Three Pieces
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French › Anime
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Adult ++
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Disclaimer:
Les personnages ne m'appartiennent pas, One Piece non plus. Rien n'est à moi ! Sauf les considérations diverses. Mais rien !
Three Pieces
Lorsque Zoro entra dans sa chambre, pour aller se coucher, il poussa un gros soupir épuisé. Il s’assied sur le bord de son lit et se passa une main sur le visage. Ses grandes mains couvertes d’escarres et de traces d’ampoules faites à force de tenir ses sabres sans relâche. Il était également suivi par Chopper, rapport à ses dents. Une main amicale se posa sur son épaule. La main de la personne qui partageait son lit depuis quelques temps.
- Ca va, Marimo ?
Sanji releva la tête et regarda son Zoro, qui lui lança un regard en coin, un regard d’une douceur difficile à imaginer chez le sabreur.
- L’entrainement, tout ça. La crainte aussi. Pas envie qu’il y ait des soupçons…
- Le hamac est là pour ça.
- Quand même. Usopp fait quelques blagues de temps en temps, j’aime pas trop ça.
- On s’en moque. Ca fait quatre mois, ça marche très bien, ça ne gêne pas le travail d’équipe…
- Alors pourquoi tu t’éloignes du groupe quand on bouge ? Tu fais ça souvent.
- Parce que… J’aime agir seul ! Je suis cool ! sourit Sanji.
Zoro ricana doucement, sachant bien que c’était faux. Les peurs que Zoro osait exprimer, il savait bien qu’elles existaient chez Sanji mais qu’il prenait toujours tout du bon côté, et n’exprimait jamais ce qu’il pouvait penser. Le plus froid des deux n’était pas celui qu’on pouvait penser.
Quatre mois, donc, qu’ils vivaient en « Co-cabinage ». Mais c’était devenu plus que ça. A la base, Zoro avait développé la mauvaise habitude de manger après tout le monde suite à une sieste post-entrainement de plus en plus décalée. Les entrainements nocturnes de l’homme aux cheveux verts n’avait rien arrangé à ces siestes déplacées. Il mangeait donc à des heures impossibles et Sanji en avait plein le dos. Mais à un point qu’il en butait des objets au hasard sur le Sunny, perturbant profondément la vie de l’équipage. Robin retrouvait souvent la chaise sur laquelle elle lisait renversée. Chopper voyait son matériel régulièrement déplacé, ou ses sacoches mises en désordre. Luffy ne s’y retrouvait plus dans le garde-manger. Franky perdait ses outils. Nami voyait ses cartes mélangées et ses instruments de navigation à des endroits insoupçonnables. Tout ça à cause d’un repas supplémentaire.
Sanji avait fini par prendre Zoro entre quatre yeux dans la cuisine, seuls à seuls.
- Tu me gonfles, Marimo de mes deux ! J’en ai ma claque de cuisiner pour ton cul de feignasse !
- T’es pas content, tu me fais pas à manger, c’est tout, j’me ferais à bouffer tout seul !
- On vit en communauté, connard ! Tu sais qu’il y a des règles à respecter, c’est tout !
- Va chier.
- Toi, va chier ! C’est quoi cette réponse ?! Tu te fous de moi ?
- Je fais ce qui me chante. Je suis obligé de m’entrainer. Luffy ne m’a pas réprimandé, t’es pas mon supérieur, t’es juste le cuisinier, monte pas sur tes grands chevaux !
- C’est moi qui te fais ta bouffe alors écrase un peu, salopard !
- Ah ouais ?
- Ouais !
- C’est toi qui va t’écraser !
- Tu vas me faire quoi, hein ? Tu vas lever la main sur moi ? Tu vas seulement oser ?
La tension était à un tel point qu’ils s’embrassèrent fougueusement et que ce jour là, dans une indifférence totale du reste de l’équipage, par chance pour eux, ils firent l’amour derrière un meuble d’appoint dans la cuisine. Zoro était sur Sanji qui était dos au parquet, les jambes en l’air et écartées, savourant avec un délice sans nom le braquemart de Zoro qui le pénétrait sans discontinuer, d’avant en arrière. Zoro était peut-être un type bourru mais c’était un dieu de l’amour. Le cuistot maniéré appréciait de sentir cette chaleur dominatrice. Il n’avait jamais été contre un peu d’amour masculin, une part de lui qu’il cachait par un amour démesuré des femmes, qu’il aimait aussi, mais Zoro c’était différent : Il était accessible, et il était passé à l’acte. Leur dispute était si idiote et inutile que toute l’électricité entre les deux s’était transformée en un désir profond d’actes charnels sauvages. La tâche qu’ils firent sur le parquet ce jour là, mélange de sueur et de sperme, fut expliquée plus tard comme un accident de Sanji avec de la sauce.
Et depuis, tout avait changé. Sanji faisait à manger à son Zoro sans grogner et mangeait même avec lui. Parfois simplement manger, parfois cela se finissait en fellation sous la table. Tout le monde s’étonnait de la « disparition » de Sanji pendant ces instants où le cuisinier faisait du bien à son escrimeur d’amour, lui léchant et lui suçant avec attention son membre dont le goût était digne de ses papilles délicates. La braguette de Zoro était grande ouverte, laissant sortir son imposant engin que Sanji manipulait avec précaution et douceur. Un bon moment pour Zoro qui appréciait chaque seconde. Son éjaculation n’était qui plus est jamais perdue et nourrissait un affamé qui n’y rechignait jamais.
Pour habiter dans la même chambre, Zoro avait dû prétexter un souci d’entrainement. Il avait en effet mis à sac sa chambre en sabrant mur et sol, transformant l’endroit en capharnaüm inhabitable. Et Franky ne voulait pas la retaper. Il avait sermonné le Zoro (Qui s’en foutait éperdument, n’ayant jamais eu d’opinion sur ce type bizarre toujours en slip) et lui avait dit de crécher chez quelqu’un d’autre. Bingo, Zoro avait choisi d’habiter chez le Sanji qui l’accueillit en grommelant faussement. Le premier soir, ils burent le champagne au lit et Zoro lui avoua qu’il l’aimait plus que pour le sexe. Cela avait touché le cuistot qui avait accepté que leur relation prenne plus de sens et de profondeur.
C’était étrange pour les deux. Une nuit, après de sauvages ébats, Sanji avait demandé à Zoro s’il était homosexuel. Ce à quoi le sabreur a répondu qu’il se moquait de ce genre de choses et qu’il ne se rangeait nulle part. Sanji avait souri mais la question était restée en suspens dans son esprit. Plus comme un questionnement que comme autre chose. En fait il voyait Zoro comme un être mystérieux. Et ça lui plaisait. Là où les autres voyaient un beau jeune homme ténébreux, Sanji voyait un homme séduisant qui savait tout le sens du mot « privé ».
Les situations pour avoir quelque rapport sexuel se multipliaient. Parfois en pleine sortie, ils se prenaient à part l’un et l’autre et s’adonnaient à des sessions, cachés de façon parfois sommaire. Il fallait les voir cachés sous un pont, Zoro enfonçant son sexe entre les fesses de son amant pressé qui n’avait qu’une envie : Sentir son adoré lui remplir l’arrière-train et lui mener la vie dure aux yeux de n’importe qui qui passerait par là. Et ce jour là, Sanji n’avait jamais autant joui, la situation était tellement excitante… D’autres fois, Sanji saisissait l’entrejambe de Zoro alors que le groupe entier pouvait les surprendre. Zoro avait toujours un sourire vicieux après cette pratique, et surtout une gaule d’enfer. Il n’avait qu’une envie ensuite, c’était de rendre à Sanji ce qu’il n’avait certainement pas volé.
La relation était certes très sexuelle mais les petites attentions du quotidien n’étaient pas absentes. Sanji déposait régulièrement une assiette sur le lieu de l’entrainement de Zoro qui lui rendait son sourire. Zoro aidait parfois Sanji à débarrasser la table, quand les autres étaient inattentifs par exemple. De même, autant que faire se pouvait, l’un prenait le parti de l’autre aussi souvent que possible lors des débats de groupe. Le tout accompagné d’un regard complice.
Sanji brûlait des regards chauds comme la braise de Zoro. Des regards qui disaient « Baisse ton froc, on y va », le plus souvent. Du moins c’est ainsi que Sanji le voyait. Zoro quant à lui, savait ce qu’il y avait derrière la mèche de son cuisinier, et trouvait cela très mignon. Il disait souvent à Sanji qu’il était beau, ce que Sanji prenait comme une preuve que Zoro avait une attirance réelle pour lui et pour les hommes en général.
- Je te fais un petit massage ?
- S’il te plait.
Zoro se déshabilla. Nu, il s’allongea sur le ventre et laissa Sanji lui grimper dessus, à califourchon. Bien sûr il arrivait que Sanji soit le dominant. Mais c’était plus rare. Et quand bien même, ce soir, Sanji sentait que Zoro n’était pas très chaud. Il commença donc par un massage sensuel. Zoro lança un regard en coin pour regarder Sanji. Le blond était nu. Ses fesses étaient posées sur celles de Zoro, ses testicules fraichement épilées s’alignaient délicatement en un sac gracieux et délicieux. Le pénis de Sanji était particulièrement beau, au repos comme en érection. Le gland sortait dans son entièreté du fourreau de peau, montrant toute la splendeur de sa forme régulière et agréable, et sa couleur rosée si attirante à l’œil et à la bouche. Ce sexe était particulièrement courbé, avec une certaine finesse sur la fin. Un sexe de toute beauté. Là où celui de Zoro était gros, veineux et dur, un sexe bourrin, celui de Sanji représentait bien son possesseur : Doux, viril et délicat. Zoro eut son sourire vicieux des grands jours alors que Sanji le relaxait.
- Mmmm… N’hésite pas…
- C’est juste un massage.
- Il y a encore du lubrifiant ?
- Hm, sûrement.
- Masse-moi tout en me la mettant.
Sanji acquiesça et chercha d’une main habile le pot de lubrifiant. Ce pot était un vrai problème pour eux. Ils se relayaient pour en acheter assez régulièrement, il était difficile à cacher, plutôt voyant car bleu et c’était tellement inhabituel comme produit qu’ils étaient regardés bizarrement par les civils qui les voyaient en acheter. Même indépendamment.
Sanji massait Zoro d’une main, et lubrifia son anus de l’autre. Sanji aimait les fesses de Zoro qui étaient fermes et musclées, alors que les siennes étaient fines et assez écartées du fait de sa maigreur. De plus la souplesse de Sanji lui avait fait des fesses très plates et osseuses.
Zoro écarta légèrement les jambes pour laisser Sanji lui glisser ses longs doigts fins à travers son anneau rose. Les offensives du blond eurent vite raison de la sacrosainte rondelle qui céda rapidement à quatre doigts habiles. De l’autre main, Sanji caressait le dos de son amant.
- C’est moi ou tu as encore bruni ?
- Ca te plait ?
- Beaucoup. J’aime quand tu es bien bronzé.
- C’est pour toi que je cultive ça !
Sanji sourit et lubrifia son propre sexe. Le souci c’est qu’il adorait se masturber et cela depuis son plus jeune âge. Se lubrifier était donc à quelques encablures de le faire éjaculer. Il en gémissait d’avance.
- Sanji…
- P… Pardon.
- J’aime t’entendre gémir mais quand même ça me rend jaloux de ta main droite, tu sais.
- Tu vas morfler pour avoir osé dire ça…
- J’espère bien…
Sanji s’enfonça dans les chairs. Il poussa un soupir rauque de contentement. Zoro souffla par les narines.
- J’adore ta queue…
- Et moi j’adore ton cul, on se complète bien, rétorqua malicieusement Sanji.
- Défonce-moi, on verra si on se complète.
Zoro leva légèrement les fesses et écarta un peu les jambes. Sanji passa à l’attaque. Zoro ne pouvait retenir de francs cris de plaisir. Sanji savait y faire. Il pénétrait Zoro comme personne d’autre n’eut pu le faire. Son sexe de bonne taille et forme glissait dans l’agréable fourreau chaleureux et accueillant. Zoro sentait qu’il touchait son point sensible. L’escrimeur força vers l’arrière pour que le cuistot s’y attèle un peu plus.
- Pa…a… tience… Marimo… J’y… travaille… hng…
- P… Plus fort, aaah…
Ejaculation. Le cuisinier avait joui, tapissant l’intérieur de Zoro d’une laitance chaude et fertile. Zoro se plaqua à lui, lui interdisant d’arrêter. Il s’était levé, tendant la queue de Sanji à la verticale.
- Plus… plus… plus… geignit Zoro.
- Salaud, je suis vanné…
- Et moi donc…
Ils s’embrassèrent comme des animaux alors que Sanji s’efforçait de relancer son sexe pourtant vidé. Ses coups de butoirs étaient insupportables pour lui car il dépassait sa propre jouissance. De plus, le sexe ainsi levé était recouvert par la semence dégoulinant du cul encore rempli de Zoro. L’escrimeur apprécia cette sensation.
- J’en ai plein les jambes…
- Et moi plein les couilles…
Sanji s’empara du sexe de Zoro tout en appuyant la tête sur l’épaule de ce dernier qui lui léchait la mâchoire. Le sabreur leva la tête vers l’arrière, terrassé par le bonheur.
- Hoooo… c’est tellement…
Sanji lâcha le sexe de Zoro et se concentra sur son offensive sexuelle. Il percuta le fond du rectum de Zoro qui grogna de plaisir.
- Ahn Sanjiiii…
- J’te finis et ensuite tu me fais, ok ?
- Avec joie.
Sanji lâcha sa deuxième purée au fond de Zoro, et cette fois-ci il cessa ses mouvements, épuisés.
- Tu m’as tué…
- Ne t’en fais pas mon tout beau, ça va être ta fête…
- J’espère bien…
Et il n’eut pas à espérer. Zoro y alla fort, prenant Sanji en levrette, sa position préférée. Ainsi dominé, Sanji sentait tout le pouvoir de Zoro. Parfois, il le retournait en missionnaire pendant l’acte même. Zoro et Sanji pouvaient alors voir à quel point, l’un encastré dans l’autre, ils devenaient fous.
- Oh oui…
- C’est bon, putain, c’est tellement bon… geignit Sanji.
- Tu es tellement bon…
- C’est toi, c’est toi…
- J’y vais à fond, ok ?
- T’étais pas à fond ?
- Tu me prends pour qui ?
- Oh Zoroooo…
Zoro y alla à fond, dévastant Sanji de l’intérieur. Il éjaculait au moins quatre fois par session. De son anus béant coulait toujours le sperme de Sanji. Zoro le laissait couler et poussait même pour l’expulser. Il adorait la sensation de s’expurger ainsi du jus d’amour de son ami. Sanji caressait et embrassait le dos et le cou de Zoro, éperdu d’amour et de reconnaissance. Quand Zoro le pénétrait, il était dans un autre monde. Zoro avait ce pouvoir. Il était le seul à pouvoir sauter Sanji de la sorte, le seul à l’enculer comme il fallait, avec force et douceur. Quand cette bonne et grosse queue passait dans son muscle anal si délicat, Sanji entrait au paradis. Chaque jet de sperme en lui était une caresse divine.
- Hmmmph… Hhhhh… Ouiiiiii…
- Tu en veux plus, salope ?
- Inonde-moi, je suis ta pute !
Cela devenait chaque fois plus bestial. Zoro était sur Sanji, allongé sur le dos, pénétré comme une bête, les cris allant avec. Zoro voulait du plaisir, Sanji de même. En cela au moins ils s’étaient trouvés. Quand cela s’arrêtait, ils restaient l’un dans l’autre un moment, immobile.
- Elle est molle, je suis vidé.
- C’était tellement… super… souffla Sanji.
- C’est toi qui me rend meilleur à chaque fois.
- Je t’aime.
Zoro s’étonna et regarda Sanji.
- …
- … quoi ?
Quoi, quoi ? C’était la première fois que c’était dit aussi explicitement, aussi crûment. Enfin, parler de cru après une telle séance de sexe pur, c’était quelque peu idiot.
Zoro se releva, se détachant de Sanji. Il le regarda.
- Tu… m’aimes ?
- … oui, enfin, je pensais que c’était évident. Je suis… amoureux. De toi.
- …
- Enfin je sens… qu’il y a un lien, que notre couple vaut quelque chose.
Le blond déplia les jambes et s’assied face à Zoro qui évita son regard.
- C’est-à-dire que…
- Quoi, qu’est-ce qu’il y a ?
- C’est compliqué…
- Zoro…
- Comment te dire… On… On ne fait pas vraiment l’amour comme un couple d’amoureux, tu vois… Je tendais à penser que notre relation était plus sexuelle qu’autre chose. De là à… penser qu’on forme un couple véritable…
Sanji grimaça et pencha la tête.
- Attends, c’est bien toi qui m’a dit que tu m’aimais plus que pour le sexe ! C’était lors de notre première soirée !
- Certes mais je suppose que… tu vas vouloir qu’on se dévoile à tout le monde ?
- Pas forcément.
- Alors ça ne vaut pas le coup ! souffla Zoro.
Sanji s’étonna.
- Hein ?!
- Bah… si tu veux vraiment qu’on… Il faut au moins l’avouer au capitaine. A Luffy ! Qu’on officialise en quelque sorte.
- Oh je t’en prie ! Il sait à peine se la toucher pour autre chose que pipi ! On va le traumatiser en le lui annonçant !
- Sanji, je ne formerais un couple avec toi que si on annonce officiellement à Luffy, au moins à Luffy qu’on forme un couple.
Le blond grommela.
- Je voulais juste qu’on sache réellement l’un et l’autre où on en était !
- Je sais où j’en suis ! J’aime comme on se fréquente, j’aime nos parties de jambes en l’air, j’aime tes regards complices…
- Moi aussi ! Mais je veux plus !
- Alors on passe par Luffy ! Et comme ça tu auras plus.
Sanji sembla suppliant. Zoro plissa les yeux.
- Quoi ?
- On va y perdre beaucoup… notre intimité, notre liberté…
- Tu en sais quoi ? Il faut prendre des risques parfois…
Mais Zoro vit bien que Sanji était perturbé. Il l’embrassa avec une tendresse inouïe, qui surprit Sanji. Lui tenant le visage, le pouce sous le menton, il murmura à son cuisinier blond :
- Ca n’altèrera en rien mes sentiments.
Sanji s’endormit dans ses bras, contre lui.
***
Le lendemain, Zoro n’obligea pas Sanji à aller au devant de Luffy. En fait dès le départ ils en furent incapables.
- Aaaaaaace !!
- Comment va, Frérot ! Salut, l’équipage !
- Coucou !
- Ca va, Ace ?
Zoro regarda Sanji qui haussa les épaules.
- On verra plus tard…
- Hm…
Ace souriait, jovial, serrant les mains, embrassant les femmes.
- Jolis petits lots dans ton équipage ! sourit le brun au chapeau.
- Charmant… soupira ironiquement Robin.
- Cochon ! grommela Nami.
Ace serra la main de Sanji et de Zoro.
- Ah, la vache ! J’ai la dalle. Cuistot, tu me prépares un truc ?
- Volontiers !
Sanji se dirigea vers les cuisines sous l’œil malade de jalousie de Zoro. « C’est moi qui ai droit à un repas impromptu… »
Le Ace était un sacré luron, un déluré de première. Il mangeait comme un porc. Autour, Usopp, Franky et Brook étaient bien les meilleurs compagnons de beuverie, ceux avec qui Ace se sentait le plus en confiance. A ses côtés, son frère avec lequel il était toujours très tactile sans que jamais ça ne choque personne. Zoro était à la table aussi, mais silencieux, se contentant de donner le change. « Ouais, ouais, ok, je suis heureux aussi d’être à cette table, bon. » Dans sa ligne de mire, les fesses de Sanji qui dansaient ailleurs qu’entre ses mains, sur sa bite fièrement levée. Zoro imaginait Sanji en sueur sur son pénis, le prenant en entier dans le derrière, gémissant, pleurant « Qu’il est gros, qu’il est gros, hm ! » et finalement se masturbant, la tête renversée, la bave aux lèvres, criant le nom de Zoro…
- Zoro ! Tu veux encore de la bière ?
- … Ouais, ouais, sûr, Usopp, sûr.
***
- Maintenant !
- Zoro, non…
- Ce sera le seul moment ! Sanji…
- Quand même…
- C’est toi qui le voulait à la base !
- Non, je voulais qu’on forme un couple qui sache bien qu’il en est un !
- Alors allons-y maintenant !
La fête battait son plein, tout le monde était saoul ou bien pompette, sauf Zoro et Sanji qui avaient passé leur temps à se regarder. Ace et Luffy étaient allés se balader, et Zoro avait décidé de saisir cette occasion pour converser avec leur capitaine.
- Je suis stressé… geignit Sanji.
- Y’a pas de quoi… C’est Luffy, il est compréhensif.
- Peut-être pas tant que ça…
- Prenons le risque. Sinon… ça vaut pas le coup !
Sanji regarda Zoro en souriant.
- Toujours le bon mot, hm ?
Ils passèrent devant la cabine du capitaine. La lumière du hublot de la porte était allumée. Les deux se regardèrent et plissèrent les yeux. Ils jetèrent un regard très discret par le hublot… et écarquillèrent les yeux de surprise.
- Oh mon…
- Ouah…
Ace était tout simplement en train d’être allègrement sucé par son jeune frère qui avait saisi son imposant membre courbé pour se l’enfourner dans la bouche.
- Hmmmm…
- Luffy, tu fais ça comme un dieu.
- Je suis assez bon pour toi ?
Il léchait le pourtour du gland. Ace sourit en gémissant.
- Personne sur mon bateau ne te surpasse, frérot.
- Ta queue est si bonne, Ace… Un délice.
- Continue, mon tout beau, tu fais ça très bien… oh…
- Préviens-moi quand tu jutes.
- Peut-être, peut-être pas…
Sanji et Zoro s’éloignèrent du hublot.
- Bordel ! Luffy est pire que nous !! grogna Zoro.
- Tu m’étonnes, quelle salope !
- Ace est bien monté n’empêche…
Sanji écarquilla l’œil. Zoro dressa les mains en barrière.
- … mais rien de comparable à toi, Sanji !
- Mouais…
- Dis pas ça, t’as aimé aussi ! T’as regardé ça avec plaisir !!
- … un peu ! Mais le côté truc entre frères…
- … on regarde encore ?
- Zoro !! C’est notre capitaine !
- Et… alors ?
Les deux regards insidieux arrivèrent juste au moment où Ace léchouillait le derrière de leur capitaine. Le futur seigneur des pirates aimait qu’on lui humecte le fion à coups de langue, la plus indiscrète possible.
- Hoooooaaaaaaan Aaaaaace…
- Ne boude pas ton plaisir, petit frère. Laisse-moi t’envoyer au septième ciel.
Zoro regarda Sanji.
- Tu crois qu’ils vont aller jusqu’au bout ?!
- Ils sont nus, Ace lui mange le fond des fesses, nan, ils vont fumer un cigare et manger des clémentines, maintenant !
- … sourcil bouclé… grommela Zoro.
- Marimo… rétorqua Sanji.
- T’as envie aussi ?
- Ouais mais c’est ni le moment ni l’endroit…
- Je bande, tu peux pas savoir…
Nouvelles indiscrétions vers le couple. Ace a empoigné son sexe et le tapote contre les fesses de Luffy.
- Prêt, frérot ? Tu te sens prêt à embarquer ?
- Allez, Ace ! Vas-y, j’attends plus que ça, moi !
Ace se saisit des fesses de Luffy et y enfonça son énorme queue. Luffy geignit ostensiblement.
- Oh, Ace…
- Toujours aussi bon, hein ? Tu as hérité du meilleur fruit du démon pour la pratique de la sodomie…
- Merci de me détendre cette zone… C’est tellement bon… Personne n’oserait le faire…
- Heureusement tu as un gentil frère. Dire que je fais ça depuis qu’on est mômes.
- Tu te rappelles, Dadan disait que j’étais sale de demander qu’on me détende les fesses…
- … et moi je t’ai bien aidé, non ?
- Oh que oui. Plus fort, Ace…
Ace continua à copuler frénétiquement avec son frère qui appréciait qu’il lui « détende les fesses ». Sanji et Zoro saignaient du nez.
- Depuis… qu’ils sont gamins ?
- C’est super bandant… grogna Zoro.
- … Ca devrait pas l’être…
- Non, mais ça l’est…
Luffy semblait vraiment apprécier. Ace le souleva et lui donna des coups de plus en plus forts alors que le capitaine criait sa joie d‘être ainsi pris par son cher frère. Sanji et Zoro décidèrent de s‘éloigner à ce moment là pour aller à leur cabine, histoire de mettre en pratique les visions de ce soir.
***
Le lendemain, Ace était toujours sur le bateau. Comme il ne portait qu’un short, c’était facile de voir qu’il avait bien profité de sa nuit. Sanji était très gêné de lui faire la cuisine alors qu’il attendait, seul.
- Alors, Sanji ? Les femmes ?
Sanji haussa les épaules.
- Ca va, ça va.
- Parce qu’en parler c’est bien beau, mais tu dois les faire grimper au plafond, nan ?
- … ça arrive. J’ai pas trop de temps à moi, tout ça.
- Allez, tu te tapes Nami, hein ? Elle doit être bien bonnasse. Elle a un cul à se damner pour…
Sanji prit une grande inspiration.
- Eh bien…
- Robin a l’air bien sex, elle aussi. Elle doit savoir y faire, tu sais, l’âge, l’expérience…
- Tu es bien irrespec…
- Et Zoro, alors, ça baigne ?
Sanji lâcha ses ustensiles.
- Franky m’a dit que vous partagiez une chambre. L’équipage entier sait que vous êtes pas nets.
- …
- Alors moi, j’en tire les conclusions.
- … de quel droit tu parles alors que…
- Alors que je me tape Luffy ?
- …………..
- Je vous ai vus, hier. Vous êtes pas discrets.
Sanji était trop embarrassé. Il devait sortir de la cuisine. Ace lui barra la route.
- Luffy comprendrait. L’équipage arrêterait de supputer si vous avouiez tout.
- …
Les yeux de Sanji s’embuèrent de larmes.
- T… Tu ne peux pas comprendre…
- … Dis-moi, Sanji. Vide ton sac.
- Lui dire que je l’aime et ensuite être incapable d’imaginer la suite alors que lui l’a anticipée bien avant… Je me suis senti si bête, si insuffisant pour lui…
Ace ferma la bouche de Sanji d’un doigt posé sur ses lèvres.
- Toi et lui, ce que vous vivez, c’est unique. Vous le vivez différemment, c’est tout. Ne te blâme pas d’avoir seulement pensé à l’aspect romantique. Lui est plus pragmatique que toi, c’est tout.
- …
- Luffy comprendra. Je t’assure. Au pire je l’y obligerais à coups de pine.
- … inutile d’être aussi grivois…
- Je sens pourtant que tu bandes sec.
- Ca ne sert à rien. Mon cœur est à Zoro. Tu peux me faire bander autant que tu veux, je resterais fidèle à l’homme que j’aime.
- Je sais, je sais. Tu ne perds rien pour attendre.
- Hmph…
Ace sortit de la cuisine. Sanji poussa un long soupir.
***
Luffy cligna longuement des yeux. Zoro regarda Sanji, étonné par sa nouvelle confiance en lui.
- Tu as bien compris, Luffy, moi et Zoro… avons des relations sexuelles. Nous sommes plus qu’amis, nous sommes un couple.
- … aaaaaaaaaaaah ! Ok ! Vous vous détendez les fesses, quoi !
Zoro voulait rire, mais il regarda Sanji qui lui fit signe que non. « Après si tu veux, mais ne gâche pas la solennité de ce moment !! »
- Vous en faites pas, je garderais le secret ! Moi aussi j’aime me faire détendre les fesses de temps en temps ! Mais chuuuut !
- Ok…
- On voulait juste que tu le saches…
- C’est cool ! Faites ce que vous voulez !
Luffy partit en chantonnant. Zoro pouffa un peu. Sanji plissa les yeux.
- Mais, euh… quand il suce Ace, il a conscience que ça ne participe en rien à détendre ses fesses ?
- Arrête, je suis à deux doigts d’exploser de rire…
Ce qu’ils firent finalement tous les deux, de bon cœur. Quand ils eurent fini, leurs regards se croisèrent. La confiance était retrouvée, l’équilibre remis en place. Un tendre baiser eut lieu, aux visu de tout l’équipage qui esquissa un sourire du genre « J’en étais sûr ». Sauf Usopp qui était stupéfait.
***
- Quelle bonne journée…
- Hmmm je t’aime…
Zoro et Sanji étaient l’un sur l’autre à s’embrasser tendrement, à se câliner, à s’aimer de la façon la plus tendre et la plus amoureuse qu’ils pouvaient exprimer. Le sabreur était heureux de pouvoir aimer son cuisinier sans se soucier des autres. Sanji quant à lui était content que ses sentiments et ceux de son partenaire étaient enfin révélés au grand jour à l’un comme à l’autre. C’est en harmonie qu’ils étaient désormais, plus seulement dans une frénésie sexuelle.
- Tu as la peau si douce… J’avais jamais remarqué… marmonna Zoro.
- Toi tu es chaud et confortable… J’adore dormir contre toi…
La porte s’ouvrit, surprenant les deux amants. Ils virent la silhouette d’Ace. Zoro haussa les sourcils. Ace s’envoya une pinte de bière.
- Y’a de la place ?
- …
Zoro regarda Sanji. Les deux haussèrent les épaules. Ace entra et ferma la porte derrière lui.
- Luffy dort comme une pierre…
Sanji et Zoro remarquèrent bien vite qu’Ace était nu et que son sexe était tendu face à lui. Les deux s’écartèrent pour laisser le jeune homme s’étendre avec eux.
- Je lui ai bien détendu les fesses…
- Je vois… sourit Zoro.
- Tu viens détendre les nôtres ? sourit Sanji.
- Ca dépend…
Ace toucha ses deux nouveaux amants, au torse puis au ventre.
- Vous êtes beaux tous les deux… Dire que j’ai failli me faire Sanji aujourd’hui… J’ai droit à un baiser ?
Sanji s’avança et embrassa Ace à pleine bouche. Zoro se plaça derrière le Logia du feu et lui caressa les hanches.
- Mmmm… Zoro, si tu veux me faire les fesses… et toi Sanji…
Les deux s’accroupirent et commencèrent à lécher ce qui leur tombait sous le nez. Ce faisant, ils veillèrent bien à se masturber mutuellement. Ace les regarda, tout sourire.
- Vous êtes fous l’un de l’autre, hein ? Pas moyen de vous séparer ?
Ce fut une nuit de folie. Ace devait repartir le lendemain et voulait s’amuser avant de partir. Ils firent tout ce qui était possible : Sanji et Zoro commencèrent par faire l’amour devant un spectateur fasciné et aux mains bien remplies par son propre pénis. Ace avait visiblement apprécié le spectacle, il se jouit dessus en grands jets liquides. Sanji et Zoro étaient honorés d’être aussi excitants. Ayant eux-mêmes pris leur pied, ils remercièrent Ace par un baiser goulu à trois. Ace sourit et regarda Zoro.
- Tu te sens d’attaque pour que je te la mette ?
- A ta guise.
Ace chevaucha Zoro comme ce n’était pas permis. Sanji observa le spectacle, étonné, fasciné et un peu jaloux. Quand Ace se retira, Sanji vint prendre sa suite. Zoro était pleinement satisfait. Plus encore quand ce fut au tour de Sanji de les recevoir, l’un après l’autre, puis les deux en même temps.
- J’ai essayé avec on équipage, j’avais vraiment le cul en feu. Sans mauvais jeux de mots ! sourit Ace. Tu es sûr de vouloir tenter, Sanji ?
- Ouais, ouais…
Sanji hurla. Littéralement. Sentir deux énormes queues en lui, c’était trop. Zoro était aux anges. Dans le cul de Sanji, se frottant à Ace non sans délectation… C’était d’une sensualité et d’une chaleur humaine inouie. Ace en profitait pour peloter Zoro qui n’en demandait pas tant. Pendant ce temps, Sanji souffrait à cause de son anus ainsi tendu. Ces deux bites coulissaient avec délectation et difficulté. Sanji était déjà étroit comme garçon, mais là c’était trop.
- A moi ! A moi ! Sautez-moi l’un après l’autre !
Ace écarta les jambes, allongé sur le dos. Sanji passa le premier.
- Tu m’as bien défoncé le cul, je vais te rendre la pareille, petit salopard !
- J’attends que ça, cuistot !
Sanji provoqua à Ace des plaisirs dont il n’avait pas idée. Le cuisinier savait y faire, et avec quelle tendresse, quelle célérité. Zoro en profita pour se faire sucer par le capitaine aux poings ardents.
- Je préfère que tu me suces. Sanji est trop investi dans ton cul pour que je passe après lui.
- Ca se tient.
Ace passa en levrette, enfourché sur Sanji qui cognait contre ses fesses, avide de jouissance et soucieux de rendre à Ace ce qu’il lui avait fait subir avec cette double pénétration.
- Aaaaah oui Sanji !!! Ta queue est parfaite…
- On me le dit souvent, ouais…
- C’est bon, tellement bon…
Zoro n’était pas en reste. Ace était un sacré joueur de flute. Il lui pompait le membre avec un grand professionnalisme.
- Ca se sent que tu as l’habitude, tâches de rousseur…
- Tu plaisantes ? Je suce à tire-larigot ! Même Luffy en redemande ! La meilleure tailleuse de pipes de Grandline c’est moi !
- Titre mérité… ouh…
- Savoure, mon beau, je te la prends en profonde…
Ace absorba la tendre et longue pine de Zoro qui sourit de contentement. Oui, il savait s’y prendre. Sanji continuait à labourer le fion de leur amant.
Cette nuit-là, ils échangèrent beaucoup de sperme. Chacun avait le cul bien rempli. Aucun n’avait été épargné. A l’endroit, à l’envers, soixante-neuf torride, triangle sans bermuda, petit train… Ace était un démon du sexe, il connaissait tout ce qu’il y avait à y connaître. Comme il l’avait expliqué à Sanji et Zoro un peu plus tard, lui et Luffy avaient commencé très jeunes. Il leur raconta pour Sabo, leur troisième frère, qui avait aussi été le premier amour d’Ace. Il expliqua aussi à ses deux compagnons que Luffy avait des propriétés intéressantes pour le sexe, notamment le fait qu’en donnant des coups de hanche, il faisait inconsciemment partir son sexe en avant et en arrière, ce qui faisait de lui le meilleur dominant pour la sodomie qu’il ait connu. Il leur expliqua ensuite comment il avait imposé sa loi dans sa division et avait fait du sexe avec ses matelots une phase obligée. Ace était un petit con qui voyait la vie comme un jeu où le sexe était une récompense. Quand Sanji osa demander s’il avait couché avec Barbe Blanche, Ace secoua la tête.
- Trop grand. C’est pas une bite qu’il a, c’est un pilier ! Je l’ai déjà vu se faire sucer par six femmes, aucune ne le prenait en bouche !
A propos de sucer, Zoro et Sanji sucèrent Ace à deux, léchant son sexe comme jamais il n’avait été léché. Le sperme sortit en jets rapides et puissants. Ace rugit presque de plaisir, tant il était satisfait.
- Ca, j’ai appris à la faire avec le temps…
L’auto fellation ! Zoro et Sanji n’en crurent pas leurs yeux. Ace pouvait mettre son sexe dans sa propre bouche. Une pratique étonnante qui surprit les deux nakamas de Luffy. Sanji en profita pour mettre quelques doigts dans l’anus d’Ace pendant que Zoro lui pourléchait les testicules.
La soirée se poursuivit sous la douche où Ace fut violemment pris par ses amants de cette nuit. Il leur ordonna par la suite de lui uriner dessus. Plus dégoûtés qu’autre chose, ils s’exécutèrent. Ace sourit en recevant leurs doux jets de pisse sur son corps.
- Les gars, vous êtes les meilleurs…
Ils se couchèrent tous trois ensemble. Ace leur raconta comment il avait couché avec le Marine Smoker. Capturé, il avait le choix : Avouer ou mourir. Il choisit de caresser la braguette de l’homme qui l’interrogeait avec son pied. Cela s’acheva en une partie endiablée de sexe sauvage. Smoker était par la suite devenu un amant récurrent. « Un pot de colle plutôt, oui ! Toujours à me poursuivre pour me baiser. Je l’ai vite largué. Bon coup mais lourdingue. »
- Comment tu fais pour ne pas te transformer en feu pendant qu’on…
Ace sourit et montra une gourmette en granit marin.
- Ah…
- Tout s’explique… acquiesça Zoro.
Ace se releva.
- Les gars, j’ai été heureux de coucher avec vous, c’était super ! Mais faut que j’y aille avant que votre équipage se réveille. Et comme j’ai la bite à l’air…
- Et quel morceau…
- A coup sûr c’est une belle pièce… Peut-être même le One Piece ! ricana Zoro.
Ils éclatèrent de rire tous ensemble. Ace partit en saluant ses délicieux amants. Une fois la porte fermée, Zoro regarda Sanji, heureux.
- Malgré ça, tu restes unique pour moi.
- Evidemment, abruti ! Tu pensais vraiment que j’allais t’oublier à cause d’un plan fesses ?!
- Non, mais… T’as pris ton pied, plus que moi, je crois ! admit Zoro.
- … vaut mieux entendre ça que d’être sourd… grommela Sanji.
Sanji s’alluma une clope, alors que Zoro se blottit contre son adoré.
- Excuse-moi, Sanji.
- C’est rien. Reste contre moi. J’aime bien. Ca prouve que tu es différent d'Ace. Que tu restes près de mon coeur malgré tout.
Zoro ne s'endormit jamais aussi bien que ce soir là.
- Ca va, Marimo ?
Sanji releva la tête et regarda son Zoro, qui lui lança un regard en coin, un regard d’une douceur difficile à imaginer chez le sabreur.
- L’entrainement, tout ça. La crainte aussi. Pas envie qu’il y ait des soupçons…
- Le hamac est là pour ça.
- Quand même. Usopp fait quelques blagues de temps en temps, j’aime pas trop ça.
- On s’en moque. Ca fait quatre mois, ça marche très bien, ça ne gêne pas le travail d’équipe…
- Alors pourquoi tu t’éloignes du groupe quand on bouge ? Tu fais ça souvent.
- Parce que… J’aime agir seul ! Je suis cool ! sourit Sanji.
Zoro ricana doucement, sachant bien que c’était faux. Les peurs que Zoro osait exprimer, il savait bien qu’elles existaient chez Sanji mais qu’il prenait toujours tout du bon côté, et n’exprimait jamais ce qu’il pouvait penser. Le plus froid des deux n’était pas celui qu’on pouvait penser.
Quatre mois, donc, qu’ils vivaient en « Co-cabinage ». Mais c’était devenu plus que ça. A la base, Zoro avait développé la mauvaise habitude de manger après tout le monde suite à une sieste post-entrainement de plus en plus décalée. Les entrainements nocturnes de l’homme aux cheveux verts n’avait rien arrangé à ces siestes déplacées. Il mangeait donc à des heures impossibles et Sanji en avait plein le dos. Mais à un point qu’il en butait des objets au hasard sur le Sunny, perturbant profondément la vie de l’équipage. Robin retrouvait souvent la chaise sur laquelle elle lisait renversée. Chopper voyait son matériel régulièrement déplacé, ou ses sacoches mises en désordre. Luffy ne s’y retrouvait plus dans le garde-manger. Franky perdait ses outils. Nami voyait ses cartes mélangées et ses instruments de navigation à des endroits insoupçonnables. Tout ça à cause d’un repas supplémentaire.
Sanji avait fini par prendre Zoro entre quatre yeux dans la cuisine, seuls à seuls.
- Tu me gonfles, Marimo de mes deux ! J’en ai ma claque de cuisiner pour ton cul de feignasse !
- T’es pas content, tu me fais pas à manger, c’est tout, j’me ferais à bouffer tout seul !
- On vit en communauté, connard ! Tu sais qu’il y a des règles à respecter, c’est tout !
- Va chier.
- Toi, va chier ! C’est quoi cette réponse ?! Tu te fous de moi ?
- Je fais ce qui me chante. Je suis obligé de m’entrainer. Luffy ne m’a pas réprimandé, t’es pas mon supérieur, t’es juste le cuisinier, monte pas sur tes grands chevaux !
- C’est moi qui te fais ta bouffe alors écrase un peu, salopard !
- Ah ouais ?
- Ouais !
- C’est toi qui va t’écraser !
- Tu vas me faire quoi, hein ? Tu vas lever la main sur moi ? Tu vas seulement oser ?
La tension était à un tel point qu’ils s’embrassèrent fougueusement et que ce jour là, dans une indifférence totale du reste de l’équipage, par chance pour eux, ils firent l’amour derrière un meuble d’appoint dans la cuisine. Zoro était sur Sanji qui était dos au parquet, les jambes en l’air et écartées, savourant avec un délice sans nom le braquemart de Zoro qui le pénétrait sans discontinuer, d’avant en arrière. Zoro était peut-être un type bourru mais c’était un dieu de l’amour. Le cuistot maniéré appréciait de sentir cette chaleur dominatrice. Il n’avait jamais été contre un peu d’amour masculin, une part de lui qu’il cachait par un amour démesuré des femmes, qu’il aimait aussi, mais Zoro c’était différent : Il était accessible, et il était passé à l’acte. Leur dispute était si idiote et inutile que toute l’électricité entre les deux s’était transformée en un désir profond d’actes charnels sauvages. La tâche qu’ils firent sur le parquet ce jour là, mélange de sueur et de sperme, fut expliquée plus tard comme un accident de Sanji avec de la sauce.
Et depuis, tout avait changé. Sanji faisait à manger à son Zoro sans grogner et mangeait même avec lui. Parfois simplement manger, parfois cela se finissait en fellation sous la table. Tout le monde s’étonnait de la « disparition » de Sanji pendant ces instants où le cuisinier faisait du bien à son escrimeur d’amour, lui léchant et lui suçant avec attention son membre dont le goût était digne de ses papilles délicates. La braguette de Zoro était grande ouverte, laissant sortir son imposant engin que Sanji manipulait avec précaution et douceur. Un bon moment pour Zoro qui appréciait chaque seconde. Son éjaculation n’était qui plus est jamais perdue et nourrissait un affamé qui n’y rechignait jamais.
Pour habiter dans la même chambre, Zoro avait dû prétexter un souci d’entrainement. Il avait en effet mis à sac sa chambre en sabrant mur et sol, transformant l’endroit en capharnaüm inhabitable. Et Franky ne voulait pas la retaper. Il avait sermonné le Zoro (Qui s’en foutait éperdument, n’ayant jamais eu d’opinion sur ce type bizarre toujours en slip) et lui avait dit de crécher chez quelqu’un d’autre. Bingo, Zoro avait choisi d’habiter chez le Sanji qui l’accueillit en grommelant faussement. Le premier soir, ils burent le champagne au lit et Zoro lui avoua qu’il l’aimait plus que pour le sexe. Cela avait touché le cuistot qui avait accepté que leur relation prenne plus de sens et de profondeur.
C’était étrange pour les deux. Une nuit, après de sauvages ébats, Sanji avait demandé à Zoro s’il était homosexuel. Ce à quoi le sabreur a répondu qu’il se moquait de ce genre de choses et qu’il ne se rangeait nulle part. Sanji avait souri mais la question était restée en suspens dans son esprit. Plus comme un questionnement que comme autre chose. En fait il voyait Zoro comme un être mystérieux. Et ça lui plaisait. Là où les autres voyaient un beau jeune homme ténébreux, Sanji voyait un homme séduisant qui savait tout le sens du mot « privé ».
Les situations pour avoir quelque rapport sexuel se multipliaient. Parfois en pleine sortie, ils se prenaient à part l’un et l’autre et s’adonnaient à des sessions, cachés de façon parfois sommaire. Il fallait les voir cachés sous un pont, Zoro enfonçant son sexe entre les fesses de son amant pressé qui n’avait qu’une envie : Sentir son adoré lui remplir l’arrière-train et lui mener la vie dure aux yeux de n’importe qui qui passerait par là. Et ce jour là, Sanji n’avait jamais autant joui, la situation était tellement excitante… D’autres fois, Sanji saisissait l’entrejambe de Zoro alors que le groupe entier pouvait les surprendre. Zoro avait toujours un sourire vicieux après cette pratique, et surtout une gaule d’enfer. Il n’avait qu’une envie ensuite, c’était de rendre à Sanji ce qu’il n’avait certainement pas volé.
La relation était certes très sexuelle mais les petites attentions du quotidien n’étaient pas absentes. Sanji déposait régulièrement une assiette sur le lieu de l’entrainement de Zoro qui lui rendait son sourire. Zoro aidait parfois Sanji à débarrasser la table, quand les autres étaient inattentifs par exemple. De même, autant que faire se pouvait, l’un prenait le parti de l’autre aussi souvent que possible lors des débats de groupe. Le tout accompagné d’un regard complice.
Sanji brûlait des regards chauds comme la braise de Zoro. Des regards qui disaient « Baisse ton froc, on y va », le plus souvent. Du moins c’est ainsi que Sanji le voyait. Zoro quant à lui, savait ce qu’il y avait derrière la mèche de son cuisinier, et trouvait cela très mignon. Il disait souvent à Sanji qu’il était beau, ce que Sanji prenait comme une preuve que Zoro avait une attirance réelle pour lui et pour les hommes en général.
- Je te fais un petit massage ?
- S’il te plait.
Zoro se déshabilla. Nu, il s’allongea sur le ventre et laissa Sanji lui grimper dessus, à califourchon. Bien sûr il arrivait que Sanji soit le dominant. Mais c’était plus rare. Et quand bien même, ce soir, Sanji sentait que Zoro n’était pas très chaud. Il commença donc par un massage sensuel. Zoro lança un regard en coin pour regarder Sanji. Le blond était nu. Ses fesses étaient posées sur celles de Zoro, ses testicules fraichement épilées s’alignaient délicatement en un sac gracieux et délicieux. Le pénis de Sanji était particulièrement beau, au repos comme en érection. Le gland sortait dans son entièreté du fourreau de peau, montrant toute la splendeur de sa forme régulière et agréable, et sa couleur rosée si attirante à l’œil et à la bouche. Ce sexe était particulièrement courbé, avec une certaine finesse sur la fin. Un sexe de toute beauté. Là où celui de Zoro était gros, veineux et dur, un sexe bourrin, celui de Sanji représentait bien son possesseur : Doux, viril et délicat. Zoro eut son sourire vicieux des grands jours alors que Sanji le relaxait.
- Mmmm… N’hésite pas…
- C’est juste un massage.
- Il y a encore du lubrifiant ?
- Hm, sûrement.
- Masse-moi tout en me la mettant.
Sanji acquiesça et chercha d’une main habile le pot de lubrifiant. Ce pot était un vrai problème pour eux. Ils se relayaient pour en acheter assez régulièrement, il était difficile à cacher, plutôt voyant car bleu et c’était tellement inhabituel comme produit qu’ils étaient regardés bizarrement par les civils qui les voyaient en acheter. Même indépendamment.
Sanji massait Zoro d’une main, et lubrifia son anus de l’autre. Sanji aimait les fesses de Zoro qui étaient fermes et musclées, alors que les siennes étaient fines et assez écartées du fait de sa maigreur. De plus la souplesse de Sanji lui avait fait des fesses très plates et osseuses.
Zoro écarta légèrement les jambes pour laisser Sanji lui glisser ses longs doigts fins à travers son anneau rose. Les offensives du blond eurent vite raison de la sacrosainte rondelle qui céda rapidement à quatre doigts habiles. De l’autre main, Sanji caressait le dos de son amant.
- C’est moi ou tu as encore bruni ?
- Ca te plait ?
- Beaucoup. J’aime quand tu es bien bronzé.
- C’est pour toi que je cultive ça !
Sanji sourit et lubrifia son propre sexe. Le souci c’est qu’il adorait se masturber et cela depuis son plus jeune âge. Se lubrifier était donc à quelques encablures de le faire éjaculer. Il en gémissait d’avance.
- Sanji…
- P… Pardon.
- J’aime t’entendre gémir mais quand même ça me rend jaloux de ta main droite, tu sais.
- Tu vas morfler pour avoir osé dire ça…
- J’espère bien…
Sanji s’enfonça dans les chairs. Il poussa un soupir rauque de contentement. Zoro souffla par les narines.
- J’adore ta queue…
- Et moi j’adore ton cul, on se complète bien, rétorqua malicieusement Sanji.
- Défonce-moi, on verra si on se complète.
Zoro leva légèrement les fesses et écarta un peu les jambes. Sanji passa à l’attaque. Zoro ne pouvait retenir de francs cris de plaisir. Sanji savait y faire. Il pénétrait Zoro comme personne d’autre n’eut pu le faire. Son sexe de bonne taille et forme glissait dans l’agréable fourreau chaleureux et accueillant. Zoro sentait qu’il touchait son point sensible. L’escrimeur força vers l’arrière pour que le cuistot s’y attèle un peu plus.
- Pa…a… tience… Marimo… J’y… travaille… hng…
- P… Plus fort, aaah…
Ejaculation. Le cuisinier avait joui, tapissant l’intérieur de Zoro d’une laitance chaude et fertile. Zoro se plaqua à lui, lui interdisant d’arrêter. Il s’était levé, tendant la queue de Sanji à la verticale.
- Plus… plus… plus… geignit Zoro.
- Salaud, je suis vanné…
- Et moi donc…
Ils s’embrassèrent comme des animaux alors que Sanji s’efforçait de relancer son sexe pourtant vidé. Ses coups de butoirs étaient insupportables pour lui car il dépassait sa propre jouissance. De plus, le sexe ainsi levé était recouvert par la semence dégoulinant du cul encore rempli de Zoro. L’escrimeur apprécia cette sensation.
- J’en ai plein les jambes…
- Et moi plein les couilles…
Sanji s’empara du sexe de Zoro tout en appuyant la tête sur l’épaule de ce dernier qui lui léchait la mâchoire. Le sabreur leva la tête vers l’arrière, terrassé par le bonheur.
- Hoooo… c’est tellement…
Sanji lâcha le sexe de Zoro et se concentra sur son offensive sexuelle. Il percuta le fond du rectum de Zoro qui grogna de plaisir.
- Ahn Sanjiiii…
- J’te finis et ensuite tu me fais, ok ?
- Avec joie.
Sanji lâcha sa deuxième purée au fond de Zoro, et cette fois-ci il cessa ses mouvements, épuisés.
- Tu m’as tué…
- Ne t’en fais pas mon tout beau, ça va être ta fête…
- J’espère bien…
Et il n’eut pas à espérer. Zoro y alla fort, prenant Sanji en levrette, sa position préférée. Ainsi dominé, Sanji sentait tout le pouvoir de Zoro. Parfois, il le retournait en missionnaire pendant l’acte même. Zoro et Sanji pouvaient alors voir à quel point, l’un encastré dans l’autre, ils devenaient fous.
- Oh oui…
- C’est bon, putain, c’est tellement bon… geignit Sanji.
- Tu es tellement bon…
- C’est toi, c’est toi…
- J’y vais à fond, ok ?
- T’étais pas à fond ?
- Tu me prends pour qui ?
- Oh Zoroooo…
Zoro y alla à fond, dévastant Sanji de l’intérieur. Il éjaculait au moins quatre fois par session. De son anus béant coulait toujours le sperme de Sanji. Zoro le laissait couler et poussait même pour l’expulser. Il adorait la sensation de s’expurger ainsi du jus d’amour de son ami. Sanji caressait et embrassait le dos et le cou de Zoro, éperdu d’amour et de reconnaissance. Quand Zoro le pénétrait, il était dans un autre monde. Zoro avait ce pouvoir. Il était le seul à pouvoir sauter Sanji de la sorte, le seul à l’enculer comme il fallait, avec force et douceur. Quand cette bonne et grosse queue passait dans son muscle anal si délicat, Sanji entrait au paradis. Chaque jet de sperme en lui était une caresse divine.
- Hmmmph… Hhhhh… Ouiiiiii…
- Tu en veux plus, salope ?
- Inonde-moi, je suis ta pute !
Cela devenait chaque fois plus bestial. Zoro était sur Sanji, allongé sur le dos, pénétré comme une bête, les cris allant avec. Zoro voulait du plaisir, Sanji de même. En cela au moins ils s’étaient trouvés. Quand cela s’arrêtait, ils restaient l’un dans l’autre un moment, immobile.
- Elle est molle, je suis vidé.
- C’était tellement… super… souffla Sanji.
- C’est toi qui me rend meilleur à chaque fois.
- Je t’aime.
Zoro s’étonna et regarda Sanji.
- …
- … quoi ?
Quoi, quoi ? C’était la première fois que c’était dit aussi explicitement, aussi crûment. Enfin, parler de cru après une telle séance de sexe pur, c’était quelque peu idiot.
Zoro se releva, se détachant de Sanji. Il le regarda.
- Tu… m’aimes ?
- … oui, enfin, je pensais que c’était évident. Je suis… amoureux. De toi.
- …
- Enfin je sens… qu’il y a un lien, que notre couple vaut quelque chose.
Le blond déplia les jambes et s’assied face à Zoro qui évita son regard.
- C’est-à-dire que…
- Quoi, qu’est-ce qu’il y a ?
- C’est compliqué…
- Zoro…
- Comment te dire… On… On ne fait pas vraiment l’amour comme un couple d’amoureux, tu vois… Je tendais à penser que notre relation était plus sexuelle qu’autre chose. De là à… penser qu’on forme un couple véritable…
Sanji grimaça et pencha la tête.
- Attends, c’est bien toi qui m’a dit que tu m’aimais plus que pour le sexe ! C’était lors de notre première soirée !
- Certes mais je suppose que… tu vas vouloir qu’on se dévoile à tout le monde ?
- Pas forcément.
- Alors ça ne vaut pas le coup ! souffla Zoro.
Sanji s’étonna.
- Hein ?!
- Bah… si tu veux vraiment qu’on… Il faut au moins l’avouer au capitaine. A Luffy ! Qu’on officialise en quelque sorte.
- Oh je t’en prie ! Il sait à peine se la toucher pour autre chose que pipi ! On va le traumatiser en le lui annonçant !
- Sanji, je ne formerais un couple avec toi que si on annonce officiellement à Luffy, au moins à Luffy qu’on forme un couple.
Le blond grommela.
- Je voulais juste qu’on sache réellement l’un et l’autre où on en était !
- Je sais où j’en suis ! J’aime comme on se fréquente, j’aime nos parties de jambes en l’air, j’aime tes regards complices…
- Moi aussi ! Mais je veux plus !
- Alors on passe par Luffy ! Et comme ça tu auras plus.
Sanji sembla suppliant. Zoro plissa les yeux.
- Quoi ?
- On va y perdre beaucoup… notre intimité, notre liberté…
- Tu en sais quoi ? Il faut prendre des risques parfois…
Mais Zoro vit bien que Sanji était perturbé. Il l’embrassa avec une tendresse inouïe, qui surprit Sanji. Lui tenant le visage, le pouce sous le menton, il murmura à son cuisinier blond :
- Ca n’altèrera en rien mes sentiments.
Sanji s’endormit dans ses bras, contre lui.
***
Le lendemain, Zoro n’obligea pas Sanji à aller au devant de Luffy. En fait dès le départ ils en furent incapables.
- Aaaaaaace !!
- Comment va, Frérot ! Salut, l’équipage !
- Coucou !
- Ca va, Ace ?
Zoro regarda Sanji qui haussa les épaules.
- On verra plus tard…
- Hm…
Ace souriait, jovial, serrant les mains, embrassant les femmes.
- Jolis petits lots dans ton équipage ! sourit le brun au chapeau.
- Charmant… soupira ironiquement Robin.
- Cochon ! grommela Nami.
Ace serra la main de Sanji et de Zoro.
- Ah, la vache ! J’ai la dalle. Cuistot, tu me prépares un truc ?
- Volontiers !
Sanji se dirigea vers les cuisines sous l’œil malade de jalousie de Zoro. « C’est moi qui ai droit à un repas impromptu… »
Le Ace était un sacré luron, un déluré de première. Il mangeait comme un porc. Autour, Usopp, Franky et Brook étaient bien les meilleurs compagnons de beuverie, ceux avec qui Ace se sentait le plus en confiance. A ses côtés, son frère avec lequel il était toujours très tactile sans que jamais ça ne choque personne. Zoro était à la table aussi, mais silencieux, se contentant de donner le change. « Ouais, ouais, ok, je suis heureux aussi d’être à cette table, bon. » Dans sa ligne de mire, les fesses de Sanji qui dansaient ailleurs qu’entre ses mains, sur sa bite fièrement levée. Zoro imaginait Sanji en sueur sur son pénis, le prenant en entier dans le derrière, gémissant, pleurant « Qu’il est gros, qu’il est gros, hm ! » et finalement se masturbant, la tête renversée, la bave aux lèvres, criant le nom de Zoro…
- Zoro ! Tu veux encore de la bière ?
- … Ouais, ouais, sûr, Usopp, sûr.
***
- Maintenant !
- Zoro, non…
- Ce sera le seul moment ! Sanji…
- Quand même…
- C’est toi qui le voulait à la base !
- Non, je voulais qu’on forme un couple qui sache bien qu’il en est un !
- Alors allons-y maintenant !
La fête battait son plein, tout le monde était saoul ou bien pompette, sauf Zoro et Sanji qui avaient passé leur temps à se regarder. Ace et Luffy étaient allés se balader, et Zoro avait décidé de saisir cette occasion pour converser avec leur capitaine.
- Je suis stressé… geignit Sanji.
- Y’a pas de quoi… C’est Luffy, il est compréhensif.
- Peut-être pas tant que ça…
- Prenons le risque. Sinon… ça vaut pas le coup !
Sanji regarda Zoro en souriant.
- Toujours le bon mot, hm ?
Ils passèrent devant la cabine du capitaine. La lumière du hublot de la porte était allumée. Les deux se regardèrent et plissèrent les yeux. Ils jetèrent un regard très discret par le hublot… et écarquillèrent les yeux de surprise.
- Oh mon…
- Ouah…
Ace était tout simplement en train d’être allègrement sucé par son jeune frère qui avait saisi son imposant membre courbé pour se l’enfourner dans la bouche.
- Hmmmm…
- Luffy, tu fais ça comme un dieu.
- Je suis assez bon pour toi ?
Il léchait le pourtour du gland. Ace sourit en gémissant.
- Personne sur mon bateau ne te surpasse, frérot.
- Ta queue est si bonne, Ace… Un délice.
- Continue, mon tout beau, tu fais ça très bien… oh…
- Préviens-moi quand tu jutes.
- Peut-être, peut-être pas…
Sanji et Zoro s’éloignèrent du hublot.
- Bordel ! Luffy est pire que nous !! grogna Zoro.
- Tu m’étonnes, quelle salope !
- Ace est bien monté n’empêche…
Sanji écarquilla l’œil. Zoro dressa les mains en barrière.
- … mais rien de comparable à toi, Sanji !
- Mouais…
- Dis pas ça, t’as aimé aussi ! T’as regardé ça avec plaisir !!
- … un peu ! Mais le côté truc entre frères…
- … on regarde encore ?
- Zoro !! C’est notre capitaine !
- Et… alors ?
Les deux regards insidieux arrivèrent juste au moment où Ace léchouillait le derrière de leur capitaine. Le futur seigneur des pirates aimait qu’on lui humecte le fion à coups de langue, la plus indiscrète possible.
- Hoooooaaaaaaan Aaaaaace…
- Ne boude pas ton plaisir, petit frère. Laisse-moi t’envoyer au septième ciel.
Zoro regarda Sanji.
- Tu crois qu’ils vont aller jusqu’au bout ?!
- Ils sont nus, Ace lui mange le fond des fesses, nan, ils vont fumer un cigare et manger des clémentines, maintenant !
- … sourcil bouclé… grommela Zoro.
- Marimo… rétorqua Sanji.
- T’as envie aussi ?
- Ouais mais c’est ni le moment ni l’endroit…
- Je bande, tu peux pas savoir…
Nouvelles indiscrétions vers le couple. Ace a empoigné son sexe et le tapote contre les fesses de Luffy.
- Prêt, frérot ? Tu te sens prêt à embarquer ?
- Allez, Ace ! Vas-y, j’attends plus que ça, moi !
Ace se saisit des fesses de Luffy et y enfonça son énorme queue. Luffy geignit ostensiblement.
- Oh, Ace…
- Toujours aussi bon, hein ? Tu as hérité du meilleur fruit du démon pour la pratique de la sodomie…
- Merci de me détendre cette zone… C’est tellement bon… Personne n’oserait le faire…
- Heureusement tu as un gentil frère. Dire que je fais ça depuis qu’on est mômes.
- Tu te rappelles, Dadan disait que j’étais sale de demander qu’on me détende les fesses…
- … et moi je t’ai bien aidé, non ?
- Oh que oui. Plus fort, Ace…
Ace continua à copuler frénétiquement avec son frère qui appréciait qu’il lui « détende les fesses ». Sanji et Zoro saignaient du nez.
- Depuis… qu’ils sont gamins ?
- C’est super bandant… grogna Zoro.
- … Ca devrait pas l’être…
- Non, mais ça l’est…
Luffy semblait vraiment apprécier. Ace le souleva et lui donna des coups de plus en plus forts alors que le capitaine criait sa joie d‘être ainsi pris par son cher frère. Sanji et Zoro décidèrent de s‘éloigner à ce moment là pour aller à leur cabine, histoire de mettre en pratique les visions de ce soir.
***
Le lendemain, Ace était toujours sur le bateau. Comme il ne portait qu’un short, c’était facile de voir qu’il avait bien profité de sa nuit. Sanji était très gêné de lui faire la cuisine alors qu’il attendait, seul.
- Alors, Sanji ? Les femmes ?
Sanji haussa les épaules.
- Ca va, ça va.
- Parce qu’en parler c’est bien beau, mais tu dois les faire grimper au plafond, nan ?
- … ça arrive. J’ai pas trop de temps à moi, tout ça.
- Allez, tu te tapes Nami, hein ? Elle doit être bien bonnasse. Elle a un cul à se damner pour…
Sanji prit une grande inspiration.
- Eh bien…
- Robin a l’air bien sex, elle aussi. Elle doit savoir y faire, tu sais, l’âge, l’expérience…
- Tu es bien irrespec…
- Et Zoro, alors, ça baigne ?
Sanji lâcha ses ustensiles.
- Franky m’a dit que vous partagiez une chambre. L’équipage entier sait que vous êtes pas nets.
- …
- Alors moi, j’en tire les conclusions.
- … de quel droit tu parles alors que…
- Alors que je me tape Luffy ?
- …………..
- Je vous ai vus, hier. Vous êtes pas discrets.
Sanji était trop embarrassé. Il devait sortir de la cuisine. Ace lui barra la route.
- Luffy comprendrait. L’équipage arrêterait de supputer si vous avouiez tout.
- …
Les yeux de Sanji s’embuèrent de larmes.
- T… Tu ne peux pas comprendre…
- … Dis-moi, Sanji. Vide ton sac.
- Lui dire que je l’aime et ensuite être incapable d’imaginer la suite alors que lui l’a anticipée bien avant… Je me suis senti si bête, si insuffisant pour lui…
Ace ferma la bouche de Sanji d’un doigt posé sur ses lèvres.
- Toi et lui, ce que vous vivez, c’est unique. Vous le vivez différemment, c’est tout. Ne te blâme pas d’avoir seulement pensé à l’aspect romantique. Lui est plus pragmatique que toi, c’est tout.
- …
- Luffy comprendra. Je t’assure. Au pire je l’y obligerais à coups de pine.
- … inutile d’être aussi grivois…
- Je sens pourtant que tu bandes sec.
- Ca ne sert à rien. Mon cœur est à Zoro. Tu peux me faire bander autant que tu veux, je resterais fidèle à l’homme que j’aime.
- Je sais, je sais. Tu ne perds rien pour attendre.
- Hmph…
Ace sortit de la cuisine. Sanji poussa un long soupir.
***
Luffy cligna longuement des yeux. Zoro regarda Sanji, étonné par sa nouvelle confiance en lui.
- Tu as bien compris, Luffy, moi et Zoro… avons des relations sexuelles. Nous sommes plus qu’amis, nous sommes un couple.
- … aaaaaaaaaaaah ! Ok ! Vous vous détendez les fesses, quoi !
Zoro voulait rire, mais il regarda Sanji qui lui fit signe que non. « Après si tu veux, mais ne gâche pas la solennité de ce moment !! »
- Vous en faites pas, je garderais le secret ! Moi aussi j’aime me faire détendre les fesses de temps en temps ! Mais chuuuut !
- Ok…
- On voulait juste que tu le saches…
- C’est cool ! Faites ce que vous voulez !
Luffy partit en chantonnant. Zoro pouffa un peu. Sanji plissa les yeux.
- Mais, euh… quand il suce Ace, il a conscience que ça ne participe en rien à détendre ses fesses ?
- Arrête, je suis à deux doigts d’exploser de rire…
Ce qu’ils firent finalement tous les deux, de bon cœur. Quand ils eurent fini, leurs regards se croisèrent. La confiance était retrouvée, l’équilibre remis en place. Un tendre baiser eut lieu, aux visu de tout l’équipage qui esquissa un sourire du genre « J’en étais sûr ». Sauf Usopp qui était stupéfait.
***
- Quelle bonne journée…
- Hmmm je t’aime…
Zoro et Sanji étaient l’un sur l’autre à s’embrasser tendrement, à se câliner, à s’aimer de la façon la plus tendre et la plus amoureuse qu’ils pouvaient exprimer. Le sabreur était heureux de pouvoir aimer son cuisinier sans se soucier des autres. Sanji quant à lui était content que ses sentiments et ceux de son partenaire étaient enfin révélés au grand jour à l’un comme à l’autre. C’est en harmonie qu’ils étaient désormais, plus seulement dans une frénésie sexuelle.
- Tu as la peau si douce… J’avais jamais remarqué… marmonna Zoro.
- Toi tu es chaud et confortable… J’adore dormir contre toi…
La porte s’ouvrit, surprenant les deux amants. Ils virent la silhouette d’Ace. Zoro haussa les sourcils. Ace s’envoya une pinte de bière.
- Y’a de la place ?
- …
Zoro regarda Sanji. Les deux haussèrent les épaules. Ace entra et ferma la porte derrière lui.
- Luffy dort comme une pierre…
Sanji et Zoro remarquèrent bien vite qu’Ace était nu et que son sexe était tendu face à lui. Les deux s’écartèrent pour laisser le jeune homme s’étendre avec eux.
- Je lui ai bien détendu les fesses…
- Je vois… sourit Zoro.
- Tu viens détendre les nôtres ? sourit Sanji.
- Ca dépend…
Ace toucha ses deux nouveaux amants, au torse puis au ventre.
- Vous êtes beaux tous les deux… Dire que j’ai failli me faire Sanji aujourd’hui… J’ai droit à un baiser ?
Sanji s’avança et embrassa Ace à pleine bouche. Zoro se plaça derrière le Logia du feu et lui caressa les hanches.
- Mmmm… Zoro, si tu veux me faire les fesses… et toi Sanji…
Les deux s’accroupirent et commencèrent à lécher ce qui leur tombait sous le nez. Ce faisant, ils veillèrent bien à se masturber mutuellement. Ace les regarda, tout sourire.
- Vous êtes fous l’un de l’autre, hein ? Pas moyen de vous séparer ?
Ce fut une nuit de folie. Ace devait repartir le lendemain et voulait s’amuser avant de partir. Ils firent tout ce qui était possible : Sanji et Zoro commencèrent par faire l’amour devant un spectateur fasciné et aux mains bien remplies par son propre pénis. Ace avait visiblement apprécié le spectacle, il se jouit dessus en grands jets liquides. Sanji et Zoro étaient honorés d’être aussi excitants. Ayant eux-mêmes pris leur pied, ils remercièrent Ace par un baiser goulu à trois. Ace sourit et regarda Zoro.
- Tu te sens d’attaque pour que je te la mette ?
- A ta guise.
Ace chevaucha Zoro comme ce n’était pas permis. Sanji observa le spectacle, étonné, fasciné et un peu jaloux. Quand Ace se retira, Sanji vint prendre sa suite. Zoro était pleinement satisfait. Plus encore quand ce fut au tour de Sanji de les recevoir, l’un après l’autre, puis les deux en même temps.
- J’ai essayé avec on équipage, j’avais vraiment le cul en feu. Sans mauvais jeux de mots ! sourit Ace. Tu es sûr de vouloir tenter, Sanji ?
- Ouais, ouais…
Sanji hurla. Littéralement. Sentir deux énormes queues en lui, c’était trop. Zoro était aux anges. Dans le cul de Sanji, se frottant à Ace non sans délectation… C’était d’une sensualité et d’une chaleur humaine inouie. Ace en profitait pour peloter Zoro qui n’en demandait pas tant. Pendant ce temps, Sanji souffrait à cause de son anus ainsi tendu. Ces deux bites coulissaient avec délectation et difficulté. Sanji était déjà étroit comme garçon, mais là c’était trop.
- A moi ! A moi ! Sautez-moi l’un après l’autre !
Ace écarta les jambes, allongé sur le dos. Sanji passa le premier.
- Tu m’as bien défoncé le cul, je vais te rendre la pareille, petit salopard !
- J’attends que ça, cuistot !
Sanji provoqua à Ace des plaisirs dont il n’avait pas idée. Le cuisinier savait y faire, et avec quelle tendresse, quelle célérité. Zoro en profita pour se faire sucer par le capitaine aux poings ardents.
- Je préfère que tu me suces. Sanji est trop investi dans ton cul pour que je passe après lui.
- Ca se tient.
Ace passa en levrette, enfourché sur Sanji qui cognait contre ses fesses, avide de jouissance et soucieux de rendre à Ace ce qu’il lui avait fait subir avec cette double pénétration.
- Aaaaah oui Sanji !!! Ta queue est parfaite…
- On me le dit souvent, ouais…
- C’est bon, tellement bon…
Zoro n’était pas en reste. Ace était un sacré joueur de flute. Il lui pompait le membre avec un grand professionnalisme.
- Ca se sent que tu as l’habitude, tâches de rousseur…
- Tu plaisantes ? Je suce à tire-larigot ! Même Luffy en redemande ! La meilleure tailleuse de pipes de Grandline c’est moi !
- Titre mérité… ouh…
- Savoure, mon beau, je te la prends en profonde…
Ace absorba la tendre et longue pine de Zoro qui sourit de contentement. Oui, il savait s’y prendre. Sanji continuait à labourer le fion de leur amant.
Cette nuit-là, ils échangèrent beaucoup de sperme. Chacun avait le cul bien rempli. Aucun n’avait été épargné. A l’endroit, à l’envers, soixante-neuf torride, triangle sans bermuda, petit train… Ace était un démon du sexe, il connaissait tout ce qu’il y avait à y connaître. Comme il l’avait expliqué à Sanji et Zoro un peu plus tard, lui et Luffy avaient commencé très jeunes. Il leur raconta pour Sabo, leur troisième frère, qui avait aussi été le premier amour d’Ace. Il expliqua aussi à ses deux compagnons que Luffy avait des propriétés intéressantes pour le sexe, notamment le fait qu’en donnant des coups de hanche, il faisait inconsciemment partir son sexe en avant et en arrière, ce qui faisait de lui le meilleur dominant pour la sodomie qu’il ait connu. Il leur expliqua ensuite comment il avait imposé sa loi dans sa division et avait fait du sexe avec ses matelots une phase obligée. Ace était un petit con qui voyait la vie comme un jeu où le sexe était une récompense. Quand Sanji osa demander s’il avait couché avec Barbe Blanche, Ace secoua la tête.
- Trop grand. C’est pas une bite qu’il a, c’est un pilier ! Je l’ai déjà vu se faire sucer par six femmes, aucune ne le prenait en bouche !
A propos de sucer, Zoro et Sanji sucèrent Ace à deux, léchant son sexe comme jamais il n’avait été léché. Le sperme sortit en jets rapides et puissants. Ace rugit presque de plaisir, tant il était satisfait.
- Ca, j’ai appris à la faire avec le temps…
L’auto fellation ! Zoro et Sanji n’en crurent pas leurs yeux. Ace pouvait mettre son sexe dans sa propre bouche. Une pratique étonnante qui surprit les deux nakamas de Luffy. Sanji en profita pour mettre quelques doigts dans l’anus d’Ace pendant que Zoro lui pourléchait les testicules.
La soirée se poursuivit sous la douche où Ace fut violemment pris par ses amants de cette nuit. Il leur ordonna par la suite de lui uriner dessus. Plus dégoûtés qu’autre chose, ils s’exécutèrent. Ace sourit en recevant leurs doux jets de pisse sur son corps.
- Les gars, vous êtes les meilleurs…
Ils se couchèrent tous trois ensemble. Ace leur raconta comment il avait couché avec le Marine Smoker. Capturé, il avait le choix : Avouer ou mourir. Il choisit de caresser la braguette de l’homme qui l’interrogeait avec son pied. Cela s’acheva en une partie endiablée de sexe sauvage. Smoker était par la suite devenu un amant récurrent. « Un pot de colle plutôt, oui ! Toujours à me poursuivre pour me baiser. Je l’ai vite largué. Bon coup mais lourdingue. »
- Comment tu fais pour ne pas te transformer en feu pendant qu’on…
Ace sourit et montra une gourmette en granit marin.
- Ah…
- Tout s’explique… acquiesça Zoro.
Ace se releva.
- Les gars, j’ai été heureux de coucher avec vous, c’était super ! Mais faut que j’y aille avant que votre équipage se réveille. Et comme j’ai la bite à l’air…
- Et quel morceau…
- A coup sûr c’est une belle pièce… Peut-être même le One Piece ! ricana Zoro.
Ils éclatèrent de rire tous ensemble. Ace partit en saluant ses délicieux amants. Une fois la porte fermée, Zoro regarda Sanji, heureux.
- Malgré ça, tu restes unique pour moi.
- Evidemment, abruti ! Tu pensais vraiment que j’allais t’oublier à cause d’un plan fesses ?!
- Non, mais… T’as pris ton pied, plus que moi, je crois ! admit Zoro.
- … vaut mieux entendre ça que d’être sourd… grommela Sanji.
Sanji s’alluma une clope, alors que Zoro se blottit contre son adoré.
- Excuse-moi, Sanji.
- C’est rien. Reste contre moi. J’aime bien. Ca prouve que tu es différent d'Ace. Que tu restes près de mon coeur malgré tout.
Zoro ne s'endormit jamais aussi bien que ce soir là.