'un deux tient une sorte de lacet en cuir. Il crie un ordre et la fille remue la tête en tout sens tandis que son complice se plaçant derrière elle lui bloque la nuque entre ses genoux. L'homme au lacet saisit le petit sein gauche de la jolie poupée et serre le lacet au bout du téton. Il prend un autre lacet et répète l'opération. Les deux tétons ligaturés, il tire dessus violemment tout en interrogeant la jeune fille qui refuse de répondre puis les nouent ensemble autour du cou de la belle.
La poitrine à peine éclose étirée lubriquement offre un spectacle cruel et la vidéo montre les petits seins, les tétons comprimés à leur base en gros plans puis le visage plein de larmes. L'homme au lacet extrait de son pantalon sa queue arquée, lourde, demi bandante et l'autre homme fait de même, les couilles posées dans la chevelure noire, la bite dressée raide vers le plafond.
Les deux membres semblent disproportionnés par rapport au fin visage de la prisonnière... Des murmures approbateurs s'élèvent dans la salle d'instruction... Les filles passent leur main entre leurs jambes et les garçons commencent à se caresser la queue la main dans la poche...
La voix profonde du lieutenant Selva s'élève légèrement ironique:
- Attention de ne pas gaspiller votre foutre jeune gens j'ai besoin de votre énergie sexuelle pour la suite de la séance, et vous mes jolies soyez patientes vos chattes auront leur nourriture...
Cependant le soldat tient toujours fortement serrée la tête de la fille et son comparse donne des coups de queue sur le nez, la bouche les yeux de la fille. La fille glousse doucement.
Il prend un revolver à sa ceinture et l'enfonce dans la bouche aux lèvres délicates... Ouvre ta jolie gueule petit poisson à bite semble-t-il dire... Elle ouvre grand la bouche, tire la langue, la fente adorable de ses yeux d'encre chavirés, brillante de larmes...
- Tu vas mourir pense-t-elle sans doute, tout en suçant docilement le canon métallique.
Mais l'homme qui a joui plusieurs secondes de la terreur de la fille retire le canon. La fille reste bouche bée n'osant plus bouger, les yeux immobiles. L'homme se penche vers elle lui prend le menton et crache salement et abondamment au fond de la divine bouche. La fille surprise avale et sa glotte remue sous les doigts du pervers qui suit le passage du glaire. Satisfait il crache une nouvelle fois au visage de la putain, promène rudement son gland durci sur les joues, l'enduit de bave glaireuse et le pose pesant et lisse sur la langue de la fille.
La grosse confiserie posée sur la langue rose offre un spectacle lubrique et sa salive coule abondamment au coin de ses lèvres.
Elle bave comme une chienne gourmande sur ses pauvres seins distendus. Cependant le type derrière elle, introduit ses doigts dans les commissures des lèvres et tire à les déchirer: la jeune fille toute menue n'est pas proportionnée pour des queues d'Occidentaux...
Elle redoute la fellation qui peut être meurtrière pour elle et elle semble dire "Arrêtez je vais parler." Mais l'homme n'a en réalité que faire de ses aveux... A présent il sait qu'elle parlera quand il le souhaitera et il va goûter la récompense de son travail.
- Vous voyez le cas d'une fille facile ricane Selva. D'ordinaire les tortures sont plus longues et plus sanglantes...
Malgré les cris de la putain il pousse son membre d'un coup au fond de la gorge et presse fortement étouffant la malheureuse qui suffoque les yeux agrandis par l'asphyxie. Pourtant la bouche écartelée ne parvient pas à contenir toute la longueur de l'outil et il reste plusieurs centimètres dehors...
L'homme force alors et déclenche la toux de la petite truie... Les secousses occasionnées semblent décupler le plaisir du sadique. Cependant l'autre homme a relâché son étreinte et s'est posté à côté de son complice, son membre bat lentement en l'air et il approche son gland de la bouche et, poussant queue contre queue, s'enfile à moitié lui aussi le long de son complice: la fille va sûrement mourir étouffée les commissures déchirées mais la bave lubrifie les deux engins et les deux hommes liment violemment. Un clapotis immonde suivi de plaintes étouffées couvre presque les ahanements des fouteurs.
Le premier tient de longues minutes mais cette promiscuité buccale l'excite tellement qu'il se retire, agrippe la chevelure et ajustant le ravissant visage, décharge sa purée immonde sur toute la face en trois longs jets brûlants.
La fille aveuglée tente de porter les mains à son visage et secoue la tête pour se débarrasser du foutre... cependant le second fouteur la saisit à bras le corps et la dépose pliée en tête en avant sur une barre métallique fixée entre deux montant de bois. Elle offre son petit cul à la caméra, sa longue chevelure touche le sol... Elle se plaint faiblement. L'homme, le vit à la main, enfile une sorte d'étui pénien en métal, seul le gland énorme et rouge pointe à l'extérieur le reste de la bite est habillé de métal...
L'homme s'approche du cul, malaxe les fesses, les disjoint, les rapproche puis se penchant il martyrise du bout des ongles l'anus, joue avec la fente qu'il écarte au maximum et crache entre les cuisses comme seul un soudard sait le faire maculant le cul de l'anus et les grandes lèvres glabres, il pousse son gland dans ces humeurs et hésitant entre les deux voies du plaisir il choisit l'anus. Il pousse et fini pas introduire la tête de son monstrueux chibre dans le cul palpitant mais resserré. Très irrité il décule et enfonce son index dans le trou qu'il vrille cruellement faisant bondir la jeune proie.
La caméra s'attarde avec ravissement sur les mouvements désordonnés du corps torturé... Enfin il parvient à mettre trois doigts dans ce petit cul et s'enfile violemment dans le conduit tout tendre, provoquant une indicible souffrance. Il lime la martyre de longues minutes, tirant les cheveux vers l'arrière pour relever la jolie tête et l'offrir à la caméra tel un trophée de chasse.
Il fait durer la séance et ce n'est que lorsque la fille s'évanouit qu'il envoie sa crème surabondante dans les boyaux de l'adorable. Le foutre reflue et s'écoule le long des cuisses... L'homme reste en place, sans doute rebande-il comme l'autre soldat qui se masse lentement savourant cette scène de viol délicieuse...
L'écran s'éteint alors... Un murmure s'élève
- Oh déjà...
- Et oui jeune gens imaginez que cela n'es que le début d'une longue séance. Mais vous n'êtes pas assez avancés pour avoir le droit de voir la suite lance dans le noir la voix sarcastique de la belle Selva...
.La lumière rallumée Selva satisfaite découvre le désordre dans la salle: elle constate que certaines filles toutes gouines qu'elles soient ne dédaignent pas les caresses des garçons, une fille la culotte écartée joue avec sa fente tout en branlant son voisin de table, un garçon à genoux explore la chatte d'une adorable brune renversée sur son siège, d'autres solitaires filles ou garçons se masturbent à travers leurs vêtements, tous ont réagi selon ses vœux et sans jouir.
A présent ces adolescent ne peuvent longtemps retenir leur orgasme elle le sait.
Elle allume un projecteur qui soudain éclaire la chienne accroupie au pied du bureau: Laura qui n'a rien vu du spectacle est accroupie le visage baissé.
- Bien, qui veut nous montrer comment il s'y prend pour martyriser cette putain? ne vous précipitez pas, tous vous aurez un tête à tête avec cette salope.
C'est une grande adolescente noire prénommée Soledad qui ouvre le bal. Cette divine créature, les vêtements en désordre, s'est faites branler par son voisin pendant toute la projection... Elle est dans un état d'excitation extrême... Le souffle court elle s'approche de Laura, la détache et la conduit au milieu de la classe.
Un présentoir offre différents outils de supplice. A côté une grande table basse de tortures équipées pour toutes sortes de contentions. Les jeunes gens dévorent des yeux la très belle jeune femme de 27 ans tombée en esclavage. Malgré son état ils comprennent bien que cette femme n'est pas une vulgaire putain... Soledad tire sur la laisse de chatte provoquant les cris de la chienne...
- A genoux salope dit-elle d'un ton encore mal assuré...
- Parle-lui plus violemment, conseille Selva, c'est un objet sexuel tu dois être impitoyable avec cette jolie saloperie...
Soledad dont le cœur fond dès qu'elle voit une jolie femme sent qu'elle ne va pas réussir à être cruelle...
Soledad hésite, elle s'approche du présentoir tenant toujours Laura en laisse. Son regard s'arrête sur un écarteur en inox de grande taille... Elle se retourne lentement vers la fille et brandit l'engin, triomphante au nez de sa victime qui pousse un gémissement... Soledad quitte gracieusement sa culotte et lui offre sa chatte toute mouillée des câlins de son attentionné voisin de classe. Le règlement est strict, toutes les filles de la classe, peuvent en effet être punies sur l'ordre de leur instructeur et elles ont donc le sexe rasé; Soledad ne fait pas exception, son beau con luit comme un bronze.
Laura pensant sans doute à Julie pose les mains sur le cul de Soledad, donne de la langue sur la chair à plaisir, la langue en pointe elle collecte la mouille queelle pompe elle titille le clito... Cette caresse libère encore de la mouille et Soledad se branle cruellement sur le beau visage. Autour du couple les jeunes gens ont repris leurs caresses mutuelles.
- Allonge-toi sur la table, foutue merde de connasse! hurle Soledad...
Elle fixe poignets et chevilles aux quatre coins... Puis elle prend l'écarteur et se penchant vers le visage elle gifle la belle Laura à plusieurs reprises.
- Ouvre le bec sale conne...
Mais Laura refuse d'obéir... Un garçon nommé Willy saute par-dessus les tables et très excité vient contenir la tête de Laura. Laura cède lassée de lutter sans cesse depuis des jours et Soledad enfile l'écarteur dans la cavité buccale. La victime râlait et commençât de baver, le garçon amusé, regarda à l'intérieur de la bouche et enfila son index jusqu'à la luette, provoquant un spasme vomitif suivi d'un bruit de toux.
Les beaux yeux de Laura s'agrandirent, les larmes coulèrent de suite sur ses joues et Willy amusé poursuivi son jeu quelques instants. Tous les jeunes gens à présent se masturbaient seuls ou à deux. Selva avait pris la queue d'Alvaro un des garçons et tout en surveillant l'évolution de la situation, elle jouait distraitement avec la bite toute jeune et chaude...
Cependant le garçon qui aidait Soledad avait sorti son membre à peine raide et placé de côté il l'enfila dans la bouche grande ouverte: le bruit de son jeune gland heurtant fougueusement les parois des joues résonnait de façon obscène, il se retira un court instant la queue désormais érigée et ajusta la tête de Laura à sa convenance.
Il s'enfila alors tout au fond, ses couilles sur le menton de Laura et le bruit de butée mouillée, de pilon dans la chair pré oesophagienne emplit la pièce, mêlée aux sons plus subtils et érotique des prépuces et des chattes glabres maniées en tout sens. Une odeur d'amour emplissait la pièce...
Pour la seconde fois il se retira pour examiner les amygdales de la belle, baiser les lèvres enfila son index au fond de la gorge provoquant une toux inextinguible de notre esclave qui, révulsée, faillit s'évanouir tandis qu'elle se tordait en tout sens, lubrique.
- Qui veut m'aider demanda d'une voix angélique une adorable jeune Noire... Elle s'était postée face à la chatte épilée de la victime et tenait elle aussi un écarteur d'une main, son autre main distraitement glissée entre les cuisses.
Mais l'attention était ailleurs car Willy agréablement titillé par Soledad serrant le cou de Laura lui cracha au fond de la gorge.
Elle fit entendre un bruit de déglutition, amplifié par la belle bouche ouverte. La fille qui voulait qu'on l'aide à placer les fers dans le vagin avait franchi les tables elle aussi et un gode énorme à la main travaillait déjà le con tout sec de Laura.
Cruellement elle blessa la malheureuse et réussit une percée douloureuse qui fit jaillir un petit jet de pisse entre les longues et délicates cuisses de la chienne.
Elle commença un joli mouvement de branle de son poignet délicat rejetant ses beaux cheveux sur son épaule bien appliquée.
Elle-même était nue entièrement et une des ses amies la branlait d'une main.
Enfin tous furent autour de la table. Deux garçons séduits par les possibilités de l'écarteur voulurent reproduire en frères la scène de la double queue en bouche. Une séance de crachat suivi ce jeu dégradant qu'ils découvraient les rendez fous.
Le bruit de gode dans la chatte enfin mouillée, le bruit des pines jumelles se branlant l'une l'autre dans la bouche écartelée tout cela mêlé aux jurons et aux murmures de plaisir et au gargouillement infâmes que Laura ne pouvait réprimer faisait monter la violence sexuelle autour de la table.
La jeune fille Noire aidée d'un garçon travaillait le con de la victime qui gueulait comme un cochon. A force de cruauté elles réussirent à distendre le bassin et l'ouverture vaginale pour glisse l'écarteur que ses ressorts ouvrirent largement et l'orifice béant s'offrit à leurs regards: la muqueuse bombée à la couleur de porphyre et à l'odeur de folie s'ouvrait aux regards pervers des filles qui s'en délectaient. Selva d'où elle était voyait la chair intime pulser doucement de façon animale: la vie toute crue et sans défense offerte aux doigts, langues et bites.
- Crachez-lui tous dans le con et dans la bouche! cria Selva d'une voix hystérique, Ah!... putain, que j'aime ce spectacle, fouettez-là sur les seins aussi, enculez-la, baisez-la par tous ses trous... Je la veux dans mon lit cette nuit dans cet état...
Elle se faisait lécher la chatte par un garçon à genoux entre ses cuisses tandis qu'une fille lui suçait les seins. L'orgie était à son comble

Chapitre 7
Jeune patriote

Julie enfonçait son petit poing dans l'ouverture dégoulinante de mouille. Selva penchée derrière elle lui branlait le clitoris. Le choc de la queue de Valencia dans la bouche de l'adolescente provoquait des mouvements de cul très excitants...
Cette ravissante étudiante s'était bien fourvoyée ce matin: en partant à l'école elle longeait seule le long mur de l'école militaire d'application. Elle portait l'uniforme des jeunes filles d'une université privé renommée, celui-là même ou les militaires envoient leurs filles, un établissement très coté...
Passant devant le grand portail elle vit une affiche qui attira son regard: Le buste d'une jolie fille en uniforme souriante et ce texte... JEUNES FEMMES SERVEZ LA PATRIE ADHEREZ AU SERVICE CIVILE VOLONTAIRE... La jeune fille jeta un œil dans la vaste cour centrale et s'approchant d'une porte vitrée aperçut derrière un guichet une femme en train de téléphoner. Elle poussa la porte. La femme lui jeta un regard incandescent et posa le téléphone:
- Bonjour mon ange que cherches tu ici ma jolie?
- J'ai lu l'annonce pour le service civil volontaire ma mère a dit que s'était bien de participer au SCV et je voulais m'inscrire.
L'agent d'accueil la dévisageait intensément... La jeune fille était grande elle pouvait avoir 19 ou 20 ans, elle était ravissante, la peau mate, les traits fortement métissés d'influences Quetchua, sa poitrine nubile pointait sous son corsage blanc, toute en jambe, un amour à consommer tout frais pensa la gouine derrière le guichet.
- Attends mon ange on va te recevoir.
- Je n'ai pas beaucoup de temps je dois aller en cours...
- Cinq minutes.
Elle composa un numéro:
- Le colonel est-il arrivé?... Bien - peut -il recevoir une jeune fille... Oui c'est pour le CSV...
- Suis moi mon amour.
La femme guida Laurenza le long d'interminables couloirs. Chaque fois elle composait un code pour passer dans un autre secteur. Elle parvint devant une porte en bois monumentale
- Attends ici, dit-elle, le colonel va te recevoir...
Elle s'éloigna refermant la dernière porte derrière elle. Laurenza sentit une peur panique monter en elle... Elle regarda autour d'elle: une fenêtre donnait sur la cour, elle était ouverte mais munie de barreaux très serrés... Elle resta debout un long moment, l'envie de faire pipi se fit sentir, elle serra ses jolies jambes doucement l'une contre l'autre. Elle sentit ses lèvres trembler légèrement elle était tendue l'anxiété la gagnait... Elle n'aurait pas dû accepter maintenant elle allait être en retard à l'école. Elle n'avait pas de montre, ses doigts portaient de jolis bijoux fantaisie... Elle commença à se ronger les ongles.
Soudain la grande porte s'ouvrit et Selva apparut sur le seuil en tenue militaire les cheveux attachés... Laurenza resta muette intimidée par cette belle femme qui la détaillait sans mot dire.
- Entrez jeune fille suivez moi...
Elles pénétrèrent dans une vaste pièce décorée de meubles de style colonial, les volets à jalousie laissant entrer des raies de lumière qui dansaient sur le parquet en bois.
Valencia était assis derrière son grand bureau, en chemise à manches courtes. La fille resta de bout au milieu de la pièce
- Eh bien jeune chatte on me dit que vous voulez servir votre pays. Bien quel âge as-tu ma mignonne?
- 19 ans mon colonel répondit l'ange...
- Bien je suppose qu'à 19 ans une jeune fille pense aussi à des choses moins sérieuses que servir au SCV? Approche ma chérie...
La fille avança plus près
- Viens près de moi
Elle avait contourné le bureau, elle était à présent contre lui. Il la regarde dans les yeux...
- Sais tu comment tu vas servir ton pays mon amour? Troublé l'ange ne répondait pas elle tremblait légèrement.
- Qu'est ce qu'une fille comme toi peut faire pour les forces armées sinon apporter la douceur de sa chair...
Disant ses paroles qu'elle ne semblait pas comprendre, il caressa sa jambe gauche au dessus du genou et retroussa doucement la jupe plissée de l'uniforme d'écolière. La peau bronzée était douce très douce et il sentit qu'il commençait à bander.
Sa main atteint l'élastique de la culotte au pli de l'aine, il glisse un doigt et fouille doucement la chair légèrement humide. Le pubis est vierge de toute toison. Valencia sourit. Le poil n'est vraiment plus à la mode! Les étudiantes de bonne famille arrêtées ces derniers temps sont toutes épilées comme des putes... D'après ses informateurs, c'est un peu comme le sempiternel cauchemar de la jeune fille bien élevée, qui est de se retrouver à l'hôpital avec des dessous élimés; il semble qu'elles redoutent par dessus tout la honte de montrer des poils aux sbires de la police secrète en cas d'arrestation arbitraire. Le colonel approuve fort cette forme de pudeur qui conduit ses futures proies à se toiletter elles-mêmes pour le sacrifice... et peut-être en dit long sur leurs vrais désirs.
La fille respire très fort, il la sent prête à fondre en larme. Selva, légèrement en retrait, savoure la scène en connaisseuse: rien n'est plus beau que les prémices d'un rapt.
- Je vous en supplie...
- Tu veux servir et bientôt tu vas servir ma bite susurre le colonel. Sais tu au moins ce qu'est une bite foutue salope? Réponds-moi, j'aime qu'un soldat réponde à mes questions
- Oui colonel.
- Tu en suces souvent foutue putain?
- Oh non monsieur jamais...
- Tu aimerais en avoir une dans ta bouche de chienne?
Ne sachant que répondre, la pauvrette finit par dire
- Oui monsieur...
- Très bien un soldat doit être obéissant d'accord?... Déculotte-toi et écartes les cuisses, vite.
Elle s'exécute et lui-même ouvre sa braguette. Il a du mal à déloger sa queue déjà dure comme le bois... La fille effrayée par l'engin qu'elle découvre pousse un cri étouffé. Le vit du colonel mesurait 30 cm de long pour 15 de tour... c'était un véritable boutoir effrayant veiné et nerveux. Le gland agité de légers frémissements semblait prêt pour tout défoncer aveuglement... Toujours debout elle fait glisser sa culotte jusqu'à mi cuisse. Le colonel examine le sexe adorable aux lèvres collées, le dessin de la fente ravissante et innocent le transporte de désir. Il passe doucement le bout du doigt sur le velours de cette chair imberbe que nul homme n'a jamais touchée et écarte les grandes lèvres.
Très rapidement la cruauté prend le dessus dans sa tête et c'est l'ongle qui ouvre le sexe, appuyant vicieusement au fond de la fente. La fille se jette en arrière. L'homme recherche le clito encore tout timide et pressant entre deux ongles, le fait saillir; puis le pinçant, le fait souffrir... La fille se déhanche lève les yeux au ciel pleins de larmes réprimant ses sanglots.
- Hum très sensible dit le colonel j'aime ça.
Puis il cherche l'entrée du con et l'ayant dévoilée cherche à en forcer le passage: il n'introduisit qu'une phalange, gardant le pucelage pour sa queue. La disproportion entre la taille du gland et l'entrée du petit vagin est si énorme que le colonel pousse un cri de bête sauvage
- Finis de te déshabiller mon ange et mets-toi à genoux.
Laurenza avait une adorable poitrine, des petits seins tout ronds aux bouts un peu gros de couleur brune. Quelques grains de beauté décoraient ses très beaux jouets... Entre ses seins elle portait une croix censée la protéger...
Selva la main dans la culotte joue avec son clitoris: il y a longtemps qu'elle n'a pas vu une innocente aussi désirable...
- Ah foutre de pute cette salope va me faire mourir de plaisir. A genoux chienne, tète mon gland salope.
La pauvrette s'exécute et de ses lèvres ravissantes donne un baiser pudique au membre du sadique...
- Lèche le gland putain doucement oui...
Elle pointe sa langue. Très lentement elle lèche, les yeux levés vers le monsieur, qui grogne en lui tirant les cheveux... Elle voudrait crier mais se retient.
Puis l'homme la soulève par les cheveux pour ajuster la bouche à sa queue. Selva s'est déshabillée et se branle les seins et la chatte debout aux dessus de la fille...

Chapitre 8
Abattage d'une jeune fille de bonne famille

Laura avait encore fait des progrès. Son corps lui-même semblait se transformer peu à peu: à force d'être maniée, sa chair devenait plus souple, la peau soumise au foutre de façon quotidienne devenait plus belle, les traits de son adorable visage conservaient de leur fraîcheur mais un rien de putinerie brillait dansait au fond de ses jolis yeux, et sa maigreur croissante, dûe à son régime de famine, la rendait encore plus excitante avec ses côtes apparentes et ses seins à présent nettement affaissés..
- Te voila assouplie foutue salope, tu commences à ressembler à une vraie chienne sexuelle.
Valencia était vautré sur un divan en compagnie d'une jolie pute de 19 ans nommée Tess à l'air lubrique et stupide, dont la main ornée de bagues de pacotille ne quittait pas la son entrejambe.
Laura était à quatre pattes devant eux, cherchant à tenir une pause décente pour une salope, cuisses bien écartées, tête baissée, mais le regard levé craintivement vers son maître. Valencia caressait sa queue, négligemment allongé en travers du canapé, il tirait par à coups sur la laisse pour la tourmenter et les pas de côté que faisait la chienne l'enchantaient:
- Reste en place quand je parle, ou je t'empale avec ça et il brandissait un gode de 30 cm muni d'un vibreur...
Laura avait servi de cobaye aux jeunes sadiques des commandos et Valencia venait juste de la récupérer. A la retrouver, il avait manifesté une joie perverse:
- Retourne-toi que je vois ta fente...
Avec un air de chien battu la jeune bourgeoise offrit son adorable cul à son maître. Un plug en acier occupait chaque orifice et des marques de fouet ornaient les fesses.
- Dire que ce sont des femmes qui t'ont mis les fesses dans cet état: les femelles sont souvent plus sadiques que nous dit-il en riant, n'est-ce pas Tess qu'il est mouillant pour une femelle d'humilier une autre femelle?
Tess murmura un oui au milieu de l'orgasme qui la gagnait. Les cuisses de la fille étaient pleines de mouille...
Après ces prélimin aires il avait joui de Laura une après midi complète avant de l'enchaîner au pied de son lit couverte de foutre... Au milieu de leur orgie il demandait à Tess de molester Laura, de lui écarter les lèvres avec ses ongles, de prendre sa grosse bite dans sa main et de s'en servir comme d'un fouet pour gifler Laura... Tess s'amusait beaucoup et il excitait son clitoris par en dessous pendant qu'elle malmenait l'esclave sexuelle. Tess avait enfilé le gros gode dans le con de Laura et le vibreur avait procuré à la malheureuse des orgasmes si nombreux que son con était devenu très douloureux: elle jouissait en souffrant.
En sortant de la cellule et des salles de torture Laura pensait avoir vu le pire de ce qui pouvait lui arriver... Elle avait croisé d'autres filles enchaînées traitées comme elle, certaines en fort mauvais état. Mais ce qui l'attendait était moralement pire encore.
Le colonel Valencia s'était enrichi en traitant avec la mafia colombienne.
Il était redevable envers ses riches protecteurs et devait leur fournir de la chair fraîche de 18 à 30 ans. Par la maîtrise des aéroports il importait de jolies filles de tous les continents, la plupart du temps enlevées et acheminées dans des conditions abominables, enfermées comme des animaux dans des cages dans la soute des avions cargos. Chaque semaine une dizaine de filles terminaient leur voyage à El Dorado et une heure après étaient violées par plusieurs hommes avant d'aller de suite toute imprégnées d'odeur de foutre dans les différentes catégories de bordel: ordinaires, pour sadiques, pour voyeurs, pour lesbiennes et pour snuff...
Laura devait franchir une nouvelle étape... Valencia avait beaucoup d'amis à remercier et une jolie pute comme Laura serait bien perçue...
- Laura à partir de ce soir tu vas faire la pute pour moi et je veux que tu aimes ça. Si un des mes clients se plaint de toi tu seras si sévèrement fouettée qu'il se peut que tu reste estropiée à vie... tu feras toutes leurs fantaisies... Allons salope branle-toi devant moi et remercie-moi.
Laura ne savait plus ce qu'elle ressentait dans sa chair, un besoin irrépressible de se satisfaire sexuellement devant son maître la prend à l'instant ou il parle et elle dégouline de la mouille la plus claire... Ses petits doigts jouent sur sa délicieuse chatte.
- Merci monsieur merci, merci, murmure-t-elle les yeux mi clos.
Son bassin ondule, les bouts de ses jolis seins pointent tout durs, elle écarte sa fente épilée et avance le ventre comme pour montrer à son maître que son clito dégagé est en érection, tout gonflé et si excitant...
Valencia avait prévu de la prostituer une fois par semaine dans des milieux très différents: des mafieux, des bourgeois très chics, un lycée de jeunes gens... D'autres suivraient
Deux jours plus tard alors que la nuit tropicale tombait sur Cali, une Bentley emprunta un chemin entre les fougères géantes; la pluie tropicale avait rafraîchi l'atmosphère et des nuées d'insectes tourbillonnaient dans les phares. Le chauffeur s'arrêta devant la porte dérobée masquée par une végétation luxuriante... Valencia ouvrit la portière et tira Laura par les cheveux pour la faire descendre plus vite... Elle était menottée par devant comme une reprise de justice. Elle était vêtue d'un robe courte noir sans manche très décolletée... Elle portait juste son collier de chien en platine gravé en rouge (Laura, pute, 27 ans et au revers le nom du propriétaire, Valencia, qu'un numéro de portable), la bouche peinte de manière outrancière pour laisser sa marque en anneaux sur les bites, debout sur des talons de 10 cm de haut...
Valencia frappa légèrement et la porte s'entrouvrit ils pénétrèrent dans un vaste parc fort sombre.
L'immense finca était entièrement illuminée... Valencia poussa Laura devant lui, elle baissait la tête, elle pleurait, folle de terreur et d'excitation perverse à l'idée de ce qu'on allait encore lui infliger... Valencia dans le noir pelotait son adorable cul, il bandait tout autant du contact de la chair que de l'idée d'humilier Laura, d'en faire une pute soumise...
Sur le Perron Don Jorge l'attendait escorté d'une jeune fille blonde et d'un sicaire, arme automatique à la main... Le groupe Irakere jouait à fond "Bakaloa con Pan" un morceau déjanté de salsa cubaine électrifiée... Dans l'embrasure on apercevait un petit groupe, 4 hommes et 4 femmes qui dansaient et buvaient... Des amis très discrets de Jorge.
- Voici donc ton esclave sexuelle Valencia... Hum je te suis reconnaissant de me prêter cette belle salope. Approches un peu tout ça à la lumière.
Les deux hommes étaient en relation quotidienne,
- Bel animal tu ne m'as pas menti c'est la plus belle depuis plusieurs semaines.
- Elle est à toi pour 24 heures. Toi et tes invités pouvez vous amuser comme vous en avez envie. Voici la clef des menottes, elle se sert très bien de ses doigts la salope aussi bien avec les bites qu'avec les chattes...
Leur passion commune: l'argent et les horreurs sexuelles...
Jorge tira Laura par le poignet et l'amena sous la lumière de la lampe d'entrée. Elle était très excitante dans son désarroi et pour toute réaction l'homme lui prit le menton, comme il le faisait avec ses pouliches. Et tournant de côté le visage qu'il emprisonnait entre ses doigts si fortement qu'il en était déformé et que la marque s'imprimait profondément dans la peau, il admira longuement le profil délicat de la femelle en larme.
Une violente érection vint ponctuer cet examen: sa cruauté monta du fond de son ventre tandis que sa bite entravée le faisait souffrir. Il siffla:
- Ouvre la bouche...
Laura tourna lentement ses yeux humides par curiosité involontaire vers le visage de ce nouveau maître...
Il lui sourit d'un air angélique mais aussitôt la gifla si fort qu'elle recula et faillit tomber dans l'escalier. La fille qui accompagnait Jorge éclata d'un rire mauvais et Jorge se retournant, lui balança un revers de main sur les seins la faisant hurler... Jorge était plus grand que Valencia. Il impressionnait par son poids, sa peau luisante, ses yeux noirs au regard intense... Il était vêtu comme les mafieux chemises bariolées, motifs tropicaux, de l'or à chaque doigt, de lourdes bagues faites pour blesser lorsqu'il avait envie de gifler.
- Ouvre la bouche!
Elle ouvrit la bouche...
- Plus grand!
Elle écarta les mâchoires.
- Tire la langue!
Il regarda l'intérieur de la bouche, la dentition parfaite
- Bonne loge à bite dit-il hum de la pure soie... Puis il cracha un lourd mollard dans la bouche de la fille, la gifla à nouveau et lui referma la bouche à deux mains surveillant d'un œil sadique le spasme de la déglutition le long de la glotte.
- Bien salope c'est comme ça que je gave les putes... Il se toucha à travers l'étoffe du pantalon de toile blanc.
Elle déglutit difficilement une grimace de dégoût sur les lèvres qui ravit un peu plus Jorge...
- Bien avance et au travail; il poussa la fille dans la pièce et Valencia s'éloigna sa mission accomplie. Il reviendrait le lendemain pour conduire Laura chez d'autres clients.
Jorge pousse la fille si violemment qu'elle tombe à terre sur le carrelage rouge. Lorsqu'elle relève la tête elle aperçoit le cercle des convives des femmes à demi nues et des hommes torse nu le regard tourné vers elle la détaillant comme une chienne. Au fond contre le mur blanc 3 filles de 18 ou 19 ans en slip, très minces, sont enchaînées par le cou à des anneaux de la muraille, accroupies dans des panières à chien...
Un homme lui balance un coup de pied entre les jambes au passage.
- Mes amis avant de baiser les 3 filles je vous propose de vous dégourdir avec cette putain que m'a recommandé mon ami le colonel Valencia. Elle a paraît-il des trous si voluptueux que les hommes y perdent tout leur foutre en 5 minutes et la langue et les doigts si agiles que les femmes jouissent trois fois de suite en dix minutes quand elle les travaille... Amusez-vous je la prendrai en dernier et je vous jure qu'elle va jouir.
Ce disant il sorti une queue si grosse et si longue que les filles laissèrent échapper des hum de désir. Ses couilles semblaient ne pas avoir été vidées depuis des jours et elles roulaient doucement à la base du sexe érigé... Le frein du gland tendu à l'extrême comme un fusil armé, le méat entrouvert laissant perler de fine rosée de foutre que la blonde s'empressa de recueillir consciencieusement sous l'oeil amusé de son maître
Laura se redressa et se plaça à genoux comme le lui avait enseigné tous les hommes qui l'avaient possédée. Elle occupait le centre de la pièce quelqu'un arrêta la musique et tous firent cercle autour d'elle.
Sans mots dire un homme la tire par la laisse et l'amène à lui la plaque contre lui et lui trousse sa robe très courte. Il fouille son cul: les autres complices, hommes et les femmes, se délectent de le voir manier ses belles fesses en tout sens. Elle ne porte pas de culotte mais un plug bien enfilé dans l'anus et qui doit la faire souffrir lorsqu'elle marche.
L'homme lui pompe la bouche pendant 5 minutes, lui ouvre la bouche: il montre avec son index la braguette qu'elle ouvre. Honteuse de faire en société ce qu'elle faisait avec les tortionnaires dans les cellules et sous la contrainte, mais heureuse de faire ainsi la volonté du colonel, elle glisse ses doigts très minces dans le slip de l'homme et pêche la plus belle des queues, demi relevée, le gland agité de petits soubresauts...
- Branle putain.
Elle amène ses lèvres contre le gland et doucement le frotte comme un rouge à lèvre. Cette caresse trop douce excite l'homme qui enfile ses doigts dans la bouche; coince la langue et tire. Laura commence à pousser des borborygmes les yeux exorbités. L'homme enfile les doigts jusqu'au fond de la gorge comme pour la faire vomir. Secouée par des spasmes d'une toux horrible elle est si lubrique que l'homme se met à bander dur comme fer. Il empoigne la belle tête, fixe un instant ses yeux dans ceux de celle qu'il va empaler de sa queue, et s'ajustant s'enfile cruellement entre dans la belle bouche.
- Bien Pacho, ne la loupe pas crie une jolie brune qui se branle ouvertement et riant, oui étouffe-la, elles sont bonnes à l'étouffée se met-elle à rire à moitié ivre.
Deux autres filles enlacées cuisses entre cuisses regardent la scène de côté et cela semble agir très fort sur leurs chattes rasées de petites putes à deux pesos...
Deux autres sommes ont sorti leur bite et l'affûtent d'un geste sec très attentifs aux détails de la cruelle fellation.
Des bruits de mouille et de bite branlée en rythme se mêlent au bruit d'égout ramoné qui s'échappent de la belle.
Le garçon lui en a enfilé déjà 15 cm et joue à tester la qualité des parois de la bouche. Forçant contre une joue le gland fait saillir la peau tendue, il garde la pose...
Puis l'homme quitte la bouche et il se fait branler un peu par la main douce de Laura et la tirant par les cheveux, la mène à quatre pattes jusqu'à une banquette ou elle s'allonge toujours vêtue de sa robe noire grande ouverte, et il défroisse les grandes lèvres glabres, dégage le délicieux clito et doigte le vagin encore resserré et sec...
Ce détail l'excite et au lieu de lubrifier la fille avec un peu de salive il prend son vit, place le gland devant l'orifice et soudain pousse d'un coup jusqu'au fond et lime comme un damné... Mais ce local aussi doux soit-il ne le satisfait pas, il préfère s'achever à la main, il sort du vagin très en colère et se branlant envoie sa purée sur la robe noire en deux longs jets.
Il fait signe à un autre garçon de lui succéder. Le second fait pendre la donzelle par les poignets, prend un fouet à longues queues et travaille le cul et les cuisses de longues minutes... lacérant le vêtement de la pute... Les lanières s'enroulent voluptueusement autour des cuisses provocant les cris et les bonds de la très belle. Il vise la fente toute délicieuse et fini par l'atteindre du bout de la mèche du fouet soulevant les cris enthousiastes des sadiques. La voix de Laura si pure pour chanter les psaumes dans une chorale anglaise agit sur les mélomanes sadiques Assez excité il dépend la pute et la place à ses pieds pour une pompe longue et langoureuse... Laura tortille son cul doucement sur ses talons. L'homme donne des coups de cravache sur les fesses de la jeune chienne puis il demande à une des filles, une charmante brune très mince, de venir s'allonger à côté cuisses ouvertes à côté de Laura et quittant la bouche de la blonde il vient se branler à genoux entre les cuisses de la brune, lentement et sans un contact il envoie son sperme orner les replis glabres de la chatte... La fille rit étonnée de ce dérèglement:
- Petit pédé dit la fille tu as peur de mon con?
Elle rit et semble apprécier la chaude giclée qui lui arrive d'en haut, elle mêle ses doigts au foutre pour se faire jouir. Mais le garçon empoigne Laura par la laisse:
- Allons, nettoies cette belle chatte et fais-la reluire et la fille aux anges tourne ses grands yeux noirs vers l'esclave... Laura accroupie donne de la langue, ses cheveux chatouillent les cuisses de la belle qui mouille abondamment et finit par jouir en remuant la tête doucement les yeux clos...
La fille qui vient de se faire dévorer par la douce bouche de Laura demande à l'enculer. On lui apporte un harnais muni d'un gode en latex. Laura en levrette contenue par les trois autres filles qui la pincent par en dessous, la giflent, lui donne des noms de pute, finit par être embrochée si cruellement qu'elle s'évanouit sous la douleur. Les autres filles la réveillent à coup de gifles puis se font lécher l'une après l'autre. La pauvre Laura subit aussi les assauts des deux autres pervers et vers 5 heures du matin les 8 invités ont joui d'elle de si horrible manière qu'elle ressemble vraiment à une chienne qui aurait séjourné sous la pluie (pluie de foutre, de bave, de crachat et de cyprine!!!)
Les convives vont détacher les 3 filles et Jorge les oblige à faire la toilette de Laura à coup de langue.
Jorge va s'enfermer seul avec les 3 esclaves sexuelles et Laura.
La malheureuse titube de fatigue mais elle doit servir son maître: Celui-ci exige qu'elle masturbe une des filles, qu'elle la prépare en la caressant sur tout le corps, l'embrasse puis la lui amène pour être enculée. Sans décharger il dépucèle ainsi les trois anges au milieu des hurlements tandis que Laura doit engoder celles qui sortent de ses bras.
Elle doit même en faire joindre deux ensemble au moyen d'un double gode et la troisième pendue par les chevilles grande ouverte reçoit une chandelle allumée dans le vagin: la cire macule les fesses et le pubis de l'enfant.
Laura horrifiée de ce que Jorge lui fait accomplir tombe à genoux et demande pitié pour les trois petites putains, coupables de n'avoir pas ramené assez d'argent. Jorge pour toute réponse la cingle de plus de 20 coups de cravache et se fait sucer d'elle un long quart d'heure puis il lui décharge dans les yeux l'aveuglant de son sperme épais...
Tout en jouissant de Laura, Jorge laissait courir son imagination. Il était insatisfait de ce qu'il avait fait à Laura... Intrigué par cette pute pas comme les autres, il voulait percer (au propre comme au figuré) le secret de cette curieuse recrue, pute aux airs de jeune oie...
Il prit très rapidement son parti: le jour se levait, il conduisit lui-même la fille toute nue à travers le parc et l'enferma dans son chenil. Puis il prit son portable et appela Valencia.
- Colonel excusez-moi d'appeler si tôt...
- Quelque chose avec cette salope de Laura? Elle n'a pas été la hauteur?
- Je regrette colonel, une pute comme les autres, j'ai joui sans passion... Elle n'a pas donné le meilleur d'elle-même
- Je suis désolé vraiment désolé Don Jorge... Que puis-je faire pour vous faire oublier ce mauvais deal? J'ai une fille de 19 ans une autre anglaise... Valencia se serait bien coupé la main pour satisfaire le mafieux...
- J'ai ce qui faut en matière de filles je veux des femelles de plus de 20 ans...
- Que me proposez-vous?
- Je propose de reprendre le dressage de cette pute à ma façon j'ai des hommes et des femmes qui ne font que ça.
- Elle est à vous Don Jorge, faites ce que vous voulez d'elle...
- Je n'en attendais pas moins de vous colonel; Toute ma gratitude, je saurai m'en souvenir. Sachez pour votre plaisir qu'elle va déguster la salope. Mais vous ne la reverrez plus vous me comprenez...
Valencia blêmit car il avait projeté de jouir de longues journées de sa nouvelle acquisition. Or après tout le temps passé à la faire dresser il n'avait même pas baisé 4 fois avec elle. Il était fou de rage: Le mafieux le roulait dans la farine et il ne pouvait rien faire.
Laura dont l'espagnol était excellent n'avait pas perdu un mot des terribles paroles de Jorge. Il la regarda, elle était accroupie derrière le grillage; il se délectait de la voir entourée de chiens en rut...
Il sortit sa queue et la glissa à travers le grillage. Il l'appela comme on appelle une chienne:
- Viens, viens ma jolie allons, viens téter, ma salope.
Elle avança dans la boue et la pisse de chien suivie de deux ou trois bergers allemands qui reniflaient son entrecuisse. Puis levant lentement son adorable visage, posa ses lèvres sur le gland de son maître, entrouvrit la bouche et peu à peu goba doucement le membre encore ensommeillé qui en quelques minutes, rude comme un pic, décharge un flot puissant au fond de sa gorge...
L'après midi elle était nue sous le soleil implacable, tentant de se mettre à l'abri d'une niche, un chien la tête couchée sur ses longues cuisses, le museau près du pubis... Jorge fit son apparition accompagné d'une fille de 18 ans. Il entre et la tire par la laisse:
- Cette après midi marquage au fer rouge et tatouage ma chienne jolie. La chienne jolie se trouvait à genoux aux pieds de la fille de 18 ans. Cette dernière était vêtue comme une cowgirl. Laura se sentit fondre de désir pour la belle amazone: c'était-elle qui allait incruster dans ses chairs pour la vie le signe de sa chiennerie.
Elle eut un orgasme involontaire; les muscles vaginaux se contractaient malgré elle, la fatigue et l'exaspération sexuelle étaient à leur comble... elle jouissait sans raison ivre de sa déchéance...
De la voir dans cette disposition physique et mentale causait aussi un vif contentement à la belle cowgirl...
Jorge quant à lui entrait dans une phase d'attention érotique: il notait dans son esprit dénaturé le moindre détail. Ces détails ténus, mis bout à bout, allaient former une longue suite apparemment incohérente. Mais à la fin une jouissance sans limite l'attendait... Que cela soit long pensait-il, très long...
Expressions de soumission de la chienne en laisse, mouvements subtils des segments du corps (taille, hanches, cou), état mental supposé de Laura, environnement: les chiens en rut flairant ce corps charmant et ses secrets, le chevalet de bois pour le marquage dressé derrière le chenil au milieu d'un champ d'orties; le gode en cuir de bœuf utilisé pour cette cérémonie, les fers aux armes de Jorge, la pince mécanique pour le marquage à l'encre des grandes lèvres, la bouche et la langue, l'intérieur du sexe, l'anus tout resserré, la chevelure souillée de foutre, le vent caressant la chatte parfaitement rasée, la chair de poule autour des tétons, les doigts gracieux... La grande fille menaçante veillant d'un œil de prédateur sur le cul de Laura et mouillant sans doute... Le climat sexuel s'installait par petites touches...

Chapitre 9
L'amour d'un maître

Laura dut se rendre au lieu de son supplice à quatre pattes tenant sa laisse entre les dents la chaîne toujours clipée aux petits anneaux de chatte se balançant sous elle. Elle recevait des insultes de la fille brune qui la frappait avec une épine sur les fesses...
Lorsqu'ils furent en vue du chevalet de marquage fait de quatre pattes en bois écartées portant une planchette horizontale adaptable à la taille de la fille elle dut sucer son maître et lui offrir ses trous; et lui, l'ayant bien visitée, lui offre un marché pervers:
- Bien ma jolie tu vois si tu parviens à courir jusqu'à ce mur et à sauter par-dessus pendant que je compte jusqu'à dix tu échapperas au marquage dans le cas contraire tu seras punie de douze coups de gode en cuir par Estela et marquée comme prévu.
Laura sait bien que ce divertissement pervers n'a pour but que d'accroître le plaisir de son nouveau propriétaire: elle hésite en son cœur: lui donner ce qu'il attend à savoir échouer pour qu'il puisse la faire punir selon les besoins de sa queue sadique ou tenter de réussir pour accroître sa fureur et donc sa volupté... Elle sait que si elle passe le mur un piège horrible doit l'attendre; peut-être est-ce le piège qui va donner le plus de plaisir à son maître... Elle hésite, elle sent bien qu'Estela aussi attend le maximum de plaisir de cet épisode cruel. Finalement elle s'élance debout à présent en poussant une sorte de cri de combat ou de détresse. Sa silhouette longiligne danse dans la poussière et les orties qui la cinglent: elle court comme une jeune éthiopienne... Elle n'a jamais si joliment couru, les muscles de ses longues cuisses, de ses fesses roulant merveilleusement à chaque foulée, les mouvements de son bassin le balancement délicieux de ses mamelles pendillantes, les coudes en avant, le vol de ses cheveux tout cela excite les prédateurs qui la contemple. Estela a fait glisser la fermeture éclair de son pantalon de gaucho et de son ongle éprouve les nerfs de sa vulve. Laura enjambe le mur de 3 m de haut, elle s'est élancée contre la brique aux éclats tranchants et ses mains ont agrippé le haut de l'obstacle, elle se redresse, et lance un pied pour atteindre le haut du mur, son intimité dévoilée...
Elle est au dessus du mur, meurtrie, à califourchon, elle se laisse glisser de l'autre côté. Son visage disparaît lentement. On croirait voir un instant dans ses yeux un air de triomphe...
La porte du chenil s'ouvre: un chien bondit en quelques secondes il est derrière le mur: des cris s'élèvent, Estela se branle, Jorge caresse sa queue...
Les cris ne cessent pas mêlés aux aboiements: le chien cherche à forcer l'entrejambe de son museau humide mais Laura recroquevillée les cuisses serrées à demi tournée contre le mur de brique, hurlante, jetant un regard terrorisé de côté, elle pense que le monstre veut la dévorer. En réalité le chien pervers n'a qu'une obsession lui lécher la chatte et tant qu'elle ne se laissera pas faire il va lui mordiller les fesses, un peu durement il est vrai... Jorge et Estela sont passés par un portillon et admirent la scène en connaisseurs.
- Debout putain ou je lui dis de te dévorer...
Laura se redresse tremblant de tous ses membres.
- Fais la chienne salope vite mets-toi à quatre pattes à présent
Jorge parle lentement détachant chaque mot, Estela presque nue se branle lentement un sourire aux lèvres.
Laura sent le chien la contourner et grimper sur ses fesses. Le ventre de l'animal, chaud et doux pèse sur son dos. La truffe humide se pose dans sa nuque. Instinctivement elle se cambre sentant l'organe sexuel chaud et lisse glisser contre sa raie culière. Estella est tombée à genoux tout près de l'accouplement Hum laisse la nature faire Estela, cette pute va se placer comme il faut et j'adore voir le chien se débattre pour enculer. Le chien énervé se mit à geindre tout en donnant de frénétiques coups de cul contre le cul de la chienne. Laura savait qu'elle ne pouvait que donner satisfaction. Au cas où le chien ne prenne pas son plaisir le maître se vengerait lors du marquage. Le chien était raide son organe violet en forme de quenouille hideux mais excitant à voir tremblotait entre les jambes graciles. Ila avait beau trépigner le gland n'atteignait jamais l'orifice. Estela à genoux cajolait la bite de son maître tout en se touchant de sa main libre. Elle jetait un regard cruel vers le visage de Laura.
- Maître elle pourrait le sucer un peu qu'il soit plus dur.
- C'est toi qui va le sucer sale truie.
Durement repoussée Estela resta un cours instant décontenancée par ce revirement de position. Elle se croyait encore la favorite. Mais les sadiques aiment les revirements brutaux et cette fois elle se retrouva au même niveau que Laura à quatre pattes aux pieds de Jorge dont la bite tendue au ciel disait toute la jouissance.
Elle se contorsionna pour saisir habilement le frêle membre du chien entre ses doigts et l'avaler jusqu'aux couilles le suçant doucement. Elle continuait de se donner du plaisir du bout des phalanges de sa main libre.
Jorge prit la baguette couverte d'épines qu'Estela avait abandonnée contre la clôture et commença d'en caresser les formes des deux filles tout en cinglant l'arrière train de l'animal qui hurla en levant les yeux vers son maître. La douleur le rendait fou et il attrapa la nuque de Laura qu'il mordilla. Estela montait et descendait lentement sur la bite de l'animal mouillant comme une folle. Laura subjuguée par la scène de foutre en préparation était toute ouverte à présent, toute dégoulinante. Jorge se plaça de manière à voir les deux chattes d'un seul regard. Enfin Estela sentant que le chien allait gicler plaça le membre dans la fente douce de Laura et s'écarta pour venir recevoir les coups de trique de Jorge. Celui-ci visait les seins admirables faisant vibrer les tétons sous les coups. Estela s'astiquait toujours attendant le signal de Jorge pour jouir. Le chien à présent tout arqué sur sa proie limait à folle allure dans un bruit de ventouse absolument délicieux. La mouille coulait au sol. Laura pleurait de plaisir. Elle n'avait jamais baisé un chien, elle ne pourrait plus s'en passer à présent. Cependant le chien ralentit son mouvement. Doucement les oreilles couchées il arrivait au bout des délices. Soudain une odeur sauvage envahit l'atmosphère. Odeur puissante mais sexuelle. Estela en délire tant de voir le foutre poindre dans la jointure obturée de la chatte que de sentir le parfum du foutre, Estela hurlante jouit tandis que Jorge l'empoignant par la chevelure s'enfile dans sa bouche la molestant la frappant si fort que de grosses larmes lui viennent. Laura passe la main sous elle retenant le cul du chien par sa toison. Elle ondule et jouit elle aussi. Jorge se retient encore mais se retire d'Estela pour tomber à genoux devant la bouche de Laura qu'il force sans ménagement écrasant le charmant visage de la trop jolie victime contre son ventre. Perforée jusqu'aux amygdales elle est secouée par un spasme et va vomir sur les cuisses de son seigneur. Le chien a cessé de jouir. Estela le prend par l'arrière train et tente de désunir le couple. Mais la bite a gonflé, le gland a doublé de volume et c'est au prix de milles douleurs pour les deux amants qu'Estela parvient à arracher la bite au con délicat de sa rivale.
Jorge sent vibrer la gorge de Laura qui râle de douleur. Ces infimes secousses déterminent la jutée. Il explose en elle et le foutre lui refoule par les narines. Il jute à long traits en hurlant des horreurs. Estela qui connait son travail se faufile accroupie auprès de l'attelage et recueille le jus qui coule avant qu'il n'aille à terre. Puis Jorge se retire tout en se branlotant il contemple le tableau: Estela la langue fouilleuse pompe Laura pour butiner le foutre dont elle est friande. Jorge rit de voir ce pugilat entre les deux putains.
- Allons à présent ma chère Laura embrasse le chien à pleine bouche.
Laura roule une pelle au chien qui ne refuse pas excité qu'il est par l'odeur de foutre.
Estela se relève et passe la laisse aux anneaux de chatte de Laura.
- Allons!!! Ma chérie j'ai promis de remettre le marquage si tu osais t'enfuir. C'est Estela que je marquerai à ta place.
- Seigneur, je suis déjà marquée ne put s'empêcher de répliquer la belle jeune fille... Marquée aux seins dans la chatte et sur les fesses...
- Je veux te marquer la matrice le fond de la gorge tout local ou mon gland peut venir se frotter salope. Je propose que notre Laura officie cette nuit au milieu de la soirée devant nos invités.
Cependant Laura tirée en laisse par Estela fut conduite dans une sorte de dépendance comportant une jolie suite de salons de baise. Estela la mena dans une très vaste salle de bain. On accédait à la baignoire jacuzzi par des marches en marbre. L'eau était bleue et des lampes puissantes éclairaient le fond. Estela invita sa rivale à entrer dans l'eau sous l'œil impassible de Jorge. Elle entreprit de la laver en détail des souillures de l'après midi puis elle sortit de l'eau sur un signe de tête du maître. Laisse-nous seuls à présent. Dépitée, morte de jalousie la donzelle quitta la pièce, nue et tête basse. Jorge se déshabilla sous le regard ardent et pourtant soumis de la chienne. Il s'agenouilla au bord de la baignoire, le vit encore tout rétracté, il maîtrisait ses émotions sexuelles pour mieux les déchaîner dans des excès inouïs. C'était un monstre très secondarisé, capable de remettre mille fois l'instant de consommer une volupté longtemps fantasmée. Dans sa tête il refaisait sans fin le scénario de la scène qu'il voulait faire jouer à sa soumise.
Il prit son membre dans sa main. C'était un remarquable outil d'un très gros diamètre. Même au repos il inspirait la crainte aux filles un peu étroites. Laura ressentait encore la pression de cet énorme gland au fond de sa bouche. Il se souvenait des coups de boutoir qui avait déclenché un début de vomissement. Elle savait qu'au bout de cette bite tout le sadisme du maître était concentré pour jouir en faisant souffrir. Cependant elle était prête à recevoir encore des coups de bélier. Là dans sa gorge, mais aussi dans son vagin tout sec, dans son adorable cul tout resserré. Elle savait qu'une volée de coups récompenserait son dévouement. Elle était prête à tout pour que le foutre le plus épais qu'elle a jamais avalé coule en abondance dans les hurlements déchaînés de son maître.
Laura ne mouillait pas. Elle sentait qu'elle n'avait pas même ce droit. Seul son maître pouvait l'autoriser à éprouver autre chose que l'immense désir de servir comme une brave petite esclave.
Jorge agitait sa bite doucement, faisant des moulinets de sa chair encore détendue. Laura mets-toi sous l'eau, fait le poisson mon cœur. Ferme les yeux, ne respire plus, reste sur le dos et ouvre les jambes. Elle obéit soudain pleinement présente, subjuguée par la voix exigeante mais singulièrement douce. Elle flottait entre deux eaux, magnifique, la chevelure éparse. Il banda un peu plus, à peine. Soudain des rideaux situés derrière la baignoire s'écartèrent et deux hommes d'une trentaine d'année nus entièrement, la bite à la main, s'approchèrent de la baignoire. Ils contemplaient la fille et se branlaient très lentement. Sur un geste de Jorge ils plongèrent ensemble. L'un glissa en un clin d'œil sous le corps de la belle. Il était fort grand et dépassait sa victime d'une tête. L'autre la recouvrit. La baignoire agitée de redoutables remous débordait de toute part. La fille à demi-asphyxiée tentait vainement de faire surface tandis que les deux plongeurs cherchaient une issue pour leur bite. Celui de dessous tenait les fesses à pleine main pour écarquiller le cul. L'anus tout resserré était bien petit. Tenant sa queue d'une main il avait fourré son index dans le trou et vrillait. Jorge contemplait les mouvements désordonnés de la belle se noyant peu à peu. L'homme placé au dessus se hissa accroupi sur les beaux seins de l'ondine et la força à ouvrir la bouche. Les bulles d'air remontaient à la surface tandis qu'il s'enfilait dans l'aquarium, durement, tout au fond, clouant la tête contre la poitrine de l'enculeur situé sous elle. Jorge était raide à présent. Les narines dilatées il jouissait de ce spectacle rare de la noyade d'une salope. L'homme de dessous maitrisant les cuisses entre ses énormes pattes occupait une position d'enfilage, le gland contre la rondelle et la chair ferme de Laura résistant de toute la force des ses sphincters il dut bander tout ces abdominaux pour la forcer. Il entra de 5 centimètres environ, les couilles flottant dans l'eau, énormes bouées de foutre pleines de huit jours d'abstinence. Le défonceur de bouche, bloqué contre les amygdales, avait sorti la tête de l'eau. Laura ondulait, agitée de spasmes. Un nuage de vomi envahit l'eau voilant son beau visage. L'homme ahanait en jurant qu'il allait la crever. Passant une main dans son dos il se saisit d'un sein qu'il se met à traire, tirant, tordant, écrabouillant à le déchirer. L'enculeur soulève le bas du corps sous ses coups de boutoir. La scène semble durer des heures, or seules deux minutes viennent de s'écouler. Jorge sait que la chienne doit respirer à présent il pousse juste un grognement: l'homme qui enfile la bouche se retire prestement en tirant la pute par les cheveux à l'air libre ou elle laisse exploser sa plainte, et ses poumons s'emplissent soudain d'air, les yeux agrandis de terreur. Hum les cris de la fille font bander Jorge à juter. A peine quelques secondes durant lesquelles l'homme en profite pour la gifler de son énorme bite raide comme l'acier. Alors qu'elle commence à pleurer, il lui cloue à nouveau le bec de son membre en feu et la replonge dans l'enfer liquide ou elle s'enfonce en relâchant un nuage de bulles d'air tout à fait divertissant.
L'homme de dessous était entré aux trois quartx et la putain sondée rudement donnait du cul par souffrance, non par volupté. Jorge à présent parvenait à la phase ou la violence sadique le submergeait. Sa raison l'abandonnait. La jouissance de son membre nimbait son esprit. Lorsque l'enculeur fut à fond et que la pisse jaillit d'entre la fente délicate de la délicieuse chatte glabre, il sauta dans l'eau à son tour. Entre les jambes de la jeune femelle il s'accroupit, saisit les genoux et s'en serre pour se caler. Il se penche vers la chatte délicieusement dessinée. Les grandes lèvres jointes invitent au baiser féroce. Il se penche, prend entre ses dents la fente tant convoitée et l'étire, la mâchouille, avant d'enfiler sa langue. Le goût salé et délicat de la chair intime fait vibrer sa bite. Il passe ses mains sous la pute entre ses fesses et le pubis de l'enculeur dont les mouvements de bassin ne ralentissent pas. Il a l'habitude de cette complicité pédé et s'en délecte. Il branle un peu le haut de la bite de sa putain mâle et celui-ci redouble de coup de bite dans l'anus élargit de la chienne, sortant parfois jusqu'au bout du gland pour replonger comme une lame de poignard jusqu'aux intestins. Alors Jorge pose son gland contre la fente sur le capuchon du clito. Les mouvements de baise produisent une douce friction et Laura s'ouvre à son maître. Il sent que la mouille se mêle lubrifiante à l'eau bleue. Il sent que la belle se tend vers son désir. Il recule et s'enfonce alors dans le con encore timidement resserré et d'un coup la sabre. Elle sent les deux bites si proches chercher un rythme commun. Elle sent qu'elle s'évanouit en se noyant et pourtant jamais orgasme plus puissant ne l'a soulevée. Elle sent que les hommes voudraient se rejoindre au centre de son ventre et jouir tout trois gland contre gland elle n'est plus qu'un canal à foutre. Au moment ou elle pense mourir le foutre lui gicle par les narines se mêlant aux vomissures, délicieux nuage qui flottent entre deux eaux. L'enculeur décule et se relève faisant retomber une masse énorme d'eau avant de se précipiter à son tour à sa tête qu'il tire violemment en arrière au risque de rompre les vertèbres. La tenant par le menton il s'enfile jusqu'à l'œsophage ou il lâche lui aussi une purée âpre et visqueuse. Les deux hommes se relèvent et s'asseyent au bord de la baignoire laissant leur maître conclure. Jorge la lime jusqu'à l'extrême quitte le con pour le cul encore béant pour se relever tirant la chienne par le cou qu'il serre, il la pend en l'air étranglée langue toute sortie, vision qui le ravit, lui debout ajuste sa queue dans la bouche et jute longuement dans la fille qui meurt... Il prend de longues secondes pour jouir pour se délecter des traits ravagés de la pauvre Laura. Puis il la jette sur le tapis de bain: en un clin d'œil les deux hommes la prennent en charge pour la réanimer. Elle met de longues minutes à revenir à elle, dodelinant de la tête elle murmure humm non, non laissez moi je veux mourir comme ça... Jorge remarque que les trous élargis de son cul et de son vagin palpitent doucement. Alors il se penche et la doigtant en cul doucement darde sa langue dans son con, puis jouant avec le clito obtient deux nouveaux orgasmes. Les hommes quittent la salle de bain tandis que les amants restent ainsi plus d'une heure.
- Oh maître faites de moi ce que vous voulez demandez moi ce que vous voulez.
- Hum je veux juste que mes dix invités puissent jouir de toi cette nuit selon leurs cruelles fantaisies, je veux aussi que tu marques le fond du con de cette Estela qui sera mise à l'enchère et vendue pour aller au bordel SM dès cette nuit...
- Oh mon maître je mouille rien que d'y penser.
Au sortir du bain Laura se retrouva seule dans une chambre pour se reposer et se préparer à la soirée. Son corps vibrait encore des assauts des deux nageurs. Elle ne souffrait pas mais il lui semblait que ses orifices pulsaient doucement comme palpite une bête à l'agonie. La chambre comportait un coin salon très confortable, une montagne de coussins sur une moquette des plus douces. Sur une étagère elle découvrit une pile de revues et de journaux et pour se changer les idées elle se mit à les parcourir couchée sur les coussins. Elle avait deux ou trois heures à attendre avant qu'on vienne la chercher. Elle parcourut les revues. Elle n'avait jamais rien lu de semblable. Slave Blood était entièrement illustré de remarquables photos cruelles. Elle ne se lassait pas de parcourir ses pages de ces magazines de plus de 100 pages sur papier glacé. Filles d'une beauté extrême, filiformes et épilées comme des top models, mais empalées plus qu'engodées, fesses écartées en force pour des invasions extravagantes, séances de fouet et bâtonnades d'une rare violence, tout semblait être vrai. Son oeil fut soudain attiré par un nom dans l'intitulé d'un article.
"Le Colonel Valencia nomme une très jeune fille à la tête du service d'investigation. La très jeune Julia *** occupe désormais ce poste très convoité ou elle devra faire abstraction de toute pusillanimité. Julia *** 16 ans seulement tout juste naturalisée intègre ces fonctions ce jour. Cette remarquable jeune fille a fait la preuve de sa determination lors d'interrogatoire de 5 guerilleras capturées dans les montagnes ces derniers mois. Elle a su allier efficacité et intelligence. Les cinq guerilleras ont donné des renseignements capitaux pour la lutte anti subversion. Elles ont été mises en rééducation et font de rapides progrès, aussi nos aimables lecteurs pouront-ils faire leur connaissance, si elles survivent au cours des prochains mois aux diverses sentences que leur ont valu leur activité factieuse et qu'elles ont demandé elles-mêmes à subir intégralement en signe de contrition."
Laura contemplait Julia resplendissante dans un uniforme masculin qui mettait son adorable silhouette en valeur. Une des photos montrait les guerilleras toutes nues à genoux devant la niece de Laura. Un homme tenant une cravache levait la main menaçait une jolie brune aux yeux fièrement levés vers lui.
La légende précisait que ce genre de fille demande des traitements très particuliers et qu'on a souvent recours à des tortures intenses, prolongées et sans aucun souci des conséquences. Nombre de ces criminelles perdent la vie au cours de ses séances.
Laura se prit à mouiller. Elle avait parfaitement compris le mot d'esprit du journaliste et ne doutait pas que les filles, à un certain moment, n'avaient eu d'autre choix que de demander ces traitements particuliers dont l'idée seule la mettait en transes... Certes elle détestait les militaires et leurs horreurs mais de savoir Julia engagée dans cette voie cruelle et perverse... alors qu'elle-même se sentait attirée par l'esclavage et la soumission... qu'elle ne rêvait que d'aller le plus loin possible dans cette voie... Elle se masturba en pensant aux moments passés dans les bras de sa nièce. Soudain elle s'imagina à la place d'une des guérilleras, torturée et violée par les hommes de Valencia sous les yeux de Julie. Elle rêva à ce que lui ferait Julie, chargée de la supplicier sans limites... comme elle s'offrirait...
Pourtant son esprit tout entier était à présent sous l'influence de son maître ce Jorge merveilleux qui pensait pour elle et disposait de son corps sans qu'elle n'ait à s'en préoccuper. Et pourtant si Julie était ici elle s'occuperait de moi, elle aussi... Mais serait-elle aussi dure que lui? Elle feuilleta d'autres revues à la recherche d'autres indices mais ne découvrit rien. Lasse elle s'abandonna à la vue des images et jouit longuement face à la photo de sa Julie.
Elle dormit un peu et fut réveillée par une jeune femme noire qui très doucement l'aida à se préparer. Elle avait apporté la robe de soirée que Jorge souhaitait lui voir porter.
La fille lui baisait les joues le cou les seins avec beaucoup de douceur. Quand elle fut prête elle s'admira dans un grand miroir en pied. Elle se plut et mouilla en pensant à Estela dont elle espérait faire le meilleur usage devant son maître. Elle ne lui voulait pas de mal; au contraire, elle allait permettre à sa rivale de se donner à fond en hommage au maître qui la chassait. S'imaginant à la place de la future pute, qui gagnerait sa vie en se faisant fouetter, elle se surprit à l'envier un peu.
Il est temps murmura la tendre camériste à la peau sombre... aux lèvres de corail. Elles marchèrent dans les couloirs déserts se tenant par la taille. Soudain devant elle une porte s'ouvrit bruyamment et un groupe de quatre personnes s'engagea devant elles, très occupées à parler à voix basse. Deux jeunes femmes et deux garçons assez jeunes. Le cœur de Laura bondit. Les deux femmes en tenue de soirée avaient cette allure sportive des jeunes femmes du centre de formation militaire. Elle les reconnut: l'une plus grande la chevelure magnifique retenue savamment sur le haut dela tête laissait admirer une nuque parfaite longue comme le cou d'un cygne. C'était elle, la prédatrice, l'âme damnée de Valencia et de Jaime: Selva, avançant de sa démarche à la fois élégante et décidée, cette très belle tortionnaire qui avait tant fait pour transformer Laura, tant fait pour qu'elle jouisse de ses servitudes successives.
Laura sentit encore une fois son minou palpiter, elle faillit tomber à genoux et hurler mais aucun des quatre invités ne se tourna vers elle. Cependant elle reconnut, suffoquant presque d'une excitation irrépressible, ce vicieux de Willy et son comparse Alvaro ainsi que la jeune Soledad, élève brillante en sévices et plaisirs cruels.
Le groupe se dirigeait vers le salon prévu pour la séance de marquage.

(...)

Au cours des jours qui suivirent Jorge se sentait à chaque instant un peu plus fou de Laura. Jorge ne pensait plus qu'à cette fille, au bonheur de la limer sans se presser, de l'embrasser, de la malmener jusqu'aux larmes. Laura aimait cet homme qui était prêt à sacrifier toutes ses esclaves pour elle. Il le lui proposait. Si elle avait voulu il eut mis à mort ces chiennes devant elle. Mais elle répugnait à ces horreurs. Jorge était assez amoureux pour lui épargner les orgies au cours desquelles des choses atroces se déroulaient. Ils passaient leurs journées dans le luxe et les plaisirs. Laura à présent portait un anneau de chatte passé dans le capuchon de son adorable clito et gravé au chiffre de Jorge. Mais elle avait échappé au marquage. Pourtant toutes les femelles du ranch étaient marquées. Jorge élevait des chevaux et des vaches.
L'élevage de femmes était son activité préférée. Chaque jour il allait rendre visite aux 100 jeunes chiennes qui dormaient dans les dortoirs spécialement créés pour accueillir des femmes. Les locaux étaient à la fois confortables et spartiates: si une chienne le méritait elle couchait sur le ciment d'une cave, si elle donnait satisfaction elle dormait dans le luxe d'un adorable boudoir. Il aimait à les faire passer d'un état à l'autre selon ce que lui commandait sa bite. Il choisissait celles qu'il allait utiliser le soir seul ou en compagnie d'invités. Il conseillait les gardiennes et les gardiens sur le traitement à infliger à tel con tel vagin telle petite chatte. Il enfilait lui-même les plus étroites pour les agrandir, prescrivait les plugs et les godes. Il punissait avec volupté les plus innocentes pour un rien. Elles arrivaient fort jeunes mais il ne s'en occupait sérieusement que lorsqu'elles atteignaient 15 ans. Le véritable dressage sexuel commençait à cet âge là. Il finançait cette activité par la vente de femmes. Vente aux enchères. Il organisait aussi des séjours sexuels au cours desquelles les filles participaient à toute sorte d'activités.
La première fois que Laura visita le ranch des filles elle crut défaillir. Les filles partageaient des chambres cellules à deux ou trois. Elles étaient souvent entièrement nues et enchaînées. Mais deux fois par jour elles étaient sorties pour courir se baigner faire de l'exercice afin de conserver des corps fermes et harmonieux.
Toutes jeunes les petites filles étaient habituées à regarder des couples faire l'amour, des filles se masturber. Vers 10 ans elles apprenaient à se masturber sous la conduite de jolis instituteurs. Puis elles apprenaient à sucer.
Vers 12 ans elles buvaient le foutre avec avidité. A 15 ans les jolies salopes ne vivaient que pour le cul se disputant, se trahissant se battant à main nue pour se faire enconner par leur maître qui souvent les traitait fort cruellement avant de les sauter.
A 15 ans les filles participaient aux orgies sadiques. Jorge en vendait chaque semaine lors de vente aux enchères agrémentées de spectacles très spéciaux.
Ce soir là Laura vêtue d'une robe noire très moulante fut introduite dans le petit cercle des pervers acheteurs. Jorge la présenta comme son assistante. Laura découvrait avec beaucoup d'étonnement la pièce ou devaient se dérouler la soirée la nuit et une partie de la journée du lendemain. Située à l'étage d'une tour s'était un local circulaire de plus de 20 m de diamètre. 12 fenêtres hautes garnies de rideaux pourpres laissaient entrer la lueur du ciel tamisé tandis qu'entre chaque ouverture une niche assez haute contenait une statue de fille nue portant un candélabre électrique de style 1900. La lumière fauve assez douce donnait des teintes appétissantes aux invités peu vêtus. Jorge recevait deux magnifiques jeunes femmes de 30 ans environ, une métissée, noire, une brésilienne sans doute et sa complice une adorable brune aux yeux clairs de type slave. Les deux femmes portaient des combinaisons de cuir ajourées. De larges ouvertures permettaient à leurs tétons comprimés et fardés de rouge de saillir agréablement tandis que leurs chattes parfaitement épilées s'offraient dans l'ouverture ménagée entre leurs cuisses. Deux hommes, la cinquantaine arrogante, de type slave à l'air assez cruel leur faisait vis à vis. Laura sentait les regards de ces quatre invités sur son corps, des regards pleins de vice et de perversité. Une estrade occupait le centre de la salle. Tout autour sauf à l'emplacement de deux portes couraient des sortes de gradins à deux degrés larges comme des lits et recouverts de matelas fort moelleux et confortables. Un escalier en colimaçon situé sous l'estrade centrale plongeait vers les cellules à femelles. Jorge demanda à Laura de jouer son rôle de maîtresse de maison ce qu'elle fit avec beaucoup de grâce et de modestie. Elle tira un cordon et deux fillettes apparurent portant un plateau et des coupes de champagne. Les deux gamines étaient nues sauf un tablier de soubrette en dentelle. C'étaient deux négrillonnes à peine formées aux corps svelte aux lèvres pleines de promesses aux grands yeux de biche. A peine s'approchèrent elles des convives qu'elles furent l'objet d'attouchements poussés. Elles firent leur service en essayant de ne pas se contorsionner. Un des hommes pinçait les tétons de la plus petites qui tenait les coupes que son amie remplissait. Cette dernière recevait des hommages sur les fesses de la part de l'autre client.
Jorge s'était placé entre les deux belles acheteuses qui se laissaient caresser le cul docilement. Mon cher Jorge vous avez toujours de délicieux amuse gueule, hélas notre religion nous interdit de jouer avec les filles... murmura une des femmes prénommée Aline. A cet instant précis la porte s'ouvrit de nouveau et deux garçons de 16 ans le vit demi bandant harnaché d'un fourreau de cuir le gland bien dégagé vinrent s'agenouiller devant les belles qui écartèrent de suite les cuisses. C'étaient deux jeunes hommes blonds très musclés et très gourmands de chatte. Ils posèrent délicatement leurs mains derrière les cuisses des belles et la langue bien dardée mimèrent le contact avec le sillon. Les filles riaient en regardant faire les deux objets mâles et la mouille leur vint peu à peu. Cependant on trinquait. Les deux servantes avaient posé leurs plateaux et se tenaient devant les deux brutaux. Elles entreprirent d'ouvrir les braguettes.
- Hum nos amies ont été servies en retard mais les deux gitons regagnent le terrain perdu, Jorge.
Jorge souriait de voir les quatre trinquer tout en se faisant délicatement prendre en main et en bouche. Le quadrige discourait agréablement sans se soucier des esclaves au travail. Justina, la seconde femme malmenait son lécheur, lui tirant les oreilles comme à un écolier. Un des hommes nommé Atanase tenait sa queue à pleine main. Il se branlait un peu goûtant la scène de soumission de la petite négresse assise sur ses fesses et qui visiblement ondulait de plaisir les tétons durs. Il promenait son gland dans la chevelure artistement travaillée de perles. Il descendait le long du nez tapotait sur la lèvre de dessus sentait le souffle court de la femelle désirante, remontait par une joue appuyer cruellement sur le grand œil humide. La fillette remuait la tête pour échapper à ce tourment mais le cruel passant la main derrière la nuque bloquait toute velléité de se soustraire à sa fantaisies sadique. Boris son complice avait placé sa victime entre ses cuisses: il serrait la tête de la fille accroupie; elle se plaignait un peu; d'une main munie d'un ceinturon il se mit à fouetter les petites fesses. Les cris de la putain vibraient et il bandait de manière extraordinaire. Les deux femmes habilement léchées ne perdaient rien des jeux de leurs compagnons. A la demande de Jorge Laura entreprit de se mettre nue. Elle fit glisser la magnifique robe noire. Les hommes poussèrent des exclamations et leurs bites tendues semblaient désigner le corps de la belle amante de Jorge. Lui-même quitta enfin ses vêtements et prenant la bouche d'Aline il la pompa voluptueusement, tandis qu'à genoux Laura branlait doucement son énorme membre.


(A suivre)