Visite surprise
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French › Anime
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Adult +
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Disclaimer:
Les personnages de Naruto appartiennent à Masashi Kishimo.
Visite surprise
Chapitre 1
"Hm"
Sakura se mordait la lèvre inférieure pour essayer de contenir les gémissements qui résultait de chaque pénétration. Malgré le fait qu'elle habite seule dans son appartement, elle éprouvé une certaine honte à être obligée de satisfaire sa libido... seule avec un concombre.
Mais c'était plus fort qu'elle. Chaque nuit, le même scénario se produisait encore et toujours, comme la première fois : une fois allongée dans son lit vêtue d'un large T-shirt, son esprit fatigué était inlassablement envahi de pensées toutes plus coquines les unes que les autres. Certaines impliquaient même quelques uns de ces amis. Dieu qu'elle avait honte ! Pour essayer de contenter ses pulsions, elle commença par frotter ses cuisses l'une contre l'autre. Puis, n'obtenant pas le moindre soulagement, elle glissa ses mains en dessous de son vêtement, sur sa poitrine et effleura ses seins. Insatisfaite, elle les massa puis saisit ses mamelons entre son pouce et son index. Un soupir de plaisir s'échappa de sa bouche alors qu'elle sentait les petits bouts de chair durcis rouler sous ses doigts fins. Presque inconsciemment, une de ses main descendit alors le long de son ventre plat et continua son chemin vers son intimité recouverte seulement d'un sous-vêtement de coton blanc. Elle sentit la moiteur en caressant le morceau de tissu. Sa main remonta pour se glisser sous l'obstacle immaculé. Elle entra en contact avec les poils roses et fins - elle ne les avait jamais rasés - qui bordaient la partie la plus intime de son corps. Elle continua son chemin jusqu'à écarter les lèvres du bout des ongles et faire pénétrer un premier doigts dans son vagin. Un autre le rejoignit bien vite tandis que le jeune fille titillait son clitoris avec son pouce. Elle sanglotait presque de ne pouvoir se comblée avec son propre corps.
Animée d'une envie incontrôlable, elle se leva de son lit et marcha en trébuchant jusque dans la cuisine à la recherche d'un moyen assouvir son besoin. Son regard embrumé se posa alors sur la table où trônait une coupe de fruits. Des oranges et des pommes ne pouvaient rien pour elle... Elle se mit à chercher fébrilement dans les placards, puis dans le frigo. C'est là, dans le bac à légume, qu'elle vit son salut. Un long concombre vert et assez épais qu'elle avait acheté le matin-même. Heureuse et on ne plus excitée de sa découverte, elle s'empara la courge et l'emmena dans sa chambre.
De nouveau étendue sur son lit, elle saisit sa trouvaille entre ses deux mains dans le but de le réchauffait quelque peu... mais bientôt, elle enleva rapidement sa petite culotte, écarta les jambes, puis, d'une main tremblotante empoigna sa découverte et, ivre de désir, la poussa d'abord lentement dans son vagin, pour s'habituer à sa taille. Au fur et à mesure qu'elle prenait de l'assurance, elle faisait des aller-et-retours de plus en plus vifs et profonds. Le bruit étouffé des ses cris et celui humide du concombre dans son fourreau étroit étaient les seuls à déranger le calme nocturne. Mais personne ne pouvait les entendre.
C'est du moins ce que pensait la discrète Sakura. Elle avait en partie raison : ces sons n'étaient audibles que si l'on se trouvait sur le rebord de sa fenêtre. Endroit où était actuellement assise une personne. Cette dernière avait découvert le petit manège de la kunoichi depuis une semaine et avait tout d'abord était choquée. Mais ceci fut bien vite effacé alors que se dessinait déjà dans sa tête une idée lubrique. Et c'est ce soir qu'elle allait mettre son plan à exécution.
L'ombre se mit en mouvement et en un saut habile, elle atterrit sur le rebord de la fenêtre de la cuisine, qui était entre-ouverte. Elle se faufila sans bruit à l'intérieur puis avança d'un pas léger vers la chambre dont Sakura n'avait pas fermée la porte, dans son empressement. Elle écouta alors les couinements qui s'en échappaient : il semblait que la propriétaire toucherait le septième ciel sous peu.
"Oh non, pas ce soir... Du moins, pas comme ça" pensa l'intrue.
Ce dernier se mis en mouvement à ce moment. Fouillant dans sa poche, elle sortit un bracelet noir, qu'elle avait emprunté plus tôt. Faisant preuve d'une rapidité dont seuls les ninjas étaient capable, elle fit irruption dans la pièce qu'elle avait surveillée depuis la tombée de la nuit. Elle attacha le bijou au poignet de la rose et tissa aussitôt des fils de chakra pour l'attacher au quatre coins de son lit. Sakura, qui n'avait pas eut le temps de faire un mouvement ouvrit la bouche pour commencer à crier. Malheureusement pour elle, sa tentative fut entravée par un chiffon.
"Mmh !" geignit-elle, essayant de venir à bout ses liens.
"Tu peux toujours essayer de te débatte, ces fils ne peuvent être défaits que par du chakra et le bracelet que tu as là, l'informa-t-elle en montrant le-dit objet, t'empêche d'utiliser le tien."
Sakura reconnut la voix de son agresseur sans peine alors que celui-ci se débarrassait de son manteau à capuche et d'un sac de bonne taille.
"Ino ?" pensa-t-elle.
"Alors Sakura... T'est une vilaine fille, hm ?"
C'est seulement à se moment que le rose se rendit compte de la position dans laquelle son amie l'avait trouvée. Elle rougit de honte en voyant son T-shirt relevé qui laissait entrevoir son ventre, sa petite culotte délaissée au bout de son lit et surtout le concombre luisant dont une partie était restée en elle.
"Regarde-moi ça" s'exclama-t-elle en saisissant le légume et le poussant avec une lenteur vicieuse quelque centimètres à l'intérieur de son intimité, avant de le retirer brusquement.
La fleur de cerisier laissa échapper un grognement de mécontentement malgré elle tandis que lab londe inspectait ce qu'elle avait dans la main.
"Qu'est-ce que tout le monde penserait de toi ? Je me demande comment ils réagiraient...", déclara-t-elle, faussement pensive, alors qu'elle mit sous le nez de sa prisonnière ce qui lui avait servi à se satisfaire quelques minute auparavant. Humiliée, ses yeux s'emplirent de larmes qu'elle eut du mal à retenir.
"Mais ne t'inquiète pas, je ne dirais rien", sourit Ino, une étincelle d'espoir apparaissant dans les yeux couleur émeraude. "En échange cependant, je vais te demander de m'accorder quelque petites compensations."
L'inquiétude s'empara de Sakura lorsqu'elle vit un éclair pervers briller dans les yeux saphirs de celle qui l'avait attachée. Celle-ci s'approcha, se mit à califourchon sur la captive et se pencha pour lui susurrer à l'oreille :
"Enfin, tu n'a pas le choix. Mais je t'assure que ce que tu as fait seule jusqu'à maintenant n'est rien comparé à ce que je vais te faire..."
Sur ces mots, elle mordit le lobe de la rose.
"Hm"
Sakura se mordait la lèvre inférieure pour essayer de contenir les gémissements qui résultait de chaque pénétration. Malgré le fait qu'elle habite seule dans son appartement, elle éprouvé une certaine honte à être obligée de satisfaire sa libido... seule avec un concombre.
Mais c'était plus fort qu'elle. Chaque nuit, le même scénario se produisait encore et toujours, comme la première fois : une fois allongée dans son lit vêtue d'un large T-shirt, son esprit fatigué était inlassablement envahi de pensées toutes plus coquines les unes que les autres. Certaines impliquaient même quelques uns de ces amis. Dieu qu'elle avait honte ! Pour essayer de contenter ses pulsions, elle commença par frotter ses cuisses l'une contre l'autre. Puis, n'obtenant pas le moindre soulagement, elle glissa ses mains en dessous de son vêtement, sur sa poitrine et effleura ses seins. Insatisfaite, elle les massa puis saisit ses mamelons entre son pouce et son index. Un soupir de plaisir s'échappa de sa bouche alors qu'elle sentait les petits bouts de chair durcis rouler sous ses doigts fins. Presque inconsciemment, une de ses main descendit alors le long de son ventre plat et continua son chemin vers son intimité recouverte seulement d'un sous-vêtement de coton blanc. Elle sentit la moiteur en caressant le morceau de tissu. Sa main remonta pour se glisser sous l'obstacle immaculé. Elle entra en contact avec les poils roses et fins - elle ne les avait jamais rasés - qui bordaient la partie la plus intime de son corps. Elle continua son chemin jusqu'à écarter les lèvres du bout des ongles et faire pénétrer un premier doigts dans son vagin. Un autre le rejoignit bien vite tandis que le jeune fille titillait son clitoris avec son pouce. Elle sanglotait presque de ne pouvoir se comblée avec son propre corps.
Animée d'une envie incontrôlable, elle se leva de son lit et marcha en trébuchant jusque dans la cuisine à la recherche d'un moyen assouvir son besoin. Son regard embrumé se posa alors sur la table où trônait une coupe de fruits. Des oranges et des pommes ne pouvaient rien pour elle... Elle se mit à chercher fébrilement dans les placards, puis dans le frigo. C'est là, dans le bac à légume, qu'elle vit son salut. Un long concombre vert et assez épais qu'elle avait acheté le matin-même. Heureuse et on ne plus excitée de sa découverte, elle s'empara la courge et l'emmena dans sa chambre.
De nouveau étendue sur son lit, elle saisit sa trouvaille entre ses deux mains dans le but de le réchauffait quelque peu... mais bientôt, elle enleva rapidement sa petite culotte, écarta les jambes, puis, d'une main tremblotante empoigna sa découverte et, ivre de désir, la poussa d'abord lentement dans son vagin, pour s'habituer à sa taille. Au fur et à mesure qu'elle prenait de l'assurance, elle faisait des aller-et-retours de plus en plus vifs et profonds. Le bruit étouffé des ses cris et celui humide du concombre dans son fourreau étroit étaient les seuls à déranger le calme nocturne. Mais personne ne pouvait les entendre.
C'est du moins ce que pensait la discrète Sakura. Elle avait en partie raison : ces sons n'étaient audibles que si l'on se trouvait sur le rebord de sa fenêtre. Endroit où était actuellement assise une personne. Cette dernière avait découvert le petit manège de la kunoichi depuis une semaine et avait tout d'abord était choquée. Mais ceci fut bien vite effacé alors que se dessinait déjà dans sa tête une idée lubrique. Et c'est ce soir qu'elle allait mettre son plan à exécution.
L'ombre se mit en mouvement et en un saut habile, elle atterrit sur le rebord de la fenêtre de la cuisine, qui était entre-ouverte. Elle se faufila sans bruit à l'intérieur puis avança d'un pas léger vers la chambre dont Sakura n'avait pas fermée la porte, dans son empressement. Elle écouta alors les couinements qui s'en échappaient : il semblait que la propriétaire toucherait le septième ciel sous peu.
"Oh non, pas ce soir... Du moins, pas comme ça" pensa l'intrue.
Ce dernier se mis en mouvement à ce moment. Fouillant dans sa poche, elle sortit un bracelet noir, qu'elle avait emprunté plus tôt. Faisant preuve d'une rapidité dont seuls les ninjas étaient capable, elle fit irruption dans la pièce qu'elle avait surveillée depuis la tombée de la nuit. Elle attacha le bijou au poignet de la rose et tissa aussitôt des fils de chakra pour l'attacher au quatre coins de son lit. Sakura, qui n'avait pas eut le temps de faire un mouvement ouvrit la bouche pour commencer à crier. Malheureusement pour elle, sa tentative fut entravée par un chiffon.
"Mmh !" geignit-elle, essayant de venir à bout ses liens.
"Tu peux toujours essayer de te débatte, ces fils ne peuvent être défaits que par du chakra et le bracelet que tu as là, l'informa-t-elle en montrant le-dit objet, t'empêche d'utiliser le tien."
Sakura reconnut la voix de son agresseur sans peine alors que celui-ci se débarrassait de son manteau à capuche et d'un sac de bonne taille.
"Ino ?" pensa-t-elle.
"Alors Sakura... T'est une vilaine fille, hm ?"
C'est seulement à se moment que le rose se rendit compte de la position dans laquelle son amie l'avait trouvée. Elle rougit de honte en voyant son T-shirt relevé qui laissait entrevoir son ventre, sa petite culotte délaissée au bout de son lit et surtout le concombre luisant dont une partie était restée en elle.
"Regarde-moi ça" s'exclama-t-elle en saisissant le légume et le poussant avec une lenteur vicieuse quelque centimètres à l'intérieur de son intimité, avant de le retirer brusquement.
La fleur de cerisier laissa échapper un grognement de mécontentement malgré elle tandis que lab londe inspectait ce qu'elle avait dans la main.
"Qu'est-ce que tout le monde penserait de toi ? Je me demande comment ils réagiraient...", déclara-t-elle, faussement pensive, alors qu'elle mit sous le nez de sa prisonnière ce qui lui avait servi à se satisfaire quelques minute auparavant. Humiliée, ses yeux s'emplirent de larmes qu'elle eut du mal à retenir.
"Mais ne t'inquiète pas, je ne dirais rien", sourit Ino, une étincelle d'espoir apparaissant dans les yeux couleur émeraude. "En échange cependant, je vais te demander de m'accorder quelque petites compensations."
L'inquiétude s'empara de Sakura lorsqu'elle vit un éclair pervers briller dans les yeux saphirs de celle qui l'avait attachée. Celle-ci s'approcha, se mit à califourchon sur la captive et se pencha pour lui susurrer à l'oreille :
"Enfin, tu n'a pas le choix. Mais je t'assure que ce que tu as fait seule jusqu'à maintenant n'est rien comparé à ce que je vais te faire..."
Sur ces mots, elle mordit le lobe de la rose.